Chapitre 79 : La mère et la fille
J’avais quitté le restaurant, puis j’étais allé en dehors de la ville pour aller dans la forêt.
Comme il y avait la possibilité ce que je cherchais qui pourrait se trouver sur la route, j’avais décidé de le faire en marchant à la place de le faire avec ma téléportation. Je marchais lentement sous le coucher de soleil.
{Ton nom est vraiment en train de devenir célèbre.}
« Hein !? » demandai-je.
{Mon imposteur était présent depuis quelque temps, mais maintenant, tu as un imposteur qui est finalement apparu. Cela prouve que ton nom est devenu connu.}
« C’est quelque chose d’agaçant dont tu me parles là, » dis-je.
{Et avec le temps, un imposteur d’Hikari devrait aussi voir le jour,} déclara Éléanore.
« Pff ! »
Tout ça m’énerverait vraiment. Elle me l’avait aussi dit au restaurant, mais cela me faisait vraiment chier.
{Cependant, il n’y a rien que tu puisses faire contre ça,} continua-t-elle.
Je le sais bien, pensai-je.
{Pour ma part, je ne déteste pas ça,} déclara-t-elle.
« Quoi !? » m’exclamai-je.
J’avais entendu Éléanore rire dans ma tête.
{À l’époque où je contrôlais ce monde par la peur, les humains tremblaient en entendant juste mon nom. C’est une bonne chose, tu sais ? Le plaisir au-delà de l’infamie. Éléanore et Hikari, ce n’est pas si mal non plus, jetant de nouveau ce monde dans l’abîme de la peur en utilisant nos deux noms.}
« Tu es une idiote, » dis-je.
J’avais passé mon doigt sur Éléanore.
Deux sons purent être entendus quand j’avais fait une petite tape dessus. La capacité d’attaque supplémentaire à 100 % était activée.
J’étais ainsi allé vers la forêt en discutant avec Éléanore.
Après être entré dans la forêt, j’avais cherché la présence humaine.
Je l’avais immédiatement trouvée. Tout au fond, il y avait un grand nombre de présences humaines.
Au moment où j’allais vers là, j’avais vu Hikari, Nana et les soldats esclaves dans un espace dégagé de la forêt.
Tout le monde cherchait quelque chose. Qu’est-ce qu’ils font ? pensai-je, alors je m’étais arrêté et je les avais regardées en silence.
« Hikari-sama, voici ce qu’a trouvé la deuxième section. Est-ce la bonne ? » Nana avait montré la chose qu’elle avait reçue d’un esclave-soldat à Hikari.
C’était une fleur ressemblant à de l’herbe. C’était une fleur semblable à de l’herbe avec 7 petits bourgeons à son sommet.
« Un, deux, trois… sept. Oui ! Il y en a bien sept. Celui-ci est correct~, » après qu’Hikari l’ait reçu de Nana, elle était allée voir le groupe d’esclaves-soldates qui l’avaient trouvée, et avaient baissé la tête avec un très beau geste. « Merci beaucoup, Onee-chan »
Les dix pelotons de vingt esclaves avaient fait un visage troublé en voyant ça.
{Quelle bonne fille !}
« Bien sûr qu’elle l’est ! » répondis-je.
J’avais échangé ces simples mots avec Éléanore. Éléanore était fière.
« Hikari-sama, de cette fleur, combien en avez-vous encore besoin ? » demanda Nana.
« Euh… vous tous, Onee-chan, combien êtes-vous ? » demanda Hikari.
« Onee-chan, si vous dites… » Cette fois-ci, c’était Nana qui faisait un visage troublé.
Observer ce côté inhabituel d’elle était amusant.
« Parlez-vous du nombre d’esclaves-soldates ? » demanda Nana.
« Oui ! » répondit Hikari.
« Dans ce cas, il y en a exactement deux cents, » répondit Nana.
« Il y en a vraiment beaucoup… c’est donc dur, » répondit Hikari.
Hikari regarda la fleur qu’elle tenait dans sa main.
« Est-ce que c’est pour les soldats esclaves ? » demanda Nana.
« Oui ! » répondit Hikari.
« Ce n’était pas pour Monseigneur hein…, » Nana était surprise, moi aussi j’étais tellement surpris.
C’était parce que quand j’avais entendu que Hikari allait chercher une fleur qui pouvait réaliser n’importe quel souhait, j’étais sûr que c’était un cadeau pour moi.
{Kukuku, dommage hein, parent adorable !}
« Tais-toi, tu es trop bruyante, » murmurai-je.
Je m’étais un peu énervé.
« Papa ? » demanda Hikari. « Ce n’est pas ça. C’est parce que Papa est vraiment incroyable, le plus incroyable du monde, donc… Même s’il n’y a pas de fleurs, les vœux se réaliseront pour lui. » Hikari avait dit ça avec un sourire plein d’innocence.
« Hmph ! »
{Tu te vantes trop !}
On dirait qu’Éléanore était un peu contrariée.
« J’ai pensé à chercher la fleur et à la donner à mes Onee-chan. Merci, Onee-chan, » déclara Hikari en baissant à nouveau la tête.
La vision d’Hikari qui baissait ainsi la tête d’une manière très dynamique en utilisant tout son corps était la plus belle chose au monde.
« Si mes Onee-chan n’étaient pas là, je ne pourrais pas les trouver. Vraiment, merci beaucoup, » elle avait dit ça en affichant un sourire.
Face à cet acte, les esclaves-soldates qui étaient là, et les esclaves-soldates qui étaient revenues après avaient eu le souffle coupé.
« Deuxième peloton ! » L’une des esclaves-soldates, la chef de peloton avait crié. « Nous allons trouver la fleur ! Le quota est d’une fleur pour chacune d’entre nous ! Celle qui n’en aura pas trouvé n’aura pas de repas ! »
« Huitièmes pelotons ! Faites tout pour la trouver ! »
Les esclaves-soldates s’étaient rapidement dispersées. En un instant, tout cela était devenu d’un coup très enflammé dans leur esprit, et elles avaient commencé à chercher la fleur.
« Wawa, les Onee-chan se sont mises en colère… se sont-elles mises en colère ? » demanda Hikari.
Elle avait presque pris leur détermination comment étant de la colère, mais à mi-chemin, Hikari pencha la tête avec un « Hein !? »
{Hmm, elle a immédiatement capturé le cœur des esclaves-soldats, Hmm}
« Comme prévus d’Hikari, » dis-je.
{Oui, après tout, elle est ma fille,}
« Non, c’est parce qu’elle est ma fille, » dis-je.
Tout en nous disputant sur ça, j’étais allé vers où Hikari se trouvait.
☆☆☆
J’étais retourné à la ville avec Hikari, Nana et les soldates.
Les 200 esclaves-soldates avaient toutes placé une fleur sur leur poitrine.
Le résultat de la recherche avait permis d’être en mesure de rassembler un assez grand nombre pour toutes les esclaves.
En passant, après que la chef de peloton du premier peloton avait « mendié » une faveur, Hikari avait placé les fleurs sur leur poitrine, l’une par une.
En voyant ça, nous savions que tout le monde était tombé en adoration pour Hikari.
« Euh, c’est…, » dis-je.
« Qu’est-ce qu’il y a, papa ? » demanda Hikari.
« C’est la caverne de Maria, » dis-je.
« La caverne de Maria ? » demanda Hikari.
Hikari pencha la tête.
« C’est juste, tu ne sais rien à ce propos, » dis-je.
La grotte de Maria, l’endroit où l’ancienne puissance d’Éléanore, l’armée de l’enfer avaient été scellées.
Puisqu’elle n’avait pas pu être annihilée, la caverne avait été scellée, et était surveillée par la guilde.
L’aventurier qui avait le rôle de vigile, un jeune homme que je connais était venu vers moi au pas de course.
« Bonjour ! Cela fait un moment, Monsieur Kakeru ! » déclara-t-il.
« Bonjour, tout à fait, » dis-je.
« Qu’est-ce qui se passe aujourd’hui ? Êtes-vous allé à la guerre ou quelque chose ? » demanda-t-il.
L’aventurier regardait ce qui se trouvait derrière moi.
Les deux cents soldats… on ne pouvait pas y faire grand-chose s’il pensait quelque chose comme ça.
« Non, ce n’est pas vraiment ça…, » dis-je.
« Monsieur Kakeru ? » redemanda-t-il.
« Nana ! » je m’étais adressé à Nana et non plus à l’aventurier.
« À vos ordres ! » répondit-elle.
« Comment l’entraînement a-t-il progressé ? » demandai-je.
« Si elles sont contre le même nombre de soldats, elles peuvent résister dans une certaine mesure, » répondit Nana.
« Elles se sont améliorées depuis la dernière fois, hein. Bon, entraînons-les, » dis-je.
Cette fois, j’avais fait face à l’aventurier et avais dit. « Désolé, mais, pouvez-vous libérer le sceau comme la dernière fois. Je p... »
« J’ai compris ! » s’écria l’homme.
L’aventurier avait couru vers la grotte. J’avais l’intention de dire « Je prendrai toute la responsabilité », mais il avait accepté sans que je finisse.
{Ce type est aussi ton disciple, hehe !}
« Cependant, je ne suis pas si heureux si c’est un homme, » dis-je.
J’avais haussé les épaules face à ça.
☆☆☆
Je regardais les soldats se battre, assis à côté d’Hikari et mon dos contre un arbre.
Sous les ordres de Nana, les esclaves-soldates se battaient contre l’armée des morts-vivants.
Elles perdaient un contre un, mais en coopérant à plusieurs, elles étaient finalement égaux, et avec le commandement de Nana, elles dépassaient le nombre de monstres qui apparaissaient au point de scellage. Elles se battaient ainsi.
« Kyaaaa! »
« Kuwa! »
« Verna! Bashira! »
« Première section, on recule ! Maître ! Puis-je recevoir l’autorisation d’utiliser des objets de soins ? » demanda Nana.
« Les boules magiques ? Tu peux les utiliser librement, » répondis-je.
« D’accord ! Merci beaucoup, » déclara Nana.
Le premier peloton s’était replié à la suite des ordres de Nana et avait pu être soigné et reprendre leurs souffles.
Les esclaves-soldates avaient continué à se battre, puis soudainement, un billet de loterie était apparu en provenance de l’un des squelettes défaits.
Je m’étais levé, puis j’étais allé le chercher et je l’avais ramassé.
J’avais rapidement pu confirmer que c’était sans aucun doute possible, l’un de « ses » billets de loterie.
« Monseigneur ? » demanda Nana qui trouvait la situation étrange.
« Ce n’est rien, » répondis-je. « Mais en y pensant, vous devriez de plus en plus vous battre. Il n’y a pas de meilleur entraînement qu’un vrai combat. »
« À vos ordres ! » s’exclama Nana. Elle s’était tournée pour donner des ordres.
« Nana ! » dis-je.
« Oui ! » répondit-elle.
J’avais arrêté Nana et elle s’était retournée pour me regarder.
« Dis-moi plus tard celle qui aura été la plus active au sein des esclaves, je vais lui donner une récompense, » dis-je.
« Compris, » répondit Nana puis elle était retournée donner des ordres.
Le nombre de tickets avait ainsi augmenté, j’avais même pensé que si je recevais quelque chose de bon en provenance de la loterie, je pourrais lui donner ça.
L’entraînement effectué lors de cette vraie bataille continua.
Les esclaves-soldates étaient progressivement devenues de plus en plus fatiguées.
Il est temps de les faire arrêter, et d’attendre que leur endurance se rétablisse, alors que je pensais à ça.
« Kyaaaaa!! »
« Qu’est-ce que c’est !? »
« Tellement grand… et ce sentiment si glacial… »
Les esclaves-soldates étaient devenues bruyantes.
Qu’est-ce que c’est ? pensais-je, et quand j’avais jeté un coup d’œil sur le champ de bataille, un géant qui avait un féroce visage avec des cornes et des crocs était apparu au point de scellage.
L’Empereur de l’Enfer Sandros, l’atout de l’armée de l’enfer d’Éléanore qui avait souvent mené cette armée. Il s’agissait d’une personne qui faisait changer le cours de la guerre par sa seule présence,
Ce monstre était apparu et la situation de la bataille avait littéralement changé.
Avec son premier coup, des dizaines de soldats esclaves avaient été emportés avec son bras empli de force.
Et avec une attaque supplémentaire, il avait expulsé des dizaines d’esclaves supplémentaires.
Les esclaves s’étaient mises à fuir en un instant.
« Haaa ! » Nana sauta sur le monstre.
Avec sa cape flottant, elle avait réduit la distance entre eux en un instant, et l’avait attaqué.
« Nana-sama ! » J’avais entendu la voix emplie de soulagement des esclaves-soldates, et dans l’instant suivant…
« Ahh !! »
Nana avait été envoyée au loin par une frappe de Sandros.
Elle s’était relevée, avait repris sa position et l’avait à nouveau attaqué.
Elle avait balancé avec son épée, le coupant à de nombreuses reprises.
De son côté, Sandros encaissait ça et contre-attaquait. Nana avait deviné que son bras était utilisé comme pied de biche, et le frappait à la tête.
« Ils sont à égalité »
{Certainement. Cependant, l’endurance de ce type est inépuisable.}
« Elle est désavantagée lors d’une longue bataille, Hmm, » dis-je.
Nana avait lutté contre lui de manière égale, mais c’était une bataille difficile.
Parmi les esclaves-soldates, certaines d’entre elles avaient aussi remarqué cela, et avaient fait des signes de vouloir aller soutenir Nana avec leurs armes.
« Stop ! » je les avais arrêtées.
« Mais, ainsi Nana-sama va perdre ! »
« Arrêtez-vous et écoutez-moi. Nana ! » dis-je.
« Oui ! » répondit Nana.
« Recule maintenant ! » ordonnai-je,
« À vos ordres ! » répondit Nana.
Nana échangea quelques coups avec Sandros, avant de reculer avec force comme je lui avais ordonné.
« UOOOOOOOOO!! » Sandros leva les yeux et rugit. De la façon dont il regardait l’environnement, il n’avait pas changé d’avant.
« Hikari ! » dis-je.
« Oui, » Hikari hocha la tête et se transforma en forme d’Épée Démoniaque.
Je l’avais prise dans l’une de mes mains et j’avais dégainé Éléanore, avant de me diriger vers Sandros.
Ce gars n’avait pas changé, mais moi, j’avais changé depuis.
Avant ça, j’avais seulement Éléanore et maintenant j’avais également Hikari avec moi.
Je ne pensais pas du tout perdre face à lui.
« UOOOOOOO!! »
« Merci pour votre travail acharné, » dis-je.
J’avais reçu son coup de poing avec Éléanore, et je l’avais décapité en utilisant Hikari, puis je l’avais tranché verticalement avec Éléanore.
Sandros avait été coupé de part en part. Son corps énorme s’était effondré au sol, puis il avait disparu sans laisser de trace. Ou plutôt, il y avait un ticket de loterie à sa place, mais rien de plus.
Quand je m’étais retourné, j’avais senti que les yeux de tous étaient concentrés sur moi.
Les esclaves-soldates me regardaient avec des yeux passionnés.
La plupart d’entre elles étaient admiratives, mais certaines d’entre elles avaient le visage de femme amoureuse.
Merci pour le chapitre
Merci pour le chapitre.
Merci !!!!!!!!
Merci pour le chatpitre.
PS:lol, même les esclave sont en train de tomber amoureuses de lui !
Merci pour le chapitre !
Merci pour le chapitre
Merci