Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 10 – Chapitre 314

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Chapitre 314 : Libérons les esclaves

« Et ta conclusion est. »

« Femme capable, laisse-moi t’embrasser. », avais-je répondu immédiatement.

Dunamis Savma.

C’était un empereur autoproclamé, émettant des billets de banque de son propre chef avec un « ordre impérial. »

Elle n’était clairement pas une femme normale, mais par ce qu’elle fait, elle était à tous les coups une « femme capable. »

Comme les autres bonnes femmes que j’avais rencontrées jusqu’à présent, je voulais l’embrasser.

« Est-ce qu’elle est là ? »

« Qui ça ? »

« Hein. »

Les coins de la bouche de Dunamis se levaient quand elle se mettait à rire.

« Je suis généreuse, mais pas assez pour ça. »

« Qu’est-ce qui me permettrait de te faire changer d’avis ? »

J’insistais pour en savoir plus.

« Voyons voir… Si tu obtiens quelques succès en tant que sujet, je pourrais te donner une récompense. »

« Que faire ? »

« C’est difficile à le dire. »

Une femme capable est en face de moi.

« … Il y a quelque chose que je dois faire même si c’est qu’un petit pas pour l’avenir du monde. », me dit Dunamis.

Bien que ses yeux me regardaient, il semblerait qu’elle regardait vers le futur lointain.

« Dis-le. »

« La libération des esclaves. »

« … »

« Quoi, tu as eu peur parce que tes intérêts sont en jeu ? »

Il semblerait qu’elle pensait cela à cause de mon attitude silencieuse.

« Non, pas du tout. »

« Oh ? »

« J’étais juste surpris que tu penses à ça… »

« … Tu y pensais aussi ? »

Je n’y pensais pas, mais je ne venais pas de ce monde.

Je vivais dans l’ère moderne du Japon. Et il n’y avait plus d’esclaves là où je vivais. Dans l’histoire du monde, on dit généralement que « les esclaves doivent être libérés » depuis que les Etats-Unis avaient déclaré l’abolition de l’esclavage.

Il en sera de même ici, à mesure que l’époque et la pensée progresseront.

« Après tout, ta façon de penser progresse. »

Je me levais.

J’étais devenu soudainement très motivé.

En entendant les conditions pour embrasser Dunamis, je commençais à l’aimer de plus en plus.

Je revins au manoir et je visitais la chambre d’Althea.

La Grande Sage Althea. C’était une femme sage ayant toute la connaissance et la sagesse, qui voulait juste être une femme normale et qui vivait dans mon manoir.

Je lui rendis visite et lui expliquais la situation.

« C’est pourquoi il y a un moyen de libérer les esclaves. »

« … »

Althea plissa soudainement ses lèvres et fit son visage sérieux.

Quand j’empruntais son cerveau, je voyais toujours ce visage en premier.

« … Que feras-tu quand je te répondrai ? »

« Rien. », avais-je répondu immédiatement.

« Tu es ma femme, peu importe que tu me répondes ou non. Je t’embrasserai quand je le voudrai, quelle que soit cette réponse. »

La phrase préférée d’Althea était « Je suis juste Althea ».

Elle aimait l’idée de n’être qu’une femme, pas une sage ou une source de sagesse.

J’avais répondu en gardant cela à l’esprit.

Althea était satisfaite de ma réponse et me montra un sourire qui la rendait digne d’être appelée une beauté innocente.

« Il y a deux moyens d’agir. »

Satisfaite, elle prit un ton avec lequel les enseignants donnant une leçon aux élèves.

Ce ton était toujours utilisé quand elle m’apprenait quelque chose.

« La première solution est de le faire par la force. Ordonne à toutes les reines et princesses avec lesquelles tu es en relation de ne pas permettre d’acheter ou de vendre des esclaves, en abolissant l’esclavage lui-même. »

« Il semblerait que ce soit un grand rebondissement. »

« Oui, mais si les cinq pays bougent tous ensemble et si tu le veux plus que toutes autres choses, cela créerait une énorme vague de répulsion. »

C’est une manière d’agir assez agressive.

« L’autre solution étant… »

« La religion. »

« Religion ? »

« Le solonisme est maintenant à toi. »

Althea sourit en riant.

« En utilisant le Pape Caroline, la libération des esclaves pourrait être une condition préalable pour aller au paradis. »

« Alors c’est ça. »

Était-ce un compliment ?

Les deux étaient possibles. Pensait-elle que ça pouvait et que l’on pouvait attendre à ce qu’ils réussissent tous les deux ?

Lequel devrais-je essayer ? Non, devrais-je choisir le meilleur des deux possibilités ?

« Tu es sage. Voudrais-tu devenir l’empereur de ce monde ? »

« Je ne suis pas vraiment intéressé par ça. »

Ce n’était pas parce que tu deviens empereur que tout ira mieux.

Au contraire, il semblerait que des choses gênantes allaient se produire.

Par exemple, cela pourrait devenir gênant pendant le processus d’héritage, et vous pouvez ne pas être capable de rejoindre une femme capable autant que vous le souhaitez.

C’était vrai pour moi.

« Merci, Althea, c’était utile. »

J’avais sorti ma plume de téléportation de mon entrepôt de dimension parallèle.

Des reines, des princesses et un pape.

Il y avait des femmes que je devais rencontrer afin d’abolir l’esclavage.

Parlons à chacune d’elles. Je pensais que oui. Je vais utiliser ma plume de téléportation pour me déplacer.

« Bien, Althea. »

« Quoi ? »

« Viens dans ma chambre ce soir. »

« … Oui, j’attendrais. »

C’était différent de son ton de professeur qu’elle avait il y a peu, Althea souriait comme une femme chaste.

***

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2 commentaires :

  1. amateur_d_aeroplanes

    Et ses deux cents combattantes esclaves alors ? 😌 Certe, elles voudront rester avec lui mais il faudra qu’il fasse un contrat comme gardes en bonne et du forme 😊

  2. Et Muiyu ? la bonne ? la elle va faire une dépression la pauvre….
    « Le maitre ne m’aime plus ! il ne veux plus de moi ! »

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