Maou No Hajimekata – Tome 1 – Chapitre 6 – Partie 1

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Chapitre 6 : Entraînons le pitoyable prisonnier

Partie 1

Quand Yunis s’était réveillée, elle était déjà dans une pièce sombre entourée de murs de pierre. Elle avait désespérément essayé de faire fonctionner sa tête et de comprendre la situation. Quand elle avait essayé de bouger son corps, les chaînes attachées à son bras droit avaient fait un bruit de cliquetis.

Ce n’était pas seulement son bras droit. Ses mains et ses pieds étaient attachés avec des chaînes et fixés au mur, et il était à peine possible pour elle de se déplacer de façon importante. De plus, son corps était retenu au lit par un mécanisme de verrouillage circulaire en acier.

Toutes les armes et l’équipement qu’elle avait en sa possession avaient disparu et il n’y avait rien dans la pièce. Elle était pour le dire franchement dans une pièce avec une faible lumière provenant d’une lampe, où elle était clouée au lit et retenue par des chaînes. C’était tout ce qu’il y avait dans la pièce en ce moment. Il n’y avait même pas de porte dans l’entrée, et tout ce qu’elle pouvait voir était un passage sombre qui menait quelque part dans l’obscurité.

« Tu t’es réveillée ? »

Du passage, un homme et une femme étaient apparus. Il portait une robe grise et avait les cheveux bruns dorés, il était de taille moyenne et semblait avoir environ 20 ans. Quant à la femme, elle avait des ailes de chauve-souris qui sortaient de son dos, avec des cheveux aile de corbeau elle portait des vêtements qui rendaient sa silhouette plus gênante (ou plutôt des sous-vêtements ?), c’était une très belle femme.

En les voyant s’approcher, Yunis avait commencé à sortir de son état d’esprit comateux. Le magicien maléfique Aur et son familier... C’était ces deux-là qui l’avaient vaincue. Bien qu’il semble qu’elle n’avait pas été tuée, était-ce vraiment quelque chose de chanceux ? Yunis se sentait trop suspicieuse quant à leurs motivations.

« Le fait de commencer me permettra de me présenter. Mon nom est Aur. Je suppose que vous avez entendu parler de moi, je suis celui qu’ils appellent le “Mage noir”. Cette démone est mon assistante, son nom est Lilu... Quel est votre nom ? »

Yunis avait réfléchi désespérément à des idées pour sortir de cette situation. Comment allait-elle surmonter cette situation désastreuse ? Elle n’avait pas d’armes, elle ne pouvait même pas bouger librement, et l’homme appelé Aur avait le plein contrôle de sa vie à portée de main.

« ... Yunis. Je suis aventurière. »

Elle n’avait pas donné son nom complet et n’avait déclaré que son surnom. « Quand un magicien puissant est capable de connaître votre vrai nom au complet, il serait capable de vous dominer et de vous ordonner de faire n’importe quoi », c’était quelque chose qu’elle avait déjà entendu d’un magicien qu’elle connaissait, donc elle avait choisi de ne pas révéler son nom complet.

« Je vois... Très bien, Yunis, il y a une chose que je voulais vous demander. Quel village vous a demandé de venir ici ? » demanda Aur.

« Personne ne m’a demandé de venir ici, » répondit-elle. « J’ai entendu des rumeurs d’un magicien malfaisant existant autour de cette zone, alors je suis simplement venue pour porter un jugement. »

Bien qu’elle avait compris qu’il s’agissait d’une mauvaise excuse, c’était tout ce qu’elle avait trouvé. Elle avait agi ainsi parce qu’elle ne voulait pas causer d’ennuis aux villageois innocents. De plus, la première partie n’était pas nécessairement un mensonge. Il était vrai qu’elle avait entendu l’histoire d’un magicien maléfique, mais elle avait aussi laissé de côté l’information concernant le village qui lui avait demandé de venir ici.

« Hmm... Dans ce cas, qui était celui qui vous a parlé de telles rumeurs ? » demanda-t-il.

Grr, Yunis était à court de mots. Elle s’était rendu compte qu’elle avait dit quelque chose qu’elle n’aurait pas dû.

« Ka... »

« Ka ? »

« C’était juste des ragots..., » déclara-t-elle.

Lilu avait une expression d’étonnement qui venait des profondeurs de son cœur. Yunis voulait vraiment porter le blâme sur elle-même.

« Donc c’est juste un commentaire passager, hein... ? Si c’est le cas, je n’ai pas d’autre choix, » annonça Aur en poussant un soupir.

Au contraire, Aur avait fait preuve d’une attitude consentante face à un mensonge aussi évident.

« T-Tout à fait ! Je ne suis pas très intelligente, donc je ne me souviens pas vraiment d’où je l’ai entendue ! » s’écria Yunis.

« I-Idiote ! » cria Lilu.

En entendant la réponse de Yunis, pour une raison inconnue, Lilu était devenue agitée. De plus, Lilu n’avait pas dit ce mot à Aur, mais elle avertissait Yunis.

« Si vous ne vous souvenez pas qui c’était, alors il n’y a pas d’autre choix... je me vois obligé de brûler tous les villages, » déclara Aur.

En entendant la réponse nonchalante d’Aur quant au massacre de tous les villageois, l’expression de Yunis s’était figée.

« Bien qu’il soit regrettable de brûler des villages qui n’ont rien à voir avec cela, on ne peut pas faire autrement, » déclara Aur. « En outre, toutes les menaces potentielles doivent être éliminées. »

« Arrêtez !! » Yunis avait crié, interrompant les paroles d’Aur. « Les villageois n’ont rien fait de mal ! C’était moi, je l’ai fait ! J’ai fait tout cela toute seule ! C’est pourquoi, je vous en supplie, ne faites pas de mal aux gens du village... »

Le cliquetis des chaînes résonnait dans la pièce alors que Yunis plaidait auprès d’Aur. Alors qu’elle était dans une telle situation, il ne lui était pas possible de baisser la tête et de s’incliner, ni de s’accrocher à ses jambes pour supplier.

« Alors, vous essayez de me dire que c’est de votre faute ? » demanda Aur.

« C’est exact ! Les villageois n’ont rien fait de mal. C’était mon propre plan que de venir vous arrêter ! » déclara Yunis.

« Alors, jurez-vous d’accepter tous les péchés et de recevoir tous les châtiments avec votre corps ? » demanda Aur.

« ... je le jure. Je le jure, s’il vous plaît, ne faites pas de mal aux villageois, » déclara Yunis.

« Vous dites des choses si épouvantables, » Aur avait commencé à parler d’une manière très facile à comprendre. « “Si vous ne voulez pas que les villageois meurent, alors vous devez écouter mes paroles” — je ne vous menacerai jamais à faire une telle chose. J’essaie simplement de trouver la vraie personne qui est coupable de ce crime. Bien que je me proclame maléfique et malfaisant, je ne m’abaisserai pas au point de tuer des innocents. Le village que j’ai détruit auparavant avait agi contre moi en dégainant leurs lames et en essayant de me tuer. Cependant, si vous me dites que vous êtes la seule coupable, alors il n’y a aucune raison de punir les autres. »

« ... Je comprends, » déclara Yunis. « Le péché n’appartient qu’à moi. C’est pourquoi toutes les punitions ne devraient être données qu’à moi ».

Yunis avait regardé Aur droit dans les yeux en disant cela. C’était les yeux de quelqu’un qui pouvait prévoir ce qui leur arriverait à partir de maintenant, mais qui était toujours déterminé à passer par là. Même en sachant ce qui l’attendait, elle ne voulait pas causer d’ennuis aux villageois. Elle avait un sens de la justice incroyablement fort, c’était vraiment l’entêtement de la fille qui était destinée à devenir un « héros ».

« Je comprends. Dans ce cas, je vous donnerai une punition appropriée, » déclara Aur.

Aur avait sorti un poignard de sa poche et l’avait pressé contre la poitrine de Yunis. Alors qu’elle fermait les yeux, elle était prête à ressentir la douleur aiguë d’une lame qui s’enfonçait en elle. Mais au contraire, le poignard ne lui avait pas fait une seule blessure, et au lieu de cela, il avait couru le long de sa poitrine jusqu’à sa taille. En cours de route, les vêtements qu’elle portait avaient été coupés en deux.

C’était l’une des possibilités qu’elle avait prévues, et il s’agissait de l’un des développements qu’elle espérait ne pas voir se produire. Cependant, contrairement à ses attentes, celui qui s’était approché de son corps exposé n’était pas Aur, mais Lilu. Même pour Yunis qui était une femme, le sourire envoûtant de Lilu était captivant à voir alors qu’elle avait placé le bout de ses doigts délicats sur la poitrine de Yunis.

« Fuaa ! »

Après avoir fait entendre cette voix, Yunis elle-même était étonnée que le doux souffle vienne de sa propre bouche.

« Fufu, tu es si mignonne. Et aussi très sensible, non... ? » déclara Lilu.

« Nn, uu... »

Tsuu, Lilu avait commencé à faire glisser d’une manière affectueuse le bout de ses doigts vers le bas de la poitrine, vers le nombril. Bien qu’elle se soit préparée mentalement pour ne pas faire entendre cette fois sa voix, les picotements qu’elle commençait à ressentir, combinés aux frissons indescriptibles qui traversent sa colonne vertébrale, avaient fait que Yunis avait à nouveau laissé sortir sa voix.

L’endroit que Lilu touchait commençait déjà à s’échauffer et l’intérieur du corps de Yunis s’était mis à palpiter et à lui provoquer d’étranges sensations. Yunis était amenée à vivre un plaisir qu’elle n’avait jamais ressenti auparavant, alors que Lilu jouait sur son corps. Bien qu’elles soient du même sexe, la capacité d’une succube à séduire et à procurer du plaisir était énorme. Rien qu’en la touchant à peine, le corps de Yunis approchait progressivement de ses limites.

« Il est temps pour moi de toucher aussi à cet endroit spécial, non ? » déclara Lilu.

Tout à coup, Lilu avait fait bouger ses doigts vers l’entrejambe de Yunis.

« Fufu, n’es-tu pas déjà si mouillé ? » Lilu avait gloussé en lui murmurant ça en constatant l’état de Yunis.

Puis elle avait fait des bruits obscènes avec ses doigts sur la zone génitale de Yunis. *Kuchu Kuchu*. Des bruits de mouvements avaient été faits exprès et le visage de Yunis était devenu rouge de honte.

« Et si je fais ça, je me demande bien ce qui se passe ? » demanda Lilu d’une voix coquette.

« Hyaaaah !? »

Lilu avait placé son doigt et l’avait fait frotter contre la partie la plus sensible du corps de Yunis... et Yunis n’avait pas pu s’empêcher d’élever la voix avec force face à cette soudaine sensation.

« C’est une belle réaction que je vois là ! Bien que tu sois vierge, as-tu correctement appris à te toucher avant aujourd’hui ? » demanda Lilu.

« Ce genre de chose est... Fuaah ! » s’écria Yunis qui tenta de nier.

Avant que Yunis ne soit capable de répondre, Lilu avait pincé son clitoris, ce qui lui avait fait hausser à nouveau la voix.

« Qu’étais-tu en trainde dire ? Tu aimes le faire, j’en suis sûre. Bien sûr que si ! Regarde comme c’est devenu “gonflé” si rapidement, » déclara Lilu.

« Fuuu-Ahhhhhhhh ! N’y touchez pas comme ça ! A-Arrêtez, s’il vous plaît, je ne veux pas ! » cria Yunis.

L’un des côtés de son corps était chatouillé tandis que ses mamelons étaient léchés. Puis sa chatte avait été caressée alors que Lilu taquinait la zone. Lilu avait un contrôle complet du corps de Yunis, lisant les signes produits en réactions de ce qu’elle lui faisait alors qu’elle avait acculée Yunis en attaquant tous ses points faibles à la chaîne.

 

 

« Maintenant, il est temps, » déclara Lilu.

Conformément à ces paroles, Lilu étendit soudainement et avec force les jambes de Yunis tout en les écartant largement, ce qui lui donna un bon coup de fouet et lui rendit ses sens. Depuis un petit moment, il semblerait qu’elle avait perdu connaissance à cause du plaisir intense qu’elle ressentait.

Quand elle avait commencé à se souvenir de certaines bribes de ce qui s’était passé, elle avait réalisé que Lilu taquinait son corps depuis environ deux heures. Alors qu’elle avait été caressée si intensément, Yunis avait fait entendre sa voix encore et encore, tout en ayant supplié pour une libération de l’enfer infini du plaisir alors qu’elle pensait qu’elle était déjà sur le point de devenir folle.

Le lit était déjà trempé de sueur et de jus d’amour alors que des liquides tièdes coulaient et se rassemblaient en dessous d’elle telle une flaque d’eau. Le plus effrayant dans tout cela, c’était que la technique des doigts de Lilu n’avait pas permis à Yunis d’atteindre son apogée, même après avoir éprouvé des sensations tactiles aussi intenses.

Il était certain que si Lilu le voulait, elle aurait pu facilement faire jouir Yunis qui était très excitée d’un mouvement de doigt. Tout cela avait fortement influencé la condition physique actuelle de Yunis. Cependant, elle l’avait laissée à dessein sur le précipice de l’orgasme sans pouvoir encore expérimenter la libération alors qu’elle continuait à taquiner et tourmenter les points de plaisir de Yunis.

Dans tous les cas, n’étais-je pas enchaînée ? Comment a-t-elle pu écarter mes jambes ? Yunis avait eu de telles pensées et... comme elle était dans un état d’étourdissement, elle avait soudain senti quelque chose percé dans les profondeurs intérieures de son vagin. Elle avait senti la sensation aiguë de la douleur qui l’avait fait sortir de sa stupeur.

« Uu, Ahhhhhh !?? »

Quand elle tourna son regard vers le point douloureux, elle vit qu’Aur était déjà entre ses jambes, et sa zone la plus intime avait été percée avec férocité par la chose dure d’Aur.

La sensation de voir ses organes internes serrés à mains nues par quelqu’un s’était précipitée dans son cerveau alors qu’une douleur relativement intense avait inondé ses sens. Au même moment, elle avait ressenti un sentiment d’impuissance et de privation concernant le fait qu’elle venait de perdre sa pureté d’être une jeune fille vierge.

Bien qu’elle ne pensait pas que sa profession d’aventurière, qui l’obligeait à lutter contre les démons et les voleurs, lui permette de mener la vie amoureuse normale d’une jeune fille, elle rêvait souvent, comme toute autre fille, d’avoir sa première rencontre parfaite et au moins de partager son expérience initiale avec quelqu’un qu’elle considérait comme quelqu’un de spécial. Et en ce moment, ses rêves étaient piétinés par un homme qu’elle connaissait à peine. Sachant que c’était sa réalité, des larmes avaient commencé à couler sur ses joues.

Face aux pleurs de Yunis, Aur posa doucement sa main sur la tête d’Yunis. Alors qu’il avait fait cela, peu à peu, une sensation de chaleur avait commencé à se transmettre à travers sa main et la douleur avait rapidement disparu.

« C’est bon. Vous ne ressentez plus de douleur, n’est-ce pas ? » demanda Aur.

Yunis hocha la tête. En entendant une voix si douce murmurer à son oreille, le sentiment de perte dans son cœur commença à s’apaiser un peu à mesure qu’il diminuait. Dans son esprit, elle avait parfaitement compris que l’homme devant elle était celui qui l’avait privée de sa pureté et c’était celui qui l’avait salie. Cependant, cette partie de son raisonnement logique avait été perdue dans son cœur et elle commençait à sentir que l’homme devant elle apaisait ses blessures. Elle commençait à se sentir bien.

« Je vais commencer à bouger, » déclara Aur.

Lentement, Aur avait commencé à bouger ses hanches. Ses mouvements étaient en vérité très doux comme s’il s’inquiétait profondément pour Yunis. La douleur qu’elle ressentait continuait à s’adoucir chaque fois qu’Aur caressait la tête de Yunis, mais chaque fois que le pénis d’Aur perçait les parties les plus profondes de son ventre, son corps et son esprit commençaient à ressentir une certaine douleur.

« Gu,uuu... ! »

Yunis avait serré ses dents pendant qu’elle endurait désespérément tout cela. Il s’agissait d’une punition. C’était le châtiment naturel de quelqu’un qui avait commis un crime. Par conséquent, il était nécessaire que Yunis le supporte.

Cependant, cette punition avait été brusquement interrompue. Aur s’était arrêté de bouger et il regardait tranquillement le visage de Yunis. Yunis le surveillait aussi alors qu’une expression confuse était apparue sur son visage.

« Qu’est-ce qui ne va pas ? » demanda Aur.

Mais ce que Yunis voulait lui demander. « Pourquoi avez-vous soudainement arrêté vos mouvements ? »... Elle voulait lui demander, mais elle avait choisi de se taire. En pensant à demander une telle chose, je pense que j’ai dû devenir folle.

« S’il y a quelque chose que vous voulez me dire, vous vous sentirez beaucoup mieux si vous le laissez sortir, » cependant, Aur avait vu à travers elle alors qu’il lui chuchotait ça à l’oreille.

« Dire vos pensées à haute voix n’est pas un crime, » continua Aur. « Naturellement, le fait d’agir en fonction de vos désirs, pourquoi serait-ce un crime ? Il n’est pas nécessaire d’endurer quoi que ce soit, il suffit d’accepter les choses telles qu’elles sont. N’est-ce pas la “bonne chose à faire” ? »

Alors qu’elle était taquinée, tout en étant surprise par la tournure des événements, elle avait été constamment assaillie par des changements quant à la manière dont on la traitait ce qui la rendait délirante de fièvre, car sa capacité à raisonner était lentement volée par ses doux murmures, ce qui la faisait entrer dans un état de transe. L’intervalle de temps où elle pouvait rester saine d’esprit devenait de moins en moins long et les paroles d’Aur continuaient à gagner en présence à mesure que ses suggestions s’infiltraient dans les profondeurs de son esprit.

« ... Faites-le..., » murmura Yunis.

« Qu’est-ce que vous voulez ? »

Yunis avait inconsciemment murmuré quelque chose, Aur s’approcha d’elle et lui posa cette question à voix basse.

« Faites-le... Encore pluussss... ! » Enfin, Yunis avait demandé cela en quelque chose ressemblant à un cri sur la fin.

« Cela ? » demanda Aur.

« Ouais ! Ça ! C’est tellement bon ! » déclara Yunis.

Lorsqu’il l’avait après ça profondément transpercée, Yunis avait laissé sortir une voix séduisante en accueillant avec extase cette sensation. Son corps était toujours attaché et pouvait à peine bouger, mais elle avait commencé à bouger ses hanches autant qu’elle le pouvait pour qu’elle puisse ressentir plus de plaisir, même si cela n’était qu’une faible quantité en plus.

« Gentille fille. Yunis, vous êtes vraiment la meilleure..., » déclara Aur.

« Nnn, Haaaa, Ahn, ça fait du bien..., » Yunis avait gémi.

L’expression de Yunis était déjà fondue dans le plaisir, car la lumière de raison n’était plus discernable dans ses yeux. Il ne restait plus que son désir d’avoir plus de plaisir et d’accepter tout ce que lui faisait Aur. Tout en continuant à s’enfoncer profondément à l’intérieur d’elle, Aur avait desserré une partie des liens qui la retenaient.

Lorsque cela avait été fini, Yunis s’était instantanément accrochée au cou d’Aur avec ses bras, et elle avait commencé à bouger ses hanches avec intensité tout en s’accrochant fermement à lui.

« Ahhhh, incroyable, fantastique ! Plusss, s’il vous plaît ! Faites-le plus fort ! » demanda Yunis.

Pendant qu’il enlaçait Yunis, Aur bougeait sa taille en cercle. En même temps qu’il faisait ça, il avait pincé le clitoris qui était complètement trempé par le jus de l’amour et avait tiré dessus.

« Ahhhhhhhhhh ! Ça, ça fait du bien, c’est tellement bon ! Je... Je jou... jouisssss ! » à ce moment-là, la voix de Yunis avait grimpé d’une octave.

« C’est ça, lâchez-vous ! Jouissez autant que vous le voulez... ! », déclara Aur.

« Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh !! » cria Yunis dans sa jouissance.

Le corps de Yunis se plia vers l’arrière alors que son corps tremblait et vibrait de plaisir. Peu de temps après ça, Aur avait libéré ses fluides laiteux au fond d’elle.

« “Héros, luisant comme une étoile brillante”, » murmura Aur.

Aur avait implanté une phase-clé dans son esprit et il l’avait chuchotée à ses oreilles pendant le pic de plaisir. À ce moment-là, instantanément l’expression sur son visage avait disparu et ses pupilles avaient également perdu leur foyer.

« ... D’accord ! Les suggestions post-hypnotiques semblent aussi être très efficaces, » déclara Aur.

Aur avait confirmé son état de transe en examinant ses pupilles et en touchant son corps.

« Tu fais cela depuis un petit moment, mais que fais-tu exactement ? Est-ce une sorte de système de lavage de cerveau utilisant la magie ? »

Aur était toujours bloqué avec Yunis qui l’étreignait alors que Lilu lui avait posé une question comme si elle avait beaucoup de temps libre.

« Non, ce n’est rien de complexe, c’est juste une suggestion hypnotique, » déclara Aur. « Elle fait l’expérience d’un conditionnement où son corps perd sa pensée consciente. C’est ce qu’on appelle l’état de transe hypnotique. Tu as également été capable de la placer dans cet état corporel en utilisant ta magie et tes talents pour les caresses. Ce que j’ai implanté en elle après était une suggestion hypnotique qui lui permettra de retomber dans cette transe comme elle est maintenant en un instant. »

« Bien qu’elle soit éveillée... Elle est dans une sorte d’état de rêverie, c’est ce que tu veux dire ? » demanda Lilu.

« Non, en fait, c’est tout le contraire, » répondit Aur. « Quand tu as un rêve, bien que tu dormes, tu es toujours conscient. Lorsque tu entres dans un état hypnotique, tu n’es pas du tout conscient. Par conséquent, la capacité de porter des jugements et de raisonnement logique devient presque nulle. Dans une telle condition, les idées que j’implante en elle seront acceptées avec beaucoup d’obéissance et s’enfonceront dans sa subconscience comme faisant partie d’une suggestion hypnotique. Il est également possible d’influencer certaines actions qu’elle prendra inconsciemment. Bien que ce soit la première fois qu’elle ait eu des rapports sexuels, ajoutant au fait qu’elle a été violée avec force, elle est tombée dans un état de confusion et de plaisir. Tout cela grâce à la suggestion que je lui ai implantée il y a quelques instants. »

Après avoir entendu l’explication d’Aur, Lilu regarda le visage de Yunis avec beaucoup d’intérêt. Bien que ses yeux soient ouverts et qu’il semblait qu’elle était éveillée, elle ne semblait pas consciente du fait que Lilu était juste devant elle.

« Es-tu en train de me dire que si tu lui disais de te “servir pour toujours”, elle deviendrait ton esclave ? » demanda Lilu.

Aur avait secoué la tête en désaccord avec les questions de Lilu. « Non, l’hypnotisme n’est pas quelque chose d’aussi polyvalent... Ou plutôt, les choses que tu peux faire avec elle sont assez limitées. Tu ne peux pas vraiment forcer quelqu’un à faire quelque chose qu’il déteste, et tu ne peux pas non plus lui faire une suggestion comme celle-là, car cela l’amènera à rejeter l’idée et à annuler les effets. C’est précisément la raison pour laquelle j’ai choisi d’utiliser l’hypnose contre elle qui est née sous l’Étoile du Héros. Si elle était forcée par magie de me servir, cela serait certainement rejeté par tout son être et cela ferait échouer ma magie. C’est parce que quiconque tente d’obstruer le chemin d’un héros sera voué à l’échec. »

« ... L’utilisation de cette méthode ne compte pas comme une obstruction ? » demanda Lilu.

Lilu avait désigné les dispositifs de retenue tels que les chaînes et c’est ce dont elle parlait à Aur.

« Bien sûr que ça compte comme une obstruction. Par conséquent, si nous continuons à employer la même méthode de restriction, tôt ou tard par une sorte de force de la nature, elle sera capable de se libérer, » répondit Aur.

Une petite flamme était apparue grâce à la magie d’Aur qui l’avait fait scintiller et clignoter devant les yeux de Yunis. Juste en répétant le clignotement d’une simple lumière, l’état hypnotique qui commençait à disparaître avait commencé à s’intensifier encore plus.

« Maintenant Yunis, il est temps pour vous d’étudier. Quel genre de personne pensez-vous que soit une personne gentille ? »

« Une personne gentille est... une bonne personne..., » Yunis avait répondu à sa question sans aucun changement dans l’intonation de sa voix.

« Qu’en est-il d’une personne qui guérit les blessures d’autres personnes ? » demanda Aur.

« Une personne qui guérit les blessures des autres... Est une bonne personne..., » répondit Yunis.

« N’oubliez pas ce fait dans votre esprit. Vous avez si bien répondu, » déclara Aur.

Avant d’avoir des rapports sexuels avec Yunis, c’était la suggestion hypnotique qu’il avait implantée en elle et elle était maintenant consolidée dans sa subconscience.

« J’y pense depuis un certain temps, mais la suggestion que tu as implantée n’est-elle pas quelque chose qui est clairement évident pour tout le monde ? » demanda Lilu.

Aur acquiesce face à la question de Lilu. « C’est exact. Parce que c’est une chose naturelle, elle y croira naturellement et facilement. Il est très difficile de lui faire accepter quelque chose qui n’est ni logique ni naturel. L’avantage de lui faire croire en quelque chose de simple est que quelque chose qu’elle a accepté dans les profondeurs de son cœur sera inscrit dans son esprit sans condition. Même si la personne devant toi est l’homme qui te viole, s’il agit en étant un peu “gentil”, son inconscient pensera que l’homme est une “bonne” personne. »

Il avait alors continué à parler. « Cette suggestion a été intégrée avec succès dans son subconscient, c’est la raison principale pour laquelle Yunis a pu se perdre dans le plaisir avec moi... »

« Puis chaque fois que tu lui feras cette allusion, l’instant où tu agissais “gentiment” avec elle pendant un seul instant, elle sera prête à tout pour être avec toi ? » demanda Lilu.

Une fois de plus, Aur avait secoué la tête. « Non. Ce n’est pas si simple. La raison pour laquelle ça a si bien marché cette fois-ci, c’est qu’elle a perdu sa capacité de raisonner à cause de tes caresses si intenses. Si elle était complètement calme et maître d’elle-même, elle se serait rendu compte avec le temps qu’elle agissait bizarrement. Bien que sa bonne impression de moi ne changerait pas, son esprit logique me considérerait comme son ennemi. Eh bien, il vaut mieux utiliser ce genre de méthode avec discrétion. »

Avant qu’Aur ne frappe des mains pour briser la transe, Aur avait murmuré à l’oreille de Yunis afin de la nourrir avec des suggestions supplémentaires.

***

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2 commentaires :

  1. amateur_d_aeroplanes

    Méthode d’endoctrinement utilisé certains gourous…

  2. Merci pour le chapitre

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