Prologue
Table des matières
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Prologue
Partie 1
Cette chose appelée lien était quelque chose de mystérieux.
Cela ne se connectera pas même si vous voulez que cela se connecte et cela se cassera facilement.
Et pourtant, il y avait aussi un type de lien non désiré que vous ne serez pas en mesure de briser, peu importe à quel point vous essayez.
Moi, Léon Fou Baltfault, j’étais sous un soleil éblouissant avec mes manches retroussées.
J’étais debout sur le pont de mon nouveau dirigeable, Einhorn, la brosse à la main.
Le dirigeable en forme de navire présentait une corne caractéristique à sa proue comme son nom l’indique.
La coque du dirigeable qui était teintée en rouge était décorée d’un plaqué or et argent.
Sa taille était d’environ 200 mètres.
Si vous ne regardiez que de l’extérieur, ce navire ressemblait à quelque chose que tout noble typique aimerait beaucoup.
Mais, cette chose était un dirigeable qui avait été construit par mon partenaire Luxon.
Le niveau de son intérieur était différent par rapport au dirigeable de ce monde.
À cause d’une sorte de mauvais sort, j’avais — nous avions fini par étudier à l’étranger, dans la république d’Alzer.
Parce que j’avais obtenu la pairie de comte, un poste qui était bien trop pour un étudiant comme moi, il était nécessaire pour moi de me diriger vers ma destination d’études à l’étranger avec un dirigeable adapté à mon rang.
Cet Einhorn avait été construit à cause de ça.
J’avais haussé la voix au-dessus du pont de ce dirigeable. « Maintenant. Écoutez bien, bande d’idiots ! »
Devant moi se trouvait la vilaine femme extraordinairement méchante qui avait été identifiée comme ma petite sœur de ma vie précédente, Marie Fou Lafuan et ses amis bien heureux.
Ma petite sœur d’une vie antérieure semblait anormalement petite et fragile pour son âge. Mais contrairement à son apparence, c’était une femme forte et déterminée.
Sa main appuyait sur ses longs cheveux blonds parce qu’un vent fort soufflait.
Nous étions à la gorge l’un de l’autre jusqu’à il y a peu de temps encore, mais, quand je pense que c’était en vérité ma petite sœur de ma vie précédente, c’était tout à fait normal. Je ne l’avais jamais imaginé, même dans mes rêves les plus fous.
Ou plutôt, c’était étrange que je ne puisse pas rompre mon lien avec cette fille même après ma réincarnation.
« Parce que c’est inévitable. On n’y peut vraiment rien ! J’ai fini par devoir m’occuper de vous à partir d’aujourd’hui. Mais je n’ai aucun intérêt à nourrir une bande de paresseux comme vous tous ! » m’écriai-je.
Julian et les quatre autres nobles étaient alignés devant moi avec l’outil de nettoyage dans les mains.
Après la guerre contre la maison Fanoss, Julian Rafa Hohlfahrt avait fini en prince de nom. Il avait protesté alors que ses cheveux bleu marine voltigent sous l’effet du vent. « Nous n’avons pas non plus l’intention de te laisser t’occuper de nous. »
Julian avait montré son mécontentement avec le dos tourné vers moi. Ce type est vraiment irritant.
Il n’y avait pas que lui.
Le peloton devant moi — surtout les cibles de conquête qui étaient apparues dans « ce jeu-là » — exprimait aussi leur mécontentement à mon égard.
Le frère adoptif de Julian, Jilk Fia Marmoreal, avait attaché ses longs cheveux verts derrière lui. « Je suis d’accord avec l’opinion de Son Altesse. Nous n’avons pas l’intention de te laisser prendre soin de nous. Nous obéissons uniquement parce que c’est un ordre de Sa Majesté la reine. »
Ce Jilk était un salaud intrigant avec une mauvaise personnalité.
Je lui avais répondu. « Si ce n’est pas un ordre de la reine Milaine, cela serait ici que je vous ferais descendre du pont pour que vous puissiez devenir la nourriture des poissons. Soyez reconnaissants, vous, les ordures. »
J’allais leur apprendre leur place. Puis Greg Fou Seberg avait tourné un regard rebelle vers moi.
Ses caractéristiques étaient ses cheveux roux, courts et hérissés, et son corps entraîné et grand. « Baltfault, même nous, nous n’allons pas étudier à l’étranger parce que nous le voulons. »
Je te rendrai ces mots exacts.
« Quelle coïncidence ! Je ne veux pas non plus étudier à l’étranger. Et puis je dois m’occuper de vous en même temps, quel genre de jeu de punition est-ce ? » m’écriai-je.
Quand je m’étais moqué d’eux, Chris Fia Arclight avait poussé ses lunettes du bout du doigt et s’était plaint.
Ce type était un prodige de l’épée qu’on voyait même comme le candidat pour être le prochain saint de l’épée. Ses cheveux bleus étaient écartés d’un côté.
Contrairement à l’étouffant Greg, ce type était un cerveau de muscles.
« Alors, n’y va pas si tu ne veux pas, » déclara Chris.
— Même moi, je veux le faire.
Mais — mais !
Je serais mal à l’aise comme ça, c’est pour ça que je pars à l’étranger comme ça, même si je ne veux même pas étudier à l’étranger !
« Ne vous plaignez pas. Écoutez bien, je suis le propriétaire de ce vaisseau, donc vous avez le devoir de m’obéir. Comprenez cela. Comprendrez-vous bien ça ? » demandai-je.
Même si à l’origine, je devais partir seul à l’étranger, j’avais aussi été contraint de m’occuper de ces types.
C’est plus ou moins un ordre du roi, ce salaud de Roland.
Je n’obéis qu’en partie parce que c’était aussi une demande de la charmante Milaine.
L’un d’eux haussa les épaules et secoua la tête. C’est le narcissique aux longs cheveux violets qui était attaché et posé sur son épaule, Brad Fou Field.
C’était un jeune maître gâté qui était bon avec la magie. Ses notes pour les cours théoriques étaient excellentes.
Et puis, c’était aussi un homme dont les notes étaient horribles dans les cours d’habileté pratiques.
« Je n’aurais jamais imaginé étudier à l’étranger avec toi comme ça. Est-ce que c’est ce qu’on appelle une relation indésirable, mais inséparable ? » demanda Brad.
« C’est ma réplique ! Pourquoi dois-je m’occuper de vous ! Je suis très occupé, donc je n’aurai pas le temps de m’occuper de vous ! » m’écriai-je.
J’avais crié d’irritation. Les autres membres se regardèrent et conversèrent.
L’esclave de Marie, un bel elfe dont l’âge était encore à la première moitié de son adolescence, Kyle soupira.
Il regardait froidement le groupe obstiné de cinq personnes tout en parlant avec Marie de l’avenir. « Je suis jaloux de tous ceux qui ne pensent à rien. Plus important encore, mademoiselle. On dirait qu’on n’aura plus à s’inquiéter de notre repas à partir de maintenant. »
Marie — ma petite sœur qui non seulement m’avait troublé dans ma vie antérieure, mais même jusqu’à cette vie, elle avait hoché la tête profondément face à ce commentaire.
« Oui, c’est exact. Avec Grand frè… Léon ici présent, on pourra manger tous les jours, » déclara Marie.
Élève de la même classe qui avait accompagné Marie, Cara Fou Wein avait une silhouette élancée et des cheveux longs et bleus profonds.
Elle se sentait redevable envers Marie parce qu’elle l’avait aidée un jour et l’avait donc accompagnée jusqu’à maintenant.
« C’est merveilleux de ne pas avoir à se soucier de notre repas, Lady Marie ! » déclara Cara.
J’avais caché mes yeux de la main gauche en voyant les trois se réjouir.
— Les gars, comment viviez-vous jusqu’à maintenant ?
J’avais essuyé mes larmes en parlant sans ménagement aux cinq idiots.
« Je vous ferai tous nettoyer l’intérieur du vaisseau jusqu’à ce que nous arrivions à notre destination dans la république d’Alzer. Votre salaire sera de 300 Dea par jour. J’échangerai votre paie avec la monnaie de la République à notre arrivée avant de vous la remettre. »
Julian ouvrit en grand les yeux en apprenant avec consternation que sa solde était de 300 Dea.
« — Juste 300 Dea, tu dis ? » demanda Julian.
300 Dea — si cette somme était convertie en une valeur de ma vie antérieure, cela serait environ 30 000 yens.
C’était donc un salaire journalier de 30 000 yens rien que pour le nettoyage (250 euros).
Il semblerait que ce montant soit stupéfiant pour Julian et d’autres.
« Comme c’est tyrannique ! » Jilk avait aussi fait un pas en arrière alors qu’il était clairement en état de choc.
Brad et les autres faisaient une tête incrédule.
« Voulez-vous nous faire nettoyer juste pour ça ? C’est de la folie ! »
Mes épaules s’étaient baissées en raison de l’exaspération.
« Ce qui est étrange ici, c’est que vous êtes de jeunes maîtres gâtés. Écoutez bien, vous allez être payé 300 Dea pour le nettoyage. C’est déjà une somme astronomique, » déclarai-je.
Einhorn sous le contrôle de Luxon n’avait pas besoin d’équipage.
C’est pourquoi le seul travail qu’ils peuvent faire était le nettoyage.
C’était offensant de s’occuper de ces types qui ne faisaient rien, alors j’avais pensé leur faire faire un peu de ménage.
J’avais même préparé la paie de 300 Dea pour eux, et pourtant ils me regardaient comme si j’étais un méchant.
« Bats-toi, Baltfault ! Si je gagne, tu devras changer ce genre de traitement ! » Greg souleva sa brosse de pont et laissa sortir une phrase folle.
Je me sentais malheureux.
« Si tu veux faire une blague, fais-le après avoir fini de nettoyer. Et puis, je t’en supplie, si tu veux faire une blague alors il faut que ce soit plus facile à comprendre. J’ai presque cru que tu disais ça sérieusement, » déclarai-je.
« Je suis sérieux maintenant ! » s’écria Greg.
Je m’étais encore une fois caché le visage de la main gauche et j’avais levé les yeux vers le ciel.
Chris serra la main de frustration. « Nous dis-tu d’accepter ce genre de traitement ? Merde ! Bon sang ! »
Il avait l’air vraiment frustré, mais l’ordre que je leur donnais était de travailler de neuf heures à dix-sept heures.
Je leur avais même donné deux heures pour faire une pause.
Dois-je vraiment me faire reprocher comme ça ?
« Vous êtes vraiment inutiles, » avais-je grommelé.
Les cinq idiots m’avaient envoyé des regards remplis de colère en entendant cela.
En revanche, Marie et les autres personnes entrèrent dans l’intérieur du navire en portant leur matériel de nettoyage.
« Kyle, Cara, finissons-en vite, » déclara Marie.
« Oui. De toute façon, la plus grande partie du navire est déjà propre, je pense que nous n’aurons besoin de nettoyer les toilettes qu’après avoir nettoyé le couloir, » déclara Kyle.
« Ah, je vais nettoyer les toilettes des femmes, Lady Marie ! » déclara Cara.
Marie et les autres semblaient s’amuser.
« 300 Dea juste pour le nettoyage, comme prévu grand frè — Léon est vraiment doux, » murmura Marie.
Marie avait laissé ces mots derrière elle avant de s’en aller. Comme d’habitude, cette fille n’était pas minutieuse quand elle faisait quelque chose.
Mais, j’avais peur parce que même quelqu’un comme elle serait mignon après avoir regardé ces cinq-là.
« Baltfault, bats-toi contre moi ! » Greg avait crié. Je lui avais envoyé un regard froid en tournant mes yeux vers le ciel bleu.
— Pourquoi dois-je étudier à l’étranger avec ce genre d’idiots ?
Et puis, dois-je vraiment aller à la République ce qui fait que je dois même me séparer de mes deux fiancées alors qu’on a enfin pu se fiancer ?
Tout — avait été causé par nul autre que « ce terrible Jeu Vidéo Otome » qui avait eu une suite.
« Je me demande si elles vont bien toutes les deux en ce moment, » murmurai-je.
« Hé, ne m’ignore pas ! » s’écria Greg.
J’avais ignoré ces idiots bruyants et j’avais commencé à nettoyer le pont.
« BALTTTTFAAAAULLLTTTT ! »
« Tu es agaçant ! Tais-toi et nettoie, imbécile de 5 ans ! » déclarai-je.
J’avais lancé ma brosse sur Greg.
— Pourquoi dois-je me rendre à la république d’Alzer avec l’impression qu’être un employé qui a été muté loin de chez lui, laissant Anjie et Livia derrière, même si nous venions de nous fiancer ?
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Partie 2
Dans l’académie du Royaume de Hohlfahrt.
Livia se changeait dans sa chambre.
La veste de son uniforme qui était accrochée sur le cintre portait la marque de la pairie de chevalier cousue dessus.
Livia — Olivia avait obtenu une décoration pour la bataille contre l’ancienne principauté de Fanoss. C’était une fille aux cheveux bruns brillants, coupée dans une coupe de cheveux au carré.
Ses yeux bleus étaient clairs et il émanait d’elle une aura de douceur.
Son corps sain avait l’air doux avec de gros seins.
Quand elle avait regardé son apparence en sous-vêtement dans le miroir, elle avait eu le sentiment qu’elle était devenue légèrement plus grande.
« Est-ce que ce sera mieux si j’en achète un nouveau ? Mais, ce sera cher, » déclara Livia.
Elle se demandait si elle ne devrait pas remplacer l’ancien, la main tendue vers sa chemise.
Puis elle avait entendu la porte se faire frapper rapidement.
« Livia, c’est moi. » La propriétaire de la voix était Anjie — Anjelica Rafa Redgrave.
Ses cheveux blonds avaient été tressés en faisceau. C’était la fille d’un duc aux yeux rouge vif.
Et puis, tout comme Livia, elle était aussi une fille fiancée à Léon.
« Ah, oui, oui, » Livia répondit par réflexe, mais elle se rappela alors qu’elle ne portait que des sous-vêtements et se hâta de saisir sa jupe.
« Hein, ah, uah ? » Mais, parce qu’elle était trop pressée, son équilibre s’était brisé et elle était tombée en avant. « Outch, » s’écria Livia.
Anjie ouvrit la porte et entra dans la pièce à ce moment-là. « Livia, une lettre de Léon, que fais-tu ? »
Livia était par terre, les fesses en l’air. Anjie s’approcha d’elle et lui donna un coup de main.
Anjie était différente de Livia. C’était une fille imposante.
Mais, elle faisait une tête vraiment inquiète devant Livia.
Son corps, qui était modérément entraîné, avait clairement une belle silhouette, même vue avec son uniforme sur elle.
Elle avait des seins plus gros que ceux de Livia, mais avec son atmosphère, elle avait l’air plus mince que Livia.
Livia attrapa la main d’Anjie pour se lever et sourit pour s’excuser. « Je suis désolée. J’ai glissé. »
« C’est bien, mais tu es encore en train de te changer. Tu n’avais pas besoin d’être si pressée. Ah, en mettant ça de côté —, » commença Anjie.
Anjie tourna son regard vers la sphère blanche flottant sur le côté.
La sphère était aussi grande qu’une balle de softball. Il n’avait qu’un seul œil bleu.
Son apparence était la même que celle de Luxon, mais avec des couleurs différentes. La sphère, Creare tournait en rond autour d’Anjie et Livia joyeusement.
« Un email du maître est arrivé, » déclara Creare.
« Du email ? Qu’est-ce que c’est ? » demanda Livia.
« C’est comme une lettre. Vous pouvez échanger des mots en l’utilisant sans écrire sur papier, » répondit Creare.
« La technologie des Artefacts disparus est étonnante, » s’exclama Livia.
Livia avait été impressionnée. Anjie lui avait alors montré le contenu du courrier imprimé par Creare.
« C’est de la part de Léon. Il semble que Son Altesse Julian et d’autres lui causent déjà des ennuis, » déclara Anjie.
Livia avait lu le contenu et avait souri avec ironie.
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« Allez-vous bien ? Je suis déjà fatigué. »
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Le courrier avait commencé par une phrase inquiétante, mais Léon semblait en bonne santé.
Cependant, il avait écrit beaucoup de plaintes au sujet de Julian et les autres nobles.
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« Aujourd’hui aussi, Jilk est devenu fou et a protesté “Ce traitement est injuste !” dit-il. C’est devenu une bagarre quand je me suis moqué de lui et que je lui ai botté les fesses. C’était un désastre. »
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« Léon, va-t-il bien ? » demanda Livia.
Livia s’inquiétait pour Léon. Creare lui avait expliqué la situation en détail. « Il va bien parce que Luxon est à ses côtés. S’ils posent la main sur le maître, ce type ne s’arrêtera pas avec juste une petite vengeance. — Il ne laissera même pas de preuves derrière lui, tout sera effacé. »
Anjie fit une tête troublée parce que le maître et le serviteur faisaient des remarques inquiétantes.
« Ne les efface pas. Tu comprends ? Ne les efface absolument pas, » s’écria Anjie.
« Oh, sous-entendez-vous peut-être que “vous pouvez vraiment les effacer” ? » demanda Creare.
« Je voulais dire ces mots littéralement. Pourquoi as-tu compris qu’il avait un sens différent ? » demanda Anjie.
Livia écoutait cette conversation en lisant le dernier paragraphe du courrier.
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« Je me sens seul parce que je ne peux pas vous rencontrer toutes les deux. J’ai déjà le mal du pays. »
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« — Léon, » murmura Livia.
Livia avait l’air inquiète. Creare lui avait donné une explication supplémentaire.
« Cette phrase n’est qu’un vœu pieux, » déclara Creare.
« Hein ? » demanda Livia.
D’après Creare, Léon semblait toujours aller bien.
Mais Livia avait souri face à la lettre qui était exactement appropriée venant de Léon.
« Je suis soulagé que Léon semble aller bien, » déclara Livia.
Anjie était également d’accord.
« Ouais. On ne peut pas perdre non plus. Au fait, n’as-tu pas besoin de faire visiter l’académie aux étudiants communs aujourd’hui ? » demanda Anjie.
Livia se hâta de vérifier l’heure en réponse aux paroles d’Anjie.
« C-C’est vrai ! Je dois me dépêcher et me préparer ! » s’écria Anjie.
Livia enfila son uniforme en toute hâte. Anjie l’avait aidé à faire ça.
L’objectif bleu de Creare les fixait.
***
À l’intérieur de la salle à manger du navire, Marie et moi — et mon partenaire Luxon — étions là.
Cette sphère de couleur métallique avec un seul œil rouge était l’extension de Luxon.
J’oubliais souvent, mais le corps principal de Luxon était un vaisseau spatial.
La sphère qui flottait ici n’était rien de plus qu’un terminal.
« Alors, le pays appelé la république d’Alzer est un pays fort et plein de ressources qui exporte des ressources énergétiques ? » Aujourd’hui aussi, il résumait la conversation entre Marie et moi par une voix électronique calme.
Marie avait étiré son petit corps tout en essuyant la table. Elle répondit sèchement en même temps. « C’est bien ça. »
« Un pays fort et plein de ressources avec un arbre sacré qui est grand comme une montagne, n’est-ce pas ? » demanda Luxon.
Notre discussion portait sur la République d’Alzer vers laquelle nous nous dirigeons.
Moi qui ne savais pas que ce jeu avait une suite, je n’avais pas assez d’informations.
Marie était la seule à avoir des informations.
Mais, il y a aussi un problème avec Marie.
« Y a-t-il autre chose que tu saches ? » demanda Luxon.
Marie en avait marre parce que Luxon n’arrêtait pas de demander.
« Je suis en train de te le dire ! Je ne m’en souviens pas non plus ! Tu crois que je me souviens d’un jeu auquel j’ai joué il y a longtemps ? Ma mémoire est floue, » s’écria Marie.
J’avais vaporisé la table avec un pulvérisateur d’alcool et je l’avais essuyée en grognant.
« Les informations que j’ai entendues de Milaine auparavant étaient encore meilleures, » déclarai-je.
Les informations de Milaine étaient — .
La république d’Alzer a fait de l’arbre sacré l’objet de sa foi.
L’arbre sacré est le symbole de la République. Il y a six terres autour de la terre où l’arbre sacré réside.
Les six terres sont reliées par les racines qui poussent de l’arbre sacré.
Chacune des six terres est gouvernée par une famille de nobles. Les six nobles régnants sont appelés les grands nobles.
Ces six grands nobles vont décider de la politique en discutant entre eux. C’est un pays formé par la coopération de ces grands nobles.
Le royaume d’Hohlfahrt importe également de la pierre magique de la République d’Alzer.
— Il y avait eu aussi une guerre entre les deux pays dans le passé.
Bien que le royaume ait été vaincu facilement quand le royaume l’avait envahi.
Par la suite, les deux pays avaient établi des relations diplomatiques qui avaient mené à la situation actuelle.
Ce n’était pas comme si le Royaume Hohlfahrt était le seul. De nombreux pays avaient envahi la République d’Alzer pour leurs ressources.
Pour exprimer la République d’Alzer en termes simples, c’était un pays fort avec des ressources abondantes qui n’avait jamais goûté la défaite dans une bataille défensive, quelque chose comme ça ?
Même en se plaignant, Marie nous avait parlé du deuxième jeu en s’appuyant sur sa mémoire floue.
« À l’heure actuelle, il n’y a que six grands nobles, mais dans le passé, c’était sept grands nobles, » déclara Marie.
« J’ai eu des nouvelles de Milaine. Si je me souviens bien, la maison qui servait de président a été détruite il y a dix ans, » déclarai-je.
« La fille de ce grand noble détruit est le personnage principal du second jeu, » déclara Marie.
« Son nom ? » demandai-je.
« Le nom de famille provisoire était Beltre. Mais c’est le joueur qui devait entrer son prénom, donc je ne connais pas son prénom. Elle a les cheveux roses en queues jumelles et une fille très facile à vivre. Je pense que beaucoup de choix dans ses dialogues donnaient une impression de vivacité…, » répondit Marie.
Il semblerait que le personnage principal soit une fille avec des queues jumelles et une allure facile à vivre.
« C’est inattendu. Je pensais que le personnage d’un jeu vidéo otome serait plus docile, » déclarai-je.
« C’est parce que le personnage principal du premier jeu avait son cerveau rempli de trop de champs de fleurs qu’elle était détestée. Peut-être que le développeur y a réfléchi et a fait du personnage principal du second jeu une fille facile à vivre ? Eh bien, elle est toujours meilleure que le personnage principal impopulaire du premier jeu, » déclara Marie.
J’avais envoyé un regard froid à une Marie qui riait.
« Je te tuerai si tu dis ça devant Livia, » déclarai-je.
« Je, je ne le dirai pas, » balbutia Marie.
Marie détourna son regard de moi. Luxon la regarda.
« Eh bien, reportons ce sujet à plus tard. Raconte-nous l’histoire du deuxième jeu en général, » déclara Luxon.
Marie se souvient de l’histoire tout en nous la racontant.
« Er ~ r, d’abord le personnage principal inscrit à l’académie de la République. L’académie de la République est de haut niveau, mais même les roturiers peuvent s’y inscrire. Là, le personnage principal se rapprochera des cibles de la conquête, » répondit Marie.
« L’éducation, quel que soit le statut de chacun ? C’est une politique vraiment drastique pour l’aristocratie. Ne craignent-ils pas que les roturiers se révoltent après leur éducation ? » demandai-je.
« Je ne sais rien à ce sujet. N’est-ce pas juste pour la commodité du jeu ? » demanda Marie.
« C’est vraiment une façon directe de le dire, » répondis-je.
Marie avait ensuite expliqué l’histoire du personnage principal.
« Le dernier boss est l’actuel chef de la maison “Rault”. La maison du personnage principal a été détruite par ce type. Je pense que, le scénario, c’est que — la mère du personnage principal l’a rejeté dans le passé. Il semble que le dernier boss ait détruit sa maison pour se venger, » déclara Marie.
La maison qui servait de président avait été détruite par vengeance pour avoir été rejetée ?
Ce jeu vidéo otome est vraiment incroyable. Non — est-ce ce jeu dans son ensemble qui est incroyable ?
« L’une des maisons qu’on appelait les sept grands nobles peut-elle être détruite pour cette seule raison ? » demanda Luxon.
J’avais mis de côté la question de Luxon.
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Partie 3
J’avais ri de ce schéma stéréotypé.
« Alors ce n’est pas différent du premier jeu. Un jeu vidéo otome semble toujours identique sur beaucoup de points. La protagoniste a l’air ordinaire, mais en fait elle a une capacité ou une lignée étonnante ~, c’est le schéma, n’est-ce pas ? » déclarai-je en riant. « C’est un jeu de fille qui est identique avec seulement les illustrations changées. »
« Ne les mets pas dans le même panier ! Chaque jeu de filles a son caractère unique ! » s’écria Marie.
« C’est la même chose à mes yeux, » répondis-je.
« — S’il te plaît, continu, » je m’étais plaint à Marie qui s’était soudainement battue à propos des jeux de filles, mais Luxon nous avait arrêtés.
Marie avait parlé du développement dans le jeu après cela avec un regard mécontent.
« Les cibles de conquête sont toutes liées aux six grands nobles. Le personnage principal atteindra une fin heureuse si elle se marie avec quelqu’un parmi eux et fait revivre sa maison, » déclara Marie.
J’avais compris le côté romantique.
Le problème, c’était le dernier boss.
« Et le dernier boss ? Le monde sera-t-il détruit s’il reste là ? » demandai-je.
« Je ne sais pas jusque-là, mais je pense que ce serait mal s’il restait en vie. Parce que le dernier boss est l’arbre sacré, » déclara Marie.
« — Ha ? Non, tu viens de dire que c’est le chef de la maison Rault ! » m’écriai-je.
« C’est normal, car le chef de la maison Rault fusionnera avec l’arbre sacré ! » répondit Marie.
Marie avait dit « Ah, je m’en souviens ! » et parlait joyeusement.
« À propos de cet arbre sacré, il fournit de l’énergie à la République. Les pierres magiques qu’ils en obtenaient sont pour la plupart vendues à l’étranger. L’arbre sacré est enraciné dans la République, de sorte qu’ils peuvent obtenir de l’énergie n’importe où, » expliqua Marie.
C’est incroyable.
Apparemment, la raison pour laquelle c’était un pays fort avec des ressources abondantes était fortement liée à l’arbre sacré.
« Pour que cet arbre sacré soit le dernier boss, » murmurai-je.
« À la fin, il se lèvera et deviendra un monstre dégoûtant qui se déchaîne. C’est étonnamment énorme et il cause beaucoup de dommages à la terre quand il se déchaîne. La fin heureuse, c’est quand le personnage principal le vainc et plante l’élément clé, la pousse de l’arbre sacré en remplacement. Je pense qu’elle est aussi choisie comme prêtresse. Et si je ne me trompe pas, son amoureux sera le protecteur ou quelque chose comme ça —, » déclara Marie.
Des choses comme la prêtresse ou le protecteur n’avaient pas l’air d’avoir de l’importance.
Mais le dernier boss ne pouvait certainement pas être laissé tranquille.
J’avais pensé à quelque chose.
« Attends. Alors, cela ne sera-t-il pas correct si Luxon détruit l’arbre sacré ? Il sera facile de le détruire avant qu’il ne se déchaîne, » déclarai-je.
Marie hocha aussi la tête profondément. « Je pense que oui. Tant que le dernier boss est vaincu, il n’y aura plus de problème. Luxon, sors ton canon. Rayon Laser, FEU ! »
Nous avions fait des regards à Luxon qui étaient remplis d’attente — mais Luxon avait demandé à la place.
« Est-ce vraiment bien ? »
« Nous allons le vaincre de toute façon, alors il vaut mieux le faire plus tôt, » déclara Marie.
« Non, je demande si je peux détruire la République, » demanda Luxon.
« — Hein ? » s’exclama Marie.
Apparemment, la République périrait si l’arbre sacré était détruit.
Qu’est-ce qu’il veut dire ?
« Non, attends un peu. Pourquoi la République périrait-elle alors que le dernier boss est… ah !? » m’exclamai-je.
Je l’avais finalement remarqué.
Mais Marie pencha la tête. « Quoi ? Quoi ? Battons-nous tout de suite. »
« Imbécile ! Ce sera échec et mat pour la République si l’arbre sacré est vaincu ! » m’écriai-je.
« Pourquoi ? » demanda Marie.
« Leur source de revenus sera détruite ! » déclarai-je.
La République pouvait exporter des pierres magiques vers d’autres pays uniquement parce qu’ils avaient l’arbre sacré.
Mais, si l’arbre sacré disparaît, ils seront forcés d’utiliser ces pierres magiques pour remplacer l’énergie qui était habituellement fournie par l’arbre sacré.
La République qui profitait de la vente de la pierre magique perdra son importante industrie.
De plus, perdre l’arbre sacré ferait tomber la République dans le chaos avant de les faire périr.
La disparition de leur source d’énergie serait comme si nous étions soudainement incapables d’utiliser l’électricité dans notre vie antérieure.
Marie aussi s’en était rendu compte et elle était devenue pâle.
« A-Alors, battons-le après qu’il soit devenu le dernier boss, comme nous l’avions prévu au départ, » déclara Marie.
Ce serait plus sûr.
Je ne voulais pas porter la responsabilité de détruire la République.
« Ouais. Attendons avec impatience le personnage principal et les efforts de ses amis, » déclarai-je.
Nous allions simplement veiller sur le personnage principal en toute sécurité qui se rapprochera des cibles de conquête, avant qu’ils ne renforcent leur amour.
C’est ce que je pensais, mais Luxon avait des doutes. « Au fait, à propos de l’arbre sacré, peut-il fournir la même quantité d’énergie que l’arbre sacré adulte quand il est encore un jeune arbre ? »
« Ce bruit est impossible. As-tu quelque chose à ce sujet ? » demandai-je.
L’arbre sacré qui était grand comme une montagne, et un jeune arbre. Je pense que leur capacité serait complètement différente.
Marie semblait également considérer le même doute.
« Non ! Ça, c’était une fin heureuse dans le jeu, et je ne connais pas le décor avec autant de détails comme ça. Je ne peux en aucun cas savoir comment leur économie va évoluer après cela, » déclara Marie.
« Qu’est-ce qu’on va faire ? À ce rythme, le royaume sera également troublé, » déclara Luxon.
« Après tout, le Royaume Hohlfahrt importe aussi de la pierre magique de la République d’Alzer. Eh bien, le royaume n’en dépend pas, cela signifie seulement qu’ils perdront un exportateur de pierre magique, » déclarai-je.
« Je ne sais rien, même si tu me demandes ça ! On n’a pas du tout parlé de politique à la fin ! » déclara Marie.
— Et maintenant.
La République d’Alzer est-elle vraiment en difficulté en ce moment ?
Julian était entré dans la salle à manger pendant que Marie et moi nous nous taisions.
« Marie, es-tu en sécurité ? » demanda Julian.
Julian avait couru par ici après nous avoir vus. Il semblerait qu’il s’agissait d’un malentendu.
Julian avait confirmé que Marie n’était pas blessée avant de me regarder dans les yeux.
« Baltfault, je ne te pardonnerai pas si tu te rapproches de Marie ! » s’exclama Julian.
« Pas besoin de s’inquiéter parce que ma préférence n’est pas une planche à repasser comme elle. Mais il y a une chose plus important encore. Retourne rapidement à ton travail, » ordonnai-je.
Je ne pouvais pas avoir une discussion décente avec Marie à cause de ce type.
Quant à Marie, elle déclara quelque chose comme. « Euh ! M-Même moi, j’ai des seins même s’ils sont petits ! » comme s’il y avait une montagne dans une plaine.
Ça m’a rendu triste d’entendre ça, alors s’il te plaît, ne prend pas cet air-là.
Mais Julian ne pouvait pas l’accepter.
« Marie est une femme merveilleuse ! » s’écria Julian.
« Je vois. C’est une bonne chose. J’ai Anjie et Livia, donc je ne commettrai aucun adultère, » déclarai-je.
Tout d’abord, si j’avais commis une erreur, ma tête allait voler.
Le père d’Anjie n’avait pas l’air de quelqu’un qui pardonnera l’adultère.
Non, mais je ne le ferai pas.
Je ne tricherai pas.
Julian se tenait devant Marie pour la couvrir face à moi. On dirait qu’on ne pourrait pas parler plus que ça.
J’avais soupiré en sortant du réfectoire. « — Bon sang. »
***
Julian avait scruté Léon en sortant du réfectoire avant de se tourner vers Marie. « Marie ! S’est-il passé quelque chose ? »
Julian parla doucement à Marie, mais elle avait l’air un peu fatiguée.
« Tout va très bien. D’abord, Léon ne me touchera pas, » répondit Marie.
« Ce type est aussi un homme. C’est mieux si tu es prudente, » déclara Julian.
Marie ne savait pas quoi dire ici. Elle avait parlé à Julian avec découragement. « Julian, je retourne à mon ménage. Julian, tu retournes aussi à ton travail. »
« Non ! »
« Allez ! » Marie avait repoussé Julian.
« Marie, je reste avec toi ! » déclara Julian.
« Le nettoyage ne finira pas comme ça ! Retourne à l’endroit qui t’a été assigné ! » déclara Marie.
Julian avait été chassé du réfectoire. Là, il avait trouvé Luxon flottant dans le couloir.
Julian s’était plaint à Luxon. « Oh, ton maître essaie de mettre la main sur Marie même s’il a déjà des fiancées. Surveille-le bien ! »
Julian pointa du doigt et déclara cela, puis Luxon répondit d’un ton froid. « Ne me donne pas d’ordre. Retourne à ton travail. »
L’attitude de Luxon était froide, contrairement à ce qu’il faisait quand il traitait avec Léon. Julian en fut stupéfait.
« Euh — . »
Luxon retira son regard de Julian.
Dans son champ de vision, Léon marchait un peu plus loin en portant une brosse de pont sur son épaule.
« Luxon, j’ai faim. Alors, allons déjeuner, » déclara Léon.
« Maître, il reste encore 45 minutes avant l’heure du déjeuner, » répondit Luxon.
« C’est très bien. Mangeons déjà maintenant, » déclara Léon.
« On n’y peut rien, » déclara Luxon.
Bien qu’il se plaignait, il avait l’air d’ouvrir son cœur vers Léon. Julian n’avait pas pu l’accepter en voyant ça. « Qu’est-ce que c’est que ce truc ? »
***
Dans le royaume d’Hohlfahrt, Livia faisait visiter l’académie aux étudiants boursiers.
Livia portait un classeur qui contenait des documents. Après avoir fini de donner des explications en général, elle s’était tournée vers les étudiants boursiers.
« C’est tout ce qu’il y a à dire. Y a-t-il des questions ? » demanda Livia.
Les étudiants n’étaient pas nobles, mais ils avaient quand même eu de bonnes formations.
Ils étaient fils et fille de riche marchand. Du point de vue de Livia, ils étaient comme de riches jeunes hommes ou jeunes filles de bonne famille.
Mais il y avait aussi des nouveaux parmi eux. Des individus qui avaient gagné la célébrité en tant qu’aventuriers y avaient également été mêlés.
On pourrait dire qu’il était approprié pour le royaume qui respectait l’occupation d’aventurier d’agir ainsi.
Ils avaient plus de seize ans. Il y avait même des étudiants plus âgés que Livia parmi eux.
Un élève avait levé la main.
« Er ~ r, Monsieur Curtis, » Livia l’avait appelé en regardant le document. Le jeune homme appelé Curtis avait balayé le long de ses avant-bras tout en parlant d’un ton snob.
« Je suis reconnaissant du fond du cœur d’avoir pu m’inscrire à l’académie. Mademoiselle Olivia, avez-vous un homme avec qui vous sortez ? » demanda Curtis.
En entendant cette réplique, certaines personnes autour de lui avaient l’air exaspérées alors que d’autres étudiants se moquaient de lui.
Mais Curtis n’y faisait pas attention.
Livia répondit en souriant. « J’ai un fiancé merveilleux. »
Curtis haussa les épaules. « Mes plus sincères excuses. J’aurais aimé vous rencontrer plus tôt. »
Ce n’était pas un jeune homme qui s’obstinait à draguer une fille.
Mais — le jeune homme derrière ce Curtis, Aaron, il avait les cheveux bruns qui poussaient jusqu’aux épaules. Ses cheveux étaient maintenus en place à l’aide d’une cordelette.
Il était aussi grand et les manches de son uniforme étaient pliées.
Sa chemise était ouverte au niveau de la poitrine et le corps qui pouvait être vu de là était bien entraîné.
Bon sang, je vais vomir en regardant ces jeunes maîtres. Mais —
Les yeux d’Aaron fixaient Livia avec une lueur sauvage.
Aaron avait réussi en tant qu’aventurier. Il avait reçu une invitation du royaume lui demandant s’il voulait s’inscrire à l’académie.
Au début, il avait baissé les yeux sur l’offre, mais il avait décidé de s’inscrire en pensant qu’une vie scolaire ne serait pas si mauvaise.
Après tout, Aaron était…
Cela fait longtemps que je ne suis pas allé à l’école. Je vais bien m’amuser ici. Après tout, j’ai décidé de m’éclater dans ma seconde vie.
— Un réincarné
Je suppose que je vais commencer par cette Olivia. Elle a dit qu’elle avait un fiancé, mais ça ne me regarde pas.
Les mauvaises pensées d’Aaron étaient dirigées vers Olivia.
Ah 😱 pas de ntr, luxon fait disparaitre ce Aaron !!! 😡