Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 5 – Chapitre 12 – Partie 3

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Chapitre 12 : Des jours ordinaires

Partie 3

Sur le chemin du retour de l’académie.

Lelia marchait en titubant.

Elle avait refusé l’invitation d’Émile de la transporter chez elle et elle était revenue seule comme ça parce qu’elle voulait réfléchir seule.

C’est mauvais. Ce Luxon est encore plus dangereux que prévu. C’est vrai, ce type est un objet payé qui est sorti dans le premier jeu. Ce n’est pas normal.

L’équilibre du premier titre de ce jeu vidéo otome était étrange.

Il était tellement déséquilibré que les joueurs devaient acheter des objets spéciaux pour le finir.

Parmi les objets payés, l’arme appelée Luxon possédait une capacité écrasante.

Je ne sais pas comment gérer une telle chose quand elle apparaît dans la réalité. Selon l’humeur de ces gars, même moi je pourrais devenir un dommage collatéral si je n’ai pas de chance.

Quand elle pensait à ce qu’Alzer avait fait à Léon jusqu’à présent, il ne serait pas étrange qu’il accumule les mécontentements.

Elle ne savait pas quand cette insatisfaction allait exploser.

De plus, c’était les six grands nobles qui s’étaient attaqués à Léon.

Elle n’avait aucun moyen de les arrêter.

C’est comme si on vous disait qu’il y a un ennemi encore plus puissant que le dernier boss.

Elle avait l’impression que quelqu’un d’autre avait un pouvoir de vie ou de mort sur elle.

Elle ne pouvait pas rester calme.

En outre, elle ne pouvait pas non plus faire confiance à Léon.

Après tout, c’était ce genre d’humain qui avait fait des choses extrêmes pour reprendre Noëlle.

Lelia était insupportablement anxieuse.

Si c’est comme ça, alors j’ai besoin d’un pouvoir qui puisse s’opposer à lui — mais, y a-t-il une arme dans Alzer qui puisse s’opposer à Luxon ? Ce sera possible si c’est le même objet payé, mais — je ne pourrai pas récupérer quelque chose comme ça toute seule.

Contrairement à l’académie du Royaume de Hohlfahrt, l’académie de la République d’Alzer n’avait pas enseigné aux étudiants les bases pour être un aventurier.

Lelia elle-même n’en savait pas beaucoup sur ce sujet. Il lui était impossible de récupérer l’objet avec ses propres forces.

C’est exact. Je connais l’endroit. Après, si je peux l’obtenir — .

L’objet payé du deuxième jeu qu’elle n’avait pas encore collecté jusqu’à présent.

Alors qu’elle réfléchissait à la méthode de récupération de l’objet, quelqu’un s’était placé devant Lelia.

Cet homme avait sa chemise déboutonnée par ce froid.

Ses cheveux noirs étaient coiffés vers l’arrière. Il avait une peau bronzée d’apparence saine.

Il était également grand. Les muscles visibles sur la chemise déboutonnée étaient fermes.

Cet homme — Serge Sara Rault avait levé la main et avait parlé amicalement à Lelia.

« Yo, ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vu, Lelia ! »

« — Serge. »

Il n’était autre que la cinquième cible de capture.

Bien que Lelia ait été surprise, elle lui avait demandé où il était allé jusqu’à présent.

 

 

« T-Toi, où étais-tu jusqu’à présent ! »

« Étais-tu inquiète ? Je suis heureux. Oups, si tu veux entendre mon conte d’aventures, veux-tu manger avec moi ? Cela prendra un peu de temps après tout. L’aventure a été un peu difficile cette fois-ci, tu sais. Vraiment, et si on mangeait ensemble ? C’est notre réunion après si longtemps, après tout, donc c’est bon, non ? »

Il avait une attitude très enjouée, mais il était l’héritier de la Maison Rault.

Il était le fils adoptif d’Albergue.

Ce jeune homme présentait beaucoup de difficultés, mais il rêvait d’être un aventurier — et aussi, il était un garçon fiable en tant qu’aventurier.

Lelia haleta.

C’est exact. Si je demande l’aide de Serge.

Lelia avait accepté l’invitation de Serge. « Bien. Allons manger ensemble. »

Serge avait été surpris. « C’est rare de ta part. Je pensais que tu refuserais, mais — est-ce vraiment bien ? »

« Quoi ? Nous n’y allons pas ? »

« Stupide ! Bien sûr que nous y allons ! Plus important encore, que veux-tu manger ? C’est une chance rare pour nous de manger ensemble. Demande n’importe quoi ! »

Lelia était soulagée de voir le regard ravi de Serge.

Dieu merci, Serge s’intéresse à moi.

Lelia avait dîné avec Serge ce jour-là.

 

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Émile attendait que Lelia rentre chez elle.

Il semblerait qu’il avait préparé le dîner.

« Lelia, à propos du dîner — . »

« Désolée, j’ai mangé. »

« Je vois. »

« Désolée, Émile. »

La maison Pleven avait préparé un manoir près de l’académie pour le bien de Lelia.

Il était plus proche de l’académie que son ancien appartement. Elle y vivait avec Émile.

Il y avait aussi plusieurs domestiques, mais le manoir lui-même n’était pas particulièrement grand.

Il savait cuisiner et nettoyer, et par-dessus tout il était gentil.

Lelia n’était pas mécontente de lui.

Mais, elle avait senti qu’il manquait quelque chose. Même s’il peut manger en premier sans m’attendre, il ne l’a pas fait. Cela a rendu l’atmosphère lourde…

« Émile, à propos des prochaines longues vacances, je vais avoir un peu de travail à faire. C’est pourquoi je ne pourrai pas rentrer avec toi. »

« Hein ? Vraiment ? Mais, nous avons déjà promis de le faire. »

« Je t’en prie. Ne me demande rien. »

Ce type est trop dangereux. Je dois obtenir au moins le même pouvoir quoiqu’il arrive.

Elle partait à l’aventure avec Serge afin de préparer la contre-mesure contre Léon.

Elle ne pouvait pas en parler à Émile.

Et puis cela la dérangerait aussi si on lui demandait de s’expliquer en détail.

Émile avait eu l’air déçu.

« Je, je vois. Mais, saluons au moins rapidement ma famille. Mes grands frères attendent aussi, nous devons aussi parler de l’avenir. »

« — D’accord. » Lelia avait dit cela avant d’aller s’enfermer dans sa chambre.

 

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Cela se passait à la période de l’année où l’académie était entrée dans les longues vacances.

Un premier dirigeable était entré dans le port d’Alzer.

Il s’agissait de la Licorne avec sa coque blanche caractéristique.

Livia était descendue par la rampe puis elle avait fait un signe de la main à Anjie alors que sa main portait un grand sac de voyage.

« Anjie, allons-y vite ! »

Anjie, qui portait aussi un sac aussi grand que celui de Livia, avait souri en voyant Livia comme ça.

« Léon ne s’enfuira pas même si nous ne nous dépêchons pas, » répliqua Anjie.

Elles étaient immédiatement parties vers la République à l’arrivée des longues vacances.

Elles s’étaient occupées de presque toutes leurs affaires au préalable pour cela.

Livia attendait avec impatience ce jour, alors elle n’avait pas pu dormir la nuit dernière.

« Je veux rapidement surprendre Léon. »

« J’ai compris. Je suis également d’accord avec cela. »

Il semblait qu’Anjie se réjouissait également de cette perspective. Elle souriait beaucoup avant leur arrivée en République.

Auparavant, pendant les vacances d’été, elles n’avaient pas pu faire beaucoup de tourisme en République.

Cette fois-ci, elles avaient prévu de faire du tourisme en toute tranquillité.

Creare surveillait les deux femmes. « Vous avez l’air de vous amuser. Mais là-bas, on dirait qu’ils seront très occupés par leur travail. »

Anjie avait tourné ses yeux vers un autre dirigeable qui les avait rejoints depuis le royaume.

« Ils auront beaucoup de travail qui les attend après cela. »

Cette fois-ci, de nombreux dirigeables du royaume étaient venus leur rendre visite.

Ils avaient également fait office de gardes pour Anjie, mais les autres navires avaient également été affrétés par les diplomates qui avaient été envoyés pour les discussions diplomatiques avec la République.

Les scandales avec Pierre et Loïc s’étaient succédé.

Cette fois-ci, le royaume n’avait pas pu se taire. Ils avaient déjà eu plusieurs entretiens avant cela.

Un nombre important de personnels avait été envoyé par le royaume afin de procéder à l’ajustement final de l’accord.

Livia déclara. « Cette fois, Léon sera surpris. »

Anjie était également d’accord avec elle. « Oui. Moi aussi, je voulais lui demander beaucoup de choses sur ce qui s’est passé à Alzer, même si je dois me passer de mon travail. Les informations qui sont parvenues au royaume sont peu nombreuses. Creare ne veut pas non plus parler. »

« Oh, vous me critiquez ? Il y a cependant une bonne raison à cela ~, » répliqua Creare.

« Bon sang. »

Anjie parlait avec un visage souriant. Mais elle avait froncé les sourcils quand elle avait vu des dirigeables entrer dans le port.

Livia avait incliné la tête. « Que se passe-t-il ? »

« — se sont des dirigeables de Rachelle. Il y en a beaucoup. »

Les dirigeables du Saint Royaume de Rachelle entraient en grand nombre dans le port d’Alzer.

 

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Le deuxième semestre était terminé et nous étions entrés dans une longue période de vacances.

J’avais quitté le manoir de Marie avec Noëlle.

La raison ? C’était Cordelia.

Les mots de Cordelia « Lady Anjelica s’inquiétera si vous continuez à vivre dans la maison de Marie trop longtemps » étaient après tout raisonnables.

Lorsque j’étais revenu dans la maison d’Alzer que j’avais utilisée au début, l’intérieur de la pièce était couvert de poussière.

« Uwa ~, c’est terrible. »

Cordelia avait remonté ses manches.

« Nous devons donner la priorité au nettoyage des chambres et de la cuisine. Mais, ouvrons d’abord les fenêtres pour que l’air frais puisse entrer. Il faut aérer les matelas. »

Yumeria avait également suivi Cordelia.

Même si je lui avais dit qu’elle pouvait rester dans le manoir de Marie, elle avait fermement refusé parce qu’elle était ma bonne et aussi mon observatrice.

Observatrice — c’était bien qu’elle en ait conscience, mais ce n’était pas bien qu’elle dise cela à la personne qu’elle devait observer.

Bon sang, cette personne est désespérément mignonne.

Elles s’étaient dirigées toutes les deux vers le deuxième étage. Puis Luxon avait vu le lit de bébé qui avait été laissé ici.

Je l’avais approché.

« En y repensant, nous avons amené cette chose ici. »

Noëlle-chan — le chien de compagnie que Jean gardait l’utilisait quand nous nous en occupions ici. Mais maintenant que Noëlle-chan était morte, on l’avait amenée ici parce qu’elle n’était plus utilisée.

Noëlle affichait également un air nostalgique.

« C’est celui que nous utilisions avant les vacances d’été, n’est-ce pas ? Je vois, donc il est placé ici. »

Le collier était encore attaché autour du cou de Noëlle.

Elle l’avait décoré elle-même lorsqu’elle était allée à l’académie pour le mettre à l’abri des regards. Elle avait retrouvé sa brillante personnalité, comme avant.

Mais elle semblait en quelque sorte un peu solitaire.

« Mais tu peux toujours rester au manoir de Marie ? Est-ce que tu veux vraiment rester avec moi ? »

Noëlle s’était gratté la tête quand je lui avais demandé cela.

« C’est une façon désagréable de le demander. Mais il y a ce sentiment que j’ai de vouloir y rester. On s’y amuse tous les jours, et Marie est aussi gentille. »

« Ee ~, cette fille est gentille ? »

« Elle est gentille. Mais — tu sais, elle a des relations amoureuses avec ces cinq-là. Même si je n’en ai pas l’intention, je les ai souvent pris sur le fait. »

J’avais eu tendance à l’oublier, mais ces cinq-là étaient les amants de Marie.

En vivant avec eux, je tombais parfois sur ce genre de scène.

Noëlle semblait aussi prendre cela en considération.

« Mais elle semblait cependant réticente à l’idée que tu déménages. »

Elle avait l’air très déprimée lorsqu’elle avait appris que Noëlle, Cordelia et Yumeria, qui avaient aidé aux travaux ménagers, allaient partir.

Le nombre de serviteurs sur place avait également augmenté, mais s’ils manquaient quand même encore de personnel.

En premier lieu, ce manoir était trop grand.

Mais il n’était pas non plus nécessaire de refuser si Noëlle disait qu’elle voulait venir chez moi.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

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