Maou-sama no Machizukuri! – Tome 6 – Chapitre 9

Bannière de Maou-sama no Machizukuri! ***

Chapitre 9 : La récompense de Rorono

Il s’était passé beaucoup de choses, mais nous avions réussi le festin.

Les invités avaient pu goûter aux charmes de l’Avalon que j’avais construite.

... J’avais aussi été pardonné par le Seigneur-Démon du Temps pour la chose traître que je lui avais faite.

Tout cela grâce à sa gentillesse. Cependant, comme il l’avait suggéré, j’avais l’intention de rembourser cette dette un jour.

« C’est à peu près tout. Était-ce utile ? As-tu appris quelque chose ? » (Procell)

À ce moment-là, j’étais dans une chambre d’amis pour raconter à Stolas mes expériences de guerre que j’avais acquise jusqu’à présent.

Il avait été demandé aux nouveaux Seigneurs-Démons de faire au moins une guerre dans l’année.

J’avais déjà accompli cette tâche, mais Stolas était sur le point de faire l’expérience de sa première et était donc venue demander conseil.

Il y avait actuellement trois personnes dans la pièce : moi, Stolas et Rozelitte, le démon de type ange que m’avait prêté Stolas.

« Oui, merci, Procell, c’était très utile. » (Stolas)

Stolas avait dit cela puis s’était étirée.

Quand elle l’avait fait, mes yeux avaient été attirés vers sa nuque inhabituellement blanche.

Elle portait actuellement un pyjama de soie qu’elle avait acheté ici à Avalon. Sa texture était géniale et c’était indéniablement un élément de première classe. Elle l’avait essayé et l’avait tellement aimé qu’elle en avait acheté plusieurs.

« Tout le plaisir est pour moi. » (Procell)

En disant cela, une renarde mythologique servant de gouvernante apporta le thé.

« Ce sont de bonnes feuilles de thé. C’est vraiment calmant. » (Stolas)

« C’est en fait mes préférées. Après tout, beaucoup de choses peuvent troubler un Seigneur-Démon. Je vais t’en faire préparer comme cadeau. » (Procell)

« Merci, fufu, tu es si gentil, Procell. » (Stolas)

C’était la première fois que nous avions une petite conversation ainsi et je me sentais étrangement tendu.

« Eh bien, c’est la seule façon pour moi de te rendre la faveur que je te dois. J’aimerais que tu sois plus heureuse, ne serait-ce qu’un peu. » (Procell)

Quand j’étais dans ma guerre contre les trois Seigneurs-Démons, Stolas avait agi comme assurance en protégeant mon cristal.

Et à un moment crucial où j’avais décidé de faire une guerre pour sauver March, elle m’avait prêté Rozelitte qui était l’un de ses démons du Pacte Démoniaque — l’un de ses atouts — indépendamment du risque de la perdre si je venais à perdre.

« Hey, Procell, je... » (Stolas)

Stolas avait commencé à dire quelque chose, mais s’était arrêtée.

Pour masquer le fait qu’elle l’ait fait, elle avait fait semblant de boire son thé.

En regardant Stolas ainsi, Rozelitte haussa les épaules et soupira.

« C’est parce que tu fais tout à moitié que Procell-sama a été pris par quelqu’un d’autre. Maintenant, vas-y, et sors avec lui. » (Rozelitte)

« Pfff, d-d-d-de quoi parles-tu ? » (Stolas)

Avec un visage rouge, Stolas cracha son thé et déclara cela.

« C’est de cela que je parle, maître. Eh bien, c’est mignon aussi. » (Rozelitte)

Les deux agissaient comme des sœurs.

En le pensant, je me mis inconsciemment à sourire.

« Rozelitte, c’est un au revoir. Notre temps aura été court, mais c’était amusant. » (Procell)

« Je devrais être celle disant cela, j’ai beaucoup appris. J’ai en fait pris des leçons de Wight et ai l’intention d’utiliser mes nouvelles connaissances pour rendre Stolas encore plus puissante. » (Rozelitte)

Elle est sûrement audacieuse. Tant qu’elle est là, Stolas devrait aller bien.

Tout en pensant ainsi, j’avais fait les procédures nécessaires pour transférer un démon et avais tendu la main vers Stolas. Quand Stolas l’avait saisi, le transfert sera terminé et le contrôle de Rozelitte lui serait rendu.

Tout comme Fel, j’étais sur le point de me séparer de Rozelitte.

« Procell, merci d’avoir entraîné Rozelitte. Bien que tu puisses regretter un jour de rendre ta rivale plus forte. » (Stolas)

Ne pas se sentir endetté envers l’autre était l’un de ses bons traits.

« Je ferai attention à ce que cela ne se produise pas. Je souhaiterais que nous continuions à être rivaux, Stolas. Concourir l’un contre l’autre pour être un Seigneur-Démon de première classe et autres joyeusetés. Je préférerais qu’il n’y ait pas d’effusion de sang entre nous. » (Procell)

Je voulais éviter un combat à mort avec elle, car gagner ou perdre me laisserait un arrière-goût amer dans la bouche.

« Ouais, je souhaite aussi que nous soyons en compétition l’un contre l’autre, mais sans nous entre-tuer... Oh, je vais prendre ta main, maintenant. » (Stolas)

Stolas et moi avions les mêmes sentiments.

Elle avait alors saisi ma main tendue et ainsi avait achevé le transfert de Rozelitte.

« Stolas-sama, je suis de retour. » (Rozelitte)

« Bon retour, Rozelitte. » (Stolas)

Les deux avaient dit ainsi puis s’étaient enlacés.

Se séparer de Rozelitte pourrait l’avoir rendue solitaire, mais, comme on pouvait s’y attendre, du côté de Stolas, c’était l’endroit auquel elle appartenait.

« Procell, je retourne dans ma chambre. J’ai vraiment apprécié cette journée. » (Stolas)

« Oh, Stolas-sama, tu ne vas pas dormir dans la chambre de Procell-sama ce soir ? » (Rozelitte)

« C’est trop tôt pour ça. Pas que cela n’arrivera jamais. De toute façon, nous y allons. » (Stolas)

« À demain, Procell-sama ! Vous devriez faire un mouvement vers Stolas-sama. Elle est la candidate idéale pour vous guérir de vos étranges fétiches en un rien de temps ! » (Rozelitte)

« « Ce n’est pas ton affaire ! » » (Procell/Stolas)

Stolas et moi avions répondu ainsi.

Nous n’avions pas ce genre de relation.

« Dis, Procell ! Je me demandais, si tu as le temps, veux-tu regarder ma guerre ? Il n’y a aucun moyen que je puisse perdre en combat, mais ton soutien moral serait apprécié. » (Stolas)

« Sûr. Je suppose que je devrai te regarder combattre dans ta salle au cristal, comme tu l’as fait lors de ma guerre. Mais cela ne me mettrait pas dans une position très avantageuse ? Comme voir en direct ta force de combat, etc. ? » (Procell)

Je lui retournais les mots qu’elles m’avaient dit à l’époque pour qu’elle ne se sente pas trop reconnaissante.

En m’entendant, elle sourit ironiquement.

En plus de faire partie des nouveaux Seigneurs-Démons, elle possédait une médaille de rang A. Il n’y avait aucun moyen qu’elle puisse perdre.

Je pouvais lui prêter l’un de mes démons pour être sûr de sa victoire, mais je savais que sa fierté ne le permettrait pas. Et donc, c’était ma décision que je la regarde se battre et d’agir uniquement si ses adversaires essayaient de participer de la même manière que lors de ma guerre. À cette fin, j’avais des préparatifs à faire.

*

Stolas et Rozelitte étaient parties, me laissant seul dans la pièce.

J’étais allongé sur le lit, totalement épuisé. Épuisé mentalement et non physiquement.

« Maître, j’arrive. » (Rorono)

« Ouais, entre. » (Procell)

Rorono l’Ancienne Naine avait demandé cela puis était entrée dans la pièce.

Chaque nuit, un de mes démons du Pacte Démoniaque venait dormir avec moi. Elles avaient surnommé cette journée, la journée de Père.

Bien sûr, quand j’avais dit qu’elles dormaient avec moi, c’était au sens littéral. Je n’étais pas un lolicon et ces filles étaient mes filles. Je n’avais aucun fétichisme anormal.

« Ma récompense commence maintenant. Jusqu’à demain soir, Père sera avec moi. Aussi, à partir de maintenant jusqu’à la fin de ma récompense, je continuerai a appelé Père, Père. » (Rorono)

Rorono avait dit cela en faisant son sourire habituel réservé. En voyant ce sourire, toute ma fatigue s’était évanouie.

« Compris, promis, une fois que Stolas sera partie, nous partirons tous les deux. » (Procell)

Ce que Rorono demandait comme récompense était mon temps.

Pour être plus précis, une journée complète.

Si je devais donner son nom à Wight, je perdrais mon pouvoir magique pendant longtemps. Alors que dans cet état, sortir à l’extérieur était déconseillé et donc, j’avais décidé d’accorder en premier la récompense de Rorono.

« Mhm, je suis impatiente d’y être. » (Rorono)

« Cela étant dit, cela te va vraiment de voyager à cet endroit ? » (Procell)

« Oui. Les voyageurs ont dit que les techniques de forges sont incroyables. » (Rorono)

La destination de notre voyage était aussi décidée par elle.

Dû au fait que ce soit situé au pied d’une mine et que les matériaux étaient faciles à obtenir, c’était devenu une terre sacrée pour les forgerons — ainsi que pour ceux voulant le devenir — pour perfectionner leur métier.

« Mais même si tu vois leurs techniques, je ne crois pas que tu puisses en obtenir beaucoup de bénéfices. » (Procell)

« Les humains ont en effet des techniques non raffinées, mais pour compenser cela, ils ont toutes sortes d’idées. Parfois, ils ont même de nouvelles approches. Je suis excitée à ce propos. » (Rorono)

Même lors d’un voyage pour le plaisir, elle pensait encore à la forge, elle aimait vraiment cela.

Elle était allongée sur le lit avec moi alors j’avais décidé de la serrer dans mes bras. Faire un câlin à mes filles comme si elles étaient des oreillers pour faire des câlins était ma plus grande source de satisfaction. Leur température corporelle chaude et leur odeur parfumée effacent simplement ma fatigue.

« Dis, Père. » (Rorono)

« Qu’est-ce qu’il y a ? » (Procell)

« Pourquoi ne me fais-tu pas ce que tu as fait à Fel ? Est-ce parce que tu aimes plus Fel que moi ? » (Rorono)

En entendant cela, j’avais inconsciemment laissé échapper une voix étrange.

Je dois me calmer et la regarder bien en face.

« Non, ce n’est pas ça. Mais plutôt parce que tu es ma fille et je t’aime trop pour cela. Aussi, en premier lieu, je ne voulais pas faire ce que j’ai fait à Fel. » (Procell)

« Mhm, d’accord. Ensuite, entre tes filles, ton épouse et tout le reste, qu’est-ce qui selon toi est le plus important ? » (Rorono)

« Je pense que c’est vous les filles. Mais, il n’y a personne de plus important pour moi que toi maintenant. » (Procell)

Après que je l’avais dit, elle avait caché son visage dans ma poitrine.

« Je suis soulagée d’entendre cela. Dernièrement, Kuina était inquiète en disant des choses comme que tu seras volé par le charme de March et de Fel et que tu allais nous oublier. » (Rorono)

« Kuina pensait cela ? Mais il n’y a aucun moyen que cela se produise. » (Procell)

« À moins que tu ne fasses un geste, nous n’avons aucun moyen de le savoir. En fait, quand elle a dit cela, je me suis un peu inquiétée. Pour ces raisons, rattrape-toi en nous montrant beaucoup d’amour. » (Rorono)

Rorono avait dit cela d’une manière qui indiquait qu’elle voulait être gâtée. En réponse, je lui avais brossé la tête.

Ce n’était que maintenant qu’elle m’en parle que je me rendis compte de telles choses. Certes, j’avais passé moins de temps avec les filles par rapport à avant, il était donc parfaitement compréhensible pour elles de s’inquiéter.

« Oui, je le ferai. Merci de m’avoir dit cela. » (Procell)

« Mhm. Mais il est bon de montrer ton affection à Kuina par tes actions, il pourrait être trop tôt de lui dire directement. » (Rorono)

« Pourquoi ça ? » (Procell)

« Kuina a l’impression que tu l’aimes plus pour sa force. Cependant, maintenant que Marchosias-sama — quelqu’un de plus fort qu’elle — est apparue, cette confiance en elle s’est effondrée. Pour la retrouver, elle suit une formation spéciale qui profitera non seulement à elle, mais aussi à son père. Et je veux l’aider à combattre ses points faibles. » (Rorono)

« Ses points faibles ? » (Procell)

« Mhm. Si c’était juste sa prouesse physique et sa quantité de pouvoir magique, il n’y a pas de problème, mes armes peuvent aider. Même ainsi, son point fort est ses flammes et pourtant elle ne les utilise presque jamais. Et donc, je veux faire une arme pour elle qui incorporera aussi l’usage de ses flammes. » (Rorono)

C’était en effet un gâchis pour Kuina de ne pas utiliser ses flammes en dépit d’être une utilisatrice des flammes de haut rang. Si elle pouvait pleinement utiliser ses flammes, elle deviendrait sûrement encore plus forte. Tant et si bien qu’elle pourrait peut-être égaler March.

« C’est censé être ta journée, mais tout ce qu’on a fait est de parler de Kuina. » (Procell)

C’était un peu réconfortant. Même si Rorono ne se comportait pas souvent de la même manière devant Kuina, Rorono l’avait considérée comme sa sœur aînée.

« Oui, mais quand Kuina est triste, je le suis aussi. Eh bien, assez de cela. Père, à propos de cette arme spéciale dont nous avons parlé l’autre jour, je suis curieuse de cet amusant mécanisme. » (Rorono)

« Oh, d’accord, je vais utiliser ma Création pour le faire avant de donner son nom à Wight. » (Procell)

Pour un Seigneur-Démon, nommer ses trois premiers démons était différent de nommer les démons suivants. Pour les trois premiers démons le Seigneur-Démon était lié par une connexion qui les unissait, rendant ainsi la procédure de donner un nom sans contre coût.

Pour la dénomination des démons après les trois premiers, le Seigneur-Démon devait compenser l’absence de cette connexion spéciale en dépensant unilatéralement une quantité de puissance magique dépassant de loin la leur, ce qui les rendait incapables de récupérer ce pouvoir magique en un peu près un mois.

Évidemment, sans aucun pouvoir magique, je ne serais pas capable d’utiliser ma Création.

Malgré tous les risques que cela impliquait, j’étais toujours plus qu’heureux de donner à Wight, qui m’avait toujours soutenu, son nom.

Après cela, Rorono et moi avions parlé de choses triviales et nous nous étions endormis.

Son petit corps et sa chaleur étaient très agréables. Il semble que l’on puisse bien dormir ce soir.

*

Le jour suivant, après avoir vu Stolas, nous avions commencé notre promenade vers la ville connue de tous les forgerons.

Rorono semblait de bonne humeur, j’avais pu le remarquer pendant le voyage.

« Père, regarde cette épée. Elle a subi un processus particulier lors de la fonte. Je veux travailler avec ça. Oh, et la peau tannée utilisée pour l’armure là-bas est jolie aussi. » (Rorono)

Elle avait dit cela en faisant éloge de l’ingéniosité des humains.

Même si des vêtements et des accessoires étaient achetés pour elle, elle ne serait pas enthousiaste à ce sujet, mais en lui achetant des armures sur lesquelles ses recherches pouvaient avancer, elle serait sur la lune.

« Achetons-la alors. Si cela t’aide à améliorer tes techniques, alors c’est essentiel pour Avalon. » (Procell)

« Merci, Père ! » (Rorono)

Mes Démons du Pacte Démoniaque avaient chacun différentes choses les rendant heureux.

Kuina aimait avant tout la nourriture. À part cela, elle aimait les vêtements et accessoires mignons. Cependant, parce que son corps avait grandi récemment, elle ne pouvait plus porter ces vêtements et cela la rendait évidemment triste. Je lui achèterai beaucoup de vêtements la prochaine fois.

Pour Rorono, elle aimait les armes et armures particulières. Le mot clé étant particulier. Si l’équipement était jugé banal, elle serait mécontente. Les choses qu’elle aimait aussi étaient les minerais, et enfin, la nourriture.

En ce qui concerne Aura, elle serait contente de tout, mais elle adorait faire des choses de filles comme se faire maquiller.

Quoi qu’il en soit, si faire du shopping pouvait la rendre heureuse, j’en ferais autant qu’elle le souhaitera.
Après avoir observé les forgerons de la ville, nous avions pris un repas au crépuscule.

Transportant une grande quantité de bagages, nous étions retournés à Avalon.

Rorono était heureuse, et le fait de voir son visage ainsi en valait le voyage.

*

Après notre arrivée à Avalon, nous avions apprécié un bon thé.

Bien sûr, c’était encore juste nous deux.

Rorono avait joyeusement parlé de choses. 70 % de celles-ci concernaient les armes en cours de développement, 20 % de Kuina et Aura, et environ 10 % de ses subalternes, les Naines forgeronnes.

Elle avait un million d’autres choses à me dire quand l’horloge sonna.

« ... C’est déjà ce moment. C’est dommage, mais mon temps avec toi de récompense est fini. » (Rorono)

Rorono déclara cela d’une manière un peu triste.

En réponse, je lui avais caressé la tête, presque inconsciemment.

« Rorono, même s’il est vrai que ta récompense est terminée, j’ai apprécié cette journée, donc je pense que nous devrions recommencer un jour. Je vais à coup sûr prendre à nouveau du temps pour cela. » (Procell)

Quand j’avais dit cela, Rorono s’était mise à sourire.

Je voulais me libérer du temps non seulement pour Rorono, mais aussi pour Kuina et Aura.

« Eh bien, je vais dans le sous-sol du donjon. L’heure de nommer Wight arrive bientôt. » (Procell)

« J’y vais aussi. » (Rorono)

Rorono attrapait habituellement seulement ma manche, mais cette fois, elle tenait ma main.

Un mouvement de cœur ?

Quoi qu’il en soit, à partir de ce moment-là, Wight allait être nommée à l’étage inférieur du donjon.

Par précaution, j’avais prévenu mes démons qu’ils étaient libres d’y venir. Voyant que Wight était populaire, j’étais presque certain que tous mes démons viendraient.

J’espère que Wight aimera le nom que je vais lui donner.

Tout en me demandant cela, Rorono et moi nous étions dirigés vers l’étage inférieur d’Avalon

***

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

6 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. J’ai hâte de connaître le nom

  3. kurokagespirit

    Merci pour le chapitre.

  4. Merci pour le chapitre.

  5. Dominique Ringuet

    Merci pour le chapitre !

Laisser un commentaire