Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 4 – Chapitre 1

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Chapitre 1 : République d’Alzer

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Chapitre 1 : République d’Alzer

Partie 1

Einhorn approchait de la République d’Alzer.

La terre se dessinait à l’horizon. Mais la silhouette floue du grand arbre que l’on pouvait voir de loin se détachait encore plus que cela.

C’était si grand que je me demandais si j’avais un problème aux yeux.

« Ce n’est pas vraiment quelque chose comme si le sol était petit, n’est-ce pas ? » demandai-je.

En réponse à mes paroles, Luxon avait aussi répondu froidement aujourd’hui. « C’est un grand pays. Il n’y a aucune chance que ce soit le cas. »

« C’est juste trop grand. Ce sera plus facile à croire si on me disait que c’était une montagne, » déclarai-je.

C’était un monde où les sols flottaient.

Je ne serai pas surpris par la plupart des choses, mais, comme prévu, j’étais surpris de voir à quel point l’arbre sacré était grand.

« Malgré tout, nous arrivons enfin à la République d’Alzer, » déclarai-je.

« C’était une croisière relaxante. Le maître est-il correct avec l’apprentissage des langues ? » demanda Luxon.

« Si c’est juste pour la conversation quotidienne, c’est bon, » répondis-je.

Je l’avais appris en classe, mais ce serait une autre histoire de le pratiquer.

J’avais étudié à bord du navire, mais il y avait encore beaucoup de choses que je ne comprenais pas bien.

Nous verrons bien comment cela se passera.

« Alors, je traduirai la partie manquante, » déclara Luxon.

« Tu peux faire ça !? » demandai-je.

« Oui, » répondit Luxon.

« Alors tu aurais dû le dire depuis le début. J’ai perdu mon temps à étudier si sérieusement comme ça, » déclarai-je.

« L’étude est devenue un bon moyen de tuer le temps pour une personne paresseuse comme le maître, » déclara Luxon.

C’était certainement devenu un bon moyen de tuer le temps pendant ces quelques jours avant d’arriver à la République.

Eh bien ! Si nous nous dépêchions, nous pourrions arriver en un jour, mais le royaume avait envoyé un avis à la République et dedans, il y avait l’heure où je devais arriver.

Ce serait aussi un problème si nous arrivions trop vite.

Je regardais la République depuis le pont.

« Maintenant, je me demande comment est la situation à l’heure actuelle, » déclarai-je. « Le personnage principal s’entend-il bien avec les cibles de conquête sans problème ? »

Luxon leva les yeux.

Puis, Einhorn avait été couvert d’une ombre.

« Est-ce un nuage ? » demandai-je.

Quand j’avais levé les yeux, j’avais vu le ventre d’un dirigeable.

« Ils viennent ainsi par dessus un dirigeable ? Quel genre d’idiot est en train d’agir ainsi ? » m’écriai-je.

Normalement, c’était une brèche dans la défense, et c’était donc vu comme une manière inappropriée d’agir.

Luxon m’avait informé qu’ils venaient par ici. « Ils se présentent comme des gardes de la République. Ils s’approchent de nous. Dois-je les abattre ? »

« Arrête ça. Même ainsi, c’est vraiment impoli pour eux d’approcher d’en haut comme ça, » déclarai-je.

« — Ils nous disent de les laisser inspecter le vaisseau avec une attitude très hautaine, » déclara Luxon.

Attitude hautaine ?

***

Marie et les autres personnes de son groupe étaient rassemblées dans la salle à manger d’Einhorn.

Kyle et Cara parlaient à Marie.

« Maîtresse, nous arrivons enfin, » déclara Kyle.

« Ce dernier dirigeable est incroyable. Il peut arriver jusqu’à la République si vite, » déclara Cara.

C’était le dirigeable que Luxon avait construit.

Sa capacité de base était différente de celle du dirigeable de ce monde.

« Ouais. Eh bien, nous sommes arrivés comme prévu, donc il n’y a pas de problème, » déclara Marie.

Et puis, s’il y avait un problème, c’était de le faire avec Julian et les autres fils de noble.

Lorsque Marie tourna son regard vers eux, ils furent soulagés qu’ils arrivent enfin dans la République.

« Même cette rare chance d’avoir une croisière avec Marie a été gâchée, » déclara Julian.

« C’est vraiment impardonnable, » déclara Jilk.

Julian voulait s’amuser au cours de ce voyage. Même Jilk était d’accord avec lui.

« Vous n’êtes pas dans une position où vous pouvez jouer ! »

Ils avaient causé des problèmes à plusieurs reprises dans le royaume.

C’est pour cela qu’ils avaient été plus ou moins envoyés de force pour étudier à l’étranger comme ça.

Greg s’était étiré. « J’en ai assez de nettoyer. J’ai l’impression d’avoir nettoyé toute une vie. »

Marie était ennuyée par ses paroles. Non, ne soyez pas paresseux en vous contentant de nettoyer ! Vous venez de faire le ménage depuis seulement plusieurs jours, qu’entendez-vous par la valeur d’une vie !

Ils étaient autrefois de jeunes maîtres de grands nobles.

Quelque chose comme le nettoyage était inconnu pour eux.

Chris avait parlé à Brad. « Je n’ai pas pu m’entraîner suffisamment pendant ces quelques jours. »

« J’étais aussi incapable de pratiquer la magie. De plus, j’aurais aimé pouvoir revoir mes études de langue avant d’entrer à la République, » déclara Brad.

Ils avaient eu une bonne éducation. Naturellement, on leur enseignait aussi la langue de la République.

Marie était jalouse de cela. Même si j’étudiais désespérément avec Kyle et Cara !

Léon avait fait preuve de tact et ne donna que du travail léger à Marie et aux autres étudiants.

Ils consacrèrent tout leur temps à l’étude de la langue de la République, sauf quand il devait faire le ménage.

Je l’ai oublié, mais ces gars sont vraiment les descendants de familles nobles.

Ils avaient montré à quel point ils étaient différents d’elle, mais elle ne les enviait pas à cause de leur malheureuse personnalité.

Julian avait souri à Marie. « Mais nous serons libérés de ce pauvre environnement maintenant que nous sommes arrivés à la République. Marie, reprenons notre temps ensemble à la République. »

L’expression avait disparu du visage de Marie.

Pauvre ? Eh, attends une seconde. J’étais — quand même vraiment heureuse ici.

Ils avaient eu des repas et un lit convenables rien qu’en faisant un peu de travail.

Elle avait également pu trouver du temps pour étudier. Elle avait même pu profiter de la croisière pendant leurs pauses.

Marie avait aussi pu avoir l’esprit tranquille parce que Léon était là, alors elle n’avait ressenti aucun inconvénient.

— Le problème n’était que ces cinq-là.

« Marie, profitons de notre vie à la République. » Jilk lui avait souri. Ça avait fait convulser les joues de Marie.

Où vas-tu trouver l’argent pour t’amuser, hein !?

Le royaume n’avait préparé que le budget minimum pour Marie et les autres nobles qui avaient causé des problèmes.

Ils ne pouvaient pas vivre dans le luxe dans leur situation.

Greg avait aussi l’air joyeux. « J’ai hâte d’y être. Maintenant que j’y pense, j’ai entendu dire qu’il y a aussi plusieurs donjons à Alzer. Ce serait bien d’aller à l’aventure avec tout le monde là-bas. »

Marie avait immédiatement voulu gagner de l’argent après avoir appris qu’il y avait des donjons.

Chris était d’accord avec l’opinion de Greg. « J’ai entendu dire qu’il y a beaucoup de pierres magiques dans les donjons d’Alzer. J’ai hâte d’y être. »

Marie se demandait exactement ce que ces cinq personnes attendaient de ces études à l’étranger, mais maintenant l’opinion pour ces deux-là commençait à monter en flèche à l’intérieur de Marie.

Greg, Chris — J’ai toujours cru en vous deux. Gagnons beaucoup d’argent.

Ils n’avaient pas d’argent pour s’amuser ou autre.

Il y aurait des donjons, alors elle voulait tout donner pour gagner de l’argent.

Mais, les mots suivants de Brad lui avaient rappelé une chose. « Je me demande un truc. L’académie, c’est ça ? J’ai entendu dire qu’ils n’enseignent pas à être des aventuriers là-bas. On m’a dit qu’ils traitaient les aventuriers comme de simples ouvriers à Alzer. »

Maintenant qu’il l’a mentionné, c’est comme ça dans le jeu. Mais, nous n’avons pas d’argent, alors je veux faire un massacre dans un donjon au moins une fois et tout mettre de côté.

L’origine de la République d’Alzer était différente de celle du royaume.

À cause de ça, le métier d’aventurier avait été regardé avec dédain ici.

L’aventurier était un ouvrier qui sortait des pierres magiques. Ce genre de perception était très forte ici.

Einhorn avait légèrement tremblé pendant qu’ils parlaient dans la salle à manger.

Kyle avait regardé dehors.

« Qu’est-ce que c’était ? C’est la première fois que ce vaisseau tremble comme ça, » déclara Kyle.

Cara était aux côtés de Marie. « Lady Marie, il y a peut-être un accident ? »

Mais Marie, qui connaissait les capacités de Luxon, s’approcha calmement de la fenêtre.

« Il n’y a aucune chance que quelque chose comme ça soit arrivé. En plus, c’était juste une petite secousse — ohm, un dirigeable s’approche ici, » déclara Marie.

Un dirigeable s’approchait d’Einhorn.

Julian se tenait aussi à côté de Marie pour regarder par la fenêtre.

« Est-ce le baptême de la République ? » se demanda Julian.

« Baptême ? » demanda Marie.

« C’est une histoire célèbre. Alzer tire de gros profits de l’exportation de pierres magiques. En même temps, ils font preuve d’une force inégalée dans les combats défensifs. Ils ont continué à gagner et sont devenus hautains en raison de ça, » déclara Julian.

Les soldats d’Alzer entrèrent dans le navire l’un après l’autre.

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Partie 2

Le hangar d’Einhorn.

Un capitaine d’âge mûr en uniforme militaire y était entré.

Il portait des médailles en quantité excessive sur sa poitrine.

Mais, il n’y avait aucune dignité de sa part.

Son estomac était vraiment gros et rond. On dirait que son uniforme militaire allait exploser n’importe quand.

Il marchait en fumant une cigarette. Les cendres tombaient sur le sol.

« Vous savez, c’est formellement interdit de fumer ici ? » Je l’avais prévenu doucement, mais le capitaine m’avait envoyé un sourire ridicule.

« Tu veux dire que je pourrais causer un incendie ici ? Bon sang, ne compare pas un officier d’Alzer comme moi avec toi, » déclara-t-il avec dédain.

Ils avaient dit que c’était une inspection, mais ils étaient montés à bord d’Einhorn et n’avaient rien fait d’autre qu’ergoter.

Ils se pavanaient en faisant comme s’ils étaient de loin supérieurs.

Le subordonné qui marchait derrière le capitaine m’avait parlé avec humilité. « Je suis désolé. Cela se terminera bientôt, alors s’il vous plaît, supportez ça. »

« Je m’y fais, d’accord, » déclarai-je.

Il avait l’air gentil au début, mais il avait le même air avec le capitaine et il m’avait dit qu’il m’obligeait à supporter ça.

Il n’avait pas l’air d’avoir l’intention de corriger cette attitude.

Et puis, quand ils étaient arrivés devant Arroganz, le capitaine avait éteint la cigarette en la pressant sur son châssis.

« Oh ! » m’écriai-je.

Le subordonné parlait calmement quand j’ai crié. « Ça va bientôt s’arrêter. »

C’est irritant.

Il agissait humblement, mais son sourire était désinvolte comme s’il se moquait de nous.

Le capitaine parla mal en regardant Arroganz. « Quelle armure déformée ! Cela n’a aucun sens. Le royaume fait-il ce genre d’armure ? Ils se donnent beaucoup de mal pour ce genre de bien inférieur, hein ? »

— Plutôt que moi, je m’inquiète plus pour Luxon. Ne va-t-il pas se fâcher en entendant ce genre de conversation ?

Même si ce type avait l’air calme, c’est quelqu’un qui allait vite dire. « Exterminons la nouvelle humanité ! »

Il pourrait se fâcher et couler la République.

— On l’avertira plus tard.

« Ce dirigeable a une belle apparence, mais ce n’est pas grand-chose. De plus, les équipages ont peur comme des fillettes face à l’inspection de la République et ils ne veulent pas sortir. Pathétique. Il semble que le royaume soit lâche, » déclara l’officier.

Des gens ennuyeux.

Mais je le supportai parce que je ne pouvais pas dire que ce vaisseau n’avait pas besoin d’équipage.

J’avais murmuré dans mon cœur, je peux transformer tes semblables en cendre n’importe quand. Calmons-nous avec ça.

C’était vrai, en tant que personne qui possédait une tricherie comme Luxon, je ne pouvais pas utiliser ce pouvoir de façon imprudente.

Après tout, j’étais un adulte capable de patience.

Le capitaine était parti pendant que je pensais ça.

« Un vaisseau sans valeur. On s’en va, » déclara le capitaine.

« Oui monsieur ! — Ah, s’il vous plaît, ne faites pas attention. La République d’Alzer accueille chaleureusement tous les étudiants étrangers, » le subordonné avait dit ça avant de suivre le capitaine.

Un homme éhonté.

J’avais regardé Arroganz dans le hangar.

Arroganz avait été brisée lors de la bataille contre maison Fanoss.

Partenaire était dans le même cas.

Mais, l’armure ici était une réplique, et Partenaire était aussi en cours de réparation en ce moment, pour un bon moment. Ou c’était plutôt le prétexte, car ce n’était pas vrai.

« Si je dois dire mon impression d’Alzer, c’est pitoyable, » déclarai-je.

Je ne serais jamais venu dans un tel lieu, si cela n’avait pas été le lieu principal du deuxième jeu.

Luxon était descendu du plafond. « Maître, permission d’attaquer ? »

« Attaquer le navire qui est venu pour l’inspection ? Je veux aussi attaquer, mais non, » répondis-je.

« Non, ce sera suffisant si le maître m’ordonne de couler la République, » répondit Luxon.

« Qu’est-ce que tu veux dire par suffisant ? Arrête ça. Franchement, arrête ça. Je suis sérieux, là, » répondis-je.

— Tu vois, comme je pensais qu’il pensait une chose horrible.

Même si ici, je ne pense qu’à saisir la faiblesse de ce capitaine et de son subordonné pour les menacer, au mieux, afin de me venger.

« Malgré tout, la République est un pays vraiment horrible, » déclarai-je.

« Ils profitent de la bénédiction de l’arbre sacré, bien qu’il n’y ait aucun doute que leur force nationale est au-dessus du royaume, » répondit Luxon.

« Marie l’a mentionné, » déclarai-je.

« Mais, ce n’est vraiment pas naturel, » répondit Luxon.

« Si je peux dire ce que je pense, ce monde est déjà plein de choses contre nature depuis le début. Les terrains flottent, puis il y a un arbre qui est plus grand que la montagne. Tous ces faits sont déjà étranges, » déclarai-je.

Je m’étais plaint. Alors Luxon avait dit. « En effet. Eh bien, je vais enquêter à partir de maintenant », et il avait coupé court à la conversation.

« Bon sang — de décider du sort du monde avec le romantisme entre l’homme et la femme ou avec amour, quel monde absurde ! » déclarai-je.

J’avais sincèrement prié pour que les études à l’étranger cette fois-ci se terminent sans problème.

***

Le port de la République d’Alzer.

Il avait été construit à l’orée de la zone.

Pour faire une comparaison avec ma vie antérieure, c’était comme un port construit sur la côte.

Mais, parce que la terre de ce monde flottait dans le ciel, il n’y avait pas de frontière entre la terre et la mer ici.

De nombreux dirigeables venaient et repartaient de l’aéroport tout le temps.

« Cela a pris beaucoup de temps, même après notre entrée à la République, » déclarai-je.

Je m’étais plaint en descendant la rampe. J’avais constaté la sensation de terre sous mes pieds après si longtemps.

Marie tenait son sac de voyage à deux mains. Elle descendit la rampe en étant essoufflée.

« Nous volions entre les terres pour atteindre ici. C’est étrange, d’une façon ou d’une autre. Aa ~, je suis fatiguée, » déclara Marie.

Une terre avait agi comme une pierre angulaire qui reliait six terres.

Cette terre était autrefois le territoire du grand noble qui avait produit la prêtresse de l’arbre sacré, la Maison Lespinasse. Aujourd’hui, c’était sous la direction de l’assemblée des six grands nobles qui étaient auparavant sept grands nobles.

Nous avions volé entre deux îles flottantes pour finalement arriver au centre de la République d’Alzer.

Kyle et Cara étaient aussi descendus avec leurs bagages.

« Les bagages du comte sont vraiment peu nombreux, » déclara Kyle.

« Je suis jalouse de voir à quel point les hommes n’ont pas besoin de tant de bagages, » déclara Cara.

Mes bagages n’étaient représentés que par un seul sac.

Les deux étaient jaloux de voir ça.

« Mes bagages ? Non, Luxon le portera pour moi, donc je n’emporte que le minimum nécessaire avec moi, » déclarai-je.

J’apportais les nécessités quotidiennes et diverses autres choses, mais la plupart de mes bagages étaient constitués d’un service à thé.

J’avais dit à Luxon de le porter avec soin.

Marie avait déposé ses bagages et s’était plainte à Luxon. « Dis-le depuis le début ! »

« On ne m’a rien demandé, donc je n’ai pas répondu. C’est tout, » répondit Luxon.

« Tu n’es pas du tout prévenant, » déclara Marie.

« Peut-être. Et alors ? » demanda Luxon.

« Eh, non — ce n’est rien, » répondit Marie. Marie fut déconcertée par la réponse de Luxon.

Mais même son traitement envers Marie qui était comme ça était toujours ainsi pour lui, mais c’était fait avec une certaine forme de gentillesse.

Parce que si c’était Julian ou d’autres qui se plaignaient à lui, il montrerait une aversion flagrante envers eux.

Les cinq idiots étaient descendus de l’Einhorn avec de gros sacs.

Je suppose que c’était leurs propres bagages, mais il semblerait qu’il y en avait beaucoup. Après avoir déposé les sacs, ils étaient montés dans le vaisseau pour faire sortir le reste.

« Maître, notre réception est arrivée, » déclara Luxon.

En entendant ça, j’avais déplacé mon regard. Là, j’ai vu les fonctionnaires du royaume de Hohlfahrt qui nous attendaient.

Les officiels portaient un costume. C’était les diplomates qui restaient dans la République d’Alzer.

Ils étaient terriblement déconcertés de voir Julian et les autres transporter leurs bagages.

***

L’ambassade était située près du port.

Il y avait aussi les ambassades d’autres pays. Il y avait beaucoup d’étrangers ici.

Il y avait aussi des restaurants offrant la cuisine du royaume de Hohlfahrt autour de l’ambassade.

Les cultures étrangères étaient présentes ici, mais on avait quand même l’impression qu’ils avaient placé toutes les ambassades dans un seul et même lieu.

Un restaurant tel un restaurant chinois pour la masse commune était aligné à côté d’un restaurant de grande classe qui offrait de la nourriture proche de la cuisine française.

Et puis il y avait des gens de divers pays étrangers ici.

Comment dois-je le dire, ils étaient tous entassés de force ici.

J’avais regardé par la fenêtre de l’intérieur de la calèche en parlant avec un diplomate.

« Il y a beaucoup de pays qui y placent leur ambassade, » déclarai-je.

« C’est parce que la République d’Alzer est un pays qui exporte des pierres magiques. De nombreux pays y installent leur ambassade. Là, vous pouvez voir l’ambassade de Royaume Sacré de Rachelle. Je ne vous recommande pas de vous en approcher trop. »

Le Royaume Sacré de Rachelle était un pays voisin du royaume de Hohlfahrt.

De l’autre côté du royaume sacré se trouve le pays natal de Milaine — sa patrie. Le royaume saint était pris en sandwich entre ce pays et le royaume.

Son territoire était plus petit que le royaume de Hohlfahrt, mais c’était encore un grand pays.

Milaine s’était mariée au royaume de Hohlfahrt comme contre-mesure contre le royaume saint. Elle était devenue un pont pour construire l’amitié entre les deux pays.

« Y a-t-il des frictions même ici ? » demandai-je.

Les deux pays étaient hostiles l’un envers l’autre.

Je me demandais s’il y avait eu un différend ici même, mais le diplomate avait haussé les épaules.

« Ils sont ennuyeux, mais c’est la République qui est gênante pour les pays qui mettent une ambassade ici. Que pensez-vous de l’attitude des gardes ? » demanda le diplomate.

« C’est la pire des choses possibles, » déclarai-je.

« C’est parce que c’est un pays puissant qui n’a jamais été vaincu dans une bataille défensive. Ils sont devenus hautains. Et surtout, ils profitent de l’exportation des pierres magiques. Leur nature est abondante et ils gagnent de l’argent même sans rien faire. Ils sont vraiment enviables, » déclara le diplomate.

D’après ce que j’avais vu du pays de la République jusqu’à maintenant, ils avaient aussi une nature abondante et leur agriculture était aussi prospère.

Ils disposaient de ressources énergétiques et, en outre, leurs terres étaient en bon état.

Du point de vue d’un dirigeant, c’était un territoire qu’il désirait désespérément.

Le diplomate exprima son envie. « Récemment, ils ont aussi fait des efforts dans leur industrie. Ils nous montrent la différence de potentiel. »

« Un pays qui a entre ses mains des ressources énergétiques est puissant, » déclarai-je.

« C’est bien que vous compreniez ça. S’il vous plaît, ne causez pas de conflit avec un tel pays. Non, s’il vous plaît, faites très attention, d’accord ? » déclara le diplomate.

Le diplomate avait l’air un peu mal à l’aise. C’était vraiment un malentendu inattendu, alors j’avais parlé pour clarifier les choses.

« S’il vous plaît, ne parlez pas comme si j’allais me battre avec qui que ce soit, » déclarai-je.

« Je n’arrive pas à croire ces paroles quand elles viennent de vous, comte qui s’est battu en duel avec son Altesse Julian, » déclara le diplomate.

« C’était ces types qui —, » commençai-je.

La voiture était arrivée devant la maison où je vivrai au moment même où je m’agitais.

Je venais de remarquer que la voiture de Marie et des cinq nobles n’était pas à proximité.

J’étais descendu de la voiture et j’avais regardé autour de moi.

L’endroit semblait être un quartier aisé.

Il y avait de petits domaines avec des jardins qui s’alignaient.

Il ne faisait aucun doute que c’était une grande maison.

Il avait trois étages avec un petit jardin attenant, mais sa distance avec les domaines environnants était proche.

« Est-ce une maison individuelle ? » demandai-je.

« Oui. À l’origine, nous devions préparer un manoir, mais ce séjour à l’étranger a été décidé si soudainement que nous n’avons pas eu assez de temps pour nous préparer, » répondit le diplomate.

De loin, j’entendis la cloche du tramway et le bruit du tramway qui roulait sur des rails.

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Partie 3

Le diplomate m’avait expliqué ce que c’était.

Il semblerait qu’il pensait que je ne savais pas d’où venaient ces sons.

« Les sons viennent d’être émis par un objet qui ressemble à un petit bateau s’avançant sur le sol. Un dirigeable ne peut pas voler sans permission dans le ciel par ici. Alors ils préparent un véhicule étrange à la place, » déclara le diplomate.

« Mis à part cela, où sont Marie et les autres étudiants ? » demandai-je.

« C’est-à-dire, à commencer par Son Altesse Julian, ils sont tous membres de maisons de nobles réputées. Un manoir plus grand a été préparé pour eux, » déclara le diplomate.

« Eh, suis-je le seul homme bizarre foutu loin de ça ? » demandai-je.

S’il y avait un grand manoir préparé, ils pouvaient juste me libérer une chambre pour que je puisse y vivre. Ce serait plus facile comme ça.

Pendant que je pensais ça, le diplomate s’était gratté la joue maladroitement.

« À-À ce propos de ça, c’est parce que Lady Marie est une personne célèbre dans le royaume. Nous serons troublés au cas où quelque chose arriverait, » déclara le diplomate.

À cet instant, j’avais deviné de quoi s’inquiétait le diplomate.

Il devait avoir peur que Marie ne me séduise aussi.

Je ne pouvais pas expliquer ma relation avec Marie, et je pouvais aussi comprendre pourquoi il serait inquiet.

Et par-dessus tout, ce serait mal pour moi de vivre avec elle dans le même manoir.

J’étais quelqu’un avec deux fiancées. Ce serait complètement déplacé pour moi de vivre avec une autre femme.

« Ouais, j’ai compris. Ce n’est pas bon si je vis dans la même bâtisse que ces types, » déclarai-je.

« Merci de votre compréhension. Aussi — je suis vraiment désolé, mais, nous ne pouvons pas nous arranger pour permettre à des domestiques de venir ici, » déclara le diplomate.

Apparemment, les fonctionnaires de la République n’étaient pas en mesure de terminer la préparation à temps parce que les études à l’étranger avaient été décidées de nulle part.

Eh bien, on ne peut rien y faire.

« Ne vous inquiétez pas pour ça. C’est moi qui ai décidé d’étudier à l’étranger si soudainement. Vous pouvez donner la priorité à Julian et aux autres sur moi, » déclarai-je.

« Je vous remercie de votre considération, » déclara le diplomate.

Avant que j’entre dans la maison, le fonctionnaire avait dit que demain il y aurait un guide qui viendrait ici pour me faire visiter cette zone.

Quand j’avais atteint l’entrée, j’avais levé les yeux vers la maison où j’allais rester un moment.

« Maintenant, je me demande si le personnage principal du second jeu parvient à séduire l’homme sans aucun problème ? » murmurai-je.

« Quelle horrible formulation ! » Luxon s’était pointé avec les bagages et m’avait immédiatement parlé.

En ayant une telle IA qui ne traitait pas son maître comme un maître, mais comme son partenaire, je n’avais vraiment pas de chance.

***

L’académie qui était au milieu des vacances de printemps était calme.

Les classes avaient été divisées en fonction de l’année scolaire. Il avait été supposé que chaque salle de classe serait utilisée par une trentaine de personnes.

Si l’académie de Hohlfahrt avait une atmosphère semblable à celle d’une université, l’académie était plus proche d’un lycée.

Les nobles et les roturiers pouvaient s’inscrire à l’académie. Cette académie avait une atmosphère plus ouverte que l’académie du royaume.

Un jeune homme et une jeune fille en uniforme se promenaient dans le bâtiment de l’académie, plus silencieux que d’habitude.

L’un d’eux était un jeune homme à l’air normal.

C’était un roturier et il n’avait pas de nom de famille. Il s’appelait Jean.

C’était un étudiant de deuxième année de taille moyenne. Il avait d’excellentes notes et il était aussi populaire.

Que Jean regardait et parlait à la fille au visage troublé. « C’est troublant même si on me dit soudainement de m’occuper des étudiants étrangers. Il semble qu’ils soient des nobles avec un statut vraiment élevé, cela ne les mettra-t-il pas en colère si quelqu’un comme moi leur est assigné ? »

Jean devenait de moins en moins confiant. Mais la fille lui avait tapé dans le dos et avait parlé d’une voix très claire.

La fille avait attaché ses cheveux blonds en une queue de cheval sur le côté. La couleur de ces cheveux blonds devenait rose plus ils se rapprochaient de la pointe.

Elle avait un corps mince et de longs bras et jambes. C’était comme si elle était mannequin.

Ses yeux ambrés étaient doux, mais forts. Elle dégageait les vibrations d’un garçon manqué.

D’après son ton, on pouvait sentir sa personnalité facile à vivre. « Ne sois pas si timide. Tu es notre représentant, alors sois plus confiant. S’ils agissent haut et fort, frappe-les au visage. »

« L’autre partie est un prince, tu sais !? » s’écria Jean.

« Au moins, tu devrais avoir autant de cran. En plus, même l’autre partie représente son pays, tu sais ? Ils ne feront rien de stupide. — Contrairement à nous, » déclara la fille.

L’air de la fille était devenu sérieux. Jean était troublé quant à savoir comment réagir.

« E-Euh —, » balbutia le garçon.

La fille l’avait senti et avait ri. « Tu es un homme, alors soit plus confiant et donne le meilleur de toi-même. »

La fille avait dit ça et lui avait tapé dans le dos à plusieurs reprises. Elle s’appelait Noëlle Beltre.

Elle était une fille d’une maison de chevalier tombé en décrépitude — c’était l’arrière-plan qui avait été mis en place.

Noëlle avait placé ses mains dans les poches de son uniforme. Elle se sentait un peu étrange de voir le couloir qui était habituellement bruyant quand c’était la pause être complètement silencieux comme ça.

Les étudiants étrangers du royaume, eh bien, j’aimerais qu’ils soient plus convenables que nos nobles, pensa Noëlle.

Noëlle n’avait pas un bon pressentiment envers les nobles de la République.

« Euh ~, Noëlle, ne deviendras-tu pas aussi leur accompagnateur ? Ne te déchaîne pas comme d’habitude, d’accord ? » déclara Jean.

Jean avait l’air inquiet. En réponse, Noëlle ouvrit en grand les yeux, surprise.

« Hein ? Ne peux-tu vraiment pas me faire confiance à ce point ? » demanda Noëlle.

« Je ne peux pas te faire confiance, Noëlle. Après tout, tu ne reculeras pas, même face à la noblesse. Ce n’est pas bon d’être si belliqueux, » déclara Jean.

Noëlle avait touché ses cheveux pour cacher sa gêne d’être avertie comme ça à cause de son comportement habituel.

Je le sais déjà. Mais c’est l’autre côté qui me cause des ennuis, pensa Noëlle.

Jean était vraiment inquiet pour Noëlle.

« Cette année, il y a aussi beaucoup de gens liés aux six grands nobles. Il y a aussi beaucoup de gens en possession d’une forte “protection divine”, » déclara Jean.

« Oui, oui, j’ai compris. — Je ne ferai pas d’ennuis, » déclara Noëlle.

Protection divine.

C’était un pouvoir spécial qui était conféré à ceux qui étaient reconnus par l’arbre sacré.

Parce que les six grands nobles possédaient une telle puissance, ils pouvaient gouverner la République sans crainte.

Ils avaient osé faire la leçon aux roturiers aussi parce qu’ils possédaient la grande puissance qui était la protection divine de l’arbre sacré.

Même si les roturiers se révoltaient après avoir obtenu des connaissances, les six grands nobles et leurs proches n’avaient rien à craindre d’eux.

C’était le pouvoir absolu que possédait la noblesse de la République.

Noëlle et Jean marchaient dans le couloir. Puis ils étaient tombés sur des filles qui descendaient les escaliers.

La figure centrale du groupe — la responsable était une fille de troisième année. Ses yeux pourpres se tournèrent vers Noëlle.

Elle avait un sourire sur les lèvres, mais cela ne se reflétait pas dans ses yeux.

Elle avait les cheveux blond jaune pelucheux. Ils descendaient jusqu’à ses omoplates. Couplé à son corps glamour, cela l’avait rendue débordante de charme adulte.

Noëlle avait aussi une poitrine de taille normale, mais la taille de cette fille était plus que ça.

Louise Sarah Rault se comportait amicalement jusqu’à maintenant, mais un sourire froid s’était formé sur son visage quand elle avait vu Noëlle.

« Oh, je n’ai jamais pensé que je te croiserai même quand c’est les vacances de printemps, » déclara Louise.

Les filles qui semblaient être ses partisanes s’étaient installées derrière Louise, même si elles avaient l’air désorientées.

Louise croisa les bras sous sa poitrine, tandis que Noëlle gardait les mains dans ses poches tout en répondant. « On vient d’être appelés par le professeur. »

« Noëlle !? » s’exclama Jean.

Jean était bouleversé par l’attitude de Noëlle qui ne montrait aucune timidité, même face à un noble. Louise l’ignorait et gloussait en cachant sa bouche.

« As-tu peut-être fait un autre méfait ? » demanda Louise.

« Haaa ? Pourquoi parles-tu comme si j’avais fait quelque chose de mal ? Il y aura des étudiants étrangers qui viendront dans l’école, alors le professeur nous demande de leur faire visiter. C’est tout. Ne te querelle pas avec moi chaque fois, » déclara Noëlle.

Louise Sara Rault — elle était la fille aînée de la Maison Rault, l’un des six grands nobles.

La Maison Rault était le président de l’assemblée après que la Maison Lespinasse soit tombée en ruine.

Louise était comme la princesse des six grands nobles.

De plus, il y avait un lien fatal entre la Maison Rault et la famille de Noëlle.

Noëlle et Jean avaient essayé de partir, mais Louise s’était mise en travers de leur chemin. Elle se rapprocha de son visage et saisit avec désinvolture la queue de cheval latérale de Noëlle.

« Tu es vraiment agaçante ! » déclara Louise.

Jean ne pouvait rien faire devant un membre des six grands nobles.

Mais Noëlle n’en avait pas tenu compte et avait arraché la main de Louise de ses cheveux. « Arrête ça. Ne sois pas trop arrogante juste parce que tu es en terminale. »

Louise s’éloigna de Noëlle et haussa les épaules. Puis elle était partie avec ses partisans derrière elle.

« Comme c’est effrayant. — Même si c’est toi qui deviens arrogante, » déclara Louise.

Après que Louise eut laissé une remarque d’adieu acerbe et repartit avec ses partisans, Jean se pressa la poitrine en ayant l’impression que sa vie avait été écourtée.

« Noëlle, tu t’es battue avec la princesse des grands nobles juste après que nous en ayons parlé, » déclara Jean.

Jean avait l’air de vouloir pleurer. Noëlle s’était gratté la tête en s’excusant. « C’est de ma faute. Je ferai attention la prochaine fois. »

« Je prie pour qu’il n’y ait pas de prochaine fois, » répondit Jean.

Noëlle avait recommencé à marcher avec Jean qui avait à moitié abandonné. Puis Noëlle parla en souriant à Jean pour balayer l’atmosphère lourde qui régnait tout à l’heure. « Hé, mais plutôt que ça… »

Avant qu’elle ait pu finir de parler, cette fois, un jeune homme de deuxième année marcha à grands pas vers les deux individus.

Ce jeune homme avait les yeux ambrés comme Noëlle.

Son trait particulier était ses cheveux roux pointus de longueur moyenne.

Il était clair que c’était un bel homme du premier coup d’œil, mais son regard était vraiment aiguisé.

Le jeune homme s’était ensuite adressé aux deux individus avec colère. « Vous deux, depuis quand êtes-vous devenus proches comme ça ? »

Son corps démontrait qu’il était bien entraîné. Il était aussi grand et bien bâti.

Mais, son expression folle était emplie de jalousie.

Jean, que le jeune homme regardait avec dédain, était agité et incapable de bien répondre.

« Ah, non, ça…, » répondit Noëlle à la place de Jean. « Nous sommes choisis comme accompagnateurs des étudiants étrangers. Pour l’instant, nous venons tout juste de rentrer de la salle des professeurs après avoir reçu l’explication de ce rôle. »

Le jeune homme n’avait pas du tout diminué son regard fixe même après avoir reçu cette explication.

« Est-ce que c’est vrai ? » demanda le jeune homme.

Noëlle était irritée par les paroles emplies de doutes du jeune homme.

« Pourquoi dois-je me justifier devant toi ? Jean, allons-y, » déclara Noëlle.

« Noëlle !? Cette personne est —, » déclara Jean.

« Je m’en fous ! »

Noëlle emmena Jean, mais le jeune homme haussa la voix vers elle. « Noëlle ! Je ne vais pas abandonner ! Tu es — tu es ma femme ! »

« Ne décide pas comme bon te semble ! » déclara Noëlle.

Il s’appelait Loïc Leta Barrière — il était aussi un parent des six grands nobles.

De plus, il était l’héritier de la Maison Barrière.

Noëlle regarda Loïc en réponse et sortit la langue. ~ « Laisse tomber, imbé ~ cile. »

Jean se couvrit le visage des deux mains en voyant Noëlle faire ça.

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Claramiel

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