Bienvenue au Japon, Mademoiselle l’Elfe – Tome 2 – Chapitre 2 – Partie 3

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Épisode 2 : C’est de la cuisine française, Mademoiselle l’Elfe

Partie 3

Il y avait une surabondance d’informations lorsqu’il s’agissait de planifier les voyages, ce qui rendait difficile d’évaluer quels endroits valaient vraiment la peine d’être visités. Beaucoup de personnes qui n’étaient pas habituées à partir en voyage avaient sûrement vécu des dilemmes similaires.

Kaoruko avait souri, puis elle pressa le bout de ses doigts. « Un petit voyage, vous dites ? Ça a l’air merveilleux ! »

« Et Chichibu ? Il a un beau paysage à voir là-bas. La zone a été entretenue depuis longtemps, et il y a encore des choses comme des locomotives à vapeur et des sources d’eau chaude. L’une de mes connaissances y dirige une entreprise, alors j’y vais de temps en temps. C’est un endroit agréable et relaxant, » déclara Toru.

Toru m’avait proposé de faire une réservation pour nous, ce qui m’avait pris un peu par surprise. Je ne m’attendais pas à trouver si facilement un candidat pour la destination du voyage.

Avant même que je puisse répondre, il avait commencé à utiliser son téléphone et l’avait tourné pour nous montrer l’écran. C’était une photo de lui se fondant dans la nature, et les yeux violets de Marie s’écarquillèrent face à cette vue.

« Oh mon Dieu ! Qu’est-ce que c’est que ça ? Il y a de la vapeur qui en sort. Ça veut dire qu’il fait chaud ? » demanda Marie.

« C’est une source d’eau chaude à la japonaise. Je sais que les sources d’eau chaude existent aussi dans l’autre monde, mais elles sont plus destinées à être appréciées comme tu le souhaites. Ils disent qu’ils sont même bons pour guérir les blessures et autres maux, » déclarai-je.

Les sources étaient entourées d’arbres et d’arbustes, avec des zones rocheuses parfaites pour s’allonger. Il y avait aussi un bâtiment de style japonais avec divers restaurants et tables, qui était clairement destiné à être un lieu de repos et de détente.

« Wooow… »

À en juger par la fascination que la photo exerçait sur Marie, elle avait l’air d’aimer l’endroit. Je lui avais demandé en elfique si elle voulait y aller, et elle avait acquiescé tout de suite. Voyant cela, j’avais décidé de faire la demande.

« Merci pour l’offre. Nous serions ravis d’y aller, » déclarai-je.

« Ce n’est pas un problème du tout. Mes jours de congé ne correspondent pas toujours à ceux de Kaoruko, alors nous sortons souvent pour de petites excursions d’une journée. Oh, et nous avons aussi des DVD d’anime. Vous êtes plus que bienvenue pour venir les voir en semaine, » déclara Toru.

C’était illégal de prêter des DVD à d’autres. Je m’étais dit qu’il ne faisait que suivre les règles puisqu’il occupait un poste au gouvernement, ce que je pouvais respecter.

J’avais traduit tout cela pour Marie, et elle avait affiché un grand intérêt pour ça.

« Marie est également impatiente d’y participer. Quels sont les jours de congé habituels en tant que bibliothécaires… ? » demandai-je.

« La bibliothèque est fermée le lundi, donc ce serait le lundi et un autre jour de semaine. Toru, qui travaille pour le gouvernement, ne peut pas partir à l’extérieur à moins qu’il ne prenne des jours de congé consécutifs, » déclara Kaoruko.

Hm, cela signifiait que Marie pouvait lui rendre visite une fois par semaine environ.

J’avais peur de la laisser seule alors que je n’avais pas d’autre choix que d’aller travailler. Peut-être que je m’inquiétais pour rien, mais je sentais que j’avais encore besoin de temps pour me préparer mentalement avant de la laisser se promener toute seule.

En y repensant, une paire d’yeux violets s’étaient tournés vers moi.

« C’est pourquoi je dis que tu es surprotecteur. Quelle horrible chose rôde au Japon, où il n’y a pas de monstres errants ? » demanda Marie.

« Les humains sont bien plus effrayants que les monstres. Mais peut-être que tu iras bien si tu es avec Kaoruko, » avais-je dit à Marie en elfique.

Mais je n’ai pas pu m’empêcher de m’inquiéter. Je veux dire, elle était tellement adorable. Un taré aurait pu poser les yeux sur elle, et il y avait eu une tonne de nouvelles déprimantes sur les harceleurs et tout ça ces derniers temps.

Toru semblait sentir mes inquiétudes et me sourit. « Je comprends pourquoi vous vous inquiétez pour une fille adorable comme elle. C’est bon, vous pourrez y penser quand vous connaîtrez mieux ma femme. »

Peut-être qu’il était aussi heureux de voir sa femme se faire une amie. J’avais eu l’impression que c’était le cas grâce à son langage corporel lorsqu’il s’était penché pour me parler. De plus, Kaoruko avait toujours eu une attitude positive envers elle.

Après y avoir réfléchi un moment, j’avais lentement hoché la tête.

Il était presque neuf heures après être rentré à l’appartement,

Entièrement satisfaite de la cuisine française, Marie s’étala légèrement après avoir marché vers le lit et s’y posa face contre le lit. C’était considéré comme un peu mal élevé, mais ça ne me dérangeait pas alors qu’il n’y ait que nous deux.

Lorsque nous avions dit au revoir tout à l’heure, elle avait poliment dit au couple marié. « Merci, pour le repas. C’était très délicieux. » Ils semblaient apprécier la réaction de Marie à la nourriture et nous avaient demandé de nous joindre à eux pour un autre souper.

« Je vais préparer le bain. Alors, ne t’endors pas tout de suite. Oh, et merci d’avoir fait la lessive et la vaisselle. Tu m’as vraiment aidé, » déclarai-je.

La vaisselle dans l’évier était empilée, et tout le linge avait déjà été plié. La façon dont ces tâches avaient été accomplies de façon si soignée semblait vraiment en harmonie avec sa personnalité ordonnée.

Après l’avoir remerciée, elle s’était redressée. « C’est bon, ce n’était rien. De plus, j’ai tendance à mieux étudier tout en m’occupant d’autres tâches… Ahh, ce n’est pas bon, je vais m’endormir si je m’allonge ici. »

Marie se leva lentement du lit, puis prit une chaise et l’apporta à la cuisine. Elle ressemblait à une étrange petite poupée assise dessus, mais elle semblait vouloir me regarder cuisiner.

Après s’être dépoussiéré les genoux avec ses mains, elle m’avait regardé. « Qu’est-ce que tu nous prépares aujourd’hui ? Bien que je sois assez rassasiée, je ne sais pas si je peux manger beaucoup d’autre chose. »

« Très bien. Alors que dirais-tu de quelque chose de léger ? Peut-être, des inarizushi ? » demandai-je.

Les inarizushi étaient quelque chose que j’avais déjà fait pour elle. Elle semblait se souvenir de ce plat juteux et savoureux, et acquiesça d’un signe de tête excité tout de suite. J’avais aussi du chou de printemps croustillant pour l’accompagner, que j’avais décidé de chauffer rapidement au micro-ondes.

En cuisant le riz et en préparant les ingrédients, j’avais parlé avec Marie.

« À propos du donjon… Connais-tu quelqu’un qui pourrait être capable de venir dans un groupe avec nous ? » demandai-je.

« Hmm… Je ne connais personne personnellement, mais c’est une chose à laquelle nous devrions réfléchir, » répondit Marie.

Ah, donc elle s’inquiétait de la même chose.

Notre groupe avait un défaut flagrant : il n’était composé que d’attaquants. Un groupe normal avait tendance à avoir un tank pour protéger le groupe, ainsi qu’un guérisseur. Habituellement, certains de ses membres possèdent également des compétences adaptées à l’exploration. C’était peut-être beaucoup demander, mais je voulais au moins avoir une configuration qui me permettrait de me concentrer sur l’attaque.

« Mais si un tank n’a pas déjà un groupe, c’est probablement parce qu’il a des problèmes de personnalité ou autre. Il faudrait aussi tenir compte de facteurs comme les écarts de niveau, » déclara Marie.

« Voyons voir, tu es au niveau 31 et je suis au niveau 71… Ouais, ça peut ne pas sembler très attirant du point de vue d’une personne de l’extérieur, » répondis-je.

Si le niveau d’une personne était trop élevé, les autres membres auraient beaucoup moins d’expérience. C’est pourquoi il était plus courant pour les membres d’un groupe d’être à un niveau similaire. Une trop grande disparité de niveau pourrait amener les membres à partir pour d’autres équipes.

J’avais placé de l’abura-age dans une marmite, et pendant que je mettais le couvercle dessus, Marie m’avait regardé.

« As-tu déjà oublié ton étrange capacité ? Nous ne pouvons pas cacher cela à un autre membre, » déclara Marie.

« C’est vrai…, » déclarai-je.

J’avais complètement oublié ça. J’étais tellement préoccupé par Marie tout ce temps et j’avais oublié qu’il y avait d’autres problèmes qui me préoccupaient.

Que se passerait-il si je disais à quelqu’un que j’avais la possibilité de voyager entre le Japon et un autre monde ? Puisque la Guilde des sorciers s’était donné pour mission d’élucider les mystères qui se cachent derrière de telles capacités, ils feraient certainement une enquête. J’y réfléchissais peut-être trop, mais ils pourraient même faire toutes sortes d’expériences sur moi. Si c’était le cas, je ne pourrais plus profiter du monde du rêve.

« C’est un bon point. Je veux absolument éviter d’en parler aux autres, » déclarai-je.

En résumé, il y avait deux problèmes que nous devions résoudre :

D’abord, il fallait que je prouve mes capacités. J’étais un inconnu parce que je passais la plupart de mon temps à voyager seul.

Deuxièmement, je devais trouver un tank qui pouvait absolument protéger Marie.

J’avais une idée de la façon d’accomplir le premier, mais le second allait être assez difficile. Nous devions trouver quelqu’un qui n’aurait pas peur de la différence de niveau et qui garderait absolument mon secret, le tout sans attendre trop comme paiement en retour.

« Hmm… J’y ai pensé toute la journée, mais tout ce que je sais, c’est que nous avons encore tant de choses à découvrir. Je commence à penser qu’on peut laisser ça à la personne que la guilde des sorciers désignera pour nous remplacer jusqu’à ce qu’on puisse faire les préparatifs, » déclarai-je.

« J’aimerais dire que tout ira bien, mais je sais que tu es têtu quand il s’agit de me surprotéger, » répliqua Marie.

Je ne me considérais pas têtu. Elle peut m’appeler surprotectrice, mais je pensais que j’étais plutôt raisonnable. J’avais aussi fait attention à ne pas dépasser mes limites.

« Mais c’est un peu dommage. J’avais hâte de faire de nombreuses découvertes avec toi dans le donjon, » déclara Marie.

« C’est pareil pour moi. Ta magie spirituelle est si polyvalente, que je suis sûr qu’elle nous aurait permis toutes sortes de stratégies, » déclarai-je.

Alors que nous étions forcés d’abandonner le donjon que nous avions hâte d’explorer, nous nous souriions encore l’un à l’autre. Il y avait beaucoup d’autres endroits que nous pouvions apprécier, et j’étais sûr qu’elle serait toujours avec moi.

Une fois que notre conversation s’était calmée, j’avais éteint le feu sous le poêle et j’avais laissé l’abura-age se refroidir. Cela avait permis à la saveur de s’imprégner, ce qui l’avait rendu vraiment agréable et juteux.

J’avais regardé sur le côté et j’avais remarqué que la fille reniflait l’air, probablement attiré par la douce odeur.

« Tu sembles aussi apprécier l’odeur de la cuisine, » déclarai-je.

« Oui, j’aime la douceur du parfum de l’inarizushi. C’est différent du curry, comme s’il était chaud et invitant, » répondit Marie.

Huh, c’est une façon assez abstraite et délicate de le décrire…, pensai-je.

Il était temps pour elle de savourer l’arôme de la cuisine japonaise à son meilleur. J’avais ajouté du vinaigre au cuiseur à riz pour que l’odeur devienne encore plus forte. Le riz cuit à demi durci avait bien absorbé le vinaigre, et il semblait briller lorsque je l’avais déplacé vers la table à manger.

« Wôw, c’est si blanc ! Et ça sent si… aigre ! » s’exclama Marie.

Ses yeux s’étaient ouvert en grand devant l’odeur presque écrasante qui nous avait assaillis. Le riz fraîchement cuit était chaud ainsi que l’eau et le vinaigre mélangé était d’autant plus puissant qu’il était libéré sous forme de vapeur. J’avais utilisé un ventilateur pour un peu le refroidir, l’odeur se dispersant dans la cuisine.

Mademoiselle l’Elfe se pinça désespérément le nez, et son regard larmoyant semblait m’accuser de l’avoir piégée. Ce n’était pas mon intention, bien sûr, et l’odeur s’était calmée une fois que je l’avais un peu plus refroidie.

Une fois que j’avais pu sentir l’odeur sucrée du riz, j’avais ajouté du sésame et des assaisonnements pour le transformer en un arôme aigre-doux parfumé. Il en résulta le doux parfum que Marie avait mentionné plus tôt, et son expression sembla fondre.

Alors que je me disais que son visage ressemblait à celui d’un chat bronzant, elle m’avait parlé. « Ah ! Je salive ! Mais je suis toujours si emplie de cuisine française… Non, mais ça sent tellement bon ! »

« N’est-il pas intéressant de voir la manière dont la nourriture japonaise est consommée après avoir été refroidie, mais l’odeur peut être très piquante pendant la cuisson ? » demandai-je.

Marie acquiesça d’un signe de tête rêveur, toujours immergée par l’arôme. Le bain était prêt depuis un certain temps, mais l’elfe semblait captivé par l’odeur, incapable de bouger.

J’avais ensuite pressé un peu du jus de l’abura-age et je l’avais farci avec un peu de riz au vinaigre. C’est ainsi que j’avais complété la nourriture bon marché, facile et savoureuse qui ne nécessitait pas beaucoup d’autres plats à savourer, connus sous le nom d’inarizushi.

Quand j’avais fini d’en faire un, je l’avais ramassé et je l’avais porté à la bouche de Marie. Elle l’avait instinctivement mangé directement depuis ma main, se retrouvant avec l’un de mes doigts dans sa bouche, et… eh bien, n’importe quel gars aurait eu le cœur qui aurait battu la chamade à cause de ça. Même en tant qu’homme adulte, il n’y avait pas moyen de s’y habituer.

L’intérieur de ses lèvres était si doux que j’avais presque gémi en raison de la surprise. Mais elle n’était apparemment pas préoccupée par mon agitation interne alors que ses petites lèvres se séparaient de mon doigt.

Après avoir mangé l’inarizushi à la bonne température, Marie avait dit, « Délicieux », en affichant un regard béat. Sa bouche était sûrement pleine d’umami avec tous ces jus qui s’écoulaient. Cela serait suivi par l’arôme parfumé du sésame, qui se frayait un chemin à travers son nez à chaque bouchée.

« Ehehehe, c’est trop bon ! Ahh ! » s’exclama Marie.

Pour une raison inconnue, elle avait commencé à me gratter la hanche comme un chat. Elle était déjà rassasiée avec son souper, mais les assaisonnements semblaient l’avoir mise en appétit, car elle avait tout mangé en une seule bouchée.

« Est-ce de la nourriture japonaise ? Ou de la nourriture occidentale ? » demanda Marie en japonais.

« Oh, ton japonais s’améliore. C’est bien sûr de la nourriture japonaise. C’est une sorte de sushi, et… Oh, je suppose que tu n’as pas encore goûté aux sushis, hein. Le sushi fait main est un plat représentatif de la cuisine japonaise dans son ensemble. Tu devrais vraiment essayer…, » déclarai-je.

« Oh, arrête ça ! Tu vas m’engraisser à ce rythme ! Je vais prendre un bain avant que ça n’arrive, si ça ne te dérange pas, » déclara Marie.

Elle jeta un autre regard sur l’inarizushi avant de se diriger vers la salle de bain. Bien qu’elle essayait de se retenir, j’étais sûr qu’elle mangerait à sa faim dans le monde du rêve.

Par la fenêtre, je pouvais voir qu’il faisait sombre à l’extérieur, et l’éclairage indirect illuminait ma chambre dans mon appartement. Il y avait du vent dehors, et je pouvais entendre le bruissement des arbres qui bordaient les rues.

La nuit était étrangement apaisante. Je n’étais pas familier avec ce sentiment, étant un type particulier qui aimait dormir comme passe-temps.

À ce moment-là, il y avait un sentiment familier dans l’air qui me rappelait mon enfance. Puis, ma main avait cessé de tourner les pages du livre d’images. Marie respirait à un rythme régulier tout en utilisant mon bras comme oreiller, et son visage innocent et endormi me fit sourire.

Deux boîtes à bento avaient été placées à côté de mon oreiller, et j’avais posé le livre d’images à côté d’eux. Quelque chose me tirait, et j’avais regardé vers le bas pour remarquer que Marie serrait ma chemise contre sa poitrine. Cela m’empêchait de bouger, mais, étrangement, cela ne me dérangeait pas tant que ça. Sa petite main qui me tenait ne m’avait pas donné un sentiment de blocage, mais quelque chose d’entièrement différent. Peut-être qu’il n’y avait que moi, mais j’avais l’impression qu’elle me disait qu’elle voulait que je reste avec elle, même en dormant.

« Mettons-nous à l’aise sous les couvertures et allons nous coucher, » murmurai-je.

J’avais été surpris par la douceur du ton dans ma voix et j’avais ressenti un étrange sentiment d’embarras.

Tout cela m’était si peu familier. Quel était ce sentiment que je ressentais ? Rien qu’en lui parlant, ou en regardant son visage… j’avais senti une chaleur surgir dans ma poitrine. J’avais essayé de penser à la source, mais je n’arrivais pas à résister face à la somnolence provoquée par la chaleur du corps de Marie. Tout ce que j’avais réussi à faire, c’est de faire sortir un long bâillement.

J’espère qu’elle ressent la même chose que moi. J’espère qu’elle ne se lasse pas de passer autant de temps avec moi dans les deux mondes…, pensai-je.

Quant à moi, c’était la période la plus heureuse que j’aie jamais eue dans ma vie.

Après que je me sois installé dans les couvertures, la fille avait lentement mis son bras autour de moi, apparemment encore endormie. Puis, elle avait frotté sa douce joue contre moi. Sentant son corps mince et léger contre moi, je m’étais endormi tranquillement.

Le vent s’était mis à hurler dehors, mais il n’était pas assez fort pour m’empêcher de dormir. Comme je sentais sa respiration douce et la chaleur de son corps, j’avais alors complètement arrêté de remarquer le vent.

Bonne nuit, Mademoiselle l’Elfe. Je te verrai dans l’autre monde…, pensai-je.

Le son doux et endormi de la respiration de deux personnes résonnait dans toute la pièce…

***

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Un commentaire :

  1. Merci pour le chapitre!

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