Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 10 – Chapitre 319

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Chapitre 319 : Dunamis surprise

Je ramenais Dunamis au manoir.

(Kuku, tu la ramènes.)

Éléanore fit des commentaires joyeux.

Je comprenais ce qu’elle veut dire.

Dunamis, l’empereur Mercury, s’était toujours comportée comme un empereur.

Elle m’avait accordé « une nuit », et elle avait fait tout le chemin de la ville jusqu’ici afin que je puisse « la prendre ».

Utilisons donc la plume, mais je vais marcher calmement pour l’instant.

Je n’avais pas envie de l’emmener tout de suite.

« Qu’est-ce que tu fais ? Guide-moi vers l’arrière. »

« Ouais, ouais. »

Dunamis me suivit.

Après tout, j’étais content qu’elle soit comme ça.

J’ouvris la porte et guidais Dunamis dans le manoir.

Puis.

« Bienvenue à la maison… humm. »

Althea émergea de l’arrière du manoir.

« Je suis de retour, tu dormais ? »

« Non, je m’amusais. »

Althea portait des vêtements sexy, comme une prostituée.

Elle prétendait qu’elle n’était qu’une femme, et les vêtements qu’elle portait pour le prouver étaient de plus en plus nombreux.

Bien sûr, elle ne pouvait les porter que dans ma maison, devant moi.

« C’est mauvais, j’ai fait une promesse aujourd’hui. »

« Ça ne me dérange pas, je te ferai croire que je t’ai attendu. »

« J’ai hâte d’y être. »

J’embrassais Althea et lui donnais un baiser langoureux.

Elle fut satisfaite pour l’instant, et disparue à l’arrière du manoir.

« J’attends — que s’est-il passé ? »

Je me retournais et vis Dunamis qui fronçait les sourcils.

« Est-ce Althea ? N’est-elle pas la grande sage Althea ? »

« Oh, c’est juste Althea quand je suis ici. Ne le savais-tu pas ? »

« Je lui ai ordonné de devenir mon officier, mais elle a refusé. »

« Je vois. »

« C’est ta confidente ? »

« C’est ma femme. »

Dunamis fut immédiatement stupéfaite.

J’eus un sentiment soudain.

Quand je m’étais tourné vers l’origine de ce sentiment, Althea, qui était partie, était en train d’épier depuis le coin de la pièce.

Son visage était hors de contrôle, comme s’il était rouge et brûlant.

Avec ces yeux, Althea s’était immédiatement retirée.

Cette fois, elle avait vraiment disparu dans le fond.

Je parlais à Dunamis qui était toujours abasourdie.

« Allons-y. »

« … Hum, c’est vrai. »

Après une courte pause, Dunamis me suivit comme si rien ne s’était passé.

Alors qu’elle était bouleversée, elle s’était rapidement remise (il semblerait).

« Seigneur. »

En allant à l’arrière, je rencontrais cette fois Nana.

Nana portait des vêtements relativement légers lorsqu’elle n’était pas sur le champ de bataille.

Elle avait l’air sexy, avec une grande exposition au niveau des aisselles au dos, mais je savais très bien que c’était une rose avec des épines.

Bien sûr tout était beau chez elle, y compris les épines.

« Que s’est-il passé, Nana, c’est rare que tu sois dans la maison ? »

« Je cherchais mon Seigneur. Les soldates ont été excellentes ces derniers temps, alors je pensais leur offrir quelque chose. »

Nana jeta un coup d’œil à Dunamis.

« Je suis désolée, j’ai dérangé mon Seigneur. »

« Eh bien, il est aussi très important qu’elles ne gaspillent rien. Je le ferai demain. »

« Hah! Merci beaucoup ! »

Nana s’inclina, faisant voltiger ses longs cheveux, et s’éloigna.

« Ce n’était pas Nana Kano tout à l’heure ? »

« Ne le savais-tu pas ? »

Je me retournais vers Dunamis et lui expliquais à nouveau.

« La princesse de la guerre, l’épéiste Nana, la femme la plus forte de l’humanité. Je lui avais déjà ordonné de devenir mon officier et j’ai essuyé un refus. »

« Tu as donc repéré Nana ? »

« Pourquoi t’a-t-elle appelé Seigneur ? »

« Parce que c’est ma femme. »

« … Vraiment. »

Elle fut un peu plus longtemps contrariée qu’avant.

Je commençais à marcher alors qu’elle pencha la tête.

« Oh, rien ne semble impossible aujourd’hui. »

« Delphina. »

Dix mille clients !

Cette fois, Delphina apparut.

« Tu es là aussi ? »

« Oui, merci pour la libération des esclaves, mais… ça semble un peu tard. »

En regardant Dunamis derrière moi, Delphina avait l’air de tout savoir.

C’était normal.

« Cela n’a-t-il pas perturbé les affaires ? »

« Ce montant de dommages n’est pas comparable à mon traumatisme. »

Delphina sourit magnifiquement.

Ça ne devait pas la déranger qu’elle parle de ses traumatismes alors qu’elle était venue me remercier.

« Je viendrai ici après-demain. »

« Je vais me préparer et je t’attendrai. »

Delphina s’inclina gracieusement avec un sourire et s’en alla.

« Delphina Homer Ranmari. »

« Tu ne le savais pas ? C’est aussi ma femme. »

Dunamis pencha la tête, encore une fois, perplexe.

Sa surprise fut encore plus grande.

« J’ai demandé des fonds. À ce moment-là, j’ai été payé de 100 pièces d’or. »

« Ce qui est également étonnant. »

Dunamis avait demandé un financement énorme à Delphina, 100 pièces d’or.

Il ne s’agissait pas de se débarrasser de la petite monnaie, mais de 100 pièces d’or.

J’étais un peu inquiet de la relation entre Delphina et Dunamis.

« Tu es… indispensable. »

D’un autre côté, Althea, Nana et Delphina.

Dunamis rencontrait des femmes célèbres et talentueuses qui étaient différentes des princesses les unes après les autres, et cette fois, elle avait fait un vœu pour ne pas partir seule.

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