Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 5 – Chapitre 7 – Partie 3

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Chapitre 7 : Le collier

Partie 3

Noëlle était confinée dans la maison principale de la Maison Barriere.

En surface, ils disaient la protéger, mais en réalité, la porte était fermée à clé pour qu’elle ne puisse pas s’échapper.

Il y avait également des barres de fer fixées sur la fenêtre. Il y avait toujours des gardes devant la porte et la fenêtre.

Noëlle était assise sur le lit. Elle regardait Loïc qui était venu dans la pièce.

Loïc tenait un collier auquel était attachée une chaîne.

« Ce sera ta bague de fiançailles, » déclara Loïc.

« Êtes-vous fou ? » demanda Noëlle.

« Eh bien, écoute-moi. C’est un outil qui a été créé avec un fragment de l’arbre sacré à l’intérieur. Le collier doit être fixé sur le serviteur, tandis que ce bracelet doit être porté par le maître. Ainsi, la personne avec le collier attaché deviendra incapable d’échapper au maître, » expliqua Loïc.

La chaîne disparaissait après que les deux parties aient porté l’ensemble.

Mais, avec cet outil, ils ne pourraient pas se séparer l’un de l’autre.

Si elle essayait de s’échapper par la force, la chaîne apparaissait et le serviteur serait tiré vers le maître avec force.

Il serait impossible d’enlever le collier après qu’il ait été porté.

« Comment un tel outil peut-il exister ? » demanda Noëlle.

Noëlle ne le savait pas.

« L’utilisation de l’arbre sacré a beaucoup progressé récemment, » répondit Loïc.

« Ha ! Vous vous servez donc de l’arbre sacré. L’arbre sacré est vraiment généreux. Après tout, cela ne vous enlèvera pas les emblèmes, même quand il est utilisé comme ça, » déclara Noëlle.

Loïc s’était approché de Noëlle et avait attrapé ses cheveux pour lui rapprocher le visage.

« Tu ne pourras plus jamais t’échapper de moi, » déclara Loïc.

Noëlle avait jeté un regard furieux sur Loïc.

« Faites comme vous voulez. Mais, je n’accepterai absolument pas quelqu’un comme vous, quelqu’un qui sacrifiera même beaucoup de vies juste pour m’obtenir, » déclara Noëlle.

Loïc avait ri quand il avait entendu cela.

« Tu es têtue comme d’habitude. Je me réjouis de savoir combien de temps tu pourras garder cette attitude. Je t’apprendrai à fond lequel d’entre nous est supérieur après notre mariage, » déclara Loïc.

Les yeux de Noëlle s’étaient écarquillés comme une soucoupe, surprise, lorsque l’on avait parlé de mariage.

« M-mariage !? » demanda Noëlle.

« Oui, c’est vrai. C’est une cérémonie qui nous liera pour l’éternité ! Ce sera également un jour propice au retour de la prêtresse et du protecteur d’Alzer, » déclara Loïc.

Noëlle détourna son regard de Loïc.

« Le protecteur doit être choisi par la prêtresse. En outre, il faut que ce soit quelqu’un de digne, » déclara Noëlle.

« J’en suis digne ! Je suis le prochain chef de la maison Barriere, l’un des six grands nobles. J’ai la force nécessaire pour protéger l’arbre sacré ! En plus, je t’aime. Il n’y a personne de plus digne que moi, » déclara Loïc.

Noëlle avait regardé Loïc.

« Vous êtes vraiment stupide. C’est le jeune arbre sacré qui m’a choisie. L’arbre sacré qui vous a donné votre emblème ne me reconnaîtra pas. Dommage pour vous, Loïc, » déclara Noëlle.

Loïc avait souri à Noëlle. « Et alors ? »

« — Hein ? » s’exclama Noëlle.

« Peu importe que ce soit l’arbre sacré ou le jeune arbre. Si c’est l’arbre sacré, alors c’est bien. Si c’est le jeune arbre, la Maison Barrière devra simplement le mettre sous notre contrôle. La Maison Barriere mènera ce pays au sommet, » déclara Loïc.

« Le jeune arbre est avec Léon —, » déclara Noëlle.

« Le jeune arbre sacré va choisir sa prêtresse et son protecteur. Si un étranger le détient, nous le reprendrons simplement, que ce soit par la négociation ou par une autre méthode. Je me demande pour combien ce type va vendre le jeune arbre ? Non, négocions directement avec le pays de ce type. La République l’achètera, quel que soit le prix qu’elle y mettra, » déclara Loïc.

Loïc avait affirmé qu’ils le reprendraient quoiqu’il arrive.

Il n’est pas certain que Léon et les autres individus avec lui comprenaient bien la valeur réelle de l’arbre.

De plus, l’existence de la prêtresse serait indispensable pour utiliser le jeune arbre.

Avec Noëlle sous le contrôle de la République, le royaume n’avait aucun moyen d’utiliser le jeune arbre.

Dans ce cas, il était possible qu’ils utilisent le jeune arbre comme matériel de négociation.

C’était également bien même si le jeune arbre disparaissait.

Ce que Loïc voulait, c’était Noëlle. Ce que Bellange voulait, c’était le siège de président intérimaire.

« Noëlle, tu n’as nulle part où t’échapper, » déclara Loïc.

Loïc avait poussé Noëlle sur le lit.

Et puis, il avait essayé de mettre le collier sur le cou de Noëlle.

« A-Allez-vous en ! » cria Noëlle.

« Soit obéissante ! » ordonna Loïc.

Loïc avait frappé une Noëlle qui résistait.

Lorsque Noëlle avait cessé de bouger en raison de la surprise, il avait placé le collier sur elle et il avait porté le bracelet sur son bras gauche.

Puis la chaîne avait disparu, comme l’avait dit Loïc avant ça.

Loïc avait regardé son bras gauche, puis il avait embrassé le bracelet.

Noëlle n’avait pas bougé sur le lit. Loïc lui avait parlé.

« C’est de ta faute si tu résistes, Noëlle. Mais, ne t’inquiète pas. Si tu m’écoutes, je te traiterai avec gentillesse, » déclara Loïc.

Loïc avait une expression soulagée, pensant que Noëlle ne pourrait pas s’en sortir avec cela.

Il frappa doucement la joue rougie de Noëlle.

« Je t’aime. C’est pourquoi Noëlle ne me met pas en colère. Je ne veux pas te frapper, » déclara Loïc.

On avait frappé à la porte.

Une voix avait appelé de l’extérieur. « Sire Loïc, il y a un appel du Seigneur Fernand. »

Loïc avait claqué sa langue et il s’était séparé de Noëlle. Et puis il avait quitté la pièce.

Noëlle était allongée sur le lit, les mains écartées et les cheveux ébouriffés.

Lorsqu’elle avait touché le collier qu’on lui avait mis au cou, des larmes s’étaient répandues.

 

***

Il était choquant de penser que j’étais un homme qui ne pouvait charger que par l’avant.

« Pour être honnête, je suis plus apte à me faufiler secrètement, n’est-ce pas ? »

Je me faufilais dans le manoir de la maison Barriere — l’endroit où Noëlle avait été emprisonnée.

Luxon avait préparé un costume qui utilisait le camouflage optique. C’était comme si j’étais invisible quand je le portais.

Je m’étais furtivement glissé devant les soldats qui montaient la garde.

Les chaussures qui ne faisaient pas de bruit étaient vraiment étonnantes.

Luxon se fondait également avec moi dans le paysage environnant. Il m’avait parlé.

« Maître, j’ai complètement scanné ce manoir. J’ai confirmé la pièce dans laquelle Noëlle est enfermée. »

« Bon, je te laisse la navigation, » déclarai-je.

« — as-tu vraiment l’intention de l’emmener ? » demanda Luxon.

« C’est bien de la sauver si elle va être contrainte à un mariage qu’elle ne veut pas, non ? » répondis-je.

En fait, Loïc était un type dangereux.

« Après l’avoir sauvée, que se passera-t-il ensuite ? » demanda Luxon.

« Je vais l’évacuer temporairement vers le royaume, » répondis-je.

« Ce n’est pas dans le scénario, » déclara Luxon.

« C’est ce qu’on appelle s’adapter à la situation, » répondis-je.

Des gardes patrouillaient dans les couloirs.

Il n’y avait pas que des domestiques à l’intérieur. Il y avait aussi des soldats armés. L’atmosphère était lourde.

« Il est peu probable que Noëlle puisse choisir le protecteur même après avoir été secourue, » déclara Luxon.

« Pourquoi ? Même Noëlle est une fille. Bien sûr, elle peut tomber amoureuse, » déclarai-je.

« Le maître est le protecteur à l’heure actuelle, » déclara Luxon.

« Je ne l’accepterai pas. Plus important encore, cet emblème peut-il être effacé ? » demandai-je.

Il est certain que le jeune arbre m’avait choisi comme gardien.

Mais, l’ordre était mauvais comme ça.

Cela me mettait mal à l’aise de ne pas suivre le scénario.

« C’est possible, mais — la condition pour être choisi comme gardien est d’avoir la force de protéger l’arbre sacré. Je ne peux pas croire que la romance sera nécessaire pour cela, » déclara Luxon.

« C’est la suite de “ce jeu vidéo otome” avec un décor rose. Le développeur ne doit pas réfléchir trop profondément aux détails, » déclarai-je.

En premier lieu, le facteur romanesque était le point principal du jeu. Tout autre cadre que celui-là n’était qu’un supplément.

C’était stupide d’y penser trop profondément.

« Il n’est pas bon de décider négligemment comme ça. De plus, il y avait une raison valable pour laquelle la femme était placée au-dessus de l’homme au royaume, » déclara Luxon.

« Ah ~, la raison en était vraiment terrible. Je ne voulais pas savoir quelque chose comme ça, » répondis-je.

Quelqu’un était venu, alors j’avais arrêté de marcher jusqu’à ce qu’il me dépasse. Luxon alla de l’avant comme je le lui avais dit.

Je pouvais entendre la conversation entre les serviteurs et les soldats. Ils avaient baissé leur garde en pensant qu’il n’y avait personne d’autre.

« La prêtresse va-t-elle se marier avec notre jeune maître ? »

« Dans ce cas, le Seigneur Loïc sera choisi comme gardien. »

« La Maison Barriere va devenir encore plus prospère. »

Mais je ne pensais pas qu’il serait choisi comme gardien.

Après tout, Noëlle détestait Loïc.

Le manoir était vraiment grand, mais il y avait plusieurs soldats qui montaient la garde autour de la chambre de Noëlle.

Luxon déclara. « Il y a deux personnes devant la porte, mais il y a six personnes qui attendent dans les pièces voisines. »

« Alors je vais tous les endormir, » répondis-je.

J’avais sorti une arme de poing de ma poche de poitrine. Il était équipé d’un silencieux.

Les balles étaient des balles magiques, adaptées à ce monde imaginaire. Elle endormait tous ceux qui étaient touchés par elle.

« Je m’occupe d’abord des deux personnes qui se trouvent devant la porte, » déclarai-je.

« Fais attention, s’il te plaît, » déclara Luxon.

J’avais visé avec le pistolet et j’avais tiré sur les gardes.

 

***

Noëlle regardait le plafond, choquée. C’est alors qu’elle avait entendu le bruit des gens qui tombaient derrière la porte.

Les soldats qui attendaient dans les autres salles étaient sortis en panique. Elle pouvait entendre les bruits de l’extérieur.

« Oi, qu’est-ce que — hau ! »

Il semblerait que les hommes se soient également effondrés lorsqu’ils s’étaient approchés des soldats tombés.

Noëlle avait levé le haut de son corps.

Elle était en sueur.

Serait-ce possible, la maison de Rault vient pour me tuer ?

Elle se souvenait de ce jour — le jour où elle s’était échappée du manoir en feu. Elle s’en souvenait encore aujourd’hui.

Le jour où la maison Rault avait détruit la maison Lespinasse.

Ils allaient sûrement venir la tuer après avoir appris qu’elle avait survécu.

Elle avait entendu le bruit des gens qui tombaient en pensant à ce qu’il fallait faire.

La porte s’était alors lentement ouverte. Noëlle cherchait tout ce qui pouvait lui servir d’arme.

Cependant, il n’y avait rien de tel ici. Son ravisseur avait pris soin de ne pas mettre dans la pièce quelque chose qui puisse servir à cela.

Ce qui entra dans la pièce était un homme vêtu de noir de la tête aux pieds. Elle ne pouvait voir que ses yeux.

Mais, Noëlle l’avait immédiatement reconnu.

« Léon ? »

Elle l’avait reconnu à la forme de son corps et à ses yeux — il y avait aussi la boule à un œil qui flottait à côté de lui.

Noëlle se sentait juste un peu heureuse.

Léon enleva le masque en tissu qu’il portait et tendit la main vers Noëlle.

« Noëlle, je viens te chercher. Fuyons vite. Attends ! Qu’est-ce que c’est que ce collier ? » demanda Léon.

« C’est — . »

« Ce n’est pas grave. J’écouterai les détails plus tard. Pour l’instant, évadons-nous d’ici, » déclara Léon.

Noëlle avait levé sa main pour saisir cette main, mais — elle avait immédiatement retiré sa main.

Léon avait l’air perplexe.

« Noëlle ? »

Noëlle s’était rappelé des paroles de Loïc.

Loïc qui avait utilisé beaucoup de gens comme otages pour l’obtenir.

Elle ne savait pas ce qu’il ferait si elle s’échappait d’ici.

Et puis, il y avait Léon.

Je vais l’embêter si je reste à ses côtés.

C’était un homme qui avait aussi des fiancées.

Elle ne pouvait pas rester à ses côtés et le perturbait — elle ne voulait pas compter sur lui.

Elle voulait l’oublier rapidement.

Noëlle avait regardé le visage de Léon.

Sa voix tremblait. « Va-t’en. Pars d’ici. »

« Hein ? »

Noëlle avait fait preuve d’une grande détermination envers un Léon surpris.

« Je t’ai dit d’y retourner ! Je suis la prêtresse d’Alzer. Tu ne devrais pas être impliqué dans cette affaire. Ne viens pas me sauver juste parce que tu en as envie. Je suis ici par ma propre volonté, » déclara Noëlle.

Elle avait dit des choses qu’elle ne pensait même pas parce qu’elle ne voulait pas impliquer Léon dans cette affaire.

Cela me fait me sentir misérable, alors rentre maintenant chez toi.

Elle était tombée amoureuse de quelqu’un qui avait déjà des fiancés et, en plus, elle allait être aidée par lui.

Elle avait honte d’elle-même qui ne pouvait compter que sur les autres.

En même temps, elle ne voulait pas impliquer Léon plus que cela.

Noëlle avait baissé les yeux.

« — Repars d’ici. »

Luxon n’avait rien dit. Léon avait fermé la bouche et était reparti par la porte par laquelle il était entré.

Juste avant que la porte ne se ferme, Noëlle avait levé le visage et avait tendu la main.

Elle voulait en fait être sauvée.

Elle avait voulu crier au secours mais — elle s’était immédiatement couvert la bouche avec ses mains et s’était assise par terre.

Noëlle avait pleuré quand la porte s’était refermée.

C’est — c’est bien. C’est la bonne chose à faire. Si je me contente d’endurer, tout devrait aller.

 

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

7 commentaires :

  1. merci pour le chapitre

  2. Merci pour le chapitre.
    Noëlle est une idiote! Elle préfère l’esclavage à la vie de célibataire ?

    • Elle n’est pas tant que ça une idiote.
      Outre le fait qu’elle a le coeur brisé, et qu’elle est déprimée, ce qui la pousse à faire cette idiotie, il y a quand même l’idée de ne pas vouloir impliquer Léon dans une situation tragique.

      Il ne faut pas non plus oublier qu’on ne sait pas vraiment si elle connaît l’étendue de la puissance de Léon, et surtout, sa capacité à se mêler des affaires sérieuses, et à ressortir une puissance monstrueuse. Pour elle, si Léon se mêle de ça, en plus d’avoir de nombreux morts, elle doit être sûre qu’il y perdra gros.

      Elle a peut-être pu voir une partie de son pouvoir, mais elle a aussi tendance à penser que tous ceux du royaume sont ainsi, en tant qu’aventurier expert, car même si les 5 idiots sont des bons à riens, ils ont quand même chacun un domaine où ils excellent. Elle ne sait pas que Léon est un monstre qui prévoit toujours tout. Elle a pu en avoir un apperçu avec l’enlevement, mais elle n’en connait pas non plus les détails.

      Mais bon, on aura quand même la conclusion de cette affaire dans ce tome, mais pour la suite de cet arc, faudra attendre car cela tombera dans le prochain tome.

      • Mais elle ne fait que rajoutée plus de travaille à Léon.
        Puis de toute façon je préférè Angie, elle a qu’à restée avec son esclavagiste !

        • De toute manière, il en a déjà deux, alors pourquoi pas trois, si cela lui donne l’accès à l’arbuste.

          Et dans l’affaire, il n’est pas le seul à décider, car certaine puissance intrigue dans le dos de Léon… (et cela va faire très mal à Léon).

  3. Du coup, s’il on ne peut retirer la marque, peut on rendre inefficace cette dernière en coupant le bras de Loïc.
    Peut-être trop « gore » pour ce novel.

    Merci pour le chapitre

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