Chapitre 1 : Maintenant, au beau milieu d’une tricherie !
Partie 3
Un problème était survenu dans la maison de Marie.
Marie était en vacances d’été en ce moment. Mais à cause de cela, elle devait s’occuper des cinq du matin au soir.
« Attendez ! Qui a mangé la soupe au déjeuner ? » cria Marie.
Marie, qui devait préparer le petit déjeuner, le déjeuner et le dîner, avait travaillé dur dès le matin pour préparer une grande marmite de soupe.
Elle pensait que la soupe pourrait tenir jusqu’au dîner — non, jusqu’au déjeuner s’il y en avait autant.
Léon sortait le matin, mais cela aurait dû aller même s’il y avait cinq étudiants de sexe masculin qui étaient de gros mangeurs dans ce manoir.
Elle ne trouvait pas non plus les autres aliments qu’elle avait préparés pour le déjeuner, comme du pain ou du jambon.
En outre, il y avait aussi des couverts qui semblaient avoir été utilisés et qui avaient été laissés sur la table.
Incroyable que cela arrive alors même que tout le monde aurait dû savoir que j’étais super occupée à nettoyer ce manoir depuis le matin !
Marie avait appris par Léon qu’Anjie et Livia allaient venir, alors elle s’était empressée de nettoyer le manoir.
Kyle — le demi-elfe qui était le serviteur personnel de Marie ainsi que Cara étaient aussi occupés à nettoyer le manoir.
C’était après un tel travail que Marie était finalement entrée dans la cuisine à midi et avait trouvé la place dans cet état.
Celui qui était venu avec un regard inquiet parce que Marie haussait la voix comme ça était Jilk qui semblait préparer le thé.
Il tenait une théière dans une main.
« Que se passe-t-il, Marie ? » demanda Jilk.
Marie avait pointé du doigt la cuisine d’une main tremblante lorsqu’elle avait vu Jilk.
« Qui est celui qui a mangé le déjeuner de tout le monde ? » demanda Marie.
Il ne restait même pas une heure avant qu’il ne soit midi.
Il serait difficile de préparer beaucoup de nourriture à partir de maintenant.
Il faudrait qu’elle fasse d’abord des courses.
Dans le pire des cas, une fois que les garçons auront fini de manger, elle pourrait devoir emmener Kyle et Cara au restaurant.
Cependant, elle ne pouvait pas pardonner à ceux qui mangeaient le déjeuner à leur guise.
En entendant cette question, Jilk avait eu l’air embarrassé sans aucun signe de culpabilité.
« Ah, ça. En fait, Greg a dit qu’il avait faim, » déclara Jilk.
« Je vois. — C’était donc Greg, » déclara Marie.
« Non. Nous avions aussi faim, alors nous avons tous les cinq cherché à manger. Et puis nous avons trouvé la marmite de soupe, donc bien que ce soit un peu inapproprié, nous avons sorti le jambon et le pain et nous avons nous-mêmes cuisiné. C’est parfois amusant de faire quelque chose comme ça, » déclara Jilk.
Marie regarda Jilk avec les yeux grands ouverts.
Elle réfléchissait à la façon de libérer la rage qui tourbillonnait dans son petit corps.
Mais, Jilk n’avait pas du tout remarqué comment elle se sentait.
Il avait osé prétendre qu’il suffisait de faire chauffer une soupe finie dans la cuisine et de couper du pain et du jambon pour que cela soit de la cuisine.
Comment peut-on appeler une telle chose de la cuisine? Qu’est-ce que tu comptes te faire pour ton déjeuner maintenant?
Marie réprima son désir de crier et elle demanda immédiatement à Jilk de rassembler les cinq garçons pour les gronder. « Jilk — rassemble tout le monde. J’avais tort. Maintenant que nous vivons dans ce manoir, j’aurais dû commencer par enseigner à tout le monde les bases. »
Elle avait honte d’elle-même qui pensait que ces cinq personnes devraient être capables de comprendre des choses aussi simples.
Elle aurait dû leur donner une bonne raclée dès le début.
Le temps était venu de faire face au problème qu’elle avait ignoré jusqu’à présent en raison des journées chargées d’études à l’étranger.
Marie le pensait, mais — .
« Hein ? Mais tout le monde est dehors en ce moment, » déclara Jilk.
— Il semblait que tous les autres que Jilk soient sortis.
« Ils sont sortis, dis-tu !? » s’écria Marie.
Même s’ils étaient très occupés à faire le ménage depuis le matin, ces gars se baladaient à la place — Marie avait atteint sa limite quand elle avait appris cela.
Jilk avait parlé à Marie pour la calmer en la voyant très agitée. « Marie, calme-toi. Il sera bientôt midi, n’as-tu pas faim en ce moment ? Je viens d’obtenir une sucrerie que je vais déguster avec du thé. Et si on les dégustait avant le déjeuner ? »
Marie était en colère, mais son estomac lui indiquait qu’elle avait également faim.
Marie avait pensé à manger quelque chose pour l’instant pour se calmer.
« Très bien. Malgré tout, y a-t-il vraiment des sucreries ici ? Les sucreries que Gr… Léon a apporté ont déjà été épuisées hier, » déclara Marie.
Marie avait failli dire « grand frère » avant de se corriger à mi-chemin.
Le hobby de Léon était le thé. Il achetait souvent des sucreries qui s’accordaient bien avec le thé.
Marie ne pouvait pas se plaindre parce qu’elle recevrait aussi ses restes, mais elle était aussi irritée de voir son grand frère toujours en train d’acheter des mets chers.
Cependant, c’était aussi Léon à lui seul qui les soutenait financièrement, elle ne pouvait donc pas se plaindre.
Marie était sortie de la cuisine et était entrée dans la salle à manger. Là, Jilk préparait déjà le thé.
Marie avait été choquée lorsqu’elle avait vu ce qui se trouvait sur la table.
« Qu’est-ce que c’est ? » demanda Marie.
Il était normal qu’il y ait un service à thé et des sucreries alignés sur la table.
Cependant, la quantité de sucreries était trop importante.
Les boîtes de conserve en acier remplies des sucreries achetées étaient empilées.
Toutes les sucreries semblaient manifestement chères.
Jilk s’était mis à se vanter sans se rendre compte du choc que Marie avait subi.
« En fait, je viens aussi de rentrer de l’extérieur. Il se trouve que j’ai vu un joli service à thé là où je me rendais et que je l’ai acheté, alors j’ai aussi acheté les feuilles de thé et les sucreries qui correspondaient au service à thé, » déclara Jilk.
Un service à thé ? Des feuilles de thé ? Marie trembla lorsqu’elle avait appris que Jilk n’avait pas seulement acheté des sucreries, mais aussi ces choses-là.
« Les as-tu achetés ? Et l’argent ? » demanda Marie.
Bien sûr, elle donnait aussi à Jilk un peu d’argent de poche, mais elle ne l’avait jamais laissé avoir beaucoup d’argent.
Jilk avait l’air confus.
« Hein ? Ah, j’ai trouvé de l’argent en cherchant de la nourriture avec tout le monde, alors j’ai partagé l’argent avec les autres avant de sortir. C’est la base de la répartition de la récompense en fonction du nombre de personnes, » déclara Jilk.
Cette façon de penser était vraiment typique pour les descendants d’aventuriers — ce n’était pas ce que Marie pensait.
Traiter la recherche de nourriture de la même façon que la chasse au trésor et répartir le butin de guerre de façon égale — quand Jilk avait dit cela, Marie n’avait pas pu rire.
Après tout, s’il y avait une grosse somme d’argent à l’intérieur de ce manoir, ce serait l’argent de Marie.
Pour être plus précis, il s’agissait des frais de subsistance qu’elle recevait de Léon.
Marie était sortie en courant de la salle à manger et s’était précipitée dans la pièce où elle gardait l’argent.
Elle avait baissé sa garde parce que seules des connaissances vivaient dans ce manoir, alors elle avait caché l’argent ici sans le mettre dans quelque chose comme un coffre-fort.
La cachette était un tiroir de bureau qu’elle avait remodelé pour avoir une double couche de fond. Cette cachette avait été splendidement découverte et vidée à présent.
Le livre de comptes du ménage avait été placé sur le bureau. Elle avait écrit comment se débrouiller avec l’argent qu’elle avait reçu de Léon, mais — tout était devenu inutile.
« NoooOoooOOOOooooOoooooo !! » cria Marie.
Il ne restait pas un seul centime de l’argent.
Marie était tombée à genoux à cause du choc.
*Gan !* un si beau son avait retenti.
Celle qui avait remarqué le son et était venue était Noëlle qui portait un étui transparent où était conservé le jeune arbre sacré.
Elle passait juste devant la salle à ce moment-là.
« Marie-chan, qu’est-ce qui ne va pas ? » demanda Noëlle.
En voyant Noëlle se précipiter, Marie avait été prise de panique par autre chose.
Nyaaaa !! Pourquoi Noëlle est-elle encore dans le manoir alors même que j’avais entendu dire qu’aujourd’hui elle rentre chez elle !?
Anjie et Livia venaient du royaume.
C’est pourquoi Marie ne voulait pas que Noëlle reste dans ce manoir.
Parce que — Léon n’avait pas remarqué les sentiments de Noëlle.
Noëlle avait aidé Marie à se tenir debout avec l’étui du jeune arbre sous le bras.
« Qu’est-ce qui ne va pas ? Tu as même fait un cri si étrange, » déclara Noëlle.
« N-Non. Ce n’est rien. Il y avait juste un petit — ou plutôt un très gros — problème, » déclara Marie.
« Alors, c’est vraiment sérieux ! » déclara Noëlle.
« Je vais m’en occuper, alors c’est bon ! Plus important encore, pourquoi es-tu encore là ? N’as-tu pas dit qu’aujourd’hui tu rentrais chez toi ? » demanda Marie.
Marie pensait que Léon reviendrait bientôt en fonction de l’heure, elle voulait donc que Noëlle quitte rapidement le manoir.
Au départ, elle voulait dire la vérité à Noëlle — et la faire renoncer à Léon.
Mais Noëlle était trop gentille — elle ne pouvait pas le dire quand elle avait vu la façon dont elle regardait Léon.
Il y avait aussi le fait qu’elle était le personnage principal de la suite de ce jeu vidéo otome, et qu’elle était aussi poursuivie par un homme méchant en ce moment, alors Marie voulait la garder près d’elle.
Mais pour l’instant, le moment est mal choisi.
Pourquoi dois-je me donner autant de mal pour le bien de mon frère, hein ! Ce grand frère stupide, même s’il a dit lui-même « Je déteste les protagonistes idiots ». Il y a une limite même à être insensible !
Léon ne comprenait pas le moindre sentiment de Noëlle.
Bien qu’il soit son frère de sang — non, son frère de la vie précédente, cela lui faisait penser qu’il était pathétique.
Noëlle avait l’air timide.
« E-err, c’est parce que j’ai oublié de mettre cet enfant dans un endroit lumineux, » déclara Noëlle.
Noëlle tenait le jeune arbre sacré à deux mains. Son visage était doux.
Elle regardait le jeune arbre avec amour.
Pour Marie, il semblerait que le personnage principal et l’objet principal s’attiraient mutuellement.
« Je vois. Alors tu ferais mieux de te dépêcher — ah !? » s’exclama Marie.
Marie pensait à la façon de conduire Noëlle à l’extérieur du manoir, mais le jeune arbre sacré s’était mis à briller faiblement.
Puis le dos de la main droite de Noëlle s’était également mis à briller. Un symbole s’y était formé.
« Le symbole de la prêtresse » dont Marie se souvenait même dans sa mémoire défaillante au sujet de ce jeu vidéo otome s’y formait.
Noëlle avait regardé cela avec surprise, mais son expression s’était ensuite progressivement adoucie. Ses joues rougissaient aussi légèrement.
Le sentiment de Marie avait dépassé la confusion et était allé droit dans le chaos.
Attends. Attends une seconde ! Même s’il y a encore des événements qui ne se sont pas produits, pourquoi le symbole de la prêtresse arriverait-il à cette heure ? Ou plutôt, avec ceci — se pourrait-il que le partenaire de Noëlle soit…
Noëlle fixait le dos de sa main droite tout en marmonnant joyeusement.
« Avec cela, si un écusson apparaissait également sur Léon — cela signifierait que nos cœurs sont connectés, n’est-ce pas ? » se demanda Noëlle à voix haute.
Marie s’était souvenue de quelque chose quand elle l’avait entendue murmurer cela.
M-Merde !! Je n’ai pas dit à Noëlle que le grand frère a le symbole du gardien !?
Les problèmes qu’ils avaient reportés jusqu’à présent se succédaient à un mauvais moment.
Marie avait envie de pleurer.
Et puis — .
« Je suis à la maison ~. Hein ? Où sont-ils tous ? »
— Une voix insouciante était venue de l’entrée.
C’était Léon.
Noëlle avait fait une expression stupéfaite, puis elle avait quitté la pièce en tirant sur la main de Marie.
« Marie-chan, il vaut mieux que tu te reposes pour l’instant, » déclara Noëlle.
« Oui. Oui, je suis déjà à la limite maintenant, » déclara Marie.
Léon était rentré à la maison au pire moment possible.
Marie était déjà — à sa limite en tout.
Que va-t-il se passer maintenant ?
merci pour le chapitre
Merci pour le chapitre.
Merci pour le chapitre.
Ho le beau quinté d’abrutis, a encore frappés !
Mais comment peuvent t’ils être à ce point stupide !