Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 10 – Chapitre 281

Bannière de Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken ***

Chapitre 281 : L’amour de Dieu

Le clair de lune qui traversait la fenêtre brillait sur Hélèna au sommet du lit.

Le coin de ses lèvres était légèrement courbé vers le haut alors qu’elle était couchée sur le côté. Ses yeux qui étaient légèrement fermés me firent une impression de tendresse.

Hélèna souriait comme si elle avait obtenu tout le bonheur qu’elle pouvait obtenir dans ce monde et murmura dans son sommeil.

« Kakeru... »

Voyant cela, je l’avais embrassée sur la joue, et après avoir tiré la couverture jusqu’à son épaule, je lui avais donné un autre baiser.

J’étais sorti du lit et j’étais allé à la véranda après avoir mis mes vêtements.

Je levai les yeux vers le ciel plein d’étoiles avec la lune qui brillait à son maximum.

{Quel est le problème ?}

« Mn ? »

J’avais soudainement entendu la voix d’Éléanore. J’avais incliné la tête et demandé en réponse.

« Que veux-tu dire par : quel est le problème »

{Tu sembles ne pas avoir eu ta dose.}

« ... ne pas avoir eu ma dose ? De quoi ? »

{Penses-tu vraiment que tu peux me le cacher ? Mm ? Le toi actuel... laisse-moi voir... Je devrais te décrire comme un ballon qui est sur le point d’éclater.}

« ... »

J’étais tombé dans le silence.

Même si j’étais mécontent de la façon dont Éléanore l’avait découvert, elle avait bien compris.

Je n’en avais pas assez. C’était vrai, ce n’était pas du tout suffisant.

Je faisais l’amour avec Hélèna juste à l’instant.

C’était une femme capable. L’une des plus belles au monde, mais ce n’était pas tout. C’était une femme qui n’avait pas une once d’arrogance malgré son talent et sa grande stature.

Une si grande femme réchauffait mon lit il y a un instant.

Mais ce n’était pas suffisant.

Je n’avais pas assez fait, pas assez fait du tout.

Et Éléanore pouvait le voir.

{La principale raison pour laquelle tu as décidé de créer un harem est de ne pas briser tes propres femmes à cause de ta libido 777x. Considérant cela, on pourrait dire que tu as enduré assez longtemps.}

« Ce n’est pas comme si c’était dur. Il y a aussi Olivia et Mélissa. Il y a beaucoup de bonnes femmes autour de moi. C’est suffisant... »

{Et ? En vérité ?}

« ... Peux-tu au moins laisser me permettre d’être audacieux. »

J’avais maudit cette Éléanore.

Bien que ce soit juste une question de conversation, je ne pouvais pas supporter qu’Éléanore me l’indique.

{Peut-être que tu devrais en appeler une autre. Ou veux-tu que je t’accompagne ?}

« C’est un peu différent aujourd’hui. Je ne crois pas que cela puisse être soulagé si je t’utilise pour frapper des choses. Bien qu’il s’agisse de s’exciter tout de même, il y a des moments où je devrais faire une chose. »

{Les humains sont des existences si difficiles.}

« En entendant cela de toi, cela ne ressemble vraiment pas à une blague. »

{Tu devrais envisager de faire une promenade ?}

« ... D’accord. »

J’avais ouvert mon entrepôt de dimension parallèle et j’avais sorti ma plume de téléportation.

La promenade dont parlait Éléanore n’était bien sûr pas à comprendre dans un sens littéral.

Elle voulait dire, va trouver une femme avec qui dormir.

Je m’étais téléporté en utilisant la plume de téléportation.

Chez Miyu, chez Nana, chez Io, chez Iris...

Je m’étais téléporté dans ces endroits les uns après les autres dans l’ordre de la femme la plus proche de ma maison.

Le moment n’était pas parfait pour tout le monde.

Elles n’étaient pas à l’endroit où elles seraient habituellement, elles se réveilleraient suite à cette information tardive ou elles travailleraient.

On ne pouvait rien faire dans le cas où elles n’étaient pas là. Pour celles qui faisaient quelque chose, je ne les avais pas dérangées et j’étais parti en silence.

Je ne voulais pas être sur leur chemin.

Je ne voulais pas être sur le chemin de mes femmes capables si elles faisaient quelque chose.

{Tu deviens têtu ?}

« Je ne le suis pas. Je sens juste que c’est un gâchis que d’éplucher les fruits quand ils ne sont pas encore mûrs. »

Je ne savais pas si c’était une bonne façon de le dire, mais c’était ce que je ressentais vraiment.

Mes femmes capables devenaient de plus en plus capables. Je n’aimais pas me mettre sur leur chemin pendant ça. Même si comme ce soir, je me sentais si excité.

{Tu es vraiment devenu un gourmet.}

« Je ne le nierai pas »

{Quand il s’agit de cela, tu devrais aller louer un bordel en entier.}

« C’est peut-être le moyen le plus simple. »

En bavardant avec Éléanore, je m’étais téléporté d’un endroit à un autre. À la fin, j’étais venu à Ainon. À l’intérieur de l’église d’Ainon, Caroline offrait ses prières sous la lune.

Mais ce n’était pas tout. Il y avait aussi d’autres croyants.

En regardant de plus près, c’était toutes des femmes portant des habits de religieuses. Des écoles dans les églises étaient ouvertes dans beaucoup d’endroits, ainsi les hommes étaient dehors pour enseigner.

Comparées à Caroline qui priait silencieusement, les autres femmes bavardaient avec désinvolture.

« Comme je suis envieuse, je veux aussi entendre la voix de Dieu »

« Hey~, comment penses-tu que la voix de Dieu résonne ? »

« Ça devrait être absolument incroyable. Après tout, c’est la voix de Dieu. »

« Même ainsi, elle est tellement enviable. Nous avons tous offert notre pureté à Dieu. Mais nous ne pouvons toujours pas l’entendre. »

« Bien sûr, tu ne peux pas, puisque tu ne pries pas autant que l’Enfant de Dieu. Regarde-la. »

Les femmes regardèrent Caroline ensemble.

Elle avait même l’air divine alors qu’elle priait silencieusement.

« Tu as tant besoin de prier. »

« Je-je... si Dieu pouvait vraiment me remarquer, je le ferais autant... »

« Duh, nous le ferions toutes si c’était possible. »

« Je suis aussi d’accord. »

« Moi aussi »

« Je ne voulais pas dire ça, je dis que l’Enfant de Dieu serait toujours comme ça même si elle ne pouvait pas. »

Toutes regardèrent à nouveau Caroline et soupirèrent aussitôt.

{Kukuku, n’est-ce pas une opportunité ?}

Eh ?

{Avant toute chose, les religieuses sont des femmes qui protègent leur chasteté parce qu’elles se sont dévouées à leur dieu. En prenant cela en compte, toutes ces femmes appartiennent à Dieu.­}

Éléanore avait souligné le mot « dieu ».

Dieu. Au cours de la récente série d’événements, j’avais joué le rôle de dieu à travers Caroline.

Le « dieu » dont parlait Éléanore était vraiment moi.

Elle me disait d’éteindre ces flammes que je ressentais en utilisant ces religieuses.

Je regardais les femmes. Bien que toutes ne parlaient pas, d’un coup d’œil, je pouvais dire qu’il y en avait une vingtaine qui participait à la discussion.

Il y en avait des jolis, des belles, des fortes et des timides.

Il y avait beaucoup de types.

[... Caroline]

« Dieu ! »

[Dit à tout le monde. Je vais prendre toutes celles qui sont présentes en ce moment.]

« D’accord. »

Caroline avait rapporté mes paroles aux religieuses.

Certaines d’entre elles avaient clairement montré des yeux pleins d’« espérances » parce que les mots de dieu étaient venus après « ce dont » elles avaient parlé.

J’avais pris avec moi les filles, en les téléportant en utilisant ma plume de téléportation.

Nous étions arrivés au Jardin des Roses, un endroit que Rica avait préparé. Elle m’avait dit que je pourrais l’utiliser quand je voulais.

C’était un endroit où personne ne se mettrait sur mon chemin. Un lieu apparemment séparé du monde laïc.

J’avais passé toute une journée dans cet endroit.

Et comme j’avais caché mon apparence avec mon aura, j’avais dormi avec vingt religieuses fidèles, j’avais en quelque sorte testé leur « foi ».

***

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

3 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour le chapitre.

Laisser un commentaire