Chargez sa magie avec un sourire – Tome 3 – Chapitre 91

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Chapitre 91 : Puissance de la conception

Dans la périphérie de Ribek.

Nous avions commencé là-bas la construction du cuirassé.

Il y avait Risha et Lilia avec leurs cartes d’esclaves et les citoyens qui avaient été embauchés avec de l’argent.

Ils étaient tous venus là pour le construire.

Il y avait des Cercles Magiques surgissant ici et là alors qu’ils plaçaient des matériaux à l’intérieur, lentement mais sûrement.

Cela ressemblait moins à de la construction et plus à la fabrication d’un énorme modèle en plastique.

Maya et moi regardions cette vue de loin.

« Une fois que cela sera fini, les filles pourront l’utiliser, » dis-je.

« Pourrons-nous vraiment le faire ? » demanda Maya.

« Ça devrait vous aider à faire ce que vous avez à faire. Il y a des nitokas et, si nécessaire, vous pouvez engager un combat au corps à corps, » dis-je.

« Je vois, » répondit Maya.

« En outre, il y a quelques espaces résidentiels à l’intérieur. Si vous les utilisez, vous n’aurez plus besoin de dormir dehors. Plus de sommeil dans les tentes, » dis-je.

« C’est super, » dit-elle.

« Vous devez prendre soin de vos corps. Allez-vous toujours porter mes enfants ? » demandai-je.

« ... Oui, c’est toujours le cas, » répondit Maya en rougissant alors qu’elle baissait les yeux.

Après un court moment à me regarder furtivement, elle ouvrit la bouche pour parler. « Est-ce qu’il vous est arrivé quelque chose ? »

« Que voulez-vous dire par là ? »

« Vous semblez différent, » répondit-elle.

« Différent ? » demandai-je.

« Après tout, chaque fois que nous en avons parlé, vous étiez aussi glissant qu’une anguille, mais tout à coup vous en avez même parlé par vous même. Je suis heureuse, mais... c’est très différent, » déclara Maya.

« Je vois, » dis-je.

Différent, Hmm ?

J’avais l’impression que la déesse avait dit quelque chose de similaire.

« Je n’ai pas l’impression d’avoir tellement changé, » dis-je.

« Ce n’est pas le cas... attendez..., » Maya s’arrêta et souris. « Si c’est le cas alors ça va. »

« Est-ce bien ? » demandai-je.

« Oui, » répondit-elle. « Après tout, c’est important pour nous que vous disiez que vous allez nous faire avoir des enfants. »

« Je vois... Donc cela vous convient dans ce cas, » dis-je.

« Oui. Je vais en parler avec tout le monde, » dit-elle.

J’avais échangé une promesse avec Maya alors qu’elle souriait.

Il y avait maintenant deux raisons de se réjouir de l’achèvement du cuirassé.

***

La salle de réception du palais.

Le chef de Magatan, Gerashim, était venu me voir.

« Cela faisait longtemps. Comment allez-vous ? » demandai-je.

« Grâce à Akito-san, les gens vivent bien, et je vis aussi une vie stable, » répondit-il.

« Je vois. C’est très bien que vous soyez heureux de cette vie, » dis-je.

« C’est stable avec plus d’abondances qu’avant... c’est juste que..., » dit-il.

« Qui a-t-il ? » demandai-je.

« Récemment, il y a eu des personnes qui se saoulaient et qui sont ainsi devenues violentes. Cela a causé divers problèmes, » dit-il.

« Alcool, hein !? » m’exclamai-je.

« Oui. Magatan était à l’origine une ville célèbre pour leur alcool. Le saviez-vous ? C’est ce qu’on appelle l’alcool de “trousseau”. » Dit-il.

« Qu’est-ce que c’est ? » demandai-je.

Le nom était un peu gênant pour de l’alcool.

« C’est une très vieille coutume dans laquelle on prépare un lot de vin en même temps que la naissance d’une fille. Une fois que la fille a grandi et est sur le point de se marier, le lot est retiré de la cave et devient un vin de trousseau. Il a mûri pendant tout le temps qu’elle a grandi et donc c’est devenu assez délicieux et précieux, » expliqua-t-il.

« Hein !? Je vois. Cela sonne bien, » dis-je.

« Oui. Et il y a une autre version où il a été brassé et stocké pour une durée de un ou deux ans avant d’être vendu plus tard, » dit-il.

« OK... »

« Ce type a récemment à nouveau commencé à être produit et est apparu sur le marché... Mais il y a deux problèmes. D’abord, il y a des personnes qui se saoulent et deviennent turbulents, » dit-il.

« C’est bien, ça veut dire que ça devient plus accessible, » dis-je.

« Akito-san, vous ne devriez pas dire des choses comme ça, » dit-il.

« Je sais, je sais. Je ferai en sorte de correctement sévir, » dis-je.

Même si je n’y pensais pas vraiment, c’était différent quand il s’agissait de la gestion du pays.

Je devais contrôler correctement cela, mais pas trop afin d’éviter que les habitants ne puissent plus s’amuser.

Je devais prendre les deux en considération.

« Et l’autre problème ? » demandai-je.

« Ce vin utilise un type de plante à couronne, mais elle pousse dans des zones spécifiques. Il est également très difficile de cultiver au pays, ne laissant pas d’autre choix que de le découvrir dans la nature, » dit-il.

« Je vois. Eh bien, je supposais déjà que ce serait quelque chose comme ça, » dis-je.

Je suppose que c’était quelque chose comme l’anguille dans mon monde précédent.

« Récemment, cet emplacement a été occupé, » dit-il.

« Occupé ? » demandai-je.

« Oui, occupé. Les anciens subordonnés de Marato et Maxim l’ont fait. Ce sont eux qui vous ont résisté jusqu’à la fin, » dit-il.

« Les restes sont encore revenus ? » demandai-je.

« Oui. Mais même ainsi, j’aurais aimé qu’ils s’en aillent si nous leur disions de..., » commença-t-il.

« Mais ils veulent un prix incroyable pour le faire ? » demandai-je.

Gerashim hocha positivement la tête.

Je vois, dans ce cas, pensai-je. Je comprends le plus gros de la situation.

***

« Nous sommes allés enquêter, » quelques jours plus tard, Maya était entrée dans mon bureau pour m’annoncer ça.

« Bon travail. Désolé de vous presser, mais comment c’était ? » demandai-je.

« C’est vraiment mauvais. Ils sont tous assez bien armés et très bien retranchés, » dit-elle.

« Je vois, » dis-je.

« Et la plante à couronne... tous les plans sont tous surveillés de près. C’est une garde très serrée qui rend pratiquement impossible de les dérober sous leurs nez, » déclara Maya.

« Alors ils ont essayé de faire en sorte que nous n’ayons d’autre choix que de payer le prix qu’ils ont fixé ? » demandai-je.

Maya hocha la tête.

« Ils étaient aussi autoritaires dans leurs pourparlers. “Si vous pensez que c’est trop cher, alors pensez à quel point c’est précieux”, » dit-elle.

« C’est une réaction assez évidente, » dis-je.

« Les prix qu’ils vendent feront énormément augmenter le prix de l’alcool. Il augmenterait le prix d’une bouteille de boisson de 300 yens à 3000 yens, » annonça-t-elle.

« Ce n’est vraiment pas bien..., » dis-je.

Le « yen » fait avec le DORECA était venu avec des valeurs en papier de dix mille, cinq mille, et mille. Il était également sous forme de pièces de cinq cents, cent, cinquante, dix, cinq et un. C’était la même chose que le yen japonais, avec à peu près le même pouvoir d’achat.

Une seule boisson coûterait 3 000 yens... c’était ridicule.

L’alcool était un bien de luxe, donc je n’intervenais pas d’habitude dans ça, mais je ne pouvais pas le laisser ainsi.

« Akito, si vous aidiez, ça serait rapidement résolu, mais s’il vous plaît, laisse-le-nous. Nous avons clairement examiné leur force militaire. Nous pouvons définitivement les éliminer, » dit-elle.

« Non, attendez, » dis-je.

« Hein !? » s’exclama-t-elle.

« Si nous les écrasons tous ainsi, nous agirions exactement comme Maxim et Marato, » dis-je.

« Mais si nous laissons cela comme ça, ils pourront contrôler les prix à leur guise, » dit-elle.

« C’est simplement un monopole qu’ils auront, » dis-je.

« Alors on laisse ça ainsi ? » demanda Maya.

« Je n’ai jamais dit ça. Tout ce que nous devons faire est d’écraser leur monopole, » dis-je.

« C’est vrai, alors on va s’en emparer, n’est-ce pas ? » demanda-t-elle.

« Votre Majesté ! » Alors que Maya avait continué à accentuer la résolution de cette situation par la force, Nina était entrée en trombe dans la pièce en bondissant.

Le fait qu’elle sautait ainsi pendant que saignait du nez était quelque peu horrible.

Mais j’avais appris depuis que son saignement de nez était une promesse de quelque chose de bon à venir.

« En voyant votre regard, il semblerait que cela soit quelque chose de bien, » dis-je.

« Oui ! Comme Votre Majesté me l’a demandé, j’ai trouvé un moyen de fabriquer les plantes à couronnes ! » répondit Nina.

Mira, qui travaillait avec Nina, entra derrière elle et acquiesça.

J’avais sorti ma DORECA et regardé mon menu.

Il y avait la plante à couronne développée par Nina dans le menu.

***

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6 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Et tac problème suivant d’une solution parfait mais c si pratique….

  4. Merci pour le chapitre.

  5. Merci pour le chapitre 🙂

  6. Barthélémy Lelièvre

    Merci pour le chapitre

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