Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 15 – Chapitre 1

Bannière de Genjitsushugisha no Oukokukaizouki ☆☆☆

Chapitre 1 : Le baby-boom du Royaume

Wahhhhhhhh ! On entendait des pleurs au loin.

Si nous pouvions l’entendre à ce volume alors que nous étions apparemment si loin, c’est qu’il devait être incroyablement fort. Quand cette enfant s’était mise à pleurer, elle avait vraiment pleuré. J’étais dans le bureau des affaires gouvernementales et je m’occupais de la paperasse, mais je n’aurais jamais pu ignorer cette voix.

« Hey… Puis-je aller jeter un coup d’œil ? » Avais-je demandé à Hakuya, qui travaillait avec moi, et il poussa un soupir.

« Il y a déjà beaucoup d’autres personnes qui s’occupent d’elle, alors se joindre à elles ne servira à rien. Concentrez-vous sur votre travail. »

« Mais… elle pleure si fort. »

« La princesse Enju est déjà très bruyante. »

Les pleurs appartenaient à ma fille qui venait de naître et sa mère était Juna. C’était ma troisième, après Cian et Kazuha, mais c’était la première de Juna… et une fille en plus. Son nom était un mélange de celui de Juna et de celui de sa grand-mère Excel : Enju Souma.

C’était une jolie fille, qui ressemblait à Juna, mais avec des cheveux plus foncés, et sa voix forte était sans doute héritée de la Prima Lorelei. Elle pleurait suffisamment fort pour que, si nous avions vécu dans un quartier résidentiel dans mon ancien monde, nous ayons été dénoncés à la police pour maltraitance potentielle d’enfants.

Cela dit, en temps normal, elle ne pleurait pas tant que ça, seulement quand elle avait faim, voulait qu’on lui change sa couche ou avait sommeil. L’essentiel, en quelque sorte. Malgré cela, il était étonnamment facile de s’occuper d’elle. J’avais senti la filiation de Juna dans cette considération naturelle pour les autres.

« Si vous voulez aller les voir, finissez vite votre travail. Sire Julius prend un congé pour être auprès de sa femme qui va bientôt accoucher, alors nous n’avons pas assez de bras ici. »

« Roroa est aussi sur le point d’accoucher… »

« Je suis sûr qu’elle est plus que préparée. Vous avez déjà veillé à ce que tout soit en ordre, sire. Maintenant, s’il vous plaît, concentrez-vous sur votre travail. »

« D’accord… »

J’avais utilisé au maximum mon pouvoir de Poltergeist vivant pour trier la montagne de paperasse qui se trouvait devant moi.

La situation était instable avec le Royaume du Grand Tigre qui se déchaînait dans le nord, mais nous ne nous opposions pas publiquement à eux. Nous avions des alliances avec l’Empire, la République et l’Archipel du Dragon à Neuf Têtes, et nos relations avec eux étaient bonnes. Si l’on s’en tient au Royaume lui-même, les choses sont remarquablement stables et je pouvais me concentrer sur la politique intérieure.

De ce fait, il n’y avait pas eu de problèmes majeurs et les travaux s’étaient déroulés sans encombre.

En travaillant à un rythme encore plus élevé que d’habitude, j’avais atteint la chambre de Juna, trébuchant un peu à cause de la surcharge de mon énergie spirituelle. Juna était là, tenant Enju, ainsi que Liscia, qui les regardait chaleureusement.

Liscia m’avait regardé en posant son index sur ses lèvres. Cela signifiait : « Tais-toi ».

J’avais regardé la chaise à bascule où Juna était assise et j’avais vu qu’elle dormait aussi. La façon dont elle tenait Enju avec amour, les yeux fermés, était si divinement belle que j’avais voulu l’immortaliser sur une vidéo, une photo, et également demander à l’artiste de la cour de la peindre.

« Elle s’est juste endormie », déclara Liscia à voix basse quand je m’étais approché. « Juna s’est endormie avec elle. »

En baissant la voix pour ne pas les réveiller, j’avais demandé : « Bon travail. Comment vont Cian et Kazuha ? »

« Aisha et Roroa s’occupent d’eux dans la chambre d’enfant. Ils se sont mis à pleurer eux aussi en entendant les gémissements d’Enju. »

Cian et Kazuha pouvaient déjà se tenir debout en se redressant, et pouvaient se dandiner sur des pieds instables ou ramper étonnamment vite. Kazuha, en particulier, bougeait dans tous les sens si on la laissait faire, essayant même de quitter la pièce, si bien que nous ne pouvions pas la quitter des yeux. J’étais content qu’elle grandisse en bonne santé, mais c’était gênant qu’elle soit aussi garçon manqué que sa mère.

« Merci, Liscia. Pour ton soutien à Juna. »

« Elle était là pour moi, alors c’est le moins que je puisse faire. »

Sur ce, Liscia me donna une tape sur l’épaule et ajouta : « Bon, je vais vous laisser tous les trois seuls maintenant. Je dois aller voir Cian et Kazuha. »

Liscia essayait probablement de prendre en compte l’état mental de Juna après l’accouchement en prenant le temps de nous laisser seuls, Juna, Enju et moi.

« Merci, Liscia. »

« Hee hee, cela fait partie de mon travail en tant que première reine primaire. »

« Oh, j’y pense, tu ne l’as pas mentionnée, mais où est passée Naden ? » demandai-je en me souvenant.

« Oh… » Liscia acquiesce. « Naden est au domaine Magna aujourd’hui. Ils en ont un aussi, tu te souviens ? »

« Je vois… »

Cela me paraissait tout à fait logique.

◇ ◇ ◇

Un bébé dormait tranquillement dans son berceau. Lorsqu’elle vit que ses petites mains de bébé étaient formées en poings et que sa bouche était entrouverte, Naden ne put s’empêcher de dire : « C’est trop mignon. »

« Heh heh, je sais, n’est-ce pas ? » Ruby acquiesça, gonflant sa poitrine avec fierté.

« Attends, pourquoi es-tu si fière… ? » Naden la regarda d’un air dédaigneux.

C’était la maison des parents d’Halbert, le manoir de la Maison Magna. Le bébé avait des mèches de cheveux rouges et de minuscules oreilles de renard qui lui sortaient de la tête. C’était l’enfant né de Halbert et de Kaede. Et Ruby, la seconde épouse de la famille, l’aimait aussi.

« Elle est à Hal et Kaede. Cela fait d’elle pratiquement aussi la mienne. »

« Oui… Je sais ce que tu ressens. »

Naden aimait les enfants de Liscia et de Juna comme s’ils étaient les siens.

Les dragons étant l’une des races à longue durée de vie, ils n’étaient pas très fertiles. De plus, les dragons étant naturellement enclins à accorder une grande importance à la propagation de leur espèce, leur amour pour leur famille était intense. C’est pourquoi, même si les enfants étaient nés d’une autre femme, ils les adoraient tout de même.

« C’est un garçon, n’est-ce pas ? »

« Le premier fils tant attendu de la maison Magna. On l’appelle Bill. »

« Bill Magna… C’est plutôt cool. C’est un renard mystique, je vois. »

Halbert étant un humain et Kaede, une renarde mystique, leurs enfants pouvaient naître avec les traits d’un humain, d’un homme-bête ou d’un demi-homme-bête. Cependant, les traits caractéristiques de la race des renards mystiques n’étant que ceux des hommes bêtes (oreilles et queue), la seule différence était de savoir si le bébé avait ou non des oreilles et une queue de renard.

« C’est moi qui lui donne ses cheveux roux », ajouta Ruby.

« Il tient plutôt ça de son père. Si tu t’emportes et qu’il commence à t’appeler maman, Ruby, sa vraie mère va se fâcher… Très en colère. »

« Tu… parles d’expérience, hein ? »

« Ce n’était pas seulement moi. Nous l’avons fait toutes les quatre (sauf Liscia). »

« Que fait notre famille royale… ? » dit Ruby, consternée. Puis Bill commença à bouger ses mains et ses pieds dans son sommeil.

« « … » »

Elles sourirent toutes les deux et se remirent à regarder Bill.

« Les bébés sont vraiment géniaux, hein ? » déclara Ruby.

« Oui, c’est vrai », acquiesça Naden.

« J’en veux un. »

« Moi aussi. »

« Je vais devoir faire travailler Hal dur pour cela. »

« Souma aussi. »

« Si tu le regardes avec des yeux affamés comme ça, ton mari va être découragé, tu sais ? » dit Kaede, qui venait de rentrer, et qui était visiblement très étonnée par la façon dont elles parlaient toutes les deux. Elle leur avait fait surveiller Bill un moment pendant qu’elle allait chercher des vêtements de bébé.

Naden se racla bruyamment la gorge, peut-être par embarras. « Au fait, retournes-tu dans l’armée, Kaede ? Ou bien vas-tu rester ici, dans ton domaine ? »

Kaede sourit à la question de Naden.

« Voyons voir. Je pense que je reviendrai en tant qu’officier d’état-major lorsque Bill aura grandi. Sire Ludwin, le vice-commandant de la Force de défense nationale, et Julius sont tous deux au château, et Sa Majesté m’a dit que je pouvais laisser Bill dans la crèche là-bas. »

« Avec moi dans les parages, Hal peut se rendre à son poste de n’importe où, après tout », ajouta Ruby, en frappant d’une main sa poitrine, qui s’était considérablement développée au cours des dernières années.

Il est vrai qu’avec un dragon rouge, ils pouvaient rejoindre la Force de Défense Nationale depuis le domaine Magna, Parnam, ou n’importe où ailleurs.

Kaede gloussa. « Nous pouvons aussi faire confiance au père Glaive pour gérer le domaine en notre absence. »

« Alors vous deux et Bill allez vivre dans la capitale ? Son grand-père ne va-t-il pas se sentir seul ? »

« Oui, mais Mère lui tiendra compagnie… Je pense que Père viendra quand même régulièrement nous rendre visite à la capitale… » Le sourire de Kaede était un peu tendu en disant cela.

Le fait que le père s’occupe de sa famille et que la femme le tienne fermement sous sa coupe aurait pu faire partie du caractère national de ce pays.

C’est ce qu’avaient pensé Naden et Ruby en se souvenant de leurs propres maris.

◇ ◇ ◇

L’école professionnelle de Ginger possède une ferme expérimentale près de la capitale. Comme il était encore tôt dans l’année, rien n’avait encore été planté. Des objets s’agitaient cependant sur le sol légèrement enneigé. Ces « objets », à la peau ferme, mais molle, étaient les gelins qui avaient joué un rôle si actif en devenant des udon pendant la crise alimentaire. Mais il s’agissait de gelins roses, appelés familièrement gelins agricoles.

Poncho, le ministre de l’Agriculture et des forêts du Royaume, et Ginger, le directeur de l’école professionnelle, regardaient les gelins agricoles ramper autour d’un champ où l’on cultivait des tomates.

« Tu penses que ces gelins agricoles empêcheront les dégâts causés par la répétition de la même culture, oui ? » demanda Poncho et Ginger acquiesça.

« Oui. Ils seront un atout pour l’agriculture du Royaume. »

Si vous continuez à planter les mêmes cultures dans les mêmes champs, ce n’est pas bon pour le sol. Cela perturbe l’équilibre des nutriments, et les agents pathogènes et les insectes qui s’attaquent à ces cultures se propagent. Le premier problème pouvait être résolu à l’aide d’engrais et d’un nouveau sol, mais le second reste un problème. Dans l’ancien monde de Souma, les pathogènes et les insectes étaient éliminés grâce à l’utilisation de produits chimiques agricoles, mais ce genre de choses n’existait pas encore dans ce monde.

Ginger s’accroupit et posa sa main sur le sol.

« Grâce au microscope dont Sa Majesté a dirigé le développement et qui a prouvé les connaissances de la race des trois yeux, nous avons appris l’existence des bactéries et autres micro-organismes. Ainsi que le fait qu’ils peuvent causer des maladies. »

Poncho acquiesça.

« Sa Majesté a répandu des idées sur l’“assainissement” que seule la race à trois yeux connaissait jusqu’à présent. J’ai entendu dire que parce que nous avons appris à nous laver les mains et à nous nettoyer la bouche avec de l’eau potable, le nombre de personnes qui tombent malades a diminué, oui. Lorsque les sages-femmes ont commencé à se concentrer sur l’utilisation d’eau propre, le nombre de décès pendant l’accouchement a considérablement diminué, oui. J’ai des frissons en pensant à ce qui aurait pu se passer si Serina et Komain avaient accouché avant que nous ne sachions, oui. »

« Je suis du même avis. »

Poncho et Ginger poussèrent ensemble un soupir de soulagement.

Si leurs femmes avaient accouché à une époque où le taux de mortalité était élevé, ils auraient été très inquiets. Non, ils auraient peut-être joué aux dés avec la vie de leurs femmes et de leurs enfants sans même le savoir, et les chances étaient contre eux. L’idée est terrifiante.

Ginger secoua la tête pour chasser les pensées désagréables avant de changer de sujet. « Nous avons appris que les bactéries, les micro-organismes et les insectes sont à l’origine des problèmes liés à la monoculture. Et on savait que planter plusieurs fois les mêmes plantes au même endroit les faisait moins bien pousser, mais maintenant on a l’impression d’en comprendre enfin la raison. »

«  C’est vrai. Les fermiers semblaient le comprendre instinctivement même s’ils n’en connaissaient pas la cause, oui. » Poncho acquiesça. « Ils le géraient en modifiant le sol, en laissant les champs en jachère ou en changeant les cultures, oui. »

Ce monde disposait d’un système de rotation des cultures tout comme l’ancien monde de Souma. Un exemple célèbre est le système des quatre champs de Norfolk, en Angleterre, qui faisait alterner le blé, les navets, l’orge et le trèfle. Cependant, la rotation des cultures nécessitait une surface de terre importante et des méthodes de récolte différentes chaque année. Il en va de même dans ce monde.

« Si nous pouvions cultiver les mêmes plantes dans de petits champs, cela nous permettrait de développer de meilleures techniques pour les cultiver. Nous pourrions produire du blé et du riz avec des rendements plus élevés, et des légumes plus résistants aux insectes et au froid, oui. »

« Tu as raison. Il y a beaucoup de bébés qui naissent en bonne santé dans le Royaume aujourd’hui. Nous pouvons nous attendre à ce que la population augmente. Et comme Fuuga Haan a repris les terres du domaine du Seigneur-Démon au nord, les gens commencent à y retourner. La demande de nourriture va encore augmenter. »

« Nous devons augmenter notre capacité de production alimentaire, oui. Et c’est à cela que servent les gelins agricoles. »

Ginger acquiesça en montrant du doigt les gelins agricoles.

Il s’agissait d’une sous-espèce de gelins connue sous le nom de gelins médical, que les membres de la race à trois yeux, comme le docteur Hilde, utilisaient pour produire leurs médicaments. Les gelins agricoles avaient été sélectionnés à partir des gelins médicaux, qui vivaient dans des endroits où les niveaux de toxines étaient élevés.

« Notre équipe de recherche agricole a travaillé avec la race aux trois yeux pour créer ces gelins, en les adaptant pour qu’elles se nourrissent des insectes en surnombre et des bactéries pathogènes présentes dans le sol. En combinaison avec l’engrais que l’Empire nous a appris à fabriquer, nous pouvons limiter les dégâts causés par la monoculture et réduire le temps de jachère des champs. »

Ces gelins agricoles avaient tué des bactéries et des insectes spécifiques, fonctionnant ainsi comme des produits chimiques agricoles, d’une certaine manière. Cependant, contrairement aux produits chimiques liquides, les gelins conservaient leur forme jusqu’à un certain point, de sorte que même lorsqu’elles avaient fini de ramper, il n’en restait plus aucune partie dans le sol. Bien qu’il s’agisse encore d’un projet expérimental, Souma espérait qu’il n’y aurait pas d’effet sur les personnes qui mangeront les produits finis.

« Tout cela semble bien, mais y a-t-il des inconvénients ? »

« Il serait facile de fabriquer un gelin qui mange tous les insectes et bactéries présents dans le sol, mais il serait beaucoup plus difficile de la faire manger uniquement des insectes et bactéries spécifiques. Les parasites et les bactéries qui se développent de manière incontrôlée varient également d’une culture à l’autre, de sorte que nous devons également fabriquer un gelin pour chaque type. »

« Hmm… cela semble prendre du temps, en effet. »

« Les seuls résultats que nous ayons obtenus jusqu’à présent sont le gelin pour les tomates et le gelin pour le blé, qui a été notre priorité absolue. »

Les gelins agricoles étaient encore à l’essai. Ils étaient indispensables pour les céréales, qui se conservaient facilement. Les gelins pour les autres cultures ne seraient introduits qu’après cela. C’était frustrant, mais ils devaient continuer à s’efforcer de réaliser leur rêve d’augmenter un jour leur capacité de production alimentaire à pas de géant.

Soudain, une voix se fit entendre au loin.

« Lord Gingeeer ! »

C’était la voix d’une femme qui faisait des signes du haut d’une colline toute proche. C’était la femme de Ginger, Sandria, la femme-bête raton laveur. Son ventre était lourd, elle était enceinte de neuf mois.

« Vous deux, c’est l’heure du déjeuner ! »

« D’accord, San ! » répondit Ginger en lui faisant un signe de la main. « Alors, allons-y, Sire Poncho. »

« Oui, oui. »

Ils se dirigèrent tous deux vers Sandria, qui était accompagnée de deux autres femmes. C’étaient les femmes de Poncho. Un drap était posé sur le sol et il y avait un panier de pain ainsi que des légumes, du fromage et du jambon pour faire des sandwichs.

Au milieu du drap, il y avait deux grands paniers contenant chacun un adorable petit bébé au visage rond, qui dormait profondément.

Poncho demanda à ses femmes : « Marin et Maron dorment-elles, oui ? »

« Oui, mon cher. Elles se sont endormies dès que nous avons fini de les allaiter », répondit Komain en souriant.

Marin et Maron étaient les filles que Serina et Komain avaient mises au monde presque en même temps. Comme elles étaient nées si près l’une de l’autre, ils avaient décidé de leur donner des noms à consonance similaire.

Elles se ressemblaient comme des jumelles, ayant toutes deux hérité du visage rond de Poncho, mais la fille de Komain, Maron, avait une peau légèrement plus rouge, de sorte qu’ils ne les confondaient jamais.

Serina passa une main sur sa joue et soupira. « C’est bien qu’elles mangent bien et qu’elles dorment bien, mais je crains qu’elles ne grandissent et ne soient bâties comme mon mari. »

« Oui ! Ça va aller, oui. Je pense qu’elles seront aussi belles que toi et Mme Komain. »

« Hee hee, c’est bon, Serina. Poncho était capable de perdre du poids quand il essayait. »

Komain gloussa, pensant peut-être au Poncho décharné d’il n’y a pas si longtemps. Serina gloussa elle aussi.

« Tu n’as pas tort. Il a déjà retrouvé sa forme initiale, alors pourquoi ne pas l’amincir à nouveau ? Hee hee, je pense que j’aimerais un garçon cette fois. »

« Oh, j’aimerais aussi un garçon, chéri. »

Alors que ses belles épouses se pressaient vers lui en souriant, Poncho sentit un frisson lui parcourir l’échine en se rappelant comment il avait perdu autant de poids auparavant.

Ginger et Sandria les regardèrent tous les trois avec un sourire en coin.

☆☆☆

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

Laisser un commentaire