Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 2 – Chapitre 5 – Partie 3

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Chapitre 5 : La suppression des pirates des cieux

Partie 3

Greg regarda Arroganz descendre vers le pont du navire.

Pendant ce temps, Brad était en train d’attacher les pirates des cieux qui avaient été jetés sur le pont. Il avait crié. « Viens tout de suite ici et aide-moi, crétin ! »

Cependant, Greg regardait le géant gris, Arroganz, tout en réfléchissant. Il n’y a pas de victoire possible contre cette chose.

Arroganz était plus grande qu’une armure ordinaire et son blindage massif lui donnait un aspect lourdaud. Cependant, il semblait vraiment très léger dans les airs.

Les armures vraiment grossières des pirates des cieux n’étaient pas à la hauteur.

Greg pensait qu’ils n’auraient jamais pu gagner sans la puissance de Léon. Tant pis pour l’expérience au combat. Eh bien, n’ai-je pas l’air impuissant tout seul ?

Jusqu’à présent, il croyait que Léon était capable d’accomplir ce qu’il faisait avec l’aide de serviteurs.

Mais tout cela s’était déroulé d’une manière contraire là, car il avait vu que Léon était capable de lutter seul contre les pirates des cieux.

Greg remarqua que contrairement à Léon, qui passait immédiatement à l’action une fois les ennemis arrivés, lui ne pouvait pas se battre correctement sans le soutien de quelqu’un d’autre.

« Suis-je un morveux ? Étais-je juste un gosse qui essayait d’avoir l’air cool ? » demanda Greg.

Il semblait naturel que Léon l’appelle un morveux en réfléchissant à la situation.

Greg se sentait vraiment pathétique tout en pensant que Léon était plus fort que lui et les autres l’avaient cru.

 

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J’étais à l’intérieur d’Arroganz.

J’avais vérifié encore une fois tout ce qui m’entourait en ce moment avant de parler.

« Tout le monde a-t-il été neutralisé ? »

Luxon avait répondu depuis l’intérieur d’Arroganz.

Il était placé sur un piédestal en forme de disque et avait tourné son œil unique vers moi.

« En effet, » répondit Luxon. « Les moteurs des deux dirigeables se sont déjà arrêtés. Il n’y a pas de problème, même s’ils deviennent fous furieux. On n’a qu’à les abattre dans ce cas. »

« Idiot, arrête ça. On les capture pour pouvoir les vendre, » répliquai-je.

Les dirigeables pourraient me faire obtenir un profit, et il ne fallait pas laisser de côté les armures présentes. Bien sûr, les pirates des cieux étaient aussi une chose assez rentable.

C’est pour cela que j’avais décidé de tout saisir. C’était mieux que de les laisser en liberté.

« Ça aurait été plus rapide si on les avait juste abattus. Ne serait-il pas fastidieux de ramener tout cela ? » demanda Luxon.

« Non, je n’ai pas la mentalité de commettre un meurtre tout en étant de bonne humeur. J’ai l’impression que je vais devoir faire attention si je me sers de toi pour me battre, » déclarai-je.

Luxon répondit d’une voix électronique, plus froide que d’habitude. « Maître, serais-tu content si une telle gaffe te faisait perdre la tête ? »

J’avais vite compris ce que cette chose voulait dire.

Il semblait me dire que montrer de la sympathie pourrait être une erreur un jour.

Luxon me disait : « Pourquoi n’as-tu pas tué les pirates des cieux ? »

— J’étais réticent à commettre un meurtre.

« Comme je te l’ai dit, je ne veux pas m’impliquer dans ce genre de choses, » déclarai-je.

Comme j’avais pris une telle décision, je ne voulais pas participer à une guerre de mon plein gré.

Si je déclenchais une guerre par inadvertance, alors je reviendrais sur mes paroles.

Si quelqu’un m’ordonnait de me battre, je pourrais encore me trouver des excuses.

Cependant, c’était vraiment détestable selon moi de décider volontairement de tuer un humain,

Comment en est-on arrivé là ?

Je voulais garder une distance raisonnable avec les personnages principaux et vivre en paix.

Cependant, je ne pouvais pas abandonner Livia et les autres à ce stade.

Je savais aussi que les choses allaient devenir difficiles à cause de cette attitude timorée que j’avais adoptée.

Néanmoins, je ne voulais pas passer par la voie du massacre.

Je n’avais vraiment pas la volonté de faire ça.

Je me demandais combien de temps je pourrais rester aussi indulgent envers les voyous.

« Laissons cela de côté. J’ai donné plus qu’assez de tirs d’avertissement vers nos ennemis. Pourquoi as-tu tiré encore plus ? » demandai-je.

« Je ne permettrai pas que quoi que ce soit arrive à Partenaire, » déclara Luxon.

Cette chose était-elle en mesure de se plaindre des personnes ?

Cette IA avait eu le culot d’agir dans son propre intérêt.

Je ne pouvais pas dire si cette chose était incroyable ou inutile... eh bien, c’était ainsi que l’IA du jeu vidéo Otome fonctionnait. En plus, c’était mieux si je voyais ça comme un allié.

Pour le dire franchement, si cette chose était une véritable IA et qu’elle déclenchait une rébellion, ce serait effrayant.

Cette chose était encore un peu timorée, mais c’était parfait pour moi.

 

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Il y avait une pièce à l’intérieur de Partenaire.

Cara, regardant par la fenêtre, trembla en tenant un appareil de communication.

« C-Ce n’est pas une blague. C-Comment ont-ils pu perdre si facilement !? » demanda Cara.

Cara, qui avait guidé les pirates des cieux, avait été bouleversée par sa déception.

Elle ne pensait pas que Léon pouvait être aussi fort.

En outre, il y avait la question de Partenaire.

Même en comptant Cara, il n’y avait que cinq personnes à bord, donc elle ne pensait pas qu’il pouvait fonctionner normalement.

De plus, sa performance était tout un exploit.

Les pirates des cieux n’étaient pas à la hauteur.

« On m’a dit que c’était un artefact perdu, mais je n’aurais jamais pensé qu’il était aussi puissant. À ce rythme, ils vont arriver chez moi, » déclara Cara.

Cara avait reçu l’ordre de l’ex-fiancée de Brad d’attirer Léon et les autres à cet endroit.

L’intention était que les pirates des cieux les attaquent.

Cara était la seule qui aurait été épargnée par les pirates des cieux.

Elle tenait fermement l’appareil de communication dans sa main.

Après avoir tenté de prendre contact avec les pirates des cieux, elle avait soudainement coupé les communications.

« Pourquoi ça ne marche pas !? » demanda Cara.

Il y avait un bruit fort, peut-être dû à une mauvaise réception.

La capacité de communication était généralement faible.

C’était considéré comme normal dans ce monde, mais il était possible de communiquer si l’autre personne était à proximité.

Cara avait alors jeté l’appareil de communication en pensant que les pirates des cieux attaquants se trouvaient à une distance où les communications ne pourraient pas s’établir.

Elle était en pleins désarrois à cause de l’échec du plan.

« Je n’ai pas contacté ma maison. De plus, si Milady est au courant, c’est moi qui en souffrirai, » déclara Cara.

Léon, qui venait de finir de capturer les pirates des cieux, avait repris son voyage vers la maison des semi-barons. Si cela devait arriver, sa famille le découvrirait.

De plus, elle ne saurait pas quoi dire à la fille de la famille du comte Olfery.

« J-J’ai compris. Je vais encore plus devoir utiliser cette fille roturière. Il va se passer quelque chose de mal avec elle. C-C’est vrai. Ce Baltfault va certainement baisser sa garde puisqu’il a un faible pour elle. L-Les deux autres ont été déshérités et n’ont aucun pouvoir, donc c’est bien de les ignorer, » Cara s’était parlé à elle-même.

Dans le coin de la pièce, une petite caméra observait Cara de près.

 

♥♥♥

 

Il s’agissait du soir quand Partenaire était arrivé à la maison de semi-baron des Wein.

« Le soleil s’est couché assez tôt. »

Pour empirer les choses, il faisait froid.

Puisqu’il n’y avait pas de port sur le territoire du semi-baron pour que Partenaire puisse y accoster, nous avions atterri avec un petit dirigeable.

Cependant, un problème s’était posé.

Brad se plaignait de moi. « Pourquoi es-tu si calme dans cette situation !? »

Actuellement, nous étions encerclés par des soldats de la maison de semi-baron.

J’avais vaillamment levé les deux mains en l’air.

Après tout, ils pointaient tous des armes sur nous.

« Ne flippe pas. Je suis aussi inquiet, » déclarai-je.

Greg était sur le fil du rasoir. « Je ne sais pas si tu es incroyable ou inutile. »

Les soldats étaient sur leurs gardes contre nous comme nous avions amené des dirigeables qui appartenaient à des pirates des cieux. On n’y pouvait rien, car ils étaient prudents avec les pirates des cieux.

Un demi-baron était alors apparu au milieu du vacarme.

Wein — Le père de Cara, Conrad Fou Wein.

Il donnait l’impression d’être un homme d’âge moyen avec un visage fatigué et un ventre qui se détachait un peu, mais il était surpris de nous voir.

« Baissez immédiatement vos armes ! » ordonna-t-il.

Quand les soldats avaient baissé les armes, j’avais aussi baissé les mains.

Conrad avait alors salué Brad, et non pas moi. Il semblait savoir que Brad était le fils d’une famille de vicomte.

« Brad, c’est ça ? Ça fait un moment, » déclara Conrad Fou Wein.

« Hein ? Hum, ouais, » déclara Brad.

Cependant, Brad, ne se souvenant peut-être pas de Conrad, avait agi d’une manière un peu bizarre.

Puis, semblant réaliser cela, Conrad avait ri d’autodérision. « Nous nous sommes rencontrés lors d’une fête au manoir du comte, mais il semble que vous ayez beaucoup grandi. »

Brad avait parlé avec soulagement, car la situation s’était calmée. « Si on laisse ça de côté, pourquoi sommes-nous encerclés ? Votre fille a demandé de l’aide, alors nous sommes venus ici en vitesse. »

Conrad semblait très perplexe. « De l’aide ? Ma fille vous a demandé de l’aide, Brad ? »

Tout le monde avait tourné son regard vers Cara, et elle avait commencé à trouver des excuses dans la panique. Luxon avait gardé un œil sur elle, et elle s’était avérée être une personne vraiment terrible.

« C-Ce n’est pas ça. La fille que j’ai consultée a exagéré. A-Alors —, » balbutia Cara.

Tous les regards se tournèrent cette fois vers Livia. « Hein ? On m’a demandé de... »

En y regardant de plus près, le discours de Livia était rapidement devenu incohérent. Elle avait récemment manqué d’entrain et son moral était bas.

Même quand j’avais essayé de lui parler, elle m’avait évité. Je m’étais demandé s’il s’était passé quelque chose de grave.

Conrad était sur le point de la presser à répondre, alors j’étais intervenu.

« Votre fille a consulté Livia et lui a demandé de me présenter pour qu’elle puisse faire une demande de sauvetage. C’est pour ça qu’on s’est dépêchés jusqu’ici, » déclarai-je.

Il m’avait regardé d’un regard qui disait « Qui est ce type ? », mais Brad m’avait ensuite présenté.

« Voici Léon Fou Baltfault. Je suis sûr que vous avez entendu les rumeurs à son sujet, n’est-ce pas ? » demanda Brad.

En entendant cela, Conrad s’était tourné vers moi et s’était excusé.

« Vous êtes donc ce baron ? Il semble que j’ai été impoli. C-Cependant, notre territoire n’est pas vraiment en difficulté. Y a-t-il vraiment eu une demande de sauvetage ? » demanda Conrad.

Brad plissa alors ses yeux et regarda Cara.

« Qu’est-ce que ça veut dire ? » demanda Brad.

Cara, n’arrivant pas à s’en sortir, essaya de fusillé du regard Livia, mais je m’en étais mêlé et j’avais fait obstacle.

Après ça, Cara avait fait une grimace qui semblait indiquer qu’elle était sur le point de pleurer.

Conrad avait alors défendu sa fille. « Toutes mes excuses. Ma fille semble confuse. Je vous inviterai chez nous pour un petit moment, alors... »

Quand il avait dit ça, j’avais ri avec mépris.

C’était le monde de ce jeu vidéo Otome. Pour une femme, en particulier une écolière de l’académie, c’était un monde bon.

Ces tergiversations me dérangeaient.

« Votre fille nous a convoqués ici. On nous a promis une rémunération si on vous aidait. Semi-baron, comprenez-vous, n’est-ce pas ? Ce n’est pas le moment de plaisanter, » déclarai-je.

Je les avais poussés à agir en adoptant une attitude dominatrice et menaçante.

Dans la société, les statuts étaient censés être utilisés à bon escient. J’avais donc décidé d’exercer mon titre de baron, que je ne voulais même pas au départ.

« Nous avons deux futurs barons ici. Je suis moi-même déjà baron. Nous sommes partis sur un dirigeable, et avons même capturé deux dirigeables de pirates des cieux. S’il y a eu une erreur, pourquoi nous l’a-t-on dit ? » demandai-je.

« C-Cependant, je n’étais pas si conscient de la situation à —, » déclara Conrad.

« Dans ce cas, vous devriez le demander à votre fille. C’est bon si vous voulez protéger votre jolie petite fille. Cependant, si vous faites cela, permettez-moi d’obtenir ma rémunération, à ma façon, » déclarai-je.

Luxon avait aidé ma discussion en faisant bouger le dirigeable.

Quand le semi-baron avait vu l’unité massive de Partenaire se déplacer, il avait alors saisi les épaules de Cara, peut-être comprenant mal la situation.

Il avait essayé d’obtenir rapidement des informations d’elle.

« Cara, que s’est-il passé ? As-tu vraiment fait une demande de sauvetage ? » demanda Conrad.

À partir de là, Cara avait expliqué la situation en pleurant.

 

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Je n’étais pas entré dans la résidence du semi-baron, mais j’étais retourné dans Partenaire et j’avais fait quelques étirements.

Cara nous avait tout raconté.

Elle nous avait amenés ici pour nous piéger.

Quand je lui avais dit que j’avais entendu la version des pirates des cieux, elle avait cédé et avait parlé sans s’arrêter.

Qu’ont dit les pirates des cieux ? Ils avaient fait semblant de ne rien savoir.

Ai-je menti ? Pas tout à fait. Elle avait juste mal compris ce que j’avais dit. Quand je lui avais dit que j’avais entendu ce que les pirates des cieux avaient dit, Cara nous avait d’elle-même parlé du plan.

Elle avait dit que la fille du comte nous avait fait croire qu’on allait attaquer des pirates des cieux !

Olivia et moi étions les deux seules personnes dans la pièce.

« *Soupire*, je suis fatigué. Nous examinerons la situation demain, alors je suppose que nous avons un peu de temps libre pour l’instant. Heureusement, il reste encore quelques jours de vacances scolaires, » déclarai-je.

J’avais l’impression qu’il s’était passé beaucoup de choses en une journée.

C’était une assez grosse déception, puisque ça ne faisait pas vraiment partie du jeu. Je n’aurais pas dû m’exciter autant pour ça.

Dans la vie, les jours paisibles et tranquilles étaient les choses suprêmes selon moi.

Livia, qui normalement s’inquiéterait et dirait : « Est-ce que ça va ? », semblait pensive et elle n’avait rien dit.

« Est-ce que ça va ? » demandai-je.

Quand je m’étais tourné vers elle, Livia avait lentement levé la tête.

« — Comment dois-je te dire ça ? » demanda Livia.

« Hein ? » demandai-je.

« Léon, tu es plutôt incroyable. Tu résous les choses par toi-même, et tu peux tout faire par toi-même, » déclara Livia.

« H-Hé, » déclarai-je.

Quand j’avais tendu mon bras vers Livia, qui avait une aura différente de la normale, elle l’avait repoussé.

Livia avait pris du recul, elle s’était éloignée de moi.

« Pourquoi es-tu si gentil avec moi ? » demanda Livia.

« Eh-eh bien, ça..., » balbutiai-je.

La première raison qui me venait à l’esprit, c’est que « c’est elle la protagoniste ». C’était une excuse que je m’étais donnée. J’étais à court de mots.

« C’est étrange, ne trouves-tu pas ? Je ne suis qu’une roturière avec peu de valeur. Léon, as-tu une raison de me soutenir ? Je ne vois vraiment pas pourquoi. Comment se fait-il que tu m’aides, même si je ne peux pas répondre à tes attentes ? » demanda Livia.

Alors que j’étais silencieux et que je ne répondais pas, Livia avait fait un sourire sombre.

« En as-tu après mon corps ? » demanda Livia.

J’avais immédiatement répondu. « C-Ce n’est pas ça. Ce n’est pas pour ça que je — . »

Après que j’eus répondu ça, Livia s’était mise à pleurer en souriant.

C’était douloureux de voir ce sourire. Cela m’avait fait mal au cœur.

« N’est-ce pas tout à fait normal ? Je ne suis pas mignonne, Anjie est celle qui est belle, c’est une fille choyée, après tout. Je n’ai rien pour moi — rien, et pourtant tu as une raison de me traiter avec bonté, » déclara Livia.

Avais-je fait une erreur quelque part ?

Je n’avais pas de mots pour répondre à Livia, qui s’était assise et qui éclata en larmes.

J’étais vraiment pathétique.

« Dans ce cas, que veux-tu de moi ? Pourquoi es-tu si gentil avec moi ? C’est étrange, tu ne trouves pas ? Je veux dire par là que vous deux, je ne vous aide pas du tout, » déclara Livia.

Cara et les autres lui avaient-ils dit quelque chose ?

« Non, que tu m’aides ou non n’a pas d’importance. Ça ne fait pas..., » déclarai-je.

Quand j’étais sur le point de dire « Ça n’a pas d’importance », les mots « C’est le monde d’un jeu vidéo Otome. Des garçons prestigieux sont des cibles de capture » m’étaient venus à l’esprit.

Les paroles de Livia s’étaient retrouvées d’une manière étrange dans mon cœur, et cela m’avait fait mal.

Même si j’avais une excuse, ce ne serait que superficiel.

Il me semblait qu’une partie désagréable de moi était apparue.

Mon association avec les personnages du jeu ne se limitait pas aux cinq cibles de capture — je considérais aussi Livia comme la protagoniste. Je la voyais comme un personnage qui apparaissait dans l’histoire.

J’avais prévu de résoudre mes problèmes en faisant en sorte que Livia devienne une Sainte dans le final — alors qu’est-ce qui me distinguait de Cara, qui utilisait aussi Livia ?

D’autres pensées s’étaient retrouvées dans ma tête.

— Ai-je regardé Livia pour ce qu’elle était vraiment ? Ne l’ai-je pas seulement considérée comme quelqu’un d’important pour l’avenir parce qu’elle en était la protagoniste ?

Livia pleurait en criant.

« Je... Je voulais être amie avec vous deux ! Pourtant, ne suis-je pas différente d’un animal de compagnie ? Ne te moque pas de moi. Je suis une humaine. Je ne suis pas un animal de compagnie ! »

Livia pleurait en étant assise.

Je ne pouvais rien faire. J’avais alors quitté la pièce pour m’échapper à ça.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

5 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre !

  2. Merci pour le chapitre !

  3. Merci pour le chapitre.
    Non sérieux, il a prit le fuite ? !

  4. Mais quel 8tft7dt7d8doydxohxyidtiwt8 !!!!
    Arghhhh tu t’en fou de tabasser des gens mais de devoir t’expliquer devant une fille dont tu n’es pas amoureux c’est tros dur.
    Mrc pour ce chapitre très divertissant et énervant .

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