Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 2 – Chapitre 42

Bannière de Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken ***

Chapitre 42 : Hikari Yuuki, Âge 0 an, desu

« Hikari Yuuki, âgée de 0 an, desu. » Yuuki se présenta ainsi.

Nous nous trouvions le matin, dans la salle à manger du manoir.

Hikari s’était poliment présentée devant Delphina, Nana et Miyu,

Je m’étais réveillé ce matin, il y avait soudainement une petite fille, alors tout le monde avait bien entendu été surpris.

« Yuuki... ça veut dire, Monsieur Yuuki ? » Delphina m’avait regardé en ayant un visage du type. « Ne me dites pas que... ».

« Tout à fait, elle est ma fille, » annonçai-je.

Tout le monde fit en même temps un « Heinnnn!? »

« Je ne savais pas que vous aviez une fille, » avait dit Nana.

« Je l’ai depuis hier, » dis-je simplement.

« Hein !? » s’écrièrent les filles.

« Je comprends. Il s’agit donc d’une fille adoptée, » dit Delphina.

Delphina, Nana et Miyu étaient toutes convaincues de ça.

Et bien, si vous disiez que « j’ai eu cette enfant hier » alors qu’elle est si grande, tout le monde arriverait naturellement à cette conclusion.

« Mais dans ce cas, Maître, hum... qui est la Maman de Maîtresse Hikari ? » demanda Miyu.

« Elle, » dis-je en levant Éléanore.

« Hein !? » s’écria Miyu.

« C’est sa mère, » continuai-je.

Tout le monde avait alors fait un visage étrange. C’était le visage qui disait. « Mais de quoi est-ce qu’il parle ? »

Et Delphina me regardait même avec des yeux emplis de pitié.

« Hikari ! » dis-je.

« Qu’est-ce qu’il y a, papa ? » répondit-elle.

« Pourrais-tu te changer en épée ? » lui demandai-je de faire.

« Tout à fait. J’y vais ! » répondit-elle, avant de se transformer en version miniature de l’Épée Démon.

En voyant la petite fille se transformer en une épée démoniaque devant elles, les trois filles furent de plus en plus surprises.

J’avais aligné Éléanore à ses côtés.

Les deux Épées avec la même apparence, mais elles avaient juste une différence de taille.

« Est-ce que vous me croyez maintenant ? » Leur demandai-je, mais personne ne fut capable de répondre pendant un moment.

Elles étaient encore totalement prises au dépourvu.

Après un moment, Delphina retrouva assez de calme pour demander. « C’était vraiment trop inattendu. J’ai toujours pensé que vous étiez quelqu’un qui ferait quelque chose de grandiose un de ces jours, mais je n’aurais jamais imaginé que vous arriveriez à féconder une épée démoniaque... c’est vraiment trop imprévisible. »

J’étais d’accord avec son avis.

Je ne pensais pas que je féconderais Eléanore.

« Comme prévu du Maître, desu, » dit Miyu.

« Hum ! C’est bien pourquoi vous êtes digne d’être mon Seigneur, » déclara Nana.

« Au fait, vis-à-vis d’Hikari, est-ce seulement vous qui pouviez la manier ? » demanda Delphina.

« Haa! Je ne sais pas. Voulez-vous l’essayer ? » demandai-je.

« Hum... » répondit Delphina avec beaucoup d’hésitation en pensant à ce qui s’était passé la dernière fois.

« Je suis avec vous, » dis-je afin de la rassurer.

« ... Et bien, dans ce cas, » se souvenant de la dernière fois, elle tendit la main vers Hikari avec un visage tout rouge.

Puis elle toucha l’épée avec précaution avant d’essayer de lever à deux mains, mais...

« Elle est bien trop lourde, wooo... » s’écria Delphina.

« Lourde ? » demandai-je, surpris.

« Tout à fait. Je ne peux même pas la lever d’un millimètre, » répondit-elle.

« J’aimerais essayer, » déclara Nana, avant de se placer à côté de l’épée et de tenter de la lever de la même manière.

Mais même ainsi, elle n’avait pas bougé d’un iota. Hikari était comme si elle était ancrée au sol, ne bougeant pas du tout, peu importe la force appliquée sur elle.

« C’est trop lourd. Combien pèse-t-elle ? » demanda Nana.

« Vraiment ? » dis-je, surpris par la tournure des événements.

Je pris alors Hikari dans ma main. Elle ne semblait pas être lourde du tout. Elle avait le même poids qu’elle avait toujours eu.

« Et ainsi, seul vous pouvez la manier, » déclara Delphina.

« Ça semble être le cas, » répondis-je.

Eh bien, c’était correct ainsi. En premier lieu, je ne voulais pas laisser Hikari être touchée par quelqu’un d’autre. Alors c’était pratique qu’elle ne puisse pas être maniée par un autre.

Hikari avait alors repris sa forme humaine.

Et encore une fois, elle avait fait un salut mignon avec un. « S’il vous plaît, prenez soin de moi. »

Quand les trois filles virent ça, elles réagirent toutes d’une manière légèrement différente.

« Monsieur Yuuki, puis-je plus tard emprunter Mademoiselle Hikari ? » demanda Delphina. « Comme elle est aussi une fille, je prendrais ses mensurations et lui préparerai de jolis vêtements. »

« Je-je peux faire de la pâtisserie, » annonça Miyu. « Maîtresse Hikari, aimez-vous les bonbons ? »

« Je vais... Hmm, » commença Nana, ne sachant pas trop quoi dire. « Je suis troublée... Que dois-je faire pour rendre une enfant heureuse ? »

Et ainsi, ces trois filles prévoyaient déjà de gâter Hikari.

En regardant depuis le côté, il était clair que leurs yeux étaient fixés sur elle.

Eh bien, je connais ce sentiment. Pensai-je. Car après tout, ma petite Hikari est la chose la plus mignonne dans le monde.

Dans la salle de la loterie.

Éléanore était assise dans le coin de la pièce, serrant ses genoux. Elle marmonnait quelque chose pendant qu’elle repliait ses genoux contre elle. « J’ai été fécondée de force... une mère... je suis devenue une mère à cet âge... »

De qui parles-tu !? Toi, la première fois que nous nous sommes rencontrés, tu m’as dit que tu avais déjà vécu plusieurs centaines d’années. Pensai-je. Dans ton cas, ceci ne serait-il pas plutôt super tardif ?

À côté de cette Éléanore qui marmonnait, Hikari se tenait timidement très près d’elle, afin de voir comment elle allait.

Qu’est-ce qui se passe ? Alors que je pensais à ça...

« Hum !? ... Maman, desu, » déclara Hikari.

Un instant ! Maintenant que j’y pensais, il s’agit de la première fois qu’Hikari voit la version humaine d’Éléanore.

Éléanore releva la tête, elle avait une expression très compliquée.

« Hikari. Laisse Maman t’embrasser ! » dis-je.

« ... D’accord ! » cria Hikari.

Après avoir entendu ça, Hikari prit Éléanore dans ses bras avec une grande joie clairement visible.

Honnêtement, leur taille était identique. Il s’agissait pour moi de deux petites filles, et non pas une mère avec sa fille. Quant à moi, je pouvais seulement les voir comme des amies jouant à l’école enfantine.

« Que se passe-t-il ? » demanda Éléanore.

« Maman ! » cria Hikari.

« Hmm... »

Éléanore avait perdu ses mots alors qu’elle était étreinte et qu’on l’appelait ainsi.

On pouvait clairement voir qu’elle était troublée, mais il ne semblerait pas qu’elle n’appréciait pas ça.

« Vous êtes vraiment une mère et sa fille. Vous vous ressemblez énormément, » dis-je.

« Exact ! Je ressemble à ma Maman ! » répondit Hikari, avec un sourire empli d’innocence.

Et étant ému par cette scène, le visage d’Éléanore s’adoucissait graduellement.

Quand elle tapota sur la tête d’Hikari qui la serrait dans ses bras, Hikari la serra encore plus fort. Et Hikari adorait quand sa mère la gâtait. À cause de ça, Éléanore avait tapoté la tête de Hikari avec une expression de plaisir.

Un cercle de bonheur. De tels mots m’étaient venus à l’esprit.

« Uhm... » La femme du personnel laissa sortir une voix emplie d’étonnement. Elle était ici tout le temps. « Je ne sais pas ce qui se passe, mais s’il vous plaît, ne venez pas ici afin de faire des scènes de ménage emplies de bonheur. »

« Désolé, désolé. » Je m’étais un peu excusé, avant d’aller jusqu’à la table.

« OK, alors, il est bon de commencer. Bienvenue cher Client, » déclara la femme du personnel.

« Au fait, je voudrais vous demander quelque chose. Depuis quand avez-vous deux machines ici ? » J’avais demandé ça à la femme qui était revenue comme l’habitude.

Il y avait désormais deux machines à la place d’une. L’une était la machine de loterie non limitée et avec qui j’avais souvent joué.

L’autre était une machine de loterie qui semblait plus modeste.

« C’est vrai. Nous avons commencé une nouvelle loterie, » annonça-t-elle.

Tout comme une nouille chinoise froide, hein.

« Est-ce aussi une loterie limitée ? » demandai-je.

« Non, elle sera là en permanence. C’est juste, qu’il y a une façon différente d’y jouer, » déclara-t-elle.

« Hein !? » m’exclamai-je.

« Une fois par jour, vous aurez le droit de jouer à chaque fois que vous venez ici. Vous pouvez l’utiliser immédiatement, mais vous pouvez également les accumuler pour jouer plusieurs fois le même jour après en avoir accumulé, » dit-elle.

« Dois-je seulement venir ici ? » demandai-je.

« Oui. Mais cela marche uniquement si c’est vous qui venez ici, » dit-elle.

Ceci ressemblait à quelque chose comme un bonus de connexion, hehe.

« Et, quels sont les prix ? On dirait qu’ils ne sont écrits nulle part. » demandai-je.

« Comme celui-ci peut être joué gratuitement, les prix sont un peu plus humble que l’autre. Ils n’ont pas été écrits pour le moment, mais, s’il vous plaît, veuillez rapidement jouer, » dit-elle.

« Je comprends, » dis-je.

« Au fait, quand vous ne gagnez rien de spécial avec celui-ci, le prix de participation est une pièce d’argent, » expliqua la femme du personnel.

« Hehe, c’est vraiment un échec dans ce cas ! » dis-je.

« Alors, qu’allez-vous faire ? Le nombre de participations que vous avez est d’un. Alors, allez-vous jouer maintenant ? » me demanda-t-elle.

« Laissez-moi réfléchir, » dis-je.

J’avais réfléchi pendant un moment. C’était pas mal de le jouer dès maintenant, mais c’était aussi très intéressant de le garder et de le jouer plus tard.

Eh bien, que dois-je faire.

« Papa ! Qu’est-ce que c’est ? » me demanda ma fille après qu’elle soit venue à mes cotées avec des petits pas très mignons.

« Hum !? C’est quelque chose qui s’appelle une loterie. Quand tu la fais tourner, tu reçois ce qui sort en tant que cadeau, » lui dis-je.

« *Hihi!* » Éléanore qui était derrière elle avait ri.

« Qu’est-ce qu’il y a ? » demandai-je.

« Maintenant, tu dis... finalement, tu as changé la manière de la décrire, » dit Éléanore.

« Hmm ! »

« Et un peu plus tôt, tu m’as appelé en disant que j’étais une maman, » dit-elle.

Après qu’elle ait précisé ça, je devins un peu embarrassé.

Je me demandais bien pourquoi, mais les mots que j’utilisais pour parler à Hikari changeaient en fonction du point de vue.

Je me demandais bien ce que c’était.

Hikari avait encore regardé un peu la machine de loterie, puis avait demandé. « Vraiment ? ... si je la fais tourner, est-ce que je pourrais avoir un cadeau ? »

« Hein !? Bien sûr, si c’est permis de le faire, » dis-je.

Comme c’était mon tirage qui serait utilisé, je devais confirmer avant ça que c’était possible, mais je pensais déjà que c’était le cas vu que je l’avais déjà fait avec Éléanore.

Et parce que Hikari faisait un visage excité, je lui avais demandé.

« Veux-tu l’essayer ? » demandai-je.

« Oui ! » s’exclama-t-elle, toute joyeuse.

« Je vois. Alors tu peux le faire une seule fois. Est-ce que c’est correct ? » La question était pour être sûr qu’elle voulait vraiment le faire. Hikari hocha la tête pour le confirmer.

« Grande Sœur, s’il vous plaît, » déclara Hikari envers la femme du personnel.

« Hm... » La femme avait alors un peu gémi. Que se passait-il ?

« ... Mignonne !!! » s’exclama-t-elle.

« Hein !? » dis-je.

« Ha ! Non, ce n’est rien, » dit-elle.

La femme avait essayé de cacher ce qu’elle avait dit en toute hâte. Pourquoi a-t-elle essayé de le cacher ? Tout va bien, même si elle pense qu’elle est mignonne.

Tout en me demandant pourquoi, je l’avais laissé pour un moment et avait expliqué la loterie à Hikari.

« Tu attrapes cette poignée et tu la tournes une fois. Et, tu as quelque chose qui sort... tout est une réussite sauf celui qui est en noir, » dis-je.

« Le noir n’est pas bon ? » demanda Hikari.

« Exact, car c’est un échec. Ce n’est donc pas bon, » répondis-je.

« Je vois... d’accord. Je ferai de mon mieux pour ne pas le laisser devenir noir, » dit-elle.

Elle avait alors fait une petite pose de la victoire, c’était trop mignon.

« S-S’il vous plaît, attendez une minute. » La femme nous arrêta avant qu’elle ne tourne la roue. « C’est sa première fois... la loterie, n’est-ce pas ? ... Uhm, pour cette petite fille. »

« Tout à fait ! » répondis-je.

Elle était née seulement hier alors tout pour elle était la première fois.

« A-Alors... Je vais en faire une réussite automatique pour ce seul tirage vu que c’est la première fois. Pour toute autre chose qu’un échec, » annonça la femme du personnel.

« Ho ho, est-ce que c’est correct ainsi ? » dis-je.

« C’est seulement un seul tirage pour sa première fois. Ce n’est pas comme si c’était le jackpot à coup sûr, » dit-elle.

Eh bien, c’est vrai qu’il y a beaucoup de choses comme ça. Pensai-je.

C’était un schéma habituel qui se produisait dans beaucoup d’endroits. Ceci faisait que le premier tirage était automatiquement une réussite.

C’était un modèle habituel, mais...

J’avais regardé la femme. Puis j’avais dit à Hikari. « Hikari. Dis merci à Grande Sœur. »

« Merci beaucoup, Grande Sœur, » déclara Hikari.

Hikari avait alors fait un visage qui semblait annoncer qu’elle ne comprenait rien, mais elle baissa d’une manière très mignonne la tête et l’avait remerciée.

Et encore, la femme avait marmonné « mignonne », mais cette fois, je l’avais ignorée.

Hikari avait attrapé la poignée et l’avait fait tourner avec un visage excité.

J’étais aussi devenu excité.

Le premier tirage qui est sûr de réussir, je me demandais bien ce qui sortira.

La machine de loterie avait tourné une fois, et une sonnette *GaranGaran* avait retenti.

Dans la prairie dans l’après-midi, nous trois, Éléanore, Hikari (forme humaine) et moi.

Dans les mains de Hikari, il y avait une minuscule maison. C’était comme une maison de jouets.

Elle l’avait alors posée sur le sol avant de dire. « Papa ! Je l’ai posée. »

« Exact ! » dis-je.

J’avais hoché la tête, et j’avais alors pensé à utiliser la magie, Chalet, que nous avions acquis à la loterie.

Et puis, la maison de jouet était devenue plus grande, et avait grandi juste'à avoir une taille où les personnes pouvaient facilement aller dedans.

« Wow , fantastique 〜 ! » s’exclama-t-elle.

« C’est vraiment incroyable ! » m’écriai-je.

{Pouvez-vous le faire revenir à la normale ?} demanda Éléanore.

« Je vais essayer, » dis-je.

J’avais fait revenir le Chalet magique à sa taille originale et je l’avais ramassé.

J’avais ensuite reposé la maison avant de la faire devenir plus grande.

« C’est vraiment comme je le voulais, hehe ! » dis-je.

{N’est-ce pas un outil très utile ?}

« Ne~ne~, Papa, pouvons-nous aller à l’intérieur ? » demanda Hikari.

« Oui, » dis-je.

J’étais alors allé à l’intérieur avec Hikari. À l’intérieur du chalet, tout était très vide.

Les voix résonnaient, c’était comme un appartement avant d’emménager.

« Wo~, c’est vraiment large à l’intérieur. ~ »

Hikari avait commencé à courir dans la pièce.

« Si je ne me trompe pas, elle disait qu’il y avait des meubles spéciaux, et la pièce peut aussi être agrandie grâce à la loterie, » dis-je.

{Elle a bien dit ça. Le mobilier normal peut être placé à l’intérieur, mais elle a également dit qu’il serait détruit quand la maison reprendra sa taille initiale. Mais elle a aussi dit que les vêtements et les accessoires seraient en sécurité quand ils étaient rangés dans des tiroirs.}

« Et ce meuble est aussi dans la loterie, hehe ! » dis-je.

Ce n’était pas tape-à-l’œil, mais c’était un article pratique et amusant.

Il me fallait jouer à chaque fois afin de rassembler progressivement des meubles et d’agrandir la pièce.

Hum, c’est bien.

Les choses que je peux obtenir à la loterie ont bien augmenté.

***

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

3 commentaires :

  1. Djibril Kourouma

    Merci pour le chapitre.
    Hikari aurait pas hérité de son multiplicateur, sa expliquerais la chance de fou, et l’overdose de mignonnerie (au mon dieu le mot est vraiment dans le dictionnaire)
    P.S : une épée, AVEC UN PUT……….

  2. Merci pour le chapitre.

Laisser un commentaire