Chapitre 223 : La personne oubliée
Le dragon Olivia avait volé haut dans le ciel. Io, Tania et moi étions sur son dos, alors qu’Hikari s’agenouillait autour de son cou, profitant du ciel.
La vue d’Hikari et d’Olivia qui faisaient cela était exactement le contraire de l’« Hikari et O-chan » du futur, mais cela lui avait étrangement semblé familière.
« Olivia, c’est Mercury dans le sud ? »
J’avais deviné notre chemin d’après la position du soleil et j’avais demandé ça à Olivia. Olivia avait répondu avec un ton strict, contrairement au moment où elle est sous sa forme de dragon.
« Bien que je ne connaisse pas le nom Mercury, je connais la race qui possède un visage très similaire à celui de l’Homme dont tu as parlé. »
« Je vois. Ç'aurait été facile si j’avais une photo. »
{Es-tu un idiot ? Tu devrais juste utiliser « ça »}
« Hein ? ... Je vois, j’avais juste besoin de faire ça, hein. J’ai complètement oublié. Tania, viens ici un instant. »
« Qu’est-ce que c’est ? »
« Ne bouge pas pendant un moment. »
« Oui. »
Tania posa ses bras à ses côtés, agrippa son poing et se tourna vers moi les yeux fermés.
Bien que ce ne soit pas nécessaire, je l’avais enlacée.
« Kakeru ? »
« Ne sois pas si nerveuse. Ce n’est pas comme si j’allais te manger. Je veux seulement un peu utiliser ton corps. »
« O, oui ! S’il te plaît, utilise-le comme tu le veux ! »
Tania avait de nouveau fait une pose avec ses bras sur le côté.
Même si c’était complètement identique qu’avant, cette fois, son visage était rouge et son expression révélait qu’elle s’attendait à quelque chose.
{La façon dont tu le lui as dit.}
Éléanore l’avait à moitié amusé, et à moitié en roulant des yeux.
C’était juste énervant de le signaler, alors j’avais juste continué.
Je touchais doucement la poignée d’Éléanore, libérant une aura et enveloppant Tania. L’aura de camouflage, la puissance qui utilisait le pouvoir d’Éléanore pour changer son apparence.
On ne pouvait voir à travers cela que si on avait des pouvoirs supérieurs à Éléanore, en d’autres termes, il pouvait même tromper les yeux du Roi Dragon.
Ce n’était pas comme si je la trompais, mais j’avais changé l’apparence de Tania en celle d’Hélèna.
De longs cheveux dorés et des oreilles pointues, avec une aura et un comportement gracieux et élégant. Elle ressemblait exactement à Hélèna Theresia Mercury.
Olivia tourna la tête vers nous tout en volant droit devant. Ses yeux de dragon qui possédaient une profonde sagesse regardaient directement Tania.
« Qu’est ce que tu en penses ? »
« Il n’y a aucun doute, c’est bien cette race. »
« Je vois. Merci, Tania. »
J’avais enlevé l’aura et j’avais rendu l’apparence de Tania à la normale.
Je l’avais confirmé avec Olivia. L’endroit où nous allions maintenant était le même que celui d’Hélèna et d’Iris.
Nous avions continué notre voyage dans le ciel à l’arrière d’Olivia.
« Kakeru ! »
« Quel est le problème, Io ? »
« Regarde là, il y a quelque chose de louche. »
La direction où Io pointait, c’était la direction vers laquelle se dirigeait Olivia.
La forêt s’était répandue sur le sol et une partie brûlait en raison de flammes rouges.
De la fumée s’élevait avec les flammes.
« Que se passe-t-il ? »
« Humain, le village est là. »
« Quoi ? »
« Ne~, Kakeru. Ces flammes ne brûlent-elles pas les maisons ? »
« Oui. »
{Sans aucun doute.}
Je hochais la tête et Éléanore acquiesça aussi dans ma tête.
Je connaissais la façon dont ces flammes brûlaient. Ce n’était pas des flammes dues à une bataille, c’était des flammes nées lorsqu’un pillage massif se produisait.
« Je vais descendre ici. Hikari. »
« Oui ! »
Hikari revint et se transforma en sa forme d’Épée Démoniaque.
« Olivia, tu devrais continuer à les porter dans le ciel. »
« Compris. »
« Après cela, je vais laisser à Io le soin de décider quoi faire. Tu peux le faire, non ? »
« ...! Oui ! »
Io agrippa fermement son bâton magique et fit un grand signe de tête.
J’avais sauté le dos d’Olivia. Avec l’inertie, j’étais descendu en avançant à la même vitesse qu’Olivia pendant un moment.
Dès que j’avais atterri dans la forêt, j’avais frappé le sol et j’avais avancé.
L’endroit où j’avais atterri avait explosé et j’avais chargé violemment en laissant derrière moi la poussière des nuages.
J’avais avancé d’une manière rectiligne, plus vite que Olivia dans le ciel.
Enfin, il y avait une clairière, et j’avais vu le village. Le village avait l’air calme, mais il était rempli de verdure, comme si la race qui y vivait coexistait naturellement avec la nature.
Cependant, cela était rapidement devenu de l’histoire ancienne.
Il y avait deux types de personnes là-bas.
L’une était d’une race qui ressemblait aux elfes, avec des cheveux dorés et des oreilles pointues, qui ressemblaient à Hélèna et Iris.
L’autre était des humains munis d’armes et d’armures.
Les hommes attaquaient les villageois. Ils attaquaient et attachaient les villageois, tandis que les autres cherchaient des objets de valeur et brûlaient les maisons.
Le pillage était déjà en cours, des hommes d’âge moyen avaient été tués, et leurs femmes et leurs enfants s’étaient rassemblés dans la peur.
« Kyaaaaa! Mari !! »
« Papa ! Noooooon! »
« Tch, chiennes bruyantes. Allons aussi les tuer. »
« Arrête ça. Nous ne remplirons pas le quota si nous en tuons trop. »
« Eh bien, c’est vrai. Amenez-les sans tuer ! Eh, que diable se passe-t-il ? »
« Quoi qu’il en soit, c’est génial, car tant que nous atteignons le quota, nous pourrions avoir tous leurs trésors. C’est dans le contrat, n’est-ce pas ? »
« Même si tu dis ça, il ne semble pas qu’il y ait des trésors dans ce village. »
« Devrions-nous juste emmener des femmes ? On ne nous a pas dit que nous ne pouvions pas les essayer avant. »
Les soldats avaient dit tout ce qu’ils voulaient.
Bien que son mari avait été tué, la femme avait continué à essayer courageusement de protéger les autres enfants.
Et comme pour rire de son action, un soldat s’était approché.
« Maintenant, c’est décidé, commençons avec la mère. »
« Arrêtez ! Arrêtez, s’il vous plaît ! »
« Ne t’inquiète pas, je suis très... »
Cet homme était incapable de finir ses mots. C’était parce que je lui avais sauté dessus et l’avais coupé en deux.
L’homme avait été séparé en deux, une moitié de lui avait été surpris, l’autre moitié de lui avait été effrayé. Chaque moitié avait fait une expression étrange, puis il s’était finalement effondré au sol.
« Quoi !? »
« Qui diable es-tu ? »
J’avais ignoré leurs questions et je les avais juste tués dès que je les avais vus.
De leur apparence, ce n’étaient pas des bandits. Leur équipement était celui d’une armée régulière et ils ressemblaient tous à des soldats ordinaires.
Il n’y avait pas besoin de les écouter, alors on va tous les tuer.
« A-Ahh... »
« Est-ce que ça va ? »
« ... »
Après avoir tué tous les soldats, j’avais demandé à la mère qui avait défendu ses enfants. La mère était abasourdie par cet événement soudain, et elle n’était même pas en mesure de répondre.
Au premier regard, elle n’avait pas l’air blessée, alors j’avais avancé.
J’avais avancé dans le village et j’avais vu des soldats piller ici et là.
Il y en avait aussi beaucoup qui étaient morts. La plupart d’entre eux étaient des hommes qui détenaient des armes, et les femmes étaient effrayées ou cachées, mais devaient être tuées.
J’avais tué ceux qui pillaient les uns après les autres.
Ils disaient des choses, mais je les avais tous ignorés, je les tuais.
Une énorme ombre volait au-dessus de ma tête. Olivia était passée. Après un moment, j’avais senti que des pouvoirs magiques avaient été perceptibles depuis l’autre côté du village, avec la libération de la foudre et de la magie de la glace.
« Je suppose que je pouvais leur laisser ce côté »
{Muu... ces hommes... ils sont...}
« Tu les connais ? Éléanore »
{Je connais le style de leur équipement. Ils appartiennent à l’armée régulière de l’Empire}
« L’armée régulière ? Pourquoi diable attaquent-ils ce village ? »
{Tu peux le savoir en capturant celui qui les a commandés... mais bon, je peux te le dire.}
« ... Tu es celle qui le leur a ordonné, n’est-ce pas ? »
{...}
Éléanore soupira, mais elle le reconnut.
C’était probablement l’Éléanore de cette époque qui l’avait ordonnée après avoir acquis sa forme humaine. Après tout, maintenant que Rodotos était mort, l’Empire était maintenant celui d’Éléanore.
« J’ai besoin que tu m’en parles plus tard. »
{Hum}
« Haaaa! »
J’avais entendu le son de l’air coupé en tranches avec un cri.
C’était le son d’une épée qui avait été lancée.
Je l’avais bloqué avec Éléanore sans regarder et je le fendis.
J’avais ressenti de la résistance, c’était le sentiment que j’avais quand je tranchais quelqu’un avec son épée et son armure.
{Tu l’as tué.}
« Oui ? Ah ! »
Je m’étais retourné et j’avais compris ce que disait Éléanore.
L’homme qui m’avait attaqué, celui que j’avais coupé en deux, portait une armure différente de celle des soldats ordinaires. C’était probablement leur commandant.
Ce type avait été coupé en deux, gisant sur le sol.
{Tu ne peux plus rien lui demander maintenant.}
« Tu devrais juste me dire ce qui se passe. Tu as une idée à ce sujet, non ? »
{Ben oui.}
« Alors c’est bon. »
J’avais levé mes bras et j’avais tué les soldats.
Ils avaient déjà commencé à piller. Si je ralentissais même un peu, les pertes ne feraient qu’augmenter.
C’est pourquoi je les avais rapidement tués.
Et, une paire d’homme et de femme avaient été attaqués dans un endroit un peu éloigné du village. L’homme et la femme avaient été traînés hors de leur maison et l’homme était sur le point d’être tué.
Je frappais le sol et accélérais, coupant le soldat qui était sur le point d’agir de biais à partir de son épaule.
Je l’avais fait. Je me serais senti mal si quelqu’un que j’essayais de sauver avait été tué devant moi.
Eh bien, comme je l’avais sauvé, j’aurais dû m’occuper du reste...
« L’homme aux dix bonnes chances... pourquoi ? »
« Oui ? »
J’avais arrêté. C’était des mots qui étaient clairement dirigés vers moi.
Je m’étais retourné et j’avais vu un homme par terre qui me regardait.
Bizarrement, c’était un humain ordinaire.
Ses oreilles n’étaient pas pointues. Il était à tous les coups quelqu’un qui n’appartenait pas à ce village.
{Ahh, ce mec !}
« Le connais-tu, Éléanore ? »
{ ... Pff.}
Pour une raison quelconque, j’avais senti qu’Éléanore poussait un profond soupir. Qu’était-il arrivé ?
{Papa. C’est cette personne, c’est celui dont l’avenir a été lu avant Tania -oneechan}
« Avant Tania ? »
{La vieille femme, la diseuse de bonne aventure. C’est l’homme aux sept bonnes chances et trois mauvaises}
« ... y avait-il un gars comme ça ? »
Je me souvenais de la diseuse de bonne aventure après avoir entendu ce qu’Éléanore et Hikari disaient, mais à la fin, je ne me souvenais plus de l’homme devant moi.
Merci pour le chapitre.
Merci pour le chapitre.
Merci pour le chapitre !