Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 2 – Chapitre 54

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Chapitre 54 : Des Cadeaux Dorées et Brillants

« Je ne pouvais pas encore le faire..., » dis-je.

À l’intérieur du manoir, j’étais avec ma femme Miyu à *MofuMofu* -er afin de guérir mon cœur blessé.

À proximité, Althea qui avait retiré son capuchon se détendait dans son mode de beauté incomparable.

C’était vrai, je l’avais défiée en pensant que je pouvais le faire aujourd’hui, mais finalement, toute ma vigueur avait été enlevée et ma chose ne réagissait plus du tout.

« Pauvre Papa ! » Hikari était venue à mes côtés, et elle me caressait la tête tout en me disant ça.

La petite main de ma fille était en ce moment très réconfortante.

« Ça aurait été bien si j’étais capable d’aider, » Miyu venait de me dire qu’elle se sentait mal vis-à-vis de la situation.

« Tu n’as pas besoin de t’en soucier. Il suffit que tu me laisses faire * MofuMofu * avec toi, » dis-je.

« D’accord, » dit-elle.

« Mofu, » je laissai échapper une voix plate, et continuai à * MofuMofu *.

« Monsieur Kakeru, un visiteur vient d’arriver, » la femme de ménage fantôme Tania était apparue depuis le plafond, et elle m’avait annoncé ça.

Récemment, elle était revenue dans le manoir et elle avait possédé (s’installer) le manoir.

Mais contrairement à avant, il semblerait qu’elle était désormais capable de se déplacer librement dans toute la maison et non pas seulement à proximité de sa chambre de bonne.

Et elle gardait le manoir, ou aidait Miyu.

En raison de la façon dont elles s’étaient rencontrées, Miyu avait au début eu peur, mais il semble qu’elles aient récemment brisé la glace.

« Un visiteur ? Qui est-ce ? » demandai-je.

« Hmmm, c’est une personne qui s’est présentée sous le nom de Samaras, » déclara-t-elle.

« Monsieur Samaras, hehe ! » dis-je.

« Hum ! Maître, je vais le faire patienter un peu, » déclara Miyu.

Miyu avait essayé d’aller faire son travail de femme de ménage, mais je l’avais arrêtée.

« Non, Miyu doit * MofuMofu * comme ça, » dis-je.

« Hé ! M-Mais le visiteur !? » s’exclama Miyu.

« Tania, Nana et Io sont bien dans le manoir, n’est-ce pas ? » demandai-je.

« Oui. Mademoiselle Nana s’entraîne à l’épée, et Mademoiselle Io est en train de lire des Grimoires, » répondit Tania.

Les deux filles avaient commencé à vivre en tout temps dans le manoir. Et il semblerait que les deux filles soient présentes aujourd’hui.

« Laisser l’une d’elles s’occuper de lui. Et demandez-lui la raison de sa venue, » dis-je.

« J’ai compris, » répondit Tania.

« Attendez, » Althea avait arrêté Tania.

« Qu’est-ce qu’il y a ? » demanda Tania.

« Io est la magicienne, n’est-ce pas ? Laisser cette fille s’occuper de ça. Dites-lui que Monsieur ne se sent pas très bien, » déclara Althea.

« Haa..., » Tania m’avait alors regardé.

Pour l’instant, j’avais hoché la tête.

C’était vrai que je ne me sentais pas bien. Quelque chose comme ne pas être capable de le faire après avoir perdu ma vigueur était un énorme dommage autant physiquement que mentalement.

Après que Tania ait disparu du plafond, j’avais alors demandé à Althea. « Pourquoi lui avez-vous donné un tel ordre ? »

« C’est parce qu’il est temps que les rumeurs concernant le Royaume Calamba se répandent un peu partout, » déclara Althea

« Calamba ? Pourquoi donc ? » demandai-je.

« Vous le saurez bien assez bientôt, » répondit-elle.

Et après ça, il était sûr qu’Althea ne dirait plus rien.

Elle était simplement revenue à sa posture de détente qu’elle avait eue avant. Je l’avais regardée.

Bon sang... elle est vraiment une gentille femme, pensai-je.

Elle était jolie et elle était très sexy.

Je voulais le faire~.

Mais je ne pouvais pas le faire à l’heure actuelle. J’avais ce sentiment, mais mon corps n’arrivait pas à suivre.

Mais si je ne faisais pas ça, et que je ne lui donnais pas ma vigueur, elle serait ridée et c’était hors de question que je la laisse ainsi.

... c’était trop triste.

« Maître..., » déclara Miyu.

C’était pourquoi, je faisais *MofuMofu * avec Miyu.

Lentement, et profondément, je *MofuMofu* avec elle.

Après un moment, Io entra dans la pièce.

« Monsieur Kakeru, Monsieur Samaras vient de partir, » dit-elle.

« Je vois ! Et quelle est la raison de sa venue ? » demandai-je.

« Il était venu pour rien en particulier, » dit-elle.

Althea l’avait alors interrompue. « Eh bien, cela devrait être vrai ! »

« Ce n’est pas possible. Venir jusqu’ici sans..., » dis-je.

« Him, c’est ce qu’il m’a dit, » déclara Io.

« Hein !? », surpris, je regardai Io. « Est-ce que Samaras t’a dit ça ? »

« Exacte. Et aussi, pour une raison inconnue, il a apporté une grande quantité de présent pour vous, Monsieur Kakeru. Ils ont été posés dans la salle de réception, » déclara Io.

« Des présents ? » demandai-je.

« Oui, et j’ai reçu cela de lui, » dit-elle en nous montrant un bijou qu’elle avait dans sa main.

« Un présent pour toi, Io ? » demandai-je.

« Oui, il a dit “Avec toute mon estime, pour le Goshaku-sama [1]”, » déclara Io.

« Goshaku-sama ? » demandai-je.

« Ceci pourrait être une bonne chose si vous le rencontrez la prochaine fois, » déclara Io.

« Eh bien ! La prochaine fois, je le rencontrerai en personne, » dis-je.

Qu’est-ce que c’est que tout cela ? Alors que je pensais à ça, Tania apparut à nouveau depuis l’étage du dessus.

« Monsieur Kakeru. Cette fois, une personne appelée Andrew vient d’arriver, » déclara Tania.

« Andrew, dis-tu ? » demandai-je.

« Exacte, » répondit-elle.

J’avais regardé Althea. Elle avait souri avec douceur et avait pointé du doigt Io.

« Faites la même chose, » voilà ce qu’elle devait penser.

Io quitta la pièce et revint au bout d’un moment.

Elle faisait un visage un peu troublé.

« Monsieur Kakeru..., » dit-elle, en tendant la main.

Cette fois, c’était un bâton. Il s’agissait d’un bâton magique qui avait une gemme au bout.

« As-tu également reçu ça ? » demandai-je.

« Oui. Et il est vraiment très cher. Que devrais-je faire avec ? », demanda Io.

« Des présents également ? » demandai-je.

« Il en a aussi laissé ici. Ils sont dans une salle différents des autres, » dit-elle.

J’avais alors regardé Althea.

« Vous a-t-on déjà dit “Avec toute mon estime envers Goshaku-sama” ? » demanda Althea.

« Oui, on me l’a dit, » répondit Io.

« C’est donc bien le cas, » déclara Althea.

« Que se passe-t-il actuellement ? » demandai-je.

« Kakeru, vous, qui posséder cinq titres de noblesse, êtes profondément impliqué dans la reconquête du règne du Royaume de Calamba, » déclara Althea. « Et donc, avec seulement ces deux personnes, il devrait y avoir beaucoup de personnes qui vont vouloir faire votre connaissance. Bref, ils étaient venus vous flatter. »

« Ha ! » dis-je.

Est-ce que c’est quelque chose comme ça ? pensai-je.

Cela signifiait que j’allais recevoir beaucoup de babioles dorées.

« Et aussi, si cette femme venait..., » déclara Althea.

« Quelle femme ? » demandai-je.

Je pensais que c’était étrange ce qu’elle disait et j’avais donc regardé Althea. Je me demandais de qui elle parlait.

Et pendant que nous étions là, Tania était revenue à nouveau.

« Monsieur Kakeru, cette fois-ci, c’est Mademoiselle Delphina qui vient d’arriver, » déclara Tania.

« Delphina ? » demandai-je.

« Oui, elle attend devant le manoir, » répondit-elle.

« Elle attend à l’extérieur du manoir ? » demandai-je.

Cela n’était pas vraiment approprié pour Delphina. Plutôt, devrais-je dire que ce n’était nullement nécessaire qu’elle fasse ça ?

J’avais promis que je viendrais la chercher. Et quand elle venait ici, elle pouvait entrer dans le manoir sans avoir besoin de demander la permission.

Soudain, je m’étais souvenu de « Cette femme » qu’avait dit Althea.

« Parliez-vous de Delphina avant ça ? » demandai-je.

« Exacte. Et en plus, elle vous aime vraiment beaucoup, hehe, » dit-elle.

« Que voulez-vous dire ? » demandai-je.

« Elle essaie de créer une rumeur que même la riche marchande Delphina est avec Goshaku-sama, » répondit Althea. « Afin de vous soutenir. La raison pour laquelle elle attend dehors est de laisser les personnes la voir chez vous. Sinon, elle n’aurait pas besoin d’attendre dehors, n’est-ce pas ? »

« ... Je comprends, » dis-je.

« Eh bien ! pour couronner le tout, quelle est la manière la plus appropriée d’agir ? » Althea avait dit ça avec le ton d’une enseignante.

Je m’étais mis à réfléchir.

« Tania, cette fois-ci, laissons Nana y aller, » dis-je. « Vous devriez la guider seulement jusqu’à l’entrée. Et prenez votre temps afin que le maximum de personnes puisse vous voir. »

« Compris, » répondit Tania avant de disparaître.

J’avais alors regardé Althea. Elle faisait un visage du genre « Bien joué ».

« Après ça, vous allez longuement chérir, Delphina..., » déclara Althea.

« Vous n’aviez pas besoin de dire ça ainsi, » j’avais dit ça avec un ton ferme.

Récemment, Althea m’avait appris beaucoup de choses, mais ce qu’elle venait de dire n’était nullement nécessaire.

Je le savais déjà et j’avais déjà prévu de le faire avec elle.

Althea avait été un peu étonnée, et alors qu’elle rougissait un peu, elle avait rajouter : « Vraiment ? »

Et après cela, pendant un certain temps, beaucoup de personnes n’arrêtèrent pas de venir me voir dans mon manoir.

Notes

  • 1 Signifie l’homme aux cinq titres de noblesse.

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8 commentaires :

  1. Merci pour le cadeau.
    P.S : Je demande, depuis combien de temps déjà est-il dans ce monde ?

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour le chapitre vivement la suite

  4. Merci pour le chapitre et joyeux noël!!!

  5. Barthélémy Lelièvre

    Merci pour ces chapitres

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