Il ne voulait pas être le Centre de l’Attention (LN) – Tome 1 – Chapitre 3 – Partie 1

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Chapitre 3 : Manoir hanté au sommet de la colline de la capitale

Partie 1

1 — Membre du service de renseignement et la prêtresse

Au sein du Verseau d’Argent, il y avait des membres qui se spécialisent dans la collecte d’informations. Ils bougeaient toujours les oreilles, écoutaient les rumeurs dans toute la ville, et ils rentraient en contact avec des courtiers en information avant de me rapporter l’information à mes oreilles.

Les autres guildes d’aventuriers avaient aussi un département de collecte d’informations, mais la guilde supérieure, le Bélier Blanc, ignorait le département d’information, et le département n’existait essentiellement que de nom. L’information et les demandes étaient directement liées, de sorte qu’ils n’avaient pas assez de demandes.

Pour ma guilde, j’avais fait de mon mieux pour ne pas rivaliser avec d’autres guildes pour les demandes. J’avais déterré des demandes à partir de l’information que les membres du service d’information m’avaient apportée, et j’avais donné la priorité à la prise de données sur les emplois que seule ma guilde pouvait faire. En d’autres termes, j’avais accepté les demandes d’individus qui satisferaient à cette condition et qui connaissaient le mot de passe.

Aujourd’hui aussi, pendant mon quart de nuit, alors que je buvais, un rapport d’un membre du service d’information m’était parvenu.

« Mademoiselle Ver, apporte-moi de la bière glacée s’il te plaît ~. »

« Bon travail, Mademoiselle Rieza. »

Celle qui s’était assise à côté de moi au comptoir, qui avait reçu la bière et qui l’avait délicieusement bue, était Rieza, du service de collecte d’informations. À l’origine, elle travaillait comme bonne chez l’un des courtiers en information de la 12e rue, mais je l’avais dénichée parce que je voyais en elle un talent.

Elle avait le même âge que Mylarka, ses cheveux courts lui allaient bien, et elle avait une boucle d’oreille sur l’oreille droite. La boucle d’oreille avait comme capacité d’améliorer sa capacité auditive, c’était donc un objet magique qui répondait aux besoins du service de collecte d’informations. C’est la première chose que j’avais faite juste après avoir appris à la faire, mais il semblait qu’elle y ait pris goût.

« Ah, c’est un peu tard pour demander, mais cette place à côté de toi est-elle libre ? » me demanda-t-elle.

« Oui, c’est libre, » répondis-je.

« Hehehehe, merci. Tu es comme d’habitude, n’est-ce pas, maître… non, monsieur le patron ? » déclara Rieza.

Tout en lui faisant un sourire amer pour sa façon forcée de parler, je m’étais versé de la bière dans la gorge. Puis, j’avais apporté les accompagnements que Verlaine m’avait servis à la bouche. C’était du fromage frais, qui était arrivé aujourd’hui.

Juste au moment où j’allais le recommander à Rieza, elle l’avait porté avec joie à sa bouche. Elle adorait les produits laitiers, alors j’imagine que ces fromages de brebis des nuages étaient quelque chose d’extraordinaire pour elle. La richesse du goût et de l’umami était à un tout autre niveau.

« Mademoiselle Ver, écoute-moi. Donc quelque chose comme ça s’est passé aujourd’hui en ville…, » déclara Rieza.

Rieza avait fait croire qu’elle faisait des ragots, mais elle me donnait les résultats de sa collecte d’informations.

Celui qui avait demandé Manarina en mariage, Winsburg, n’avait pas appris de son erreur et avait essayé de demander d’autres princesses en mariage, mais la troisième princesse était beaucoup trop jeune, alors il avait été renvoyé.

Le noble qui traitait l’ordre des chevaliers comme des larbins, quand il était devenu incapable de donner des ordres aux chevaliers, avait commencé à émettre des demandes à la guilde.

Au sujet de la demande que le noble avait présentée, il semblerait qu’il y avait un fantôme dans le manoir d’une propriété qu’il avait acheté pour pas cher, donc c’était une demande pour l’exterminer. Mais sa demande fut refusée, et le noble y renonça et la laissa aller, comme si c’était maintenant une demeure libre.

« Ah, et aussi… on dirait que Mademoiselle Manarina s’est fait conseiller de se marier par sa Majesté, mais elle a catégoriquement refusé. On dirait qu’une certaine personne l’a profondément touché, tu sais, » déclara Rieza.

« Fufu… c’est intéressant. On dirait que le monsieur là-bas ne doit pas être sous-estimé, » répliqua Verlaine.

Ce n’était pas comme si elle avait vraiment besoin de se marier pour succéder au trône ou quoi que ce soit d’autre, mais si elle essayait de préserver sa chasteté pour moi, je devrais peut-être indirectement remettre en question son opinion sur moi. Si je devais faire quelque chose comme ça, Mylarka me regarderait à nouveau avec ses yeux remplis de mépris.

« Oh ouais, tu as entendu, son épouse ? » déclara Rieza.

« Épouse… tu parles de moi ? Il est vrai cependant que je n’ai pas l’intention d’être la maîtresse cachée du maître. Essaies-tu peut-être de me faire passer de la pommade ? Mademoiselle Rieza, tu es vraiment exceptionnelle, » déclara Verlaine.

« Je n’y ai pas beaucoup réfléchi, mais merci…, » répondit Rieza.

« Ne t’appelle pas ma femme comme ça, » était sur le point de sortir de ma gorge, mais je me comportais comme quelqu’un qui buvait juste à côté d’elles, donc je ne pouvais rien faire d’autre que me taire.

« Vois-tu, à la périphérie du quartier des églises de la capitale, il y a un orphelinat, n’est-ce pas ? On dit que la directrice de l’orphelinat est alitée, les enfants sont très inquiets. J’ai entendu dire que l’aîné des enfants de l’orphelinat joue le rôle de directeur maintenant, mais il semble qu’ils se sentent dépassés, » déclara Rieza.

« Mes condoléances… la directrice a-t-elle contracté une sorte de maladie ? » demanda Verlaine.

« Quant à cela, c’est inconnu. On dirait que son état est mauvais depuis un moment, mais ça a empiré récemment… ah, c’est au fait une fille qui s’appelle Yuphiel Manafroze, » déclara Rieza.

Yuphiel Manafroze. Cela faisait longtemps que je n’avais pas entendu ce nom. Son rire doux et léger, je me souvenais qu’elle portait ses vêtements de prêtresse surdimensionnés et amples.

Elle m’avait dit un jour. « Mon nom est assez long, alors raccourcis-le et appelle-moi comme ça » et Aileen lui avait donné un surnom. Prenant la première syllabe de son prénom et de son nom de famille, « Yuma » devint son surnom — avec le titre de « Prêtresse silencieuse », elle était membre de l’équipe de Subjugation du Seigneur-Démon.

Yuma était tombée malade. Si Mylarka n’était pas au courant de ce fait, cela signifie que son état s’était récemment aggravé.

« Le père de Lady Yuphiel, archevêque de l’église d’Albein, ne peut pas faire publiquement une demande dans la guilde, mais je crois qu’il veut guérir sa fille, quelle que soit la méthode… J’ai entendu dire que sa mère s’occupe d’elle, pour l’instant, » déclara Rieza.

Rieza était au courant de ma relation avec Yuma, et c’était probablement la raison pour laquelle elle m’en avait parlé.

« Alors, je vais partir d’ici. Je suis épuisée aujourd’hui, je veux dormir tranquillement à la maison, » déclara Rieza.

« Oui, j’attends ta prochaine visite avec impatience, » déclara Verlaine.

Faisant ses adieux à Verlaine, Rieza sortit lentement du bar tout en étant pompette.

Dans le quartier, il y avait une zone d’habitation appartenant à le Verseau d’Argent, qui servait de dortoir aux membres de la guilde. Un soi-disant dortoir d’entreprise. J’habitais au deuxième étage du bar, avec Verlaine.

« … Cher client, avez-vous entendu ? Mademoiselle Rieza, elle m’a appelée Épouse. Est-ce que ça veut dire que je suis débordante de charme, même si je ne suis que la tenancière du bar ? Cher client, qu’en pensez-vous ? » demanda Verlaine.

Il n’était pas clair qu’elle était le lien entre le propriétaire et sa femme, mais il semblait que Verlaine était heureuse.

Depuis l’incident de l’oreiller de genoux, elle, sous prétexte de reprendre son talisman, attendait l’occasion de me séduire. Si elle essayait négligemment, elle ne pourrait pas devenir ma vraie femme. Donc elle tentait de le faire sans négligence.

La journée avait ainsi vu un revirement. Pendant la pause de l’après-midi du bar, j’étais sorti du bar par la porte arrière et je m’étais dirigé vers un certain endroit.

Dans la capitale, il y avait douze rues qui s’étendent du nord au sud, nommées par ordre numérique en commençant par l’ouest, et elles avaient des caractéristiques différentes.

La première rue avait été désignée comme le quartier de l’église. Marcher jusqu’au lointain quartier de l’église était douloureux, alors j’avais pris un chariot qui faisait un aller-retour, et il m’avait fallu environ une heure pour atteindre ma destination.

Le quartier de l’église était, comme son nom l’indiquait, un quartier qui avait une assemblée de bâtisses liées à l’Église d’Albein. Les chapelles que les gens visitaient pour prier, et aussi les couvents de prêtres pour pratiquer leurs enseignements — tout en jetant un coup d’œil aux nombreux bâtiments le long de la route, j’avais continué à marcher, et j’avais finalement atteint l’orphelinat.

Il y avait une chapelle à côté de l’orphelinat. Yuma avait été à la fois prêtresse et directrice pendant un certain temps. En plus d’étudier aussi pour être le prochain archevêque. Ce n’était pas étrange qu’elle s’effondre à cause de l’épuisement. Dans l’arrière-cour de l’orphelinat, il y avait des enfants qui s’amusaient. La jeune prêtresse qui veillait sur eux s’approcha de moi.

« Bonjour. Que puis-je faire pour vous ? » demanda la femme.

« Je veux rencontrer la directrice, puis-je la rencontrer directement ? » demandai-je.

« Si c’est la directrice, elle est dans la chapelle là-bas, mais elle a été malade récemment, alors la rencontrer face à face est…, » déclarera la prêtresse.

« Je suis un vieil ami de Yuma… de Mademoiselle Yuphiel. Je connais Mylarka Iris, » déclarai-je.

« Mylarka Iris… L’amie, la douce catastrophe… !? » demanda la prêtresse.

La prêtresse avait montré une expression de surprise sur son visage. Je pensais que si je faisais ça, je pourrais la rencontrer, mais le nom de Mylarka était vraiment puissant. Il semble qu’elle ait visité cet endroit, alors je suppose que cette prêtresse la connaissait.

« Alors, je vais appeler Lady Yuphiel. Attendez un instant, s’il vous plaît, » déclara la prêtresse.

La prêtresse était allée à la chapelle en panique. Si c’est Yuma, elle aurait déjà dû remarquer que j’étais venu ici.

Sans surprise, la prêtresse était revenue et m’avait demandé de la suivre, et elle m’avait guidé à la chapelle où se trouvait Yuma.

En y entrant, j’avais vu la forme d’une prêtresse priant devant une statue de divinité.

Sous les rayons brillants du soleil, coulant de la fenêtre au plafond, elle priait en silence. Je me demandais si c’était bien de l’approcher, mais après avoir pris ma résolution et commencé à marcher, la prêtresse s’était retournée.

Après, elle m’avait montré le même sourire qu’au bon vieux temps. Elle leva les deux mains et me salua en les agitant lentement. « Queue, ça fait un bail. J’ai vu une prophétie, donc je savais que tu viendrais. »

« C’est vraiment incroyable… Quel genre de prophétie était-ce ? » demandai-je.

« … C’est un secret. La volonté de Dieu n’est pas quelque chose qu’on peut partager si facilement avec d’autres personnes, » répondit Yuma.

Elle avait mis un doigt devant sa bouche pendant qu’elle disait ça. Elle était aussi petite que jamais, mais comme prévu, sa taille avait augmenté avec son âge. Je ne pouvais plus la traiter d’enfantine. Les vêtements de la prêtresse en utilisant le blanc comme base, avaient doucement mis en évidence ses petites courbes.

« … Tu as perdu du poids ? Même si on ne s’est pas vus depuis longtemps, ça se voit, » déclarai-je.

« Toux… Queue, tu as entendu dire que j’étais alitée et tu as décidé de me rendre visite, n’est-ce pas ? » demanda Yuma.

« Tu as vu à travers, hein. Après tout, si j’envoyais un messager à la place, Mylarka et les autres me traiteraient de rustre, » déclarai-je.

« Je te remercie. Queue, tu as toujours été si gentil, même si tu as agi comme si tu ne te souciais pas des autres, » déclara Yuma.

« Si je ne me souciais pas des autres, je ne dirigerais pas quelque chose comme une guilde. C’est juste que, je ne veux pas me démarquer, » répondis-je.

En disant ma vieille phrase d’accroche, Yuma avait ri joyeusement.

Même si, d’un coup d’œil, j’avais l’impression qu’elle parlait sainement, mais je ne pouvais nier qu’elle avait l’air malade.

Comparée à l’habituelle Yuma, elle n’avait pas sa bizarrerie habituelle, la Yuma que je connaissais n’était pas cette image parfaite d’une sainte.

« L’orphelinat, ça va bien ? » demandai-je.

« Oui, il y avait trop de gens qui venaient ici, alors j’ai consulté mon père et nous prévoyons construire un autre orphelinat, » répondit Yuma.

« Même si tu es déjà si occupée, cela ne sera-t-il pas difficile ? Se forcer même quand on est fatigué est mauvais pour le corps, tu sais, » déclarai-je.

Si c’était la Yuma habituelle, elle aurait dit : « Les âmes reposent en paix ». Mais d’après l’actuelle Yuma, il n’y avait aucune indication que ce mot n’ait jamais été prononcé.

C’était quelque chose de bizarre. Sans dire qu’elle voulait apaiser mon âme, même si nous ne nous étions pas rencontrés depuis un moment, c’était complètement anormal. Non, normalement vous ne diriez pas ça, mais c’était anormal pour la Yuma que je connaissais.

« Le travail et les études sont importants et tout, mais n’est-ce pas bien de s’amuser de temps en temps ? » demandai-je.

« … Mais la capitale est si paisible. Il ne se passe rien, rien ne remue mon âme ici, » répondit Yuma.

Après que Yuma ait dit cela, le silence s’ensuivit.

Comme prévu — la raison pour laquelle elle ne se sentait pas bien, c’était parce qu’elle n’avait pas mis d’âmes au repos.

« Depuis son retour dans la capitale, euh… N’as-tu pas été capable de le faire ? ? “Les âmes reposent en paix” ? » demandai-je.

« … Comment le sais-tu… ? » demanda Yuma.

« Non, c’est clair comme de l’eau de roche, tu adorais dire combien tu voulais mettre les âmes au repos toute la journée, mais maintenant tu ne dis plus rien d’inhabituel. Quelque chose comme ça, après tout, cela ne correspond vraiment pas à toi, Yuma, » répondis-je.

« … Le Roi a travaillé dur pour obtenir cette paix, et il ne me laisse toujours pas m’occuper des services commémoratifs. Contrairement à l’époque où j’étais encore une aventurière, M... Mettre… Mettre les âmes au repos… Je ne peux plus le faire, » répondit Yuma.

Tandis que Yuma essayait de dire « En mettant les âmes au repos », elle bégayait d’hésitation, elle mourait d’envie de mettre les âmes au repos — donc si elle l’admettait, elle ne serait probablement plus capable de se retenir, je pensais que c’était quelque chose comme ça.

« … Mais… aah… si tu le dis comme ça… Je m’en souviendrais. Je veux apaiser ton âme, Queue… Un tout petit peu me convient, alors…, » déclara Yuma.

« A-Attends… Je suis toujours en vie. Apaiser une âme vivante, qu’essaies-tu de faire ? » demandai-je.

« Je peux te forcer vers le royaume des dieux… La sainte magie… L’Ascension…, » déclara Yuma.

« Attends… Yu-Yuma, calme-toi. Un jour après avoir vécu ma vie, je te laisserai apaiser mon âme. Donc, pour l’instant, mets-le en attente ou quelque chose comme… ah, » déclarai-je.

Ses yeux étaient enchanteurs, et les yeux de Yuma pendant qu’elle s’approchait de moi petit à petit avaient retrouvé la vie.

— Comme prévu, elle avait perdu du poids. Après avoir poussé un soupir de soulagement, je m’étais assis sur l’un des sièges de la chapelle et j’avais sorti un cadeau d’un sac en cuir que j’avais apporté pour Yuma.

« La chapelle interdit-elle la nourriture et les boissons ? Si c’est le cas, alors allons ailleurs, » déclarai-je.

« Non, c’est bon… Queue, est-ce pour moi… ? » demanda Yuma.

« Ouais. Quoi qu’il en soit, tu dois te nourrir… ce n’est pas de l’alcool, donc tu peux le boire sans soucis, » déclarai-je.

Après avoir ouvert le bouchon de la bouteille, je l’avais versé dans un verre pour qu’il ne se renverse pas.

« La Goutte de Sérénité. C’est une boisson médicinale originale des elfes, elle a été fabriquée en mélangeant des remèdes naturels, et afin de la rendre facile à boire, on y a ajouté du goût, » lui expliquai-je.

Yuma s’était assise sur le siège à côté de moi, et prit le verre. Et puis, elle avait doucement porté le verre à ses lèvres.

« hn… hah… ça sentait mauvais, alors j’ai pensé que ça avait un goût amer. Mais c’était doux et facile à boire, » déclara Yuma.

« Même pour un médicament, le goût est après tout important. Vois ça comme une potion de grande classe, » déclarai-je.

« Oui… ça m’a réchauffé le corps. C’est aussi très relaxant…, » répondit Yuma.

On disait que plus on se fatiguait, plus ça devenait efficace, et j’avais l’impression que c’était extrêmement efficace sur Yuma.

Boire la goutte de sérénité avait eu pour effet de lui donner de l’appétit, donc pour la prêtresse qui n’avait pas le droit de manger de la viande, j’avais apporté un sandwich aux légumes dans une baguette, et du jus de fruits.

« Si tu es d’accord avec ça, vas-y, mange. C’est un en-cas assez populaire dans mon bar, » lui expliquai-je.

« … Oui. Après avoir bu le médicament, c’est un peu honteux, mais j’ai un peu faim, » déclara Yuma.

Yuma avait ouvert l’emballage du sandwich, et elle l’avait mordu. Le fait de regarder une dame manger était un peu déplacé, alors j’avais déplacé mon regard vers la statue.

« Hmm… Délicieux. Queue, ça te fais pensé au passé, n’est-ce pas ? Même à l’époque où nous étions en voyage pour subjuguer le Seigneur-Démon, il fut un temps où nous avions tous les jours un repas comme celui-ci. À l’époque, Queue, tu avais même demandé des fraises à un agriculteur des environs, n’est-ce pas ? »

« Fraise… ? Maintenant que tu le dis, c’est ce que tu préfères, Yuma, hein, » déclarai-je.

« J’aime ça depuis que tu m’en as donné une, Queue. hn… mais, ce jus est aigre-doux et délicieux, » déclara Yuma.

Yuma buvait joyeusement le jus de raisin en me regardant. J’avais sorti le sandwich baguette que j’avais prévu de manger plus tard, et tout en étant timide à cause de son regard, j’avais mordu dedans.

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Un commentaire :

  1. Merci pour le chapitre.

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