Chapitre 2 : Touko-san
Partie 2
« ... Et ainsi, la mascarade fantôme persiste jusqu’à cette semaine ? » demanda Mei.
« ... Ouais. Les symptômes ne sont pas vraiment visibles le jour, mais l’enfer se déchaîne la nuit, » répondit Hisui.
Après l’école le lundi, Hisui tuait à nouveau le temps dans la « salle du club ».
Mei était assise à ses côtés, l’écoutant raconter la mascarade fantôme de Rushella qui avait commencé avec les films d’horreur.
« Un vampire qui a peur des films d’horreur et des fantômes, franchement... Êtes-vous vraiment un “Vrai Ancêtre” ? » demanda Mei.
« Taisez-vous, c’est la faute des humains qui fabriquent ces choses ! C’est encore plus terrifiant que les vrais fantômes et les créatures surnaturelles ! Et ces “armes nucléaires” dont ils parlent à la télévision, pourquoi les humains créent-ils ces choses terrifiantes qui pourraient s’autodétruire !? » occupant l’autre côté d’Hisui, Rushella s’était mis en colère.
Eruru et Kirika n’étant pas encore arrivées, le trio était les seuls présents dans la pièce.
« Je ne m’attendais pas à ce que vous souleviez un sujet aussi sérieux. Je suppose que je compte comme un produit du désir sans fin des humains, donc je ne suis pas vraiment en position de commenter. Mais qu’est-ce qui se passe avec les fantômes ? » demanda Mei.
« Ce n’est pas une farce, d’accord ? Ils existent vraiment ! Regardez l’allure d’Hisui et vous verrez ! » Rushella désigna Hisui alors qu’elle disait ça.
En effet, il avait l’air un peu à différend de la normale. Avec des cernes sous les yeux, son visage était également assez hagard.
« Tu as l’air un peu malade... as-tu attrapé un rhume ou un coup de chaleur ? » demanda Mei, inquiète.
« Non, je n’ai ni l’un ni l’autre... Pas de fièvre, mais juste des frissons. Je n’ai pas d’appétit, mais je ne me sens pas nauséeux non plus... En tout cas, je me sens léthargique et gelé, » répondit Hisui.
« N’est-ce pas simplement parce que vous avez sucé trop de son sang ? Vous avez dû accidentellement trop lui en prendre, lui causant ainsi de l’anémie, ce doit être ça, n’est-ce pas ? » demanda Mei sur un ton accusateur.
Elle désapprouvait déjà Rushella. Voyant la santé de son bien-aimé menacé, elle avait affiché une expression très sévère.
« Je n’ai pas bu depuis dimanche matin. Et c’était le montant habituel... D’ailleurs, si la raison résidait dans une perte de sang, alors cette condition se serait déjà produite avant, n’est-ce pas ? » demanda Rushella.
« Je ne pense pas non plus que ce soit la faute de Rushella. Mais je ne pense pas que ce soit non plus lié aux fantômes, » répondit Hisui.
« Comme je l’ai dit, il y en a vraiment un ! Quand la représentante de classe a regardé Hisui, n’est-elle pas devenue pâle au visage et n’a-t-elle pas commencé à prier avec sa croix ? Ça m’a rendu si mal à l’aise ! » déclara Rushella.
« Alors pourquoi n’accomplissez-vous pas simplement les derniers sacrements pour aider le fantôme à passer dans l’autre monde ? Ou mieux encore, enfonçons-nous un pieu en bois dans votre énorme poitrine ? » demanda Mei.
« Vous faites du bruit, fermez-la ! Vous comptez comme une créature surnaturelle, n’est-ce pas ? Ne me dites pas que vous ne ressentez rien du tout !? » s’écria Rushella.
*Soupir* « Nous en avons déjà parlé, non ? Au contraire, je suis plus proche du côté scientifique... Les sens surnaturels ou toutes ces autres choses, zéro pointé. “L’intuition d’une femme” est déjà assez difficile à avoir, alors je ne vais pas être avide avec un soi-disant sixième sens, » répondit Mei.
« ... C’était si stupide de ma part d’avoir placé mes espoirs en vous, » déclara Rushella.
« Quoi ? Oh, cependant... Je ressens probablement quelque chose. Hé, Hi-kun, laisse-moi regarder ton visage, » déclara Mei.
« Ne lui donnez pas un baiser surpris, d’accord ? » demanda Rushella.
« Bien sûr que non. Dépêche-toi et laisse-moi regarder ton visage de côté, » ordonna Mei.
« ... Comme ça ? » demanda Hisui. Déconcerté, Hisui tourna la tête pour montrer à Mei son profil.
Mei se pencha et Hisui ne prit pas de précautions. Après tout, avec son profil vers elle, même si elle l’embrassait... Ce serait simplement un baiser sur la joue.
Puis Mei s’était approchée d’encore plus près.
Son souffle contre son oreille lui paraissait plutôt chatouilleux.
Et... C’était vraiment trop près.
« Hmm… »
Quand Hisui avait réalisé que quelque chose n’allait pas, il était déjà trop tard.
*Mordillage*
« ... Eh ? »
Une douce sensation d’humidité avait attaqué inopinément son lobe d’oreille.
Avant qu’il ne puisse résister, les lèvres, les dents et la langue de Mei avaient déjà capturé fermement Hisui.
Cela n’avait duré qu’un instant, qui avait semblé persister pendant plusieurs minutes.
Dès que l’humidité de Mei avait quitté le lobe de l’oreille d’Hisui, il s’était effondré en silence.
« Qu’est-ce qui t’arrive, Hisui ? » Rushella s’était précipitée en lui demandant ça.
Avec la tête d’Hisui dans sa vision tout à l’heure, elle n’avait pas vu ce que Mei faisait.
Mais l’expression étourdie d’Hisui l’avait alertée sur la vérité.
« Mon lobe d’oreille a été sucé... puis il a été aussi mordu... et aussi léché…, » répondit-il.
« Ressaisis-toi ! De quel genre d’absurdité délirante parles-tu !? » demanda Rushella.
« On me l’a taquiné, on a joué avec, on me l’a mouillé, puis on y a inséré une langue... Et…, » murmura Hisui.
« Dépêche-toi de te ressaisir ! Reste rationnel ! » cria Rushella.
« Ne me regarde pas... Ne me regarde pas comme ça... » chuchota Hisui.
En dépit de ses paroles, son visage affichait un soupçon de joie.
« Plus personne ne m’épousera... Mon oreille, elle a atteint l’âge adulte... et j’ai grimpé jusqu’au cinquième niveau... » Hisui marmonna sans arrêt, puis tomba sur place.
Un visage plein de bonheur.
« Salope, qu’est-ce que vous lui avez fait ? Et il était déjà si faible au début... !!! »
« Oh, mon Dieu, je le plaignais d’être toujours la boisson et le jouet à mâcher d’une certaine personne, alors je l’ai mordu légèrement et doucement. Vous voyez maintenant la puissance de la “Morsure Sucrée de la Séduction” réalisée en combinant l’amour parfait avec les quarante-huit fonctions de plaisir de Sudou Mei-sama ? Ma langue est encore plus agile que celle de l’humoriste Okada [1], vous savez, » déclara Mei.
« GRRRRRRR... ! »
Rushella n’avait pu trouver aucun mot à répliquer, surtout après avoir vu Hisui encore perdu dans l’extase.
Il prenait plus de plaisir que de se faire sucer le sang par une vampire.
« Si vous ne pouvez pas l’accepter, pourquoi ne pas essayer de mordre le lobe de l’oreille de Hi-kun ? Si vous ne savez même pas mordre légèrement, alors vous êtes pire que les chats et les chiens, pas vrais ? » déclara Mei.
« GRRRRRRR... ! » grogna Rushella.
Moquée par Mei, Rushella s’approcha de l’oreille d’Hisui.
Son oreille humide et dégoulinant était encore rouge lorsque les lèvres pourpres de Rushella étaient entrées en contact.
Puis, avec un flash, des crocs d’un blanc immaculé étaient apparus.
Aiguisant sa détermination, Rushella avait ouvert la bouche.
*Mordre.*
« OWWWWW — !! » Tenant son oreille, Hisui avait sauté tout droit en criant.
« Qu’est-ce que tu as fait si soudainement !? Me mordre impitoyablement dans un endroit sensible... Je n’ai jamais eu de piercings d’oreilles avant et tu as directement fait un trou dans mon oreille ! » s’écria Hisui.
« Je suis si heureuse... n’es-tu pas ainsi revenu à la raison ? » demanda Rushella.
« Quel genre de thérapie de choc est-ce que c’est !? C’est comme se faire arracher l’oreille, puis soudainement se faire éclabousser le visage avec de l’eau froide. Ça tue l’arrière-goût. “Jusqu’où peux-tu allez ?” » demanda Hisui.
« Hahaha, ma douce morsure était-elle vraiment si agréable ? » demanda Mei.
Mei léchait ses lèvres de façon séduisante, amenant Hisui à se gratter timidement la tête.
« Pourquoi fais-tu une expression aussi éhontée ? En tant que mon serviteur fait preuve d’un peu de dignité ! » En disant cela, Rushella s’était préparée à utiliser ses poings.
Alors que le spectacle de tabassage quotidien était sur le point de commencer, la porte de la salle de classe s’était ouverte.
Eruru et Kirika étaient entrées.
En voyant l’état de la salle de classe, elles avaient toutes les deux froncé les sourcils.
Eruru avait été la première à exprimer sa désapprobation. « Vous êtes si bruyants. Un autre argument, hein... Qu’est-ce que c’est ? »
« Nous pouvions entendre vos voix dans le couloir. N’oubliez pas que c’est un club non officiel, ne pouvez-vous pas faire plus attention... ?? » demanda Kirika.
Dès qu’elles étaient entrées dans la salle de classe, Eruru et Kirika avaient instantanément semblé nerveuses.
Eruru avait ensuite sorti son pistolet sacré préféré « Argentum » tandis que Kirika avait sorti une bouteille avec un signe du crâne de sa poche de poitrine.
« Hé... Qu’est-ce que vous faites toutes les deux si soudainement ? » demanda Hisui.
« Pourquoi Eru-chan et Senpai sont-ils remplis d’intentions meurtrières ? » demanda Mei.
« Qu’est-ce que vous avez l’intention de faire ? » demanda Rushella.
Ignorant leurs doutes, les deux filles étaient restées armées.
Eruru et Kirika s’étaient prudemment approchées du groupe d’Hisui puis avaient pointé leurs armes pendant qu’elles parlaient.
« N’avez-vous pas remarqué... ? » Eruru avait demandé ça avec le canon de son pistolet dirigé vers Hisui.
Ses yeux ne plaisantaient pas. De la façon dont elle était en ce moment, elle appuyait vraiment sur la gâchette si nécessaire.
« Hé, calmez-vous... C’est une école, ne faites rien de fou ! » Hisui avait levé les bras pour se rendre, indiquant qu’il n’avait ni armes ni hostilité, mais Eruru n’avait pas baissé sa garde.
« On dirait que vous ne pouvez pas le voir. Kariya-san, puis-je m’en occuper ? » demanda Eruru.
Kirika soupira et s’avança.
Tenant toujours le pistolet, Eruru hocha la tête. Ses yeux étaient toujours fixés sur Hisui.
« Senpai, pourquoi votre expression est si effrayante… ? » demanda Hisui.
« C’est bon, attendez et restez tranquille, » répondit Kirika.
Kirika avait sorti une autre bouteille et elle avait vidé son contenu liquide sur les têtes d’Hisui, de Rushella et de Mei.
Le liquide transparent s’était transformé en brouillard et s’était répandu dans l’environnement, ce qui avait rendu leur vision floue.
« Sorcière, c’était pour quoi faire ? » demanda Rushella.
Kirika avait ignoré la protestation de Rushella et avait commencé à doucement chanter dans une langue obscure en affichant une expression mystérieuse.
Hisui et Rushella pouvaient dire que les phrases étaient composées de latin et d’ancien anglais, mais le sens et la grammaire étaient complètement perdus.
Il s’agissait probablement d’un langage propre aux sorcières, dirigé vers des existences d’un autre monde — en d’autres termes, une incantation.
Catalyseurs, incantations, combinés aux pouvoirs magiques de Kirika, ils avaient formé un simple « rituel ».
Bien que ses actes avaient été rapides et concis, cela avait produit un effet prononcé sur l’environnement.
« Pourquoi ai-je si froid... ? » demanda Mei.
Alors que Hisui avait eu froid ces derniers jours, maintenant, même Mei se serrait dans ses bras et frissonnait.
Cela ressemblait à une chute soudaine de la température, si soudaine que même l’air à côté de leur peau semblait légèrement chaud.
« Senpai, qu’est-ce que vous nous avez fait… ? » demanda Mei.
{Pouvez-vous m’entendre... ?}
« « « ... !? » » »
Hisui, Rushella et Mei se regardaient avec surprise.
Une fille murmurait dans leurs oreilles. Mais la voix ne venait pas de quelqu’un présente dans la pièce.
« Quelqu’un est... ici ? » Hisui avait exprimé la question que le trio avait pendant qu’il examinait les environs.
Naturellement, il n’y avait personne d’autre d’eux. Seules Eruru et Kirika se tenaient sur le côté. Le couple soupira et pointa du doigt vers la poitrine d’Hisui.
« N’avez-vous toujours pas remarqué ? » demanda Eruru.
Le trio avait tourné leur regard vers la poitrine d’Hisui, et ils avaient tous été choqués. Parce qu’il y avait une autre tête qui sortait de sa poitrine.
La tête avec des cheveux noirs et longs avec la frange coupée uniformément. Les cheveux tombant à l’avant de sa tête bloquaient son regard, masquant son expression, mais il s’agissait bien d’une tête de fille au teint extrêmement pâle. Et sa peau était vraiment trop blanche.
Cela donnait une impression de transparence, en fait ce n’était pas une métaphore — parce qu’elle était vraiment à moitié transparente. On pouvait voir les planches à travers elle et le contour de son visage tremblait également de façon instable.
La tête avait souri au trio dont les visages étaient devenus pâles.
{Enfin, vous pouvez me voir.}
« « « Yaaaaaaaaah- !!! » » »
Le trio avait crié avec force d’un seul coup, tombant même de leurs chaises. Au lieu de se lever, ils avaient reculé tout en restant assis sur le sol. La tête était également tombée naturellement de la poitrine d’Hisui. Ou plutôt que de dire qu’elle était tombée, elle était passée à travers son corps.
Après être passée à travers Hisui, elle était restée recroquevillée au même endroit, contrairement à Hisui qui battait en retraite aussi vite qu’il le pouvait.
« Qu’est-ce que c’est que ce truc !? » Rushella serra le bras d’Hisui en montrant l’objet du doigt.
Parce que Hisui avait reculé, la totalité de l’apparition était maintenant visible. Mais à la place de n’avoir qu’une tête... C’était clairement le corps d’une fille.
Il s’agissait d’un corps svelte vêtu d’un uniforme d’école légèrement démodé. Il semblait si intangible parce qu’il était vraiment à moitié transparent... Sa silhouette se mêlait parfaitement à l’environnement.
« ... Est-ce que c’est vraiment possible ? » demanda Hisui avec une expression raide et Eruru hocha la tête.
« En effet, c’est ce qu’on appelle un fantôme, » annonça Eruru.
« Vraiment !? » Hisui s’exclama automatiquement avec que son visage était tout pâle. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’il avait remarqué les mouvements de la fille.
Elle venait vers lui... en rampant à quatre pattes.
Pas à pas... déplaçant les bras minces, elle s’approcha.
« H-Hey Sudou, dépêchez-vous de penser à quelque chose ! » demanda Rushella.
« Je suis du côté de la science, je ne peux rien faire contre les attaques non physiques... Dépêchez-vous de penser à quelque chose ! » répondit Mei.
« Je ne suis pas bon contre ce genre de choses non plus ! Je ne sais même pas si les yeux magiques fonctionnent ou non... !! » s’écria Rushella.
Les deux entités surnaturelles étaient complètement inutiles.
Alors qu’ils se poussaient l’un sur l’autre, la jeune fille s’était déjà levée sur les pieds d’Hisui alors qu’il était effondré sur le sol.
« H-Hey, attendez... Ne vous énervez pas, n’apportez pas votre malédiction ici ! » s’exclama Hisui.
« ... » Au lieu de répondre, la jeune fille avait lentement pressé son visage près de lui.
Le trio était ainsi resté enraciné sur place. Au fur et à mesure que la jeune fille s’approchait, son visage était graduellement entré clairement dans leur champ de vision.
Sous cette frange, le visage...
« ... Hmm ? » Hisui avait été surpris. Rushella et Mei se regardaient mutuellement.
Hisui s’était alors approché prudemment du visage de la jeune fille, inhala et soupira : « Si mignonne... »
Instantanément, la main du vampire et les poings de fer de la fille artificiel l’avaient frappé de gauche à droite lors d’une attaque en tenaille.
« Aïe, qu’est-ce que vous faites toutes les deux !? » s’écria Hisui.
« Tais-toi, d’imaginer que tu désires un fantôme !? » répondit Mei.
« C’est ça, me laisser seule, et t’enfuir dans une cabane avec un fantôme, hein !? » répondit Rushella.
« Je ne fais qu’exprimer mon impression sincère ! Et en fait, c’est bien mieux que vous deux dangers mortels !! » répliqua Hisui.
« Qu’est-ce que tu as dit !? Je suce un peu de sang et je t’ordonne de manière arbitraire !! » répondit Rushella.
« Tout ce que je veux c’est d’avoir un bébé pour construire une famille heureuse, c’est tout !! » répondit quant à elle Mei.
« N’est-ce pas suffisant ? Vous êtes déjà bien pires que la violence familiale typique !! » déclara Hisui.
Le trio avait immédiatement déclenché une guerre des mots.
Les voyants sur le point de commencer un engagement prolongé, la jeune fille avait faiblement levé la main.
« Excusez-moi... Êtes-vous tous prêts à m’écouter ? » demanda le fantôme.
« « « Ah !? » » » Regardant l’intrus, les yeux du trio ressemblaient à ceux des gangsters ou des ruffians.
« Je suis désolée... » La fille avait reculé de peur, et cela même si c’était clairement un fantôme.
Jouant avec ses doigts, incertaine de ce qu’il fallait faire, elle avait effectué un regard suppliant pour obtenir de l’aide au duo se trouvant derrière les trois autres.
Eruru et Kirika hochèrent la tête avec une expression de compréhension profonde.
Eruru avait été la première à agir. « Pouvez-vous vous contrôler ? Sa situation doit être très difficile. »
« « Ah !? » »
Sans dire un mot de plus, Eruru avait enfoncé le canon de son arme sacré « Argentum » dans la bouche d’Hisui.
« (Désolé...) » déclara-t-il, la bouche pleine.
« Très bien. Alors, Mlle Fantôme... Voulez-vous bien commencer ? » demanda Eruru.
« D’accord…, » malgré l’aide d’Eruru, la jeune fille semblait plutôt choquée.
Notes
- 1 Okada : un célèbre comique japonais.