Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 5 – Histoire courte – Partie 8

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Histoire courte – La Route de Marie, troisième étape

Partie 8

À l’intérieur d’une pièce du palais.

Olivia et le marquis Frampton se trouvaient à l’intérieur de la salle, sans personne d’autre.

Le marquis Frampton était un homme au nez crochu qui avait l’air plus âgé que son âge réel.

Cet homme était agacé.

Olivia poussa un soupir exagéré en le voyant comme ça.

« — Vous êtes inopinément inutile. »

Le marquis Frampton s’était enflammé en entendant cela.

L’un d’eux était un adulte, l’autre une jeune fille.

Mais, il y avait quelque chose entre les deux individus qui rendaient la différence d’âge imperceptible.

« Ne faites pas l’idiote ! Je viens de perdre l’une de mes pièces ! »

Le marquis Frampton, furieux, avait frappé le verre sur la table.

Sa main s’était couverte de sang, mais il n’y avait pas prêté attention.

« Ils n’ont pas pu tuer une petite fille isolée et ils ont même laissé les hommes emprisonnés s’enfuir — vous agissez de manière très importante pour quelqu’un qui ne possède qu’un morceau de ce niveau. — Je suis impressionné. »

« Mais avec cela, la faction opposée et les nobles qui ont un peu de bon sens jusqu’à présent sont partis. Après tout, Vince n’a plus de nobles sur lesquels il peut compter et cette nuisance qu’est Attlee a maintenant disparu du palais. »

Olivia — se joignait au marquis Frampton.

Il était l’opposition de la maison Redgrave — la famille d’Anjelica. Il était l’homme qui dirigeait la deuxième plus grande faction du royaume.

Son ambition était forte et il se considérait comme une personne intelligente.

Cet homme se considère-t-il comme un sage, même s’il n’a qu’un peu de ruse ? Eh bien, il n’y aura pas de problème tant qu’il continuera à danser dans la paume de ma main.

Le marquis Frampton avait regardé le bracelet brillant au bras d’Olivia.

« Plus important encore, vous êtes vraiment la Sainte, n’est-ce pas ? »

« Oh ? J’aurais dû vous montrer la preuve. »

« Comment puis-je vous faire confiance avec ce seul bracelet ? — Allez tout de suite au sanctuaire et montrez-moi que vous pouvez utiliser le bâton de la Sainte. Si vous faites cela, même moi — . »

Il devait être anxieux après avoir perdu une de ses pièces.

Olivia leva sa main gauche et remplit l’intérieur de la pièce avec la lumière blanche émise par le bracelet.

Le marquis Frampton perdit la vue et gémit.

« Idiote ! Ne faites pas une lumière aussi vive si soudainement ! — Ça m’a fait mal aux yeux. »

« Regardez votre main. »

« Quoi ? »

Sa main qui était blessée à plusieurs endroits jusqu’à présent n’était plus que salie par le sang.

Lorsqu’il s’était essuyé la main, les blessures avaient été proprement refermées.

« — C’est donc la magie de la Sainte. »

Elle avait guéri ses blessures instantanément et sans aucune douleur.

Rien qu’avec cela, le marquis Frampton était convaincu qu’Olivia était la sainte.

Bien que le bracelet de la sainte soit aussi une des raisons pour lesquelles il l’avait crue.

Dans le pire des cas, il tromperait la sainte et utiliserait tout ce qu’elle valait.

Si la Maison Redgrave devient le bailleur de fonds de Julian, vous perdrez votre poste. Vous n’avez pas d’autre choix que de compter sur moi.

Le litige existera toujours dans le palais, quelle que soit l’époque.

Olivia n’avait fait que rire de cela.

Même ainsi, c’est préoccupant. Les simples soldats que le marquis Frampton a rassemblés ont été vaincus aussi facilement — y a-t-il un ennemi qui soit conscient de notre mouvement ?

Les étudiants masculins emprisonnés s’étaient échappés du donjon.

Mais des rumeurs « Ils se sont déjà suicidés » ou « Ils ont été éliminés » circulaient.

C’était la même chose avec Clarisse.

Une rumeur selon laquelle son carrosse aurait été attaqué par des bandits et qu’elle serait morte circulait.

Et ce, même s’il n’y avait aucune preuve à ce sujet.

Il y avait aussi beaucoup de nobles qui interprétaient la rumeur à leur convenance.

Ils pensaient que les étudiants et Clarisse avaient sûrement été éliminés par quelqu’un avant qu’ils ne deviennent un problème.

Mais, il y avait une raison pour laquelle ils ne pouvaient pas être autorisés à rester en liberté — c’était parce que le marquis Frampton était le coupable qui avait incité les garçons.

Il leur avait parlé, leur disant qu’Olivia était une sorcière, qu’elle visait à renverser le royaume.

Il leur avait dit — qu’elle séduisait Julian et les autres garçons, que le royaume était en danger.

Celui qui leur disait ces choses était un marquis, un pilier du pays.

Les disciples de Clarisse pensaient que leur maîtresse allait aussi rencontrer le danger, alors ils avaient agi.

Les humains peuvent être facilement trompés, quelle que soit l’époque. — La vérité sera toujours déformée. C’était aussi comme ça à l’époque.

Olivia était passée au sujet suivant.

« Marquis Frampton. »

« Qu’est-ce qu’il y a ? »

« C’est une erreur de calcul que Clarisse et ses disciples aient réussie à s’échapper, mais même s’ils réapparaissent plus tard, nous pourrons écraser leur témoignage. Au lieu de cela, la principauté est plus importante en ce moment. Comment cela se passe-t-il à cet égard ? »

Le marquis Frampton avait continué à regarder sa main guérie tout en parlant de cette affaire avec irritation.

« Ces lâches de la principauté, ils ont eu la frousse. Ils m’ont dit d’attendre encore un peu avant d’attaquer. »

Olivia avait légèrement levé le sourcil devant cette réponse.

« — Quelle est la signification de ceci ? N’est-ce pas vous qui avez dit que si c’est eux, ils viendront volontiers attaquer ? »

L’aura indescriptible qu’émettait Olivia faisait tourner les yeux du marquis Frampton.

« Non, ils — . »

« Peu importe votre excuse. Faites en sorte que la principauté attaque le royaume. Grâce à cela, vous pourrez les traiter avec votre ennemi politique. »

L’ennemi politique du marquis Frampton — c’était le duc Redgrave.

La faction du duc qui s’était rassemblée autour de Julian comme bannière perdait actuellement beaucoup de force.

S’ils étaient poussés afin qu’ils soient encore plus épuisés après une guerre, alors le marquis Frampton n’aurait plus d’ennemis face à lui.

« Je dois juste faire en sorte que la principauté bouge bien ? »

« C’est exact. N’oubliez pas de provoquer également une agitation à l’intérieur du pays. Alors, c’est votre faction qui s’en occupera. »

Le plan d’Olivia était de provoquer une agitation dans le pays et ensuite le marquis Frampton supprimerait cette agitation.

La principauté se déplacerait à ce moment-là. Il faudrait que ce soit le duc Redgrave qui les affronte à la place du marquis Frampton, ce qui épuiserait encore plus ses forces.

« — Allumons un feu sous les fesses de ces principautés. »

« Je vous le laisse. — Maintenant, ce sera amusant à partir de maintenant. »

Olivia avait ri.

Je vais coincer ce pays jusqu’à son effondrement. Après tout, il est impossible pour vous tous qui avez volé le pays de Liia de régner sur cette terre pour toujours.

 

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Dans la principauté, à la même période.

« Onee-sama, s’il te plaît, écoute-moi ! »

Hertrauda et Hertrude se promenaient à toute allure dans le couloir du palais.

Hertrauda poursuivait Hertrude qui marchait devant.

Hertrauda suppliait désespérément sa grande sœur Hertrude.

« Il y a trop de choses que nous ne savons pas. La principauté — . »

« — Rauda, je ne veux pas écouter ton histoire. Je n’ai jamais entendu dire que la principauté ait commis un acte de barbarie envers le royaume dans le passé. »

« Onee-sama, s’il te plaît, écoute-moi. Je t’en prie. À ce rythme, nous allons vraiment commettre une erreur qui ne pourra pas être réparée ! »

Récemment, le recrutement de soldats avait été encore plus intense dans la principauté, avec au centre la faction proguerre.

C’était pour attaquer le royaume.

Quand Hertrude se mettait à marcher, Hertrauda la poursuivait.

« Une seule fois, c’est bien. Onee-sama, écoute ce que j’ai à dire juste une fois — . »

« Je suis déjà fatiguée de t’écouter. »

« — Onee-sama. »

Hertrauda s’était arrêtée de marcher et avait déplacé son regard vers le bas. Hertrude avait également cessé de marcher.

Hertrude avait parlé de ce qui se passerait alors qu’elle avait encore le dos tourné par rapport à Hertrauda.

« Rauda, je ne peux pas t’emmener sur le champ de bataille comme tu es en ce moment. »

« Hein ? Pourquoi ? Les flûtes magiques ont été volées ! Alors pourquoi dois-tu encore aller sur le champ de bataille ? »

Il n’y avait aucun sens à emmener les princesses de la principauté sur le champ de bataille maintenant que les flûtes magiques avaient disparu.

Elles ne seraient plutôt qu’un obstacle, et pourtant Hertrude avait l’intention de se rendre sur le champ de bataille.

« Même sans les flûtes magiques, je me dirigerai vers le champ de bataille en tant que bannière de la guerre contre le royaume. En outre, il semble que le royaume soit en proie à des dissensions internes en ce moment. Une faction pense à se servir de nous pour enterrer son ennemi politique. — Ces personnes sont vraiment au-delà de toute aide. Après avoir entendu cela, penses-tu toujours que la faute incombe à la principauté ? »

« C’est — mais, ceci et cela sont des histoires différentes ! De plus, il est dangereux de croire à l’offre du royaume de façon aussi unilatérale ! »

« Nous ne croyons pas en eux. Mais, c’est une chance. La principauté pourra s’assurer un territoire sur le continent. — En utilisant ce territoire comme point de départ, nous pourrons réduire le royaume. Cette fois, la principauté sera du côté des gagnants. »

Hertrauda se souvient de la scène qu’elle avait lue dans le livre.

La même chose que par le passé — l’époque où la principauté saccageait le territoire du royaume allait se reproduire.

« Onee-sama, s’il te plaît, repenses-y. Sans les flûtes magiques, le pouvoir national de la principauté ne pourra pas gagner contre le royaume. »

Ils n’avaient aucun atout.

Malgré cela, la principauté ne s’était pas arrêtée.

« — Rauda, tu restes dans le palais. »

Hertrude était partie.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

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