Izure Shinwa no Ragnarok – Tome 1 – Chapitre 1 – Partie 3

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Chapitre 1 : Rencontre Fortuite Nocturne

Partie 3

L’"examen" put être terminé en toute sécurité.

Le nouvel arrivage de cette année n’avait finalement eu aucun positif.

À son retour, notre professeur annonça cette information à tous ses étudiants.

« Aa-aah, et moi qui pensais que je serais capable d’utiliser un super-pouvoir à partir d’aujourd’hui.〜 » (Kunisaki)

Nous entendîmes tous Kunisaki lâcher une lamentation exagérée, mais il était clair pour tout le monde qu’il s’agissait juste d’une blague.

Avant même que le cours ne soit terminé, les étudiants avaient perdu toute leur anxiété accumulée ces derniers jours, pour la première fois depuis leur arrivée ici. Et c’est ainsi qu’à la fin des cours, ils quittèrent la salle de classe les uns après les autres, affichant tous des regards radieux.

Un temps paisible juste après l’école.

C’était un paysage qui méritait d’être appelé ainsi.

« Yoo ! Raika. Qu’est-ce que tu fais ? Hein ? À nouveau des mots croisés ? » (Kunisaki)

Kunisaki soupira en voyant la collection de problèmes de mots croisés se trouvant là.

« C’est mon hobby, est-ce que ce n’est pas une bonne chose ? » (Raika)

« Je peux t’aider avec les versions japonaises, mais ce que tu as là est dans une langue étrangère. » (Kunisaki)

« Oui, pour être précis, c’est du français. » (Raika)

« "Bonjour !" voilà le seul mot que je connaisse en français. » (Kunisaki)

Comme fatigué, Kunisaki s’assit lourdement sur son siège.

Maria qui était assise à côté de moi, toujours souriante, regardait notre échange.

« Raika-san, tu es très compétent en langues, n’est-ce pas. Incroyable. » (Maria)

« Uniquement pour lire et écrire. Mon professeur m’a toujours dit que ma prononciation était plutôt médiocre. » (Raika)

« Par professeur, tu parles de Hakonogi-sensei ? » Demanda Kunisaki depuis à côté de moi.

« Non. Un professeur qui était dans l’établissement où j’étais avant... » (Raika)

« Raika-san a été dans le même refuge de l’église que celui où j’étais. Nous avons également étudié à cet endroit. » (Maria)

« Hee. Vraiment ? » (Kunisaki)

« Oui. » (Maria)

La même croix pendait au cou de Maria et au mien.

C’était la preuve que nous étions tous deux du même établissement.

« Mais Maria-chan, tu es britannique, n’est-ce pas ? » (Kunisaki)

« ... beaucoup de choses se sont déroulées... il y a dix ans. » (Maria)

« Ha, je vois. » (Kunisaki)

Comme Maria avait répondu d’une manière très ambiguë, Kunisaki cessa d’en demander plus.

Pour tout le monde, ce qui s’était passé il y a dix ans était un sujet sur lequel nous ne voulions pas trop en parler.

Kunisaki retourna donc au sujet initial.

« Pourtant, Raika doit avoir été un excellent étudiant dans cet établissement, n’est-ce pas ? » (Kunisaki)

« Oui ! » (Maria)

L’expression de Maria changea et elle lui répondit très clairement.

« Le professeur qui a aidé et élevé Raika-san pour qu’il devienne l’excellent étudiant qu’il est maintenant doit avoir été très fier de lui. » (Kunisaki)

« Ne parle plus de cela, Maria. » (Raika)

Alors que Maria me louait tellement que je serais déjà arrivé au ciel, je ne me souvenais plus du tout du "professeur" en question qui me complimentait à l’époque.

Eh bien, ce que j’avais appris de ce professeur n’était pas une langue, mais...

Là, d’une manière ou d’une autre, le sujet avait pris fin, et donc, Kunisaki commença à discuter d’autres sujets avec Maria.

Revenons à la résolution des casse-tête, pensais-je, c’est à ce moment-là.

« Ra-i-ka. » (Ruirui)

« Hm ? » (Raika)

Après avoir été appelé par-derrière, je me retournai pour faire face à la personne qui venait de me parler.

Là, je vis une étudiante seule. — Ruirui Shishigane se tenait là, joignant ses mains derrière son dos.

Elle était petite, mais avait des membres très élancés.

Ses cheveux s’étendant jusqu’aux épaules ne possédaient qu’une faible pigmentation et son sourire était aussi adorable qu’un chiot.

Son uniforme était déboutonné de manière légèrement négligée, et de là, ses lignes féminines se laissaient entrevoir avec joie.

« Ruirui, as-tu terminé tes affaires ? » (Raika)

« Oui. Mort instantanée. » (Ruirui)

Ruirui hocha la tête avec un léger sourire.

« Mort instantanément, tu dis. Ce n’était pas celui qui t’avait demandé de venir... Ne t’a-t-il pas déclaré sa flamme ? » (Raika)

« Oui. C’est pourquoi, mort instantanée. » (Ruirui)

« Ahahaha. » (Raika)

Incapable de même bouger, Kunisaki se mit grandement à rire.

« Il était trop bruyant à mon goût. En particulier, les types faibles sont directs avec un 'non' définitif. » (Ruirui)

En disant cela, Ruirui regarda entre mes mains.

« Hé ! Raika, qu’est-ce que tu fais là ? » (Ruirui)

« Des mots croisés. » (Raika)

« Hee, montre-moiiiii ! » (Ruirui)

Afin de mieux voir, Ruirui bougea son visage jusqu’à ce qu’elle touche presque ma joue avec sa propre joue.

Elle déposait tout son poids contre mon épaule.

... Il était difficile de bouger.

« Ruirui-san ! » (Maria)

Maria haussa doucement la voix.

« Hm ? Qu’est-ce qu’il y a ? » (Ruirui)

« Tu restes trop près de Raika-san ! Les jeunes hommes et les femmes doivent connaître la modération, alors éloigne-toi de lui tout de suite ! » (Maria)

« Eeeh, c’est correct Mariacchi〜. Cela ne me dérange pas. » (Ruirui)

« Non — c’est — non ! » (Maria)

Maria tira alors brusquement Ruirui, la séparant de moi.

« Écoute, Ruirui-san. Tu es une Japonaise, alors tu devrais viser à devenir une yamato nadeshiko [1] qui connaît la modération. » (Maria)

Et ainsi de suite.

Pour une raison quelconque, Maria, une véritable Britannique enseignait à Ruirui qui était purement japonaise, sur comment être une yamato nadeshiko.

C’était étrangement surréaliste.

« Alors, comment étaient-ils ? » (Kunisaki)

« De quoi parles-tu ? » (Raika)

Kunisaki murmura dans mes oreilles depuis derrière moi.

« Les seins de Ruirui-chan, bien sûr. Comment étaient-ils ? Doux ? » (Kunisaki)

« ... aucune idée. » (Raika)

« Quoiiiii !? Tu veux te les monopoliser ? Alors que les siens ne sont pas aussi formidables que les, aux combien adorables D de Maria-chan. Il n’y a aucune chance qu’ils soient inférieurs quand il s’agit d’élasticité et de toiiiiiii ! » (Kunisaki)

Il cria comme si son âme était en train de fuir hors de son corps.

Je me mis à reculer en voyant l’attitude dangereuse qu’il avait.

« Kunisakiii〜. » (Ruirui)

Extrêmement fâchée, Ruirui se tenait derrière Kunisaki.

« Ah, quoiiiiii-ghbhohh ! » (Kunisaki)

C’était sa faute, donc je ne pouvais même pas faire des commentaires.

« C’est quoi ces "adorables D" dont vous parlez avant ? » Demanda Maria tout en penchant simplement la tête, très perplexe.

« Ah ! En parlant de cela, où est Tenka ? Encore une fois dans la salle du personnel ? » (Kunisaki)

« C’est quelques choses liées aux impressions et au passage d’informations. Je pense qu’elle devrait déjà être de retour... » Juste au moment où je répondis cela.

*

*grincement* *grincement* *grincement*

*

Avec une synchronisation parfaite, la porte de la classe s’ouvrit.

« Yahhoo! Désolée de vous faire attendre. » (Tenka)

Celle qui était entrée à l’instant était une fille encore plus petite que Ruirui.

Au moment où elle changea de direction, ses couettes jumelles noires se balancèrent sur le côté.

Son apparence était enfantine, mais elle pouvait parler sept langues et seulement cinq jours après son entrée dans cette école, elle avait reçu la charge de déléguée de notre classe.

« Haa, voyez-vous. Les impressions si précieuses de Ryuuto-sensei avaient disparu quelque part. Nous les avons recherchés ensemble et avant de m’en rendre compte, c’était trop tard. » (Tenka)

« Oh mon Dieu ! Ça doit être difficile ! » (Maria)

« Je suis déjà chaud bouillante à l’intérieur ! Vous devez nettoyer correctement le dessus de vos bureaux, n’est-ce pas ? » (Tenka)

Tenka se mit à rire joyeusement.

Après cela, elle prit son propre sac d’école dans ses mains.

« Maintenant, allons jouer. Aujourd’hui, je veux manger des crêpes. » (Tenka)

« N’y en a-t-il pas dans le District Sud ? » (Maria)

« Ah, oui, j’ai déjà vu auparavant cette crêperie ! » (Kunisaki)

« Alors dans ce cas, Kunisaki-san nous guidera là-bas. » (Maria)

Suivant Tenka, tout le monde se leva les uns après les autres.

Bien sûr, je ramassai mon sac et je me levai aussi.

Depuis notre admission, nous cinq avions commencé rapidement à agir de concert.

C’était un groupe de quelques Japonais et adorateurs du Japon. Mais c’était étonnamment accueillant.

Cela aussi, c’était grâce à l’attitude de Tenka qui avait réussi à réunir ce groupe. À l’origine, je pensais que je ne serais pas capable de me faire d’amis sur cette île, et j’étais toujours perplexe encore maintenant.

Je ne pensais pas qu’un jour viendrait où j’irais encore jouer avec des amis comme ceux-là.

J’étais perplexe, mais mon humeur n’était pas trop mauvaise.

Cependant — —

*

« —Nghh. »

*

Feignant de jouer avec ma frange, je maintenais enfoncé mon œil gauche.

*battement du cœur*... *battement du cœur*

Mon œil derrière la paupière me faisait mal.

Je pouvais sentir sa chaleur sur ma paume.

« Hm ? Raika-kun, que se passe-t-il ? » (Tenka)

Soudain, Tenka se retourna et demanda.

« Ce n’est rien. C’est juste un peu de poussière qui est rentrée dans mon œil. » Mentis-je.

Tenka fit un "Hmm", avant de hocher la tête et de revenir à sa conversation qu’elle avait avant avec Ruirui qui était à côté d’elle.

...*battement du cœur*

Encore.

Ceci arrivait quelquefois.

Pas toujours, mais... quand je regardai Tenka, mon œil gauche commençait parfois à me faire mal.

Tout comme après avoir fait ce rêve.

Je ne savais pas pourquoi.

Rien que je puisse imaginer.

Je l’avais rencontrée pour la première fois après son arrivée sur cette île.

Bien sûr, il n’y a rien qui m’amenait à penser que je la connaissais d’il y a dix ans.

« ... » (Raika)

La douleur diminuait toujours après une vingtaine de secondes.

Ce n’était pas grave, mais cette pensée restait dans le coin de ma tête.

C’était peut-être la raison pour laquelle je ne rentrais pas entièrement dans ce cercle d’amis.

En attendant, j’entrai dans l’ascenseur.

Tout le monde changea de chaussures et nous pûmes ainsi aller jusqu’à la porte sud de l’école, qui nous conduirait jusqu’au District Sud.

Au fur et à mesure que le picotement dans mon œil gauche disparaissait, je bavardai brièvement avec Kunisaki alors que nous marchions.

*

*pam* — —

*

Une fille seule vint de l’autre côté.

Elle possédait de longs cheveux de couleur platine et en peau blanche. Elle marchait en baissant timidement les yeux. Les traits de son visage étaient très harmonieux.

C’était une fille qui affichait une beauté fugace tout comme celle d’une fée.

« Ohh ! N’est-ce pas Charlotte-senpai ? Une vue des plus douloureuse pour les yeux. » (Kunisaki)

Apparemment, Kunisaki la connaissait.

Quand je regardai de plus près, il semblait que les personnes à côté de qui elle passait devenaient toutes bruyantes.

Était-elle une célébrité dans cette école ?

« Kunisaki, connais-tu cette personne ? » (Raika)

Quand je lui demandai cela sans intention particulière derrière, Kunisaki mordit le sujet comme il concernait une fille.

« Ohh !! Raika, es-tu intéressé par elle ? De façon inattendue, tu es peut-être un homme à femmes ! » (Kunisaki)

« Non, ce n’est pas le cas. » (Raika)

« Pas besoin d’être aussi embarrassé. Haaa, c’est vrai ! En tant que traitement spécial, je vais te raconter des informations que j’ai pu glaner aux aînés. » (Kunisaki)

Ceci ne faisait que cinq jours que nous nous étions inscrits ici, mais Kunisaki avait déjà commencé à établir des liens.

Consterné par son énergie, je fus obligé de l’écouter.

Elle s’appelait Charlotte Lovepain, âgée de dix-sept ans.

Alors que sa personnalité était douce, elle était mauvaise en face du sexe opposé, elle avait peu d’amis et aucune expérience romantique.

Son hobby était la lecture. Elle sortait à peine du dortoir pendant les vacances.

Plutôt que d’être solitaire, elle était une fille qui préférait être seule.

Comme elle était très souvent à la bibliothèque, elle était appelée "La Fée d’Argent de la Bibliothèque".

Bien qu’il y avait déjà eu des garçons qui l’avaient désirée en secret, chaque fois qu’ils essayaient de lui parler, elle s’enfuyait immédiatement, alors elle n’avait jamais échangé plus de trois mots avec l’un d’entre eux depuis qu’elle était là.

« Et ses trois tailles du haut sont... » (Kunisaki)

« Je n’ai pas besoin de cette information. » (Raika)

La personne elle-même était juste ici, qu’est-ce que vous faites à sortir ce genre d’histoire à brûle-pourpoint ?

« Qu’y a-t-il avec toi, elles ont été mesurées avec précision par les yeux d’un expert, tu ne me crois pas ? » (Kunisaki)

« C’est correct, tais-toi donc. » (Raika)

« Hbghh ! » (Kunisaki)

J’utilisai alors mon sac pour bloquer sa bouche.

Heureusement, il semblerait qu’elle n’avait pas entendu notre conversation, elle marchait directement dans notre direction.

« ... »

Elle allait passer à côté de nous.

Et juste en face de nous, elle perdit l’équilibre.

« Woah ! » (Charlotte)

 

 

Immédiatement, j’étendis mes mains, soutenant son corps.

Sa taille était plus mince que je ne l’avais imaginé.

À l’instant, a-t-elle chuté sans rien en particulier sur son passage... ?

C’est ce que j’avais ressenti, mais je n’allais pas le dire, car ce serait grossier si j’avais tort.

« Ah !! Eeeh!! » (Charlotte)

Tout comme si elle était enlacée par moi, la fille se mit à rougir de surprise. Je la libérai de mon étreinte dès qu’elle put se tenir debout.

Elle semblait vouloir me dire quelque chose, mais elle était tout à fait incapable de le faire.

C’est alors que, soudainement, je constatai qu’un livre était de tomber sur le sol.

Il était tombé de son dos quand elle avait trébuché plus tôt.

Je me penchai vers lui et je ramassai le livre.

Le titre était "Le Prince des Étoiles et La Princesse".

À en juger par la couverture, il s’agissait d’une histoire romantique et fantastique.

« Voilà pour vous. » (Raika)

Je lui redonnai le livre que je m’étais empressé de ramasser au sol.

« M-Merci beaucoup ! » (Charlotte)

Elle l’accepta.

Elle était rouge telle une tomate, ses joues étaient entièrement empourprées.

« ... Est-ce que vous allez bien ? » (Raika)

Elle avait l’air tellement étrange, alors je décidai de le lui demander.

« J-je vais bien ! » (Charlotte)

En me répondant, elle secoua la tête sur les côtés.

Il était difficile de dire si elle affirmait ou niait, mais... eh bien, je suppose qu’elle devait aller bien.

Pourtant, elle semblait avoir encore quelque chose à me dire, me lançant sans arrêt des coups d’œil avant de rebaisser la tête, gênée.

Je me serais senti coupable si je l’avais ignorée et que j’étais tout simplement parti, alors je décidai de continuer un peu plus longtemps la conversation.

« ... Alors, aimez-vous les livres ? » (Raika)

« He ! Ha, oui... Je les aime. » Me répondit-elle tout en s’agitant.

Alors, elle leva les yeux et jeta un coup d’œil à nouveau sur mon visage.

« Heu... quel est votre nom ? » (Charlotte)

« Mon nom ? Je m’appelle Raika Shinzen. » (Raika)

« Raika-kun... c’est donc cela. Hum, je suis en deuxième année, je m’appelle Charlotte Lovepain. » (Charlotte)

Après que Charlotte se soit présentée elle-même.

« Heu... est-ce que vous lisez aussi des livres, Raika-kun ? » Demanda-t-elle.

« Oui. Je ne déteste pas lire. » (Raika)

« Dans ce cas, je suis membre du comité de la bibliothèque... alors quand vous viendrez à la bibliothèque, je peux vous guider... Hum, ha oui, merci. » Prononça Charlotte, visiblement très agitée.

Alors que ce qu’elle avait dit était légèrement incertain, il était probable qu’elle voulait dire que la prochaine fois que je viendrai à la bibliothèque, elle me remercierait ?

Est-ce que c’était ce qu’elle voulait dire plus tôt ?

J’étais convaincu par son attitude.

« Compris. Je vous rendrais visite bientôt. » (Raika)

« D-D’accord ! » Charlotte hocha la tête avec joie.

« Eh bien ! Mes amis m’attendent. Alors à plus tard. » (Raika)

« Oui. Alors... je vous attendrais à la bibliothèque. » Après avoir rajouté cela à la fin, Charlotte partit rapidement.

Quand elle eut disparu de notre vue, Kunisaki s’approcha alors d’une façon discrète de moi et me tapota sur l’épaule.

« Je l’ai vuuu〜 Raikaa〜, c’est une excellente prouesse. » (Kunisaki)

« Prouesse ? » (Raika)

« Oh toi〜. Tu es aussi un mec, n’est-ce pas, Raikaa〜. Rappelle-toi simplement de la sensation d’être dans un contact aussi étroit avec une si superbe Senpai. » (Kunisaki)

« Encore une fois, tu devrais vraiment te taire. » (Raika)

Cette fois, je le frappai avec le sac encore plus fort que la dernière fois.

« Oww, tu as pu longuement parlé avec cette Senpai qui était sensément être mauvaise pour interagir avec les hommes, selon ce qu’indiquent les rumeurs. » (Kunisaki)

Même en ayant son nez enfoncé, Kunisaki continua quand même à parler.

« Pas vraiment. Elle n’a fait que me remercier. » (Raika)

« Quel genre de remerciements était-ce ? » (Kunisaki)

« Apparemment, elle me guidera la prochaine fois pour une visite de la bibliothèque. » (Raika)

Quand je répondis cela à Kunisaki, il s’est mis à faire un "aahhh" puis à lever les yeux vers le ciel.

« Ne penses-tu pas que cela signifie que cette Senpai s’est intéressée à toi ? » (Kunisaki)

« Ha bon ? » (Raika)

« Sinon, elle ne te promettrait pas de te retrouver une autre fois. Ahh, si bien pour toi. Si j’avais aussi eu d’aussi bons réflexes que toi, j’aurais pu aider Senpai et ainsi, j’aurais pu ressentir ces deux sœurs voluptueuses à la suite d’un heureux accident. » (Kunisaki)

« ... » (Raika)

Cette fois, je le frappai avec le coin du sac sans dire quoi que ce soit.

« Ghh〜〜〜 ! » (Kunisaki)

J’ignorai alors l’agonie de Kunisaki et baissai légèrement ma tête face aux filles.

« Désolé, Kunisaki est de nouveau stupide. » (Raika)

« Eh bien, il est Kunisaki après tout. » (Ruirui)

« Ruirui-chan, c’est si horrible ce que tu dis ! » (Maria)

En parlant les uns avec les autres, nous descendîmes alors la pente douce devant l’école et que nous nous dirigeâmes vers le District Sud.

Notes

  • 1  Yamato nadeshiko : La yamato nadeshiko est la personnification de la femme parfaite chez les Japonais. Aussi bien en beauté, pureté, comportements...

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