Cette oeuvre contient des scènes à  caractère sexuel et s'adresse à  un public averti. Déconseillée au moins de 18 ans.

The Devil’s Origin – Chapitre 16

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Chapitre 16 : Dryade

À l’aide de ma compétence de [Perception], j’étais allé avec Alexius à la zone où se trouvait la dryade.

Il me posa devant un beau lac, l’eau brillait de mille feux alors qu’elle scintillait au clair de lune.

J’avais alors dit à Alex de partir et j’avais marché vers le lac.

Là, j’avais vu un énorme arbre dépassant de la partie la plus profonde du lac.

« La dryade devrait être par ici…, » murmurai-je.

{Il y a une dryade de niveau 80 ici. La compétence de [Perception] n’est pas en erreur.}

Oui, mais où que je regarde, je ne pouvais pas voir un seul monstre ici.

« Qui êtes-vous ? » Soudain, j’avais entendu une voix dans ma tête me parler.

« Je suis le maou, » répondis-je à voix haute.

« Maou… !? Aah… Enfin… Enfin… ! Le jour que j’attendais est arrivé ! » répondit-il par télépathie.

Le grand arbre que j’avais vu devant moi avait commencé à se déployer et un beau jeune homme aux cheveux vert jade avait surgi de là.

D’après son apparence physique, il devait être âgé d’environ 15 ou 16 ans.

Il possédait de beaux yeux bleus-glace, et je n’arrivais pas à arracher mes yeux du jeune de toute beauté se trouvant devant moi.

« Ah… Maou-sama… Ce Maou-sama est plus petit que le Maou-sama précédent…, » déclara le jeune, alors que la moitié de son corps était encore coincée dans l’arbre.

« Je m’appelle Dry. Je vous promets ma loyauté, Maou-sama, » déclara-t-il en me regardant.

« Je te remercie. Alors… ce grand arbre fait-il partie de ton corps ? » lui demandai-je.

« Oui, cet arbre est mon corps. Comme je n’ai ni pieds ni meubles, je regrette de ne pas avoir pu vous offrir une hospitalité digne de ce nom, » déclara Dry en inclinant la tête pour s’excuser. « Autrefois, il y avait beaucoup de dryades dans ce lac. Il y a 300 ans, le héros a tué tous mes proches et maintenant… Je suis le seul qui reste. »

« Je vois… Je suis là pour t’aider à sauver ton espèce de l’extinction. Si je couche avec toi, alors je pourrai te donner une progéniture, » déclarai-je.

« Ce genre de choses… ! Est-ce que c’est vrai ? Ah… Mon attente au cours de ces 300 ans de solitude porte enfin ses fruits… » Dry avait souri avec joie et les branches du grand arbre commencèrent à s’avancer vers moi.

« Maou-sama, est-ce correct si je vous touche ? » demanda Dry.

J’avais hoché la tête et Dry avait timidement déplacé ses branches pour toucher tendrement mon corps.

D’un seul geste, Dry m’avait déshabillé et m’avait fait signe de m’approcher de lui.

De l’intérieur du grand arbre, plusieurs branches minces et longues avaient sailli.

Les branches enveloppaient doucement mon petit corps et me soulevaient dans les airs.

Un sentiment d’être bercé si tendrement s’était fait sentir… et je me sentais plutôt bien.

« Maou-sama, merci beaucoup. Je suis vous vraiment reconnaissant. J’attendais ce moment depuis longtemps… depuis longtemps…, » déclara Dry.

Le beau Dry me caressait doucement les joues et il fusionna nos lèvres.

C’était un baiser tendre et doux.

Je n’avais jamais été traité aussi doucement comme ça, tous mes compagnons étaient si intenses dans leur convoitise et la plupart de nos baisers étaient plutôt comme un feu ardent.

Mais Dry, il avait bercé mon corps comme si j’étais une chose fragile, son toucher était si doux et tendre comme de l’eau chaude.

Les branches s’imbibèrent dans le lac et quand elles étaient revenues assez mouillées, elles commencèrent à lubrifier mon corps.

De ma poitrine, à mes cuisses et même à la pointe de mes orteils, les branches de Dry avaient caressé mon corps avec amour.

Ses lèvres douces ne m’avaient jamais quitté, m’embrassant tendrement.

« Dry, je peux supporter un peu de douleur alors… tu peux faire ce que tu veux, » lui dis-je tendrement.

« Maou-sama, merci beaucoup pour votre bon cœur. Quant à moi, vous toucher comme ça m’a apporté un grand bonheur, j’ai l’impression d’être déjà monté au septième ciel, » déclara Dry.

Les joues de Dry étaient d’un rose éclatant alors qu’il me souriait, ses fines branches tournoyaient timidement autour de mon entrée.

Comme s’il avait peur de me blesser, les branches les plus minces poussèrent lentement à travers mon anneau musculaire.

« Ahng. »

J’avais sursauté quand d’autres branches étaient entrées en moi, Dry m’avait apaisé en m’embrassant doucement et en me caressant les joues avec amour.

Les branches s’étendirent vers l’intérieur, essayant de m’étirer petit à petit.

Dry avait enlacé mon corps et m’avait fait une traînée de baisers tendres de mon cou à mes lèvres.

Le plaisir d’être bien traité comme ça avait enveloppé tout mon corps.

Mes sens avaient été lentement anéantis par les touches de Dry.

En fait, je me sentais un peu gêné par cette tendre histoire d’amour.

« Maou-sama… Merci beaucoup de m’avoir donné cette opportunité… Bien que je sois vraiment désolé de dire que je n’ai pas pu vous offrir grand-chose en retour, » déclara Dry.

« Dry, je suis le Maou. Il est du devoir du Maou d’assurer le bonheur de mes précieux monstres, » répondis-je.

J’avais l’habitude de pleurer d’extase, mais Dry était si tendre et doux avec moi.

« Fufufufu… Vous êtes si gentil, Maou-sama, » déclara Dry.

De plus en plus de branches étaient entrées en moi, me frottant l’intérieur avec leurs pointes mouillées.

Je n’avais jamais parlé de façon aussi cohérente avec les monstres pendant les rapports sexuels comme ça, c’était une première pour moi.

Dry avait embrassé mes lèvres à plusieurs reprises pendant qu’il étirait mon intérieur.

« Maou-sama, je suis désolé que ça fasse un peu mal, mais s’il vous plaît… S’il vous plaît, supportez ça, » déclara Dry.

Il m’avait averti avant que les branches minces ne se retirent de mon derrière et qu’une branche épaisse et lubrifiée ne pousse mon entrée.

Une branche telle un pénis avait traversé mon bord musculaire.

« Gh — » Fidèle à sa parole, j’avais eu un peu mal quand la branche épaisse m’avait pénétré.

Je gémissais de douleur alors que la branche épaisse s’enfonçait d’elle-même, Dry portait aussi la même expression douloureuse alors qu’il essayait de m’apaiser.

La branche avait continué à pousser jusqu’à ce qu’elle atteigne mon rectum.

« Maou-sama… Mon gentil Maou-sama… Je suis désolé… Je ne peux pas… vous donner quelque chose… en retour…, » déclara Dry entre deux gémissements.

Il m’avait enfoncé lentement sa branche épaisse.

Pour la première fois de ma vie, j’avais l’impression de savoir ce qu’était l’amour.

Chaque contact était si soigneusement fait que je sentais son amour pour moi par la douceur avec laquelle il me prenait.

« C’est… OK… tant que… tu peux… peux procréer… avec succès… alors j’ai… décidé d’aider… toures les personnes… comme toi… jusqu’à… la fin…, » répondis-je.

Dry avait l’air si inquiet de ne pas pouvoir me rembourser ma faveur.

Pour moi, tant que les œufs fécondés et les enfants en bonne santé pouvaient naître… C’était assez bien pour moi.

Oui, les enfants.

Me souvenir de mes enfants m’avait apporté de la joie, j’avais souri joyeusement à Dry.

Du coin des yeux bleus glacés de Dry, des gouttes de larmes avaient commencé à tomber.

« Je suis vraiment désolée… une dryade masculine… Quand ils procréent jusqu’à la fin… Le mâle va se dessécher et mourir… mon gentil Maou-sama, même si vous m’avez accordé la famille… Je suis désolé… Je ne pouvais pas être avec vous pour élever nos enfants…, » déclara Dry.

Dessécher… ?

Même si… Dry avait été le premier monstre qui avait été si doux avec moi…

Même si… ses contacts étaient si tendres…

Ce Dry… va-t-il se dessécher… ?

« A-Attends… Donc après l’accouplement… Tu vas… ? » demandai-je.

« Quand je suis devenu le seul survivant… Je savais que ce jour viendrait. Mais ce que je ne savais pas, c’est combien mon Maou-sama est gentil et petit. Vous êtes si fragile et si gentil avec moi. Si c’est avec vous, ça ne me dérange pas de mourir. Mon seul regret est que je ne peux pas vous rendre votre gentillesse correctement…, » déclara Dry.

Dry avait accéléré son rythme, mais il le faisait assez prudemment pour ne pas me faire de cicatrices.

Je ne pouvais qu’accepter silencieusement sa volonté.

J’avais presque eu envie de demander à Dry d’arrêter de s’accoupler avec moi, je ne voulais pas qu’il disparaisse, mais je le savais, ça lui faisait aussi mal d’être le seul survivant restant.

Il avait un devoir pour son espèce, et j’avais aussi mon devoir de maou.

« Je… Au moins je peux vous donner ça… “Protection divine du clair de lune”, veuillez protéger cette personne “Esprit saint de la forêt, bénissez cette âme”, » déclara Dry.

La lumière pénétra du corps de Dry alors qu’il m’accordait des protections divines.

Ses chants résonnèrent comme une musique à mon oreille.

Dry ferma lentement les yeux, son visage avait l’air si heureux.

« Attends, Dry ! » déclarai-je.

En même temps, les branches épaisses jaillirent en moi, remplissant mon ventre de l’essence de Dry.

« Je suis désolé, c’est la seule chose que je peux faire pour vous. Je suis si heureux. Je vais pouvoir ressentir ce plaisir et vous accorder le même plaisir. Maou-sama… Quand le soleil se couchera et que la lune se lèvera, n’oubliez pas que je veillerai toujours sur vous. Mon corps ne sera plus, mais ma bénédiction sera avec vous où que vous soyez, » déclara Dry alors qu’il entrelaça nos doigts.

J’avais fermé les yeux et collé notre front ensemble.

« Dry… Quand nos enfants seront nés… Je vais certainement les protéger. Je te le jure en tant que maou, » j’avais pleuré quand j’avais senti que le sperme de Dry m’avait fécondé.

« Maou-sama, mon doux et gentil Maou-sama… Ne pleurez pas, s’il vous plaît… Vous êtes vraiment gentil… Votre âme a aussi cette douce chaleur… Maou-sama…, » chuchota Dry pendant que son corps se desséchait.

Les branches avaient perdu leur emprise sur moi, m’envoyant dans le lac froid.

Quand j’avais ouvert les yeux, il y avait devant moi un grand arbre flétri.

Sur la racine de l’arbre il y avait un germe vert de jade, alors que le clair de lune brillait à travers ledit germe.

Toutes ces fois, je m’étais accouplé avec les monstres parce que le « système » m’avait dit qu’il était de mon devoir de sauver ce genre de démon de l’extinction.

Mais… pourquoi ?

À l’intérieur de mon corps, il y avait l’essence de Dry qui fertilisait les œufs en moi, pour faire revivre l’espèce des dryades.

Même si c’était une personne si gentille…

Même si Dry avait enduré des années de solitude…

Pourquoi… ?

Pourquoi quelqu’un aurait-il détruit la famille de Dry ?

J’étais le maou, c’était mon devoir de protéger les démons, mais je ne pouvais même pas sauver Dry.

Quel maou étais-je ?

Je n’avais même pas pu sauver la personne qui m’avait fait l’amour si tendrement… Si doucement comme si j’étais précieux pour lui…

J’avais les yeux chauds, les larmes qui coulaient de moi comme une chute d’eau.

J’avais mal au cœur, je sentais le sperme chaud de Dry en moi, mais son propre corps était déjà froid et immobile.

« Système, combien d’œufs de dryade ai-je ? » demandai-je.

[Félicitations. Votre niveau a augmenté de 5 en vous accouplant avec la dryade.] [Vous avez acquis la Protection Divine de la Lune.] [Vous avez acquis la Protection Divine de la Forêt.] [Vous avez acquis 30 œufs de dryade.]

J’avais caressé mon ventre, il était plein d’œufs de dryade.

C’était le résultat de l’amour tendre fait avec Dry…

J’avais juré que je ferais tout ce qu’il faut pour protéger ces enfants.

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Un commentaire :

  1. ho trop triste pour Dry
    dommage que le maou n’a pas de compétence qui aurait pu le sauvé

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