Maou Gakuen no Hangyakusha – Tome 1 – Chapitre 5 – Partie 2

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Chapitre 5 : Shopping pour la première fois

Partie 2

Nous étions arrivés tous les quatre au centre commercial qui était notre destination. On se dirigeait vers un magasin spécialisé dans les maillots de bain.

Lizel-senpai se dirigeait droit vers la destination sans faire aucun détour. Reina regardait autour d’elle comme un petit animal tout en admirant « Waaaa » devant chaque magasin ou établissement.

Quant à Miyabi, elle nous parlait de tous les magasins qui se trouvaient à côté de nous.

« Ah, ce restaurant de pâtes a l’air délicieux ! »

« Hee, un dessert original qui fait la fierté de ce pâtissier ! »

Cependant, la proportion de ses commentaires penchait fortement vers la nourriture. Eh bien, elle n’avait fait que des commentaires sur le menu féminin.

« Oo, un magasin de tonkatsu. Le tonkatsu [1], ça a l’air bon… »

Laissez-moi me corriger. Peu importe qu’il s’agisse d’un restaurant féminin ou d’un restaurant de gros mangeurs, c’était la même chose pour elle. Finalement, même Lizel-senpai s’arrêta de marcher et se retourna.

« Maintenant, regarde Miyabi. Réfléchis bien, s’il te plaît. Qu’allons-nous faire après ça ? » demanda Lizel-senpai.

« Acheter un maillot de bain, » répondit Miyabi.

« Naturellement, nous allons les essayer, n’est-ce pas ? Je pense à demander l’avis de Yuuto, » déclara Lizel-senpai.

« ─ Ah !! » Miyabi avait immédiatement pressé son estomac. « Je-Je vois… Je n’y ai pas pensé. »

« Le courage d’exposer ton estomac gonflé d’avoir trop mangé… Je n’ai pas ce courage, mais Miyabi, si tu es d’accord avec ça, tu peux déjeuner d’abord. Mais n’oublie pas de ne pas t’arrêter avant d’être rassasiée, » déclara Lizel-senpai.

« Je le ferai plus tard ! Je vais l’endurer ! » déclara Miyabi.

Lizel-senpai acquiesça de satisfaction et recommença à marcher.

Soudain, je remarquais quelque chose. Les autres clients n’arrêtaient pas de nous jeter un coup d’œil. Il y en avait même certains qui nous fixaient sans honte.

Que se passait-il exactement ? Mais quand j’avais essayé d’y réfléchir attentivement, j’avais pris conscience que ces trois-là attiraient aussi l’attention dans l’académie. La raison était la même. Même si ces gens ne savaient pas que ces trois-là étaient de nobles démons, ils étaient toujours captivés par leur beauté.

Que ce soit Lizel-senpai, ou Miyabi, ou Reina, c’était de belles filles qui feraient que le regard de n’importe qui serait fixé sur elles si vous les rencontriez normalement dans la rue. Après l’avoir réalisée, ce n’était pas du tout étrange qu’une telle chose se produise.

Mais maintenant, j’avais perdu mon sang-froid. Ces gens devaient se demander qui était l’homme qui s’était mêlé à ce groupe de beautés…

J’avais fait disparaître ce sentiment et j’avais parlé à Lizel-senpai qui marchait en diagonale devant moi.

« Tout est prêt pour le camp d’entraînement ? » demandai-je.

« En général, nous ajusterons les détails plus tard. Après tout, notre destination changera en fonction de ta croissance, Yuuto, » répondit Lizel-senpai.

« Eh, vraiment ? » demandai-je.

« Hee, alors je veux aller à Hawaii ! Waiiha !! » Miyabi s’était approchée de moi avec des yeux pétillants en demandant ça.

« Même si tu me demandes cela… Je ne sais pas du tout quelle est la condition pour changer de destination, » déclarai-je.

« Ha, hawahawawa, Hawaii… Re-Reina… n’a pas d’argent pour cela, desu, desu…, » Reina tremblait de peur.

« C’est bon. Je paierai les frais de voyage où que nous allions, » annonça Lizel-senpai.

Reina soupira de soulagement en entendant les paroles de Lizel-senpai, mais elle fronça immédiatement les sourcils d’un regard troublé.

« Mais ce n’est pas bon, » déclara Reina.

« Ne fais pas attention à ça. Toi aussi, Yuuto, » déclara Lizel-senpai.

« Oui… je suis quand même désolé, » répondis-je.

Malgré tout, Reina aussi devrait être une noble, mais… sa famille n’avait-elle aucune marge de manœuvre financière ? J’étais un peu inquiet, mais c’était aussi impoli de poser des questions sur la situation financière de la famille d’autres personnes.

« Ah, on est arrivé, » déclara Lizel-senpai.

Quand nous étions arrivés à destination, j’avais suivi Lizel-senpai et j’étais entré dans l’échoppe.

« Uwa... »

L’intérieur du magasin débordait de maillots de bain pour femme. L’intérieur de la boutique était propre et peint en blanc avec des maillots de bain colorés en exposition. Ça m’avait fait penser à une confiserie pour une raison quelconque.

Cependant, je ne pouvais pas supporter de marcher à l’intérieur avec des maillots de bain féminins qui m’entouraient comme ça.

« Euh, alors j’irai dans la section des hommes…, » déclarai-je.

J’avais essayé de changer de direction, mais Lizel-senpai avait immédiatement saisi mon bras. Mon bras était enveloppé d’une douceur indescriptible. Les seins joliment formés qui étaient couverts par les vêtements ordinaires de Lizel-senpai changeaient doucement de forme à cause de la forme de mon bras. Cette vue était étrangement obscène.

« Ne pars pas. Viens avec nous, » déclara Lizel-senpai.

« Non, mais… un homme qui reste dans un endroit qui vend des maillots de bain féminins se sent en quelque sorte comme un criminel…, » déclarai-je.

« Qu’est-ce que tu veux dire ? Comment ça peut être un crime pour un roi de décider de la tenue de son serviteur ? » demanda Lizel-senpai.

« Mais je ne suis toujours pas devenu roi… attends, hein ? Décider ? » J’avais demandé cela en raison de la surprise.

Puis cette fois, Miyabi m’avait serré dans ses bras.

Le volume avait même dépassé celui de Lizel-senpai. Une pression écrasante avait été exercée sur mon bras. Mon bras était complètement pris en sandwich au milieu de son décolleté.

« J’ai même retardé mon déjeuner pour venir ici, alors Yuuto choisira le maillot de bain pour moi quoiqu’il arrive ! Décide-le avec un “wham” ! » déclara Miyabi.

« Depuis quand une telle responsabilité m’est-elle imposée !? » demandai-je.

Je sentais la sensation des deux paires de seins, à droite et à gauche pendant qu’on me forçait à marcher. Et puis cela avait commencé, le temps du shopping qui était comme le paradis ou comme une torture.

J’attendais devant trois loges qui se tenaient côte à côte.

Je ne pouvais m’empêcher de me sentir inquiété par les regards des autres clients et du personnel.

« Hé, Yuuto, » déclara Miyabi.

La porte d’une des loges s’était ouverte et Miyabi m’avait fait signe.

« Hm ? Qu’est-ce que c’est ─ !? » m’écriai-je.

Mon poignet avait été saisi et j’avais été entraîné dans la loge en un clin d’œil. Et puis la porte s’était fermée.

« O-oi ─. »

Qu’est-ce que tu fais ? Je voulais demander, mais Miyabi avait posé son index sur ma bouche pour me dire de me taire.

La loge était étonnamment spacieuse. Il y avait de la place pour près de quatre tatamis et demi ici. Cette pièce n’était pas une pièce de fortune avec seulement un rideau qui la séparait de l’extérieur, mais une vraie pièce.

« Senpai et Reina sont dans les pièces à côté de la nôtre, donc “shhhhh”, OK ♪, » déclara Miyabi.

« Pourquoi m’entraînes-tu ─ ? » commençai-je.

Inconsciemment, j’avais dégluti en voyant l’apparence de Miyabi.

« Hehe... Qu’en penses-tu ? » demanda Miyabi.

C’était un bikini rose voyant. Plus de la moitié de ses seins avaient été exposés. La plus grande partie de son abdomen était également visible.

« Mais l’argument décisif, c’est le dos, » déclara Miyabi.

Miyabi avait tournoyé et m’avait montré ses fesses.

« Oh !? » Le taux d’exposition était si incroyable que j’avais fait un bruit étrange par réflexes. Les fesses de Miyabi qui possédaient à la fois douceur et volupté étaient pratiquement nues.

« Ils appellent ça le bikini brésilien. Mes jambes ont l’air longues et serrées, et mes fesses aussi. Les miennes sont longues et lisses, donc elles sont vraiment jolies comme ça, tu sais, » elle avait dit ça en pliant légèrement le haut de son corps et en poussant ses fesses vers moi.

Certes, sa peau était belle sans une seule tache. Et puis cette volupté écrasante… malgré tout, ce bikini n’était-il pas trop exposé ? C’était presque la même chose que d’être nu.

Quand il s’agissait de son haut du corps, le micro bikini d’avant c’était encore mieux. Cependant, la partie inférieure de son corps était encore plus stimulante et dangereuse.

Tout d’abord, ce ne serait pas comme entrer dans la salle de bains du palais.

« Je vais demander au cas où, mais, tu vas porter ça pour aller à la plage… dans un endroit où d’autres personnes peuvent voir ? » demandai-je.

« Ouaip. C’est vrai, » répondit Miyabi.

« Hmmmmmm…, » inconsciemment, j’avais croisé les bras et gémi.

« Hein ? Ce maillot de bain n’est-il pas si bon que ça ? » demanda Miyabi.

« Non… c’est bien, mais je suis un peu réticent à l’idée que beaucoup d’autres personnes puissent voir ça aussi, » répondis-je.

« Tu veux dire… que tu ne veux pas que je montre ça à d’autres personnes que toi, Yuuto ? » demanda Miyabi.

Miyabi s’était tournée vers moi et s’était approchée près de moi.

« Eh bien, oui… Je pense. Ce n’est pas cool de ma part, c’est comme si j’exposais mon désir de te monopoliser. Genre, mon opinion ne devrait pas vraiment compter pour toi, n’est-ce pas ? Si tu as été offensée par mon opinion ─ , » déclarai-je.

Miyabi s’approcha de moi en silence. Le bout de ses seins enveloppés dans le maillot de bain avait touché ma poitrine.

« Non. Tu ne m’offenses pas… Je pense que… Ou plutôt —, » déclara Miyabi.

Les joues de Miyabi rougissaient intensément.

« … Je suis contente de t’entendre dire ça, tu sais ? » déclara Miyabi.

Miyabi s’était rapprochée encore plus de mon visage. J’avais reculé comme si j’avais été envoyé voler par ses seins. Mon dos avait heurté le mur, mais Miyabi n’arrêtait pas de presser ses seins sur moi.

« C’est pourquoi, si Yuuto veut le voir, alors je porterai tout ce que tu veux… si tu ne l’aimes pas, je ne montrerai rien aux autres, » déclara Miyabi.

« Mi-Miyyabi…, » déclarai-je.

« Mon maillot de bain… tu en penses quoi ? » demanda Miyabi.

« Ouais… Je pense que c’est très bien, » répondis-je.

« Comme je le pensais. Est-ce à cause des fesses ? » demanda Miyabi.

« Je-Je suppose, » répondis-je.

Miyabi sourit joyeusement et se sépara de moi. J’avais soupiré de soulagement. Mais cela n’avait duré que peu de temps, puis elle s’était tournée vers moi et elle s’était approchée une fois de plus. Et puis elle avait appuyé ses fesses sur mon entrejambe.

« A-Attends ! Cet endroit, cet endroit n’est pas bon ! » déclarai-je.

« Eee ~, pourquoi ? Tu aimes mes fesses, hein ? Hé, je réapprovisionne ton mana secrètement ici, d’accord ♥ , » déclara Miyabi.

« Ici !? » demandai-je.

Le sourire de Miyabi devint encore plus espiègle en me voyant paniquer. Son visage ressemblait exactement à celui d’une diablesse. C’était vraiment une expression obscène.

« Alors… me voilà, » déclara Miyabi.

Elle s’était penchée vers l’avant et avait poussé ses fesses vers l’arrière. Son cul était mou quand il m’avait frappé, mais la pression était intense. Elle tournait ses grosses fesses pour dessiner un cercle. Ce mouvement de taille que je regardais d’en haut était incroyablement obscène.

Non, le plus important, c’est que cette situation serait tout un problème si on la voyait de l’extérieur !! Comment le dire, on aurait dit qu’on le faisait !

« J’ai compris, Miyabi ! Alors, arrête de faire ça ! Si quelqu’un d’autre nous voyait faire ça ─ , » déclarai-je.

*Clic* la porte s’était ouverte.

« … !? »

Lizel-senpai portant un bikini noir nous fusillait du regard stoïquement de cette façon.

Le maillot de bain de Lizel-senpai était aussi très sexy, et cela m’avait donné des frissons dans le dos. Le maillot de bain noir donnait un très bon contraste avec sa peau d’un blanc pur. Il avait une sexualité envoûtante qui était étrangement captivante ─ non ! Ce n’était pas le moment !!

« Li — !? Lizel-senpai… C’est… ? » m’écriai-je.

« Bon sang… Je ne dois pas du tout baisser ma garde, » déclara Lizel-senpai.

Elle était entrée dans la loge en émettant une aura très mécontente. Comme je m’y attendais, même Miyabi m’avait lâché et avait ri vers moi comme pour oublier ce qui venait de se passer.

« Miyabi, arrête de t’exciter sans te soucier de l’endroit où tu es, » déclara Lizel-senpai.

Excitée !? Un mot incroyable était soudain sorti…

« L’acte de guérison des amoureux est quelque chose qui est une préoccupation que nous, les cartes des amoureux, avons. Mais il ne faut pas oublier que c’est un rite basé sur une relation de confiance. Tu recevras un malentendu inutile si tu n’agis pas avec un peu plus de sens et de dignité, » déclara Lizel-senpai.

Le visage de Miyabi s’était légèrement renfrogné et elle m’avait serré dans ses bras.

« Ce n’est pas comme si j’avais ce genre d’intention. Je deviens juste honnête avec mes propres sentiments. Senpai, ne veux-tu pas faire ce genre de choses correctement ? Alors c’est bon même si tu ne le fais pas. Mais je veux le faire pour qu’il n’y ait pas de problème, » déclara Miyabi.

« Quoi… !? » s’écria Lizel-senpai.

Lizel-senpai se raidit avec une expression de surprise et sa bouche s’ouvrit en grand. Cependant, elle s’était immédiatement approchée de moi et avait serré mon autre bras dans ses bras.

« Quand ai-je dit que je ne voulais pas le faire ? Miyabi, comprends-tu à quel point je me suis retenue ? » demanda Lizel-senpai.

« Il n’y a aucune chance que je sache quoi que ce soit à ce sujet ! » déclara Miyabi.

« Toutes les deux… calmez-vous ─ , » déclarai-je.

Cependant, les deux filles n’avaient pas voulu écouter mes paroles. Moi-même, j’étais étreint des deux côtés par deux corps extrêmement étonnants, donc ma tête ne fonctionnait pas vraiment bien.

« Je donne la priorité à la victoire de Yuuto dans la guerre du Roi-Démon. Pour cela, je me retiens de faire diverses choses ! Et pourtant, pourquoi Miyabi fait-elle ce qu’elle veut comme ça !? » demanda Lizel-senpai.

« Même moi, je pense sérieusement comment faire gagner Yuuto ! Mais il m’est aussi impossible de mentir quant à mes propres sentiments ! » déclara Miyabi.

« Yuuto se bat pour le bien de notre avenir et pour le bien du monde, tu sais ? Et si tu apprenais à te retenir un peu ? » demanda Lizel-senpai.

« De toute façon, Senpai n’est pas intéressée par les choses obscènes, donc ce n’est pas vraiment un problème !! » déclara Miyabi.

Lizel-senpai s’était mordu les lèvres. Et puis c’était comme si les choses qu’elle retenait s’étaient transformées en cris.

« Les choses obscènes ! … Bien sûr que je veux aussi les faire ! » Lizel-senpai haleta et devint raide.

Il semblait que Senpai elle-même était surprise par les mots qui, par inadvertance, sortaient de sa bouche. Elle baissa lentement le regard dans l’embarras. Ses oreilles, qui sortaient de ses longs cheveux noirs, étaient d’un rouge vif.

Le bout de ses doigts bougeait frénétiquement, peut-être pour cacher son embarras ou parce qu’elle perdait son sang-froid. De toute façon, ils me frottaient le bras alors c’était chatouilleux.

Miyabi avait aussi l’air choquée et elle regardait les cheveux de Senpai qui descendait de sa tête.

Que faire face à cette gêne qui remplissait la loge ?

« E-Euh… »

J’avais eu des sueurs froides et je n’avais trouvé aucun moyen de résoudre ce problème. C’est alors que la porte s’ouvrit vigoureusement.

« Se battre, c’est, se battre, c’est non non ! » s’écria Reina.

Reina qui portait un maillot de bain de course blanc s’était précipitée dans la salle.

« Tout le monde, tout le monde, entendez-vous bien !! » déclara Reina.

Elle suppliait avec des larmes qui se rassemblait dans ses yeux pendant que son corps tremblait.

« Ah… »

« … »

Lizel-senpai et Miyabi avaient détourné leur regard maladroitement avant de lâcher mes bras.

« Alors… au moins, décide ce qui est mieux, mon maillot de bain ou celui de Senpai, » déclara Miyabi.

Et maintenant, que fais-tu avec ça !? Merde, bon sang, Miyabi. Faire une demande déraisonnable comme celle-ci.

Après avoir hésité un peu, j’avais marché droit devant et attrapé le poignet mince de Reina. Puis j’avais levé son bras comme si c’était une victorieuse de boxe.

« C’est la victoire de Reina, » déclarai-je.

« Hein ? » Reina inclina la tête avec un visage étonné.

 

 

« Eh bien… je suppose qu’on ne peut pas l’en empêcher, » déclara Lizel-senpai.

« C’est inévitable…, » répondit Miyabi.

La championne était tout agitée devant le duo au regard renfrogné.

« Le maillot de bain de Reina est-il si bon que ça ? » demanda Reina.

Elle n’avait pas compris la situation.

Cependant. Le maillot de bain de course mince faisait que les détails du corps immature de Reina se démarquaient clairement. C’était aussi un fait… pour parler franchement, le maillot de bain semblait transparent. Il dégageait une séduction très immorale.

Pour parler franchement, cela avait une odeur criminelle.

Comme la forme de la pointe des petits bourrelets de ses seins, ou la dépression de son nombril, ou la zone en dessous…

J’avais juré dans mon cœur de lui apprendre plus tard l’existence de certains objets.

Notes

  • 1 Tonkatsu = escalope de porc en pain

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