Un nouveau jeu dans les profondeurs de la captivité! – Tome 1 – Chapitre 1 – Partie 1

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Chapitre 1 : Un monde d’esclaves

Partie 1

Il avait l’impression que quelque chose le comprimait. Quand ses yeux s’ouvrirent, il vit qu’il s’était retrouvé dans une petite pièce humide, entourée par une obscurité totale.

Il pensait qu’il avait été transféré avec succès depuis où il était avant ça et qu’il s’était réincarné avec succès.

Ceux présents n’étaient rien d’autre que des enfants.

Il compta qu’il y en avait une dizaine présent dans la pièce. Ils s’étaient tous assis, impuissants sur le sol. Certains frissonnaient alors qu’ils serraient leurs genoux, et d’autres pleuraient en silence.

Ils partageaient tous un trait commun : un collier noir.

Même s’il ignorait son utilité, cela ne semblait pas très prometteur.

« ... Elle a vraiment accordé mon vœu... une telle déesse bienveillante..., » il avait marmonné ça, de sorte que personne ne pouvait l’entendre.

À en juger par le ton aigu de sa voix et de ses membres, il avait estimé son âge à environ huit ans.

Il décida de parler à une jeune fille qui tenait ses genoux avec un visage empli de tristesse. « Salut. Si tu gardes ce visage triste, tu vas faire apparaître des rides. »

Il ignora la raison pour laquelle elle sursauta de surprise, mais maintenant que ses cheveux blonds et sales ne couvraient plus son visage...

« M-Mon Dieu, merci... tu avais arrêté de bouger... alors je pensais que tu étais mort..., » déclara la jeune fille.

Sa voix tremblait, mais elle avait l’air un peu plus détendue. Il semblerait qu’ils parlaient la même langue.

Mais en même temps, il avait soigneusement réfléchi à ses mots.

Avant de se réincarner... ce corps était probablement mort.

Grâce à l’intervention de la déesse, je suis maintenant dedans, pensa-t-il.

Avant de se réincarner, il ne se serait pas senti désolé à propos de cela.

C’était après tout un monde où mourir comme ça était normal, et où les faibles perdaient leur vie sans raison.

Après avoir légèrement touché sa tête, il avait de nouveau fait face à la jeune fille.

« J’ai faim comme si j’allais me coucher sans souper... Mais en mettant ça de côté, est-ce que cela ne serait pas une bonne chose de se présenter ? » demanda-t-il.

« B-Bien sûr. Je suis Lilia, et toi ? » demanda la jeune fille.

« Je... Mon nom s’écrit comme ça, » dit-il.

Il avait commencé à gribouiller sur le sol afin d’écrire son nom. En regardant les lettres, la fille pencha la tête, perplexe.

« C’est mon nom. D’où je viens, nous nous présentons ainsi à des amis en l’écrivant, » dit-il.

« Oh... j’ai demandé à mon père de m’apprendre à lire et à écrire, mais je n’ai jamais vu ces lettres auparavant, » déclara Lilia.

« Tu as un alphabet différent, hein ? Ce mot se lit “Takumi”, » déclara Takumi.

Il avait remarqué son intérêt, alors il demanda donc une faveur. « Écoute, Lilia, puisque les personnes seront intriguées si je me présente comme ça, peux-tu écrire mon nom ? »

« Oui, je le peux. Hmm... Est-ce que Takumi s’écrit ainsi... ? » demanda Lilia.

Elle l’avait écrit sur le sol avec sa petite main.

Comme prévu, Takumi ne pouvait pas comprendre les caractères.

Il avait essayé de se souvenir de diverses langues de son ancien monde, mais aucune ne ressemblait à cela.

Cependant, satisfait, il sourit amicalement avant de dire. « Je te remercie. Tu sais, je viens d’un endroit magnifique et éloigné. »

« Éloigné... ? Au-delà de la mer ? » demanda-t-elle.

« Oui, dans le genre, » répondit Takumi. « Mais j’ai été capturé dès que je suis arrivé ici, c’est pourquoi je ne sais pas où nous sommes ou comment écrire ou lire ton alphabet. Désolé de te le demander, mais peux-tu me l’apprendre ? »

« Bon... c’est d’accord, mais..., » avant même de finir sa phrase, son expression s’était assombri. « Les esclaves sont tout de suite vendus. Peut-être que c’est mieux si tu ne t’en soucies pas..., » dit-elle tristement, baissant son regard.

Le désespoir était apparu sur son visage comme elle s’était désignée elle-même en tant qu’esclave.

En la voyant agir ainsi, Takumi avait réagi d’une manière calme, ce qui était inapproprié pour un enfant de son âge.

« Peut-être que c’est mieux à la place si je m’en soucie, » déclara Takumi. « Nous ne savons pas qui va nous acheter. Peut-être qu’il va se mettre en colère parce que je ne le sais pas. »

« Peut-être... que tu as raison, mais..., » répondit Lilia.

« Eh bien, nous ne devrions jamais les contrarier, n’est-ce pas ? » demanda Takumi. « Tant que nous avons le temps, apprenons tous ce que nous pouvons. Et aussi, de cette façon, nous allons alléger cette sombre humeur. »

Lilia avait retiré sa main, et Takumi avait commencé à parler aux autres enfants. « Désolé... j’ai quelques questions. »

Il avait brisé le silence en affichant le même sourire. Il y avait dix individus, en s’incluant lui-même et la jeune fille.

Au début, ils avaient tous l’air d’être déprimés tout comme Lilia, mais après avoir un peu parlé, ils étaient tous devenus plus vifs.

Tout le monde avait environ dix ans.

Il y avait des orphelins de guerre, ceux qui avaient été vendus par leur famille affamée, ceux qui avaient été kidnappés par des bandits, ceux qui avaient été abandonnés après que leurs parents s’étaient enfuis à cause d’importantes dettes et ceux qui avaient été attirés par de creuses promesses.

Leurs histoires expliquaient assez bien les conditions réelles de ce monde.

Takumi avait stocké dans son esprit les informations qu’il avait recueillies.

« Maintenant, nous nous connaissons tous. Mais je suis vraiment surpris de penser que Lilia, tu étais une aristocrate, » déclara Takumi.

« Je-je l’étais, mais... nous étions des aristocrates campagnards, » répondit Lilia. « Nous n’étions pas si riches et notre maison était beaucoup plus petite que celle des autres familles aisées. »

Après avoir été interpellée si soudainement, elle agita frénétiquement ses mains.

Le fait d’être vendu était commun, mais il était inhabituel de finir comme esclave depuis une position comme celle-là.

En entendant parler de son ancienne famille, certains enfants n’avaient pas caché leur mépris.

« Tu avais de la terre et une maison, peu importe leur taille, et tu sais lire et écrire, n’est-ce pas ? » demanda l’un des enfants.

« O-Oui, juste un peu. J’ai appris des choses, comme les maths..., » répondit Lilia.

Lilia avait écrit son nom comme Takumi l’avait demandé avant... mais aucun des autres enfants ne pouvait le lire.

Elle avait dit que la maîtrise de la littérature et des mathématiques n’était pas très importante. En premier lieu, ce n’était pas une connaissance nécessaire pour les enfants, qui pensaient que « vivre suffisait ». Les cours étaient réservés aux classes privilégiées, à partir des marchands.

Il était normal d’ignorer comment lire et écrire, ainsi que comment faire des maths, et cela même pour ceux qui n’étaient pas esclaves.

Takumi frappa dans ses mains afin d’attirer l’attention, préservant soigneusement cette précieuse information.

« Très bien, apprenons de Lilia, » déclara Takumi.

« Pourquoi devrais-je apprendre quelque chose si je ne suis qu’un esclave ? » remarqua l’un des enfants agacés.

Il était le chef du groupe. Il s’appelait Killfer.

« À quoi cela sert-il d’apprendre quelque chose d’elle quand les garçons vont travailler jusqu’à la mort et que les filles vont travailler en tant que prostituées ? » Il lança un regard noir à Lilia, qui sursauta en sentant le sang geler dans ses veines.

Mais Takumi avait répondu sans hésitation. « Quand tu sais lire et écrire, tu peux faire d’autres travaux, et si tu connais les mathématiques, tu ne peux pas être trompé quand quelqu’un te paye. Ce n’est pas parce que nous sommes des esclaves que cela n’est pas important de savoir de telles choses, n’est-ce pas ? »

Sa réponse était parfaite et Killfer était devenu silencieux. Les enfants avaient ce genre d’attitude, mais les personnes présentes semblaient intelligentes, car elles semblaient comprendre.

« Nous ne savons pas combien de temps nous resteront ici. Mais il vaut mieux étudier au lieu de se vautrer dans l’apitoiement, » déclara Takumi.

Tandis que Takumi essayait de convaincre les autres, un fort bruit l’interrompit alors que la pièce s’était emplie de lumière.

« Taisez-vous les enfants ! » Les enfants avaient été éblouis, mais ils avaient réussi à reconnaître la silhouette d’un grand homme dès qu’ils furent habitués à la lumière.

Il cracha par terre alors qu’il les regardait, une veine sortant de sa tête.

« J’allais vendre l’elfe, mais si vous faites un tel chahut, oubliez ça, » déclara l’homme. « Au moment où je trouve un acheteur, et c’est déjà foutu. Vous gardez ici est déjà assez pénible pour moi ! Toi, jetez-les dedans ! »

Il renifla, puis pointa du doigt quelqu’un se trouvant à l’extérieur.

Un homme au visage rougi se tenait derrière lui, tenant fermement deux silhouettes.

À l’instant suivants, tous ceux présents dans la cellule pouvaient dire que les deux silhouettes avaient de beaux cheveux. Doré pour la première et d’un noir brillant pour l’autre.

Les enfants avaient deviné que c’étaient des filles, étant donné leurs silhouettes et la longueur de leurs cheveux.

En plus de porter le même collier, elles avaient des chaînes qui leur enserraient les poignets et les chevilles.

Elles semblaient aussi un peu plus vieilles que les autres enfants.

Celle aux cheveux noirs semblait avoir quinze ans, ou peut-être un peu plus, tandis que l’autre qui était aussi un peu plus petite qu’elle l’était, devait avoir treize ans.

 

La plus jeune avait de grandes oreilles et une queue, tandis que l’autre avait de longues oreilles pointues comme des pointes de flèches.

Voyant que les filles les bougeaient légèrement, elles n’étaient pas là pour le spectacle.

Mis à part ces différences, elles étaient également des esclaves.

Elles n’essayèrent pas de se défendre et gémissaient, probablement à cause de la fatigue.

Alors que Takumi analysait ces filles, elles avaient été jetées dans la pièce.

« Dépêche-toi et apporte de la nourriture. Si ces enfants deviennent malades, nous ne gagnerons pas autant d’argent, » cracha l’homme à son subalterne.

Les deux hommes avaient alors jeté du pain comme s’ils nourrissaient des animaux en cages.

Ce n’était pas seulement noir et dur comme du roc étant donné le bruit qu’il faisait en frappant le sol, mais il semblait aussi moisi.

Takumi avait commencé à compter les miches qui étaient au sol.

« Hé, ce n’est pas assez pour tout le monde, » il s’était adressé au dos de l’homme.

« Attends... tu étais presque mort hier, » s’écria l’homme.

« Cela n’a pas d’importance, » répondit Takumi. « La blonde aux oreilles d’animaux semble terriblement faible. Si vous voulez la vendre pour un bon prix, vous devriez nous donner assez de nourriture pour tous. »

Au début, l’homme avait été surpris. Mais bientôt, il ressentit comme si ce gamin se moquait de lui, et renifla. « Oh... je vois. Tu me demandes d’apporter plus pour elles afin que tu puisses l’avoir pour toi, hein ? Les vers comme toi restent fidèles à leur nature. »

« Il vaut mieux survivre comme un ver que de mourir, » répondit Takumi. « Peut-être voulez-vous leur mort ? »

« Es-tu stupide ? » s’écria l’homme. « L’elfe est une chose, mais cette bête peut survivre plusieurs jours sans nourriture. Ils ont de solides corps. Il n’y a donc pas besoin de plus de pains, » puis, riant avec force, l’homme regarda Takumi. « Si elles mangent ou pas n’est pas de tes affaires. »

Un sourire sadique était apparu sur son visage alors qu’il fermait la porte et quittait les lieux.

Se retrouvant une fois de plus dans l’obscurité, le jeune garçon soupira. « Eh bien... ! Maintenant, je suis fâché, mais mangeons d’abord. »

Il se dirigea avec un sourire forcé vers les autres enfants et avait ensuite pris sa part.

Lilia remarqua qu’il s’approchait des filles et elle attrapa immédiatement sa manche. « Non, arrête-toi ! Elles sont dangereuses même quand elles sont affaiblies ! Elles vont te tuer si tu t’approches d’elles ! » Elle le tenait serré avec un visage sérieux.

Dans son ancien monde, les demi-humains n’existaient pas.

Takumi remarqua que tous les enfants avaient peur d’elles et il comprit immédiatement comment les demi-humains étaient traités dans ce monde.

Il lui avait gentiment fait signe de le laisser partir avant de parler aux deux nouvelles filles. « Salut, les nouvelles venues. Cela n’a pas été un bon accueil, mais ici, il y a de la nourriture. » Tout en affichant un sourire amical, il leur avait tendu du pain.

La blonde avait réagi à ses mots. « Puis-je... le prendre ? »

« Eh bien, je n’ai pas faim. Divisez-le en deux et partage-le avec elle, » déclara Takumi.

« À moitié !? Pour de vrai !? Ce sera mon premier repas en cinq jours ! Karin, as-tu entendu ? » s’exclama la blonde.

L’expression épuisée qu’elle avait jusqu’à présent avait disparu et ses yeux dorés avaient commencé à briller comme des étoiles.

L’elfe se plaça entre les deux. « Ne te rapproche pas de Kunon. Retourne dans ton coin comme tout le monde. »

Pendant ce temps, la fille, Kunon, bavait et remuait la queue.

Mais l’autre... Karin lança un regard noir à Takumi. « Kunon, ne lui fais pas confiance. Si nous acceptons, il n’arrêtera pas de répéter que nous lui sommes redevables. »

Elle avait un visage ferme.

Après avoir entendu ses mots, il fronça les sourcils. « Ne sois pas si grincheuse. Je ne pensais pas à quelque chose comme ça. Cette ambiance a juste ruiné mon appétit. »

« Alors, agis-tu toujours amicalement avec nous les demi-humains ? » demanda Karin. « Il est clair que tu mens. Si tu ne veux rien en retour, pourquoi voudrais-tu nous offrir ta nourriture ? » Elle déclara ça avec brusquerie.

Il la regarda pendant un moment... puis haussa les épaules et sourit. « J’abandonne. Oui, je voulais te demander quelque chose en retour. »

Il s’était franchement confessé, alors elle fronça instinctivement les sourcils.

Après cela, il avait jeté le pain devant elle.

« C’est ma façon de m’excuser, » déclara-t-il. « L’eau me suffit. »

« J’ai dit que je n’en veux pas, » déclara Karin.

« D’accord ! Mais dans ce cas, laisse Kunon l’avoir, » déclara Takumi.

« Super ! Je vais tout manger. Merci beaucoup, » s’exclama Kunon.

La blonde se mit à sourire d’une oreille à l’autre, puis elle posa son regard sur son amie avant de déclarer. « Karin... mais si tu n’en manges pas, je ne le ferai pas non plus. »

« Non non. Tout est à toi. Je n’ai pas faim, » répondit Karin.

« Mais je ne veux pas le manger seule... Euhhh ! » s’exclama Kunon.

Après ça, elle avait frappé le sol avec sa queue, ne sachant pas trop quoi faire.

En regardant sa réaction, Takumi devina leur relation et se mit à sourire. « Elle te demande de manger avec toi après que cinq jours se soient écoulés depuis son dernier repas. Alors, regarde ce qu’elle accepte pour toi. La pauvre, et tout cela seulement parce que je t’ai donné du pain. »

« ... Tu es vraiment rusé, » déclara Karin.

« Bien sûr que je suis. Après tout, je voulais quelque chose en retour, » répondit Takumi.

« ... Tu es le pire. Tu ne peux même pas tenir ta langue, » déclara Karin.

« Je pourrais être le pire, mais qui s’en soucie ? Mange avec elle, car si elle arrête de bouger à cause de toi, ce sera un vrai problème, » déclara Takumi.

« Ces singes m’ont forcé avant ça à manger. Les miettes laissées par Kunon me suffiront. Je suppose que les elfes sont précieux, » balayant ses cheveux en arrière, Karin soupira, agacée.

« Les elfes, hein... Je ne les aurais jamais imaginés avec des cheveux noirs, » répondit Takumi.

Takumi les avait imaginés avec des cheveux blonds ou blancs. Après qu’il eut dit ça, elle lui lança un regard meurtrier.

« Un autre commentaire et je te tue, » cracha Karin.

« Calme-toi ! Désolé si j’ai blessé tes sentiments. Je voulais juste te dire que tes cheveux étaient vraiment magnifiques, » déclara Takumi.

Elle avait fait claquer sa langue en signe d’agacement. Karin avait pris note de ses horribles manières, mais au moins il s’était excusé. Peut-être qu’il n’était pas si mauvais que ça.

« Je serais heureuse de fuir cette horrible situation, je reste ici seulement pour Kunon, » déclara Karin. « Mais ce n’est pas comme si je pouvais quand même me mettre en colère contre des enfants. »

« Ne parle pas comme ça, » déclara Takumi. « Même si auparavant j’ai échoué quant aux négociations, je pense toujours à un moyen de nous entraider. J’espère vraiment que tout le monde peut pour le moment s’entendre. »

« Penses-tu vraiment que nous avons besoin de ton aide ? » demanda Karin.

« Bon... alors, je vais te dire mes véritables intentions, » déclara Takumi.

En disant ça, Takumi rapprocha son visage de celui de Karin, regardant droit dans ses yeux.

Elle retint involontairement son souffle, mais ce n’était pas parce qu’il n’avait pas les yeux d’un enfant normal réduit à l’esclavage ou parce que son regard était complètement dépourvu d’émotions.

Ce n’était pas simplement par peur.

« Mon but est..., » commença-t-il à expliquer.

Après cela, Karin se souvint de la manière de respirer.

Elle fronça les sourcils puis le regarda avec méfiance.

« Comment as-tu..., » commença-t-elle.

« Ouah, tu as compris. Mon Dieu... la magie existe vraiment ici. Mais c’est plus complexe que là où j’étais avant, » Takumi sourit comme s’il s’opposait à ses propres mots.

Puis il continua à parler. « S’il te plaît, nous allons être ensemble pendant un moment. Alors je ne demande pas à être ami, mais au moins nous devrions nous entendre. »

Il avait agité sa main et puis, en les laissant avec ces mots, il retourna dans son coin.

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2 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre

  2. Quoi ?? C’est quoi son but ??? dit le ! Je veux savoir ! lol

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