Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 8 – Chapitre 222

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Chapitre 222 : Le croisement des « bonnes chances »

Dans le salon de ma maisonnette magique.

J’avais fait attendre Io, Olivia et Tania devant la maisonnette. Je tenais la main d’Hikari, et j’avais essayé d’aller encore une fois à la loterie en tenant le ticket d’or.

« ... Après tout, je ne peux pas y aller. »

{Il s’est passé la même chose qu’avant.}

« Ça veut dire que même si j’ai le ticket, je ne peux l’utiliser qu’après être rentré, hein. »

« Dommage, je voulais aussi rencontrer ma maman. »

« Tu la retrouveras après notre retour. Et pour ça, il faut que je frappe “ça”, cette Éléanore impertinente. »

« Oui ! Hikari fera de son mieux. »

« Hikari, tu n’as pas besoin d’essayer si fort, entendu ? »

{Toi...}

« Ça va~. Hikari est aussi une Épée Démoniaque. »

« Hehehe~ », Hikari riait innocemment.

« Même si Hikari la frappe, Maman devrait aller bien. Après tout, elle est la maman d’Hikari ! »

{Umu, c’est exactement comme elle l’a dit. Cependant, ce n’est pas bien d’abandonner comme ça. Hikari, je vais t’apprendre à me frapper efficacement. Tu devrais l’apprendre et progresser encore plus en tant qu’Épée Démoniaque.}

« Oui ! Hikari fera de son mieux ! »

Hikari était l’incarnation de la pureté, et elle était après tout si mignonne. Elle était sans aucun doute la plus mignonne du monde.

Bien, en laissant de côté le fait qu’elle soit mignonne, ne suis-je pas trop protecteur envers elle ?

... Ahh je vois. Je lui imposais trop mes valeurs.

« Hikari. »

« Qu’est-ce qu’il y a, papa ? »

« Faisons-le avec toute ta force. Il en faut assez pour couper cette autre Éléanore en deux. »

« D’accord ! »

Hikari sourit innocemment.

J’étais sorti avec Hikari et après avoir remis en place la maisonnette magique dans mon entrepôt de dimension différente, j’avais appelé les trois femmes.

« Je vous ai fait attendre. »

« Ce n’est rien. Ne pouvais-tu pas y aller ? Kakeru. »

« Oui, je ne le pouvais pas. Cela sera donc après notre retour. »

« Ororo, dommage. Je voulais voir cette chose appartenant aux Humains. »

« Olivia, tu ne pouvais pas partir avec nous, donc tu ne pouvais pas le voir. »

« Oui, j’ai essayé d’amener O-chan avant, mais je ne pouvais pas le faire ~. »

Hikari était d’accord avec moi, mais Olivia secoua la tête avec un sourire.

« L’homme va dans un espace différent non ? Si oui, l’atmosphère changerait avant et après, alors je voulais le voir. »

« Je vois. Si c’est ça, alors je te le montrerais quand nous reviendrons... ou plutôt, tu devrais probablement le connaître dans ton futur. »

« Nous avons aussi essayé d’y aller pendant que j’étais avec O-chan ~. »

« Oui, j’attendrai avec impatience. »

« Hum... euh, qu’allons-nous faire maintenant ? »

Demanda timidement Tania.

« Nous allons d’abord rencontrer Skiros Calamba. Bien que la situation ait changé, nous allons probablement continuer à nous battre contre l’Empire. L’adversaire a seulement changé, passant de l’empereur Rodotos à l’Épée Démoniaque Éléanore. Si l’histoire se dirige vers les cinq grands royaumes, nous devrions nous battre avec Skiros et les autres. »

« Je vois. »

« Mercury n’est pas là, n’est-ce pas ? »

Io avait posé une question très naturelle.

Les cinq grands royaumes. Mercury, Calamba, Comotoria, Siracuza et Aegina.

Quand j’avais rencontré Skiros, parce que j’avais laissé tomber l’éventail que j’avais reçu d’Hélèna, il avait pensé que j’étais une personne de Mercury. Et bien qu’il n’y ait aucun problème à se battre du côté de Mercury, le problème était qu’après la fin de la guerre, qui sera celui qui gouvernera le Royaume de Mercury.

« En premier lieu, quant à l’apparition d’Hélèna et d’Iris, elles n’étaient pas humaines. »

« Ororo, qu’est-ce que ça veut dire ? »

Olivia penchait la tête. Je vois, elle ne savait pas, hein.

Je le lui avais expliqué.

J’avais parlé de l’image que j’ai eue quand j’avais rencontré Hélèna pour la première fois. C’était une beauté aux cheveux dorés aux oreilles pointues, aussi belle qu’une fée.

J’avais fait à Olivia cette description.

« Ororo, si c’est ça, je les connais. Ils sont une race ayant peu de membres au sein des demi-humains. »

« Est-ce vrai ? »

« Oui, c’est comme ça, non ? »

Olivia agita la main.

Un cercle magique était apparu de la terre et le sol avait graduellement formé une silhouette. Cela s’était lentement transformé en une forme humanoïde et avait commencé à changer de couleur.

Après un moment, cela s’était transformé en une poupée détaillée.

« Ah ! C’est ça. »

« Ça y est. »

« Oui ! »

Io, moi et Hikari. Toutes les personnes qui avaient vu la famille royale de Mercury avaient hoché la tête.

« Et où sont-ils ? »

Olivia ferma doucement les yeux.

Et alors que je me demandais pourquoi elle avait changé son apparence, passant d’une forme humaine à un énorme dragon.

« Montez dessus, humain. »

« Oui. »

Je n’avais pas besoin d’en demander plus.

C’était parce que j’avais compris que la décision d’Olivia de nous guider là-bas valait mieux qu’une explication.

Io, Tania et Hikari.

Tout le monde hocha la tête et monta sur le dos du Roi Dragon Olivia. Elle nous avait amené au ciel et avait battu ses ailes, volant vers le sud.

Il y avait de la fumée qui montait d’ici et d’ailleurs dans le village.

Des cris et des hurlements se faisaient entendre, et le bruit de la bataille pouvait être entendu de partout. Pendant ce temps, une paire d’hommes et de femmes se cachaient dans une maison frugale.

L’homme avait l’air normal, l’un de ceux que vous pouviez voir n’importe où. Sinon, il avait un corps bien bâti, qui était entraîné par l’agriculture intensive.

D’un autre côté, la femme était si belle que tout le monde voudrait y jeter un coup d’œil avec envie. Elle avait des cheveux dorés qui valaient plus que de l’or réel, des oreilles pointues, et dans sa belle et digne expression, on y lisait une sagesse et une intelligence inoubliables.

« Rex, tu devrais t’échapper même si c’est juste toi ! »

« Je dois te laisser ici et fuir ! Laisse-moi, je vais certainement te prendre avec moi et m’échapper. »

« C’est impossible ! Ce sont les soldats de l’Empire de Rodotos. Ils sont venus ici pour nous capturer. La seule personne qui a la possibilité de s’échapper dans ce village est toi. »

« Même ainsi, je ne te laisserai pas derrière ! Je vais le regretter pour le reste de ma vie si je m’enfuis sans toi ! »

« Rex... »

« Je suis content d’être venu ici, c’est parce que j’ai pu accomplir la rencontre qui m’était destinée avec toi. Si c’est le cas, je vais certainement protéger ce destin, peu importe comment ! »

Quel homme, disait Rex avec une volonté inébranlable ! En le voyant, les yeux de la femme étaient maintenant remplis de bonheur et d’amour, mais ce sentiment était mélangé à de la tristesse, à cause de cette situation désespérée.

* Bam ! *, la mince porte avait été ouverte avec force.

Cinq soldats lourdement armés l’avaient piétiné et étaient entrés.

« Oh, vous êtes là. Tch, après tout l’un d’entre eux se cachait. »

« Ne t’inquiète pas, femme. L’ordre du supérieur est juste de te capturer. Nous enverrons ton corps en entier en toute sécurité, alors viens ici, ne résiste pas. »

« Qui croirait ça ! »

Rex attrapa la pelle qu’il avait trouvée dans la cabine et la colla à un soldat comme une lance.

Le soldat l’esquiva facilement, tira son épée et la coupa.

« Qu’est-ce qui se passe avec ce type ? »

« Ses oreilles ne sont pas pointues, donc il n’est probablement pas d’ici. »

« Un étranger, hein. »

« UOOOO !! »

Rex avait tenu la pelle qui s’était transformée en bâton et avait encore défié les soldats.

Et bien que sa volonté soit inébranlable, c’était un homme qui n’avait jamais combattu dans sa vie. Le soldat avait esquivé et lui avait donné un coup de poing dans le dos, ce qui l’avait envoyé voler. Il avait traversé les murs minces de la cabane, il avait été envoyé volé à l’extérieur.

« Rex ! »

« Oh, arrête là, petite dame. Ne bouge pas. Bien qu’on nous ait dit de t’emmener en toute sécurité, il pourrait y avoir un cas où ta mâchoire et tes épaules seront disloquées. »

Le soldat avait attrapé l’épaule de la femme. La femme courait désespérément vers Rex, n’écoutant pas leurs mots.

« Tch, c’est embêtant. Allons tuer cet homme. »

L’un des soldats l’avait suggéré tandis que les autres soldats s’étaient regardés et avaient hoché la tête.

« Bonne idée. Il y a moins de problèmes avec ça. »

« C’est plus gênant si elle est bruyante tout le temps. »

« Je vais le faire. »

L’un des soldats avait dégainé son épée et était sorti. Il s’était tenu devant Rex qui avait été frappé en volant et avait toussé du sang.

« Ne m’en veux pas. C’est ta faute si tu es là à un si mauvais moment. »

« Sept bonnes chances... trois mauvaises... »

« Mm ? Qu’est-ce que tu dis. »

« Sept bonnes, trois mauvaises... est-ce trois ...? Est-ce vraiment trois ? »

« Tch, bâtard bizarre. Assez, va juste mourir ! »

Le soldat avait frappé avec son épée vers Rex. Sa lame tranchante coupait l’air et allait mettre fin à la vie de Rex.

« ...! »

Rex ferma les yeux et fit face dans la direction opposée. Cependant, l’épée n’avait pas été basculée en entier. En trouvant cela étrange, il ouvrit lentement les yeux. Ce qu’il avait vu était un soldat sans tête et un homme tenant une épée noire.

Il connaissait cet homme. Bien qu’il ne connaissait pas son nom, il se souvint de ce qui s’était passé avant.

« L’homme aux dix bonnes chances... pourquoi ? »

Après avoir murmuré, Rex comprit.

Ses sept bonnes chances pourraient être sa réunion avec l’homme aux dix bonnes chances.

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3 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour le chapitre !

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