Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 4 – Chapitre 9 – Partie 4

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Chapitre 9 : Un piège méprisable

Partie 4

La veille du duel.

Pierre et ses acolytes étaient venus dans un bar pour la fête anticipée.

« C’est la célébration anticipée de ma victoire ! Buvez autant que vous le voulez ! » déclara Pierre.

Les voyous qui le suivaient avaient chassé les clients à l’intérieur du bar et avaient passé leur commande à la serveuse.

Le propriétaire du bar avait apporté l’alcool à Pierre. Il avait pris son courage à deux mains et avait fait une demande. « Seigneur Pierre, le montant de la facture s’accumule. Aussi, si je peux vous prier de ne pas trop déranger les autres clients. »

Entendant cette demande, Pierre versa l’alcool qu’il reçut sur la tête du propriétaire du bar.

« Quoi ? Tu veux protester contre ce grand Seigneur Pierre ? » demanda Pierre.

« N-non, en aucun cas je —, » commença le propriétaire.

« A qui dois-tu donner tes remerciements pour que des ordures comme toi puissent vivre à Alzer comme ça ? Dis-le ! » demanda Pierre.

Pierre avait frappé le propriétaire du bar, mais le propriétaire du bar ne semblait pas vraiment blessé par le poing de Pierre.

Cela avait offensé les sentiments de Pierre.

« Les gars, détruisez cet endroit ! » cria Pierre.

Le cri de colère de Pierre avait poussé les compagnons qui l’entouraient à se lever et à saccager le bar.

Le propriétaire du bar s’accrocha rapidement à un ami de Pierre. « S’il vous plaît, arrêtez ! Je vous en supplie ! »

« C’est ta faute pour avoir mis Monsieur Pierre en colère ! »

Le propriétaire du bar s’était fait pousser par terre. Sa femme et sa fille avaient couru vers lui.

« Chéri ! »

« Papa ! »

Pierre s’était mis à rire en souriant quand les deux filles avaient aidé le propriétaire du bar à se lever.

« C’est un peu insuffisant pour une célébration à l’avance, je suppose que je devrais faire en sorte que ta famille prenne ses responsabilités après que tu m’as mis en colère comme ça, » déclara Pierre.

Le propriétaire du bar avait deviné ce que Pierre pensait faire et s’était avancé pour défendre sa femme et sa fille.

« S-STOPPPPPPPP ! »

Pierre leva la main droite vers le propriétaire du bar résistant et les racines des arbres poussèrent à travers le sol.

Les sbires de Pierre s’étaient rassemblés autour du propriétaire du bar qui était retenu par les racines.

« Les gars, allons dehors. »

Le propriétaire du bar avait tendu la main à sa femme et à sa fille qui avaient été emmenées.

« Laissez-les partir ! » cria le propriétaire.

Pierre avait ri d’un large sourire. « Ouais, on les laissera partir après s’être amusés. Bien que, je pense que tu ferais mieux de t’inquiéter pour toi. »

Pierre et ses acolytes étaient sortis et avaient mis le feu au bar.

Ils l’avaient fait pendant que le propriétaire du bar était encore à l’intérieur.

La femme et la fille du propriétaire du bar pleurèrent et crièrent en voyant la flamme ardente.

« NOOOOOOO ! »

Pierre gloussa en les voyant pleurer. Il avait l’air de vraiment s’amuser.

« Ceux qui s’opposent à moi vont finir comme ça ! » s’écria Pierre.

Les gens qui s’étaient rassemblés autour de lui regardaient Pierre avec frustration.

Mais personne n’avait rien dit.

Même les officiers militaires de la République qui étaient venus ici après avoir entendu le vacarme n’avaient fait qu’éteindre l’incendie sans arrêter personne lorsqu’ils avaient appris que Pierre en était le coupable.

« Les petites ordures n’ont qu’à m’obéir ! » La voix de Pierre résonnait devant le bar en flammes.

***

Le jour du duel.

Finalement, je n’avais pas pu obtenir d’armure.

Je m’accroupissais pour voir Noëlle-chan manger sa nourriture dans le manoir tout en lui parlant.

« Mange beaucoup. Ton propriétaire reviendra aussi bientôt, » déclarai-je.

Je ne pensais pas qu’elle serait capable de comprendre mes paroles, mais Noëlle-chan avait regardé mon visage une fois avant de retourner à sa nourriture.

Kyle me regardait faire ça en plaçant ses mains derrière sa tête.

« Comte, tu es insouciant comme d’habitude. Sois plus sérieux dans cette situation, » déclara Kyle.

« Haha ~ Haha ~, je suis en train d’être guéri après avoir regardé Noëlle-chan, » déclarai-je.

« Le duel est aujourd’hui, tu sais ? Peux-tu gagner ? » demanda Kyle.

« H ~ m, je me le demande ? » répondis-je.

Kyle me regarda fixement. « Eh bien, je crois que tu as une sorte de plan. Plus important encore, récemment, ma maîtresse agit bizarrement. »

« Cette fille est toujours bizarre, alors ne t’inquiète pas, » répondis-je.

Quand je m’étais levé, Cara était venue avec un sac en papier brun.

« Comte Baltfault, un paquet est arrivé pour vous, » déclara Cara.

« Je vois, » répondis-je.

« Mais, l’expéditeur est inconnu, » déclara Cara.

« Ah, c’est bon, » répondis-je.

J’avais pris le sac et j’avais trouvé un gant à l’intérieur.

C’était un gant de cuir noir avec un protège-poing attaché.

Je l’avais mis dans ma poche pendant que Cara s’occupait de Noëlle-chan.

« Cara, s’il te plaît, peux-tu rester ici pour t’occuper de Noëlle-chan ? » demandai-je.

« Oui. S’il vous plaît, laissez-moi m’en occuper ! » déclara Cara.

Cara était une femme qui m’avait envoyé dans un piège avant, mais maintenant elle pouvait faire cette tête comme s’il n’y avait plus de fardeau qui la hantait.

« Alors, je te laisse faire, » déclarai-je.

Quant à Kyle, il semblait qu’il viendrait au duel pour m’encourager.

« J’acclamerai depuis le public avec tout le monde, » déclara Kyle.

« Je vois. Alors, parie sur moi. Je vais te faire gagner beaucoup d’argent, » déclarai-je.

« Apparemment, dans ce pays, on ne peut pas parier sur un duel qui se déroule sous le serment de l’arbre sacré. Ma maîtresse l’a mentionné, » déclara Kyle.

« Eh, c’est vrai ? » demandai-je.

Même si je voulais placer un pari s’il y avait des jeux de hasard, c’était malheureux, mais je n’y pouvais rien.

Eh bien, ça n’avait pas d’importance.

« Alors, je m’en vais. Ne sois pas en retard, » déclarai-je.

Après avoir dit cela, j’avais bougé pour quitter le manoir, Noëlle était sortie du manoir tout en tenant l’étui qui était rempli de jeunes arbres.

« Léon, tu oublies ça ! Tu ne dois pas laisser ça derrière toi ! » déclara Noëlle.

En voyant Noëlle tenir un jeune arbre dans ses bras, j’avais posé ma main sur mon menton et j’avais réfléchi.

— Et puis j’avais été frappé par une idée.

« Garde-le dans tes mains, Noëlle, » déclarai-je.

« Eh, est-ce d’accord ? Mais c’est une chose très importante, » déclara Noëlle.

Noëlle avait l’air perplexe. Je lui avais répondu en souriant.

« J’ai le sentiment qu’il vaudrait mieux que ce soit avec toi plutôt qu’avec moi, Noëlle. Il n’y aura pas de problème même si on me l’enlève. Je le reprendrai sans faute dans ce cas, alors tiens-le tout en te sentant à l’aise, » déclarai-je.

Noëlle avait serré dans ses bras le réceptacle qui contenait l’arbrisseau.

« Je ne veux pas qu’on me le vole, mais je comprends. Je m’y accrocherai, » déclara Noëlle.

J’étais un peu jaloux de Jean quand j’avais vu le sourire de Noëlle.

Bon sang, ça ne peut pas marcher. Même si j’avais deux fiancées qui m’attendent à la maison.

***

« Cara, occupe-toi de Brad et de Noëlle-chan ! » déclarai-je.

À l’entrée du manoir.

Cara voyait Marie et les autres résidents partir en tenant le chien dans ses bras.

Après leur départ, elle avait emmené Noëlle-chan à l’extérieur pour lui respirer de l’air frais.

« Noëlle-chan, allons marcher un peu dehors, » déclara Cara.

Mais quand elle s’apprêtait à fermer la porte, la main d’un homme s’était soudain tendue et il avait saisi la porte.

« Hein ? »

Plus vite que Cara ne pouvait réagir, la porte fut ouverte et des hommes en costume noir entrèrent.

« Qu’est-ce qui se passe !? » s’écria Cara.

Les hommes en costume noir avaient tout de suite attrapé Cara.

« Cette fille convient-elle ? » demanda l’un d’eux.

« Je suppose que oui. »

« Alors, emmenons-la tout de suite. »

Cara trembla de peur en voyant les hommes sortir une corde. Puis Brad qui avait remarqué le bruit de l’entrée avait jeté un coup d’œil depuis le manoir.

« J’ai pensé y jeter un coup d’œil parce que vous sortiriez, mais il y a un autre problème, » déclara Brad.

« Monsieur Brad ! » cria Cara.

« Je vais vous faire lâcher Lady Cara, » déclara Brad.

Brad était sorti même si ses blessures n’avaient pas encore complètement guéri. Les hommes se regardèrent.

« On va le tabasser. »

« Cherchez aussi la jeune pousse de l’arbre sacré tant qu’on y est. »

Brad avait eu des sueurs froides devant les hommes en costume noir.

« — Quelle douleur, alors même que je ne m’en suis pas encore complètement remis, » déclara Brad.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

2 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.
    Euh… incident diplomatique ça leur dit rien dans leur monde ?
    Et voler la jeune pousse serai pas contre les règles du duel sous serment de l’arbre sacrée ?

  2. Ethan Nakamura

    Merci pour le chapitre.

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