Protection Divine de Nombreux Dieux – Chapitre 49

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Chapitre 49

Un Démon.

Il s’agissait d’une existence qui se classait dans les premiers rangs parmi le grand monde des monstres.

Sa puissance était plus écrasante que presque tous les monstres et il n’était même pas comparable avec des êtres faibles tels que des humains.

« Courez dans l’autre sens si vous rencontrez un démon ». Il s’agissait d’un conseil fourni par les aventuriers vétérans.

Et parce qu’il n’était pas possible de gagner même si vous vous battiez face à ça, ils disaient que vous devriez vous disperser et vous enfuir séparément pour qu’au moins quelqu’un puisse survivre.

Bien sûr, les humains avaient aussi les moyens de tuer des démons. J’avais reçu la demande de soumission d’un démon de la part de Giren parce qu’il y avait une chance de succès.

L’un des objets utiles était le Tueur de Démons. Il était inoffensif pour les humains, mais les démons et les monstres reçoivent une importante quantité de dégâts.

Ils pouvaient être achetés dans une église, mais ils étaient étonnamment chers.

J’avais entendu dire que des « drogues qui fonctionnent sur les démons » pouvaient être achetées dans une église. Était-ce l’Eau Bénite ? C’était quelque chose que Giren m’avait dit.

Eh bien, pourquoi avais-je soudainement parlé de cette affaire ?

Le véritable Démon qui avait réagi au Détecteur de Démons était trop différent des informations qui m’avaient été fournies.

« Je suis désolée. Je vais aller me changer avant de commencer tout de suite à travailler, » dit-elle.

« Non, c’est correct Mademoiselle Latia. Vous, pourriez-vous juste arrêter de venir au magasin ? » demanda le propriétaire du magasin.

« P-Pas possible. J’avais finalement réussi à trouver un endroit où travailler et je suis à nouveau renvoyée, » déclara la démone, Latia.

« Je suis désolé, cependant, c’est déjà impossible de continuer avec vous, » déclara-t-il.

« Mais qu’est-ce que j’ai fait comme erreur ? J’ai toujours fait de mon mieux, » déclara Latia.

Le propriétaire poussa un profond soupir.

« Hier aussi, vous êtes arrivée bien trop tard au travail, » expliqua-t-il.

« M-Mais c’est parce qu’il y avait eu des problèmes pendant que j’allais travailler, » déclara-t-elle.

« Et il y a aussi les assiettes qui sont souvent brisées, » dit-il.

« Mais..., mais, ces assiettes se sont brisées sans même que je les touche ! » dit-elle.

« Et pour couronner le tout, il y a beaucoup de personnes que vous servez qui tombent inconsciente après vous avoir croisées, » rajouta-t-il.

« Je suis donc vraiment renvoyé ! » déclara-t-elle.

La dernière raison n’est-elle pas un peu excessive ? J’avais craché la boisson que je buvais en ce moment en entendant ça. Mais après tout, était-ce sans rapport avec ça ?

« C’est, Hmm, je suis désolée, » dit-elle finalement.

Ne venait-elle pas de l’admettre ? Quoi !? Cette... fille, est-elle vraiment un démon ? Bien qu’elle soit certainement telle une démone, car les humains qui l’entourent s’effondrent les uns après les autres.

Un tel individu peut-il intégrer sa vie dans la société humaine ? En premier lieu, les démons peuvent-ils vivre dans une société humaine ?

Je m’étais alors précipité pour avoir un visuel sur elle et j’avais immédiatement vérifié son statut.

Nom : Latia Evilis

Race : Demi-Démon

Malédiction du Demi-Démon

Applique l’état anormal « Coma » aux personnes se trouvant dans la zone. L’effet est proportionnel à la bonne volonté de la cible vis-à-vis du porteur.

La chute des personnes était probablement causée par cette malédiction. Parce que la proportion de bonne volonté était élevée envers cette fille, car il s’agissait d’une fille qui voulait être aimée par tout le monde, alors la malédiction provoquait en continu des comas.

Cependant, en étant une Demi-Démon, cela veut-il dire que l’un de ses parents était un démon ?

Cette fille était-elle vraiment la coupable qui avait directement donné des ordres au nécromancien ?

Quand j’avais interrogé le Grimoire de la Sagesse à propos des demi-démons, il avait dit qu’il n’en avait jamais entendu parler.

Alors, aviez-vous déjà entendu parler de quelqu’un qui résultait du croisement d’un démon avec un humain ? Des enfants peuvent-ils naître entre les démons et les humains ? Avant aujourd’hui, je pensais le contraire.

Quoi qu’il en soit, nous avions décidé de suivre cette fille qui avait été renvoyée et qui semblait perdue. J’avais demandé à Aria et aux autres filles de partir en avance et d’aller finir leurs achats.

Latia baissait les yeux emplis de tristesse alors qu’elle se déplaçait dans une ruelle étroite. Sa peine pouvait être visible même derrière elle.

Je l’avais observée pendant environ 30 minutes, mais je ne savais pas où elle se dirigeait. Peut-être qu’elle avait remarqué que je la suivais.

Bien que je l’avais observée une fois de plus, elle semblait simplement déprimée. Eh bien, elle pourrait faire la comédie.

« Quoi ? Êtes-vous un harceleur !? » demanda Latia.

La fille, que je suivais furtivement, était devenue dégoûtée. J’avais alors pris ma décision et j’avais décidé de parler.

« Eh bien...,» dis-je.

« Hein !? » Elle avait alors semblé surprise que quelqu’un lui parle et elle avait fait une réponse étrange en retour. « Je n’ai pas le moindre argent. Je viens tout juste d’être renvoyé de mon travail. »

Oui, je le sais déjà, pensai-je.

« Mes seins sont petits alors vous devriez juste arrêter de me poursuivre ! » s’exclama-t-elle.

Elle avait même été les *regarder* puis elle avait protégé sa poitrine en mettant ses deux mains dessus.

Quant à la forme et au volume, c’était quelque chose qui viendra bientôt, mais je n’allais certainement pas lui dire cela.

« En plus de ça, je n’ai pas de parents, je suis idiote, je suis une femme extrêmement laide, rien de bon ne sortira de moi, » continua-t-elle.

Sa négativité sortait à gros lot. Il semblerait qu’un certain interrupteur avait été poussé. Son tourment personnel avait ainsi continué pendant un certain temps.

« Vous êtes-vous calmée ? » demandai-je après un bon moment à rester sans voix devant elle.

« Heu, oui. Je suis désolée de m’être tant fourvoyée, » dit-elle.

Elle pensait que j’étais un voleur ou un violeur, alors elle avait dit qu’elle n’avait pas d’argent et que ça serait bien si je décidais de l’oublier. L’insatisfaction de sa vie quotidienne semblait avoir explosé à ce moment-là.

« Eh bien, je vous ai appelé si soudainement depuis derrière vous, alors c’est moi qui suis en tort, » dis-je.

« Hm, je m’appelle Latia. Je suis arrivée dans cette ville depuis environ un mois, » déclara-t-elle.

« Enchanté. Je m’appelle Hibiki. Eh bien, j’ai un travail d’aventurier, » dis-je afin de me présenter.

Pendant un moment, j’avais pensé qu’il serait peut-être mieux de cacher le fait que je sois un aventurier, mais cela serait facilement révélé si elle vérifiait.

« Alors vous êtes un aventurier. Merci d’avoir pris soin de la ville, » dit-elle avant de s’incliner devant moi pour une raison inconnue.

Après cela, nous avions longuement parlé de nous deux pendant environ deux heures. Bien que Latia était celle qui parlait le plus souvent.

Comme on pouvait s’y attendre, je ne pouvais pas lui demander en pleine face. « Êtes-vous un démon ? »

« Je n’ai pas le moindre ami dans cette ville. Monsieur Hibiki, pourriez-vous être mon ami ? » me demanda-t-elle.

Le ciel avait commencé à faire s’assombrir, donc nous étions progressivement retournés au centre-ville quand Latia avait dit une telle chose. « Cela fait depuis si longtemps que dès qu’une personne semble bien s’entendre avec moi, elle tombe sans raison sur le sol. Cependant, il semble que vous n’ayez aucun problème avec moi, du moins, en quelque sorte ? »

C’était parce qu’un état anormal n’était pas efficace sur moi.

Cependant, était-ce un piège ? Peut-être que son intention était de se faire des amis quand sa propre attaque n’était pas efficace.

Il pourrait être trop tard, mais nous ne devrions pas trop nous apprécier si elle était vraiment mon adversaire.

Alors que je pensais à ça, quand j’avais essayé de lui dire que je refusais, elle avait l’air de s’attendre déjà à une telle réponse.

Même si une expression emplie de joie était encore présente sur son visage souriant, les mains qui m’avaient saisi alors qu’elle me demandait ça s’étaient mises à trembler.

Cependant, si ce qu’elle avait dit était totalement vrai, alors cette fille qui avait perdu son travail dans cette ville où elle n’avait personne qui pouvait l’aider ne savait même pas ce qui pourrait lui arriver demain.

Mais, même dans cette situation, elle ne m’avait pas demandé de l’aide, mais pour que je sois son ami.

« O-oh, ça alors !! C’est d’accord, » dis-je. Avant que je le remarque vraiment, j’avais donné mon accord.

« Vraiment !? Je suis si heureuse !! S’il te plaît, soit gentil avec moi, » déclara Latia, emplie de joie.

Latia avait pris mes deux mains et les balançait à droite et à gauche tout en fredonnant. Il semblerait qu’elle était vraiment très heureuse.

Dans ce cas, je ne pourrais pas y faire grand-chose si elle jouait la comédie. Je me rends face à ça, pensai-je. Je serai là afin de prévenir des dommages afin que rien n’affecte Aria et le reste du groupe.

J’avais promis à Latia que je la reverrais bientôt et nous avions convenu d’un lieu et d’une heure. Dans ce monde où il n’y avait pas de téléphone cellulaire, il n’y avait pas de méthode pour communiquer directement entre nous, alors la seule méthode était de faire la promesse de se rencontrer à un endroit convenu à l’avance avant de se séparer.

« Et maintenant, comme je n’ai pas de logement, je te retrouverai là où nous avons convenu. Eh bien, au revoir !! »

Latia venait de laisser tomber une bombe juste avant de partir. Donc elle n’y avait même pas de logement où dormir ? J’avais essayé d’appeler et de l’arrêter, mais sa silhouette n’était déjà plus visible.

Cependant, si vous ne séjournez pas dans une auberge, où avez-vous l’intention d’aller dormir ?

Après avoir quitté Latia, j’avais été à la rencontre d’Aria et des autres filles. Tout le monde m’attendait déjà après avoir fini de faire leurs achats.

« Merci de m’avoir attendu, » dis-je.

« Nous venons nous-même juste d’arriver, Maître. » Emily qui se souvenait de notre discussion lors de notre rendez-vous avait répondu en plaisantant avec un rire taquin.

J’avais souri en entendant ça, puis Aria m’avait parlé. « Êtes-ce vraiment une démone ? »

« Hmm, cela pourrait ne pas être le cas. Bien qu’il semblerait qu’elle ait des liens avec les démons, » répondis-je.

Comme je parlais de manière ambiguë, Zir avait également une question à me poser. « Incidemment, vous parliez de cette demoiselle en tant que Demi-Démon avant que vous la suiviez. Qu’est-ce qui vous fait penser ça ? »

« Je ne le comprends pas encore clairement. Cependant, sa race semble être celle des Demi-Démon, » répondis-je.

« Alors, vous ne savez rien et même pas dans quelle auberge cette dame réside ? » demanda Zir.

« Heu, elle semble être une personne sans domicile fixe. Et aussi, nous sommes devenus des amis, » dis-je.

Les trois filles furent surprises en entendant ça.

« Si possible, je pense que je vais attendre que Latia révèle ses failles, » dis-je.

« N’est-ce pas dangereux ? » demanda Zir.

« Cela pourrait être le cas. Par conséquent, je vais la rencontrer seule. Voulez-vous attendre à proximité ? » demandai-je.

J’avais alors dit à tout le monde que la prochaine réunion avait lieu dans deux jours, et donc, nous avions mis au point des contre-mesures après que j’eus décidé de retourner à l’auberge.

De plus, j’avais décidé demain d’aller à la Guilde des Aventuriers.

La raison en était que j’avais dit à Latia que j’étais un aventurier, et donc, j’avais jugé que je devrais être dans la guilde autant que possible.

***

Comparé à hier, le nombre d’aventuriers était moins important, car beaucoup d’entre eux étaient déjà partis pour la subjugation.

« Bonjour, Monsieur l’Annihilateur. Nous nous rencontrons beaucoup ces derniers temps, » déclara le même aventurier qu’hier.

« Vieil homme, n’êtes-vous pas parti afin de tuer le Grizzli d’Argent ? » demandai-je.

Bien que j’étais motivé hier, il n’y avait pas de vigueur en moi aujourd’hui.

« Eh bien, à propos de ça ! Après que vous ayez quitté la guilde, il y a eu toute une scène quand quelqu’un est venu et a rapporté qu’un de nos camarades avait vaincu le Grizzli d’Argent, » dit-il.

C’était vraiment malchanceux que cela arrive ainsi. Cependant, il y avait certainement des aventuriers exceptionnels si le monstre avait été tué dès le premier jour après sa découverte.

Non, peut-être que cela avait été fait il y a quelques jours, puisque je n’avais appris ça qu’hier.

Cependant, j’avais entendu dire que tout le monde considérait le Grizzli d’Argent comme étant un ennemi considérablement puissant.

Puisqu’ils étaient capables de le vaincre, ils devaient sûrement avoir de considérables compétences.

« Qui l’a tué ? » demandai-je.

« Hmm, si je me rappelle bien, il s’appelle Evil ou Evin, » répondit-il.

« Hein, Evil ? » demandai-je.

« Eh bien, je ne suis pas trop au courant des détails. Apparemment, ce type n’est pas encore enregistré dans la guilde, » répondit-il.

« V-Vraiment ? » demandai-je.

Après avoir entendu l’histoire du vieil homme, j’étais devenu un peu mal à l’aise. Je devrais demander au Seigneur Giren afin d’obtenir toute l’histoire. Je me demandais s’il allait au moins me dire le nom de cet homme qui avait vaincu ce monstre.

J’avais alors quitté la guilde avec un léger trot avant de me diriger vers la résidence du Seigneur. Parce qu’il y avait pas mal de passage à emprunter avant d’y arriver, cela m’avait pris du temps.

Au moment où j’étais passé près de la cour où le duel avait été fait, je vis que Frey était visible dans le coin de la cour. J’avais l’intention de l’ignorer, mais son apparence était bien trop étrange pour que je puisse le faire.

Après avoir constaté ça, je m’étais soudainement avancé et j’avais commencé à errer dans la cour. Après avoir marché pendant un petit moment, je m’étais retrouvé dans un coin de la cour, avant de me placer assis en me tenant les jambes. Il s’agissait d’une des positions classiques pour l’éducation physique.

« Ha Merde ! Quoi ? » Frey semblait finalement m’avoir remarqué et donc, elle m’avait parlé.

J’avais été regardé avec des yeux comme ceux d’un chien abandonné.

Je m’étais alors approché de Frey en poussant un énorme soupir.

Pendant ce temps, Frey m’avait regardé m’approcher.

« Que se passe-t-il, Mademoiselle la Fière Chevalière ? » demandai-je.

Elle avait réagi à ma question en commençant à pleurer.

Apparemment, il semblerait qu’elle ait réagi au mot Chevalière, et c’était un peu fragmenté, mais j’avais quand même pu écouter son histoire.

« Alors, quel est le problème, Frey ? » demandai-je.

À contrecœur, je l’avais appelé par son nom parce que chaque fois que je l’appelais chevalier, elle se mettait à sangloter.

« Je *sniff* ne suis plus *sniff* une chevalière, » dit-elle.

« Que s’est-il produit ? » demandai-je.

« J’ai *sniff* été renvoyée de mon *sniff* poste de chevalière de mademoiselle, » dit-elle.

Apparemment, au lieu de ressembler aux yeux d’un chien abandonné, il semblerait qu’elle avait vraiment les yeux d’un chien abandonné.

***

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9 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. merci pour le chapitre

  3. kurokagespirit

    Merci pour le chapitre.
    PS:Pauvre Frey, dis-toi que c’est mieux comme ça pour ton avenir…

  4. Barthélémy Lelièvre

    Merci pour le chapitre

  5. Merci pour le chapitre.
    P.S :
    « « En plus de ça, je n’ai pas de parents, je suis idiote, je suis une femme extrêmement laide, rien de bon ne sortira de moi, » continua-t-elle. »
    -Latia, je sens que l’histoire va nous apprendre plus tard, que la totalité des affirmations de cette phrase sont fausses ou le deviendront. (Et pour les 2 derniers c’est pas à toi de juger Latia.)

    « …je m’étais retrouvé dans un coin de la cour, avant de me placer assis en me tenant les jambes. »
    – C’est basiquement la position de l’image suivante sans que vos fesses ne touches le sol :
    https://i.pinimg.com/originals/1b/08/25/1b0825cbc09b5d2d03838af5fe330a3d.jpg
    Je vous défi par ailleurs de le faire (c’est TRÈS chiant sans aide).

    « Cependant, en étant une Demi-Démon, cela veut-il dire que l’un de ses parents était un démon ? »
    – Ouvrons les paris pour le parent démon. Au vu de son nom de famille, je mise le père. Et vous ?

    – La malédiction des demis-démons est quand même sacrement vicieuse. Ils condamnent les demis-démons à vivre exclus des humains et des démons, alors que sans ça ils aurait été les médiateurs parfaits entre les 2 races.
    Es-ce vraiment le hasard ?

    • Pour la malédiction, non, c’est clairement pas le hasard.
      [spoil]

      On en parlera quasi plus après ça, vu qu’elle va être annihilé sans peu. (J’ai pas dit qui ou quoi)

      [/spoil]
      Mais n’oubli pas un détail. Les malédictions sont transmissibles… donc c’est peut être pas elle qui l’avait à la base.

      Et merci pour tes rapports de fautes.

      • De rien c’est un plaisir.

        Euh transmissibles dans quel sens (maladies contagieuses ; transmission génétique ; création et apposition ; invocation et apposition) ?

        • Tirez du chapitre 3 de ce roman :

          « Mais la plus grande différence entre ma [Protection Divine] et une [Malédiction] était que la [Malédiction] pouvait se propager à d’autres personnes. »

          Donc si la personne reste trop longtemps avec une autre personne, la malédiction peut aller sur une autre personnes.

          • Je m’en rappelle maintenant. c’est la raison pour laquelle on exclus ceux porteur de malédiction. Purée, ça fait tellement loin déjà… Bon je vais relire ce chapitre alors.

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