Saikyou Mahoushi no Inton Keikaku – Tome 1 – Chapitre 10

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Chapitre 10 : La camarade de classe supérieure à trois chiffres

Tesfia et Alice s’entraînaient tard dans la nuit. Alors qu’il était temps pour que le soleil aille se coucher, ce n’était pas encore l’heure du dîner. De plus, elles avaient encore à retourner dans le dortoir des filles. Cela dit, la prestigieuse Seconde Académie de Magie disposait d’un système de prévention du crime digne de ce nom. Les terrains de l’école étaient raisonnablement sûrs.

Alors que la relation de pouvoir entre les hommes et les femmes s’était uniformisée grâce à la magie, l’opinion publique n’approuvait toujours pas le retour d’une femme chez elle après la tombée de la nuit. En conséquence, Arus avait escorté les deux filles jusqu’à leur chambre.

Arus leur déclara. « Hé, faites attention où vous allez. »

Tesfia et Alice marchaient en se pinçant l’une et l’autre. Parfois, elles se mettaient en danger en fermant les yeux.

« ... »

*Gon !!* Tesfia s’était écrasé contre un lampadaire. Un son résonna dans la soirée alors que le lampadaire trembla. Elle s’était accroupie et se tenait le front en disant. « — !! Argh ~ »

« Fia, vas-tu bien !? » demanda Alice.

Tesfia en voulait à Arus alors qu’elle le fusillait du regard, mais il l’évita sagement en agissant sans être dérangé par tout ça.

Elle lui déclara. « Attends un peu. »

« Quoi ? » lui demanda Arus.

« Même si tu me dis quelque chose, je ne serais pas punie pour ça, » déclara-t-elle.

Ce serait une protestation raisonnable, si elle était une civile ordinaire et non une magicienne, pensa Arus.

L’expression « J’en ai marre » couvrait le visage d’Arus. Bien que son ton resta calme, son regard s’était aiguisé. « Je doute qu’il soit nécessaire de vous punir si votre adversaire avait été un mamono. Si vous vous concentrez tellement sur votre mana que vous cessez de prêter attention à votre environnement, c’est à peu près comme mettre la charrue avant les bœufs. Ce n’est rien de plus qu’une blague pour eux si vous agissez ainsi. »

Après ça, les deux filles... Tesfia, en particulier, étaient retourné au dortoir avec l’intention de poursuivre leur formation.

Un bâtiment entra alors dans le champ de vision d’Arus. Le doute était présent dans sa voix, mais c’était normal. Même si cela n’avait été qu’une seule fois, il n’avait vu que le dortoir des hommes. Il demanda « Est-ce ici... ? »

... Peut-on comparer les deux ? Le système de sécurité est complètement différent. Ce qui bloquait l’entrée dans les locaux était une porte d’authentification avec une zone de réception. Même si les grands murs étaient utilisés pour enfermer des maîtres criminels, cela servirait plus à protéger contre les envahisseurs que de faire face à des menaces classiques.

Les doubles portes s’étaient ouvertes une fois que Tesfia et Alice eurent confirmé leur identité avec leurs mains.

Alice exprima sa gratitude avec une politesse qu’elle laissa derrière elle d’une manière un peu maladroite. « Al, merci beaucoup pour aujourd’hui. On se reverra demain à l’école. »

Cependant, Tesfia fit une geste vague de la main. L’étrange nuance qu’elle ajoutait à la fin de sa phrase en élevant le ton de sa voix, faisant croire à Arus et Alice qu’elle pose une question. Elle lui avait dit. « Merci pour ton aide d’aujourd’hui. On sera demain encore une fois sous ta garde, Al. » La façon dont elle tourna ensuite son visage était semblable à quelqu’un qui essayait de cacher son embarras.

Arus avait exprimé son étonnement en haussant les épaules.

Tesfia se tourna pour entrer dans le dortoir alors qu’elle le disait. « La prochaine fois, nous finirons..., » mais elle avait été coupée court alors qu’elle se heurtait à une douce barrière. Son visage était enterré dans une somptueuse paire de seins. Alors qu’elle était encore enterrée, elle marmonna. « Habuuu !! »

La voix d’Alice, en voyant contre qui Tesfia était entrée en collision, augmenta en intensité alors qu’elle déclara. « Responsable du dortoir !! » Le ton doux qu’elle adopta ensuite prouvait que la nouvelle venue était une camarade de classe supérieure... « Mais je pensais... qu’il y avait encore du temps avant le couvre-feu. »

L’expression douce de la responsable du dortoir était une expression exempte de toute colère. Ses traits gracieux et sa taille en finesse, ses cheveux noirs et fluides étaient accompagnés d’un sourire chaleureux. Avec la différence de hauteur entre elle et Arus presque inexistante, elle n’était pas si mignonne, mais plutôt charmante. L’air mystérieux qui l’entourait servait d’appât pour sa beauté.

Alors qu’Alice était également dotée d’un charme mature, la fille de classe supérieure connue sous le nom de « Responsable du dortoir » était plus envoûtante que la Sorcière, Cisty. En conséquence, Arus trouva son sourire épouvantable.

Son expression douce était accompagnée de sa voix quand elle leur avait dit. « Bon retour, Fia, Mademoiselle Alice. »

Tesfia se sépara finalement d’elle et fit un salut agité aux côtés d’Alice. Son expression était pleine de doutes. C’était la première fois depuis leur inscription que la responsable du dortoir leur ait rendu visite.

Arus fit à sa camarade de classe supérieure un salut diligent pour l’empêcher de s’occuper de lui.

Elle l’exhorta alors à parler avec un sourire chaleureux en leur disant. « Qui est ce monsieur ? »

Arus avait senti quelque chose de suspect, quoique différent de ce que Tesfia et Alice ressentaient à propos de cette camarade de classe supérieure. En conséquence, il instaura un décorum approprié, même si cela n’était que superficiel. Il lui répondit. « Étudiant de première année, Arus Reigin. Elles sont en retard parce que je les ai gardés trop longtemps. »

« ... !! Non, non, ce n’est pas du tout un problème. Les étudiants ici sont tout simplement enthousiastes au sujet de leurs études. En plus, le couvre-feu n’est pas vraiment respecté, » déclara l’autre fille.

Elle jeta ensuite un coup d’œil à Tesfia et Alice pendant un moment, mais regarda ensuite Arus. Elle posa une main sur sa poitrine voluptueuse avant de faire un léger salut en disant. « Je m’appelle Ferinella Socallent. Je suis une étudiante de deuxième année. »

Elle effectuait chacun de ses gestes avec élégance et cela reflétait clairement la qualité de son éducation. Alors que ses cheveux glissaient sur son charmant visage, pas un seul défaut n’entachait sa forme. Alors que certains pourraient être fascinés par ces actions, Arus avait des doutes. J’ai déjà entendu le nom de famille Socallent.

Arus demanda : « Êtes-vous vraiment en deuxième année ? »

La responsable du dortoir était une lourde responsabilité assignée aux étudiants de dernière année. Un membre du corps professoral pourrait également pourvoir le poste au besoin.

Tesfia soulagea Arus de son doute. Elle posa une main sur sa propre poitrine alors qu’elle lui déclara. « Feri-senpai est la seule étudiante de deuxième année de cette académie qui se classe comme magicienne à trois chiffres. Ma maison a depuis longtemps été familière avec la sienne. »

Quelle comparaison présomptueuse ! Les maisons aristocratiques s’associant les unes aux autres ne devraient être que naturel. Alors que le concept de la lignée n’était pas adapté à l’époque, la noblesse avait pu survivre grâce aux vieilles familles ayant de profonds liens avec les militaires.

Cependant, les aristocrates ne sont pas le seul segment intolérable de la société. Les magiciens de haut rang se comportaient avec la même dignité et la même fierté tout en jouissant d’un respect égal. Cela résultait du fait que leur position dans la société découlait de leurs rangs. Le statut de chaque maison était représenté par leur position militaire correspondante.

Arus déclara. « Est-ce que c’est ainsi ? Je vois. »

Ferinella fit alors un signe de tête forcé. Elle détourne alors les yeux en disant. « Au mieux, mon grade n’est que de 375, Monsieur Arus... »

Un magicien à trois chiffres qui fréquente une académie est ridicule en soi. Comme Arus l’avait mentionné à Tesfia et Alice plus tôt, les classements étaient grandement influencés par la subjugation de mamonos. Il remarqua alors quelque chose d’étrange dans les paroles de Ferinella. Elle... « Au mieux », la remarque sonnait faux. Je suis presque sûr d’avoir raison, mais si je me trompe, je peux m’excuser. Il n’est pas nécessaire d’y penser trop profondément.

Arus demanda. « Est-ce que Vizaista-kyo se porte-t-il bien ? J’ai un passif avec lui depuis ce temps-là. »

Ferinella avait souri aux mots d’Arus en disant. « Oui ! Père s’est aussi inquiété à propos de vous. »

Vizaista-kyo occupait la position de général au sein de l’armée. Avant qu’Arus n’augmente son rang grâce à des réalisations majeures pour le pays et ne soit transféré au commandement direct du gouverneur général, il était l’un des officiers sous son commandement. Officiellement parlant, sept pays protégeaient l’humanité. Mais en vérité, l’humanité est protégée par un seul pays. La grande puissance, Alpha n’est que l’un de ses pays sur le papier, mais en vérité, c’était eux qui assuraient la survie du monde. C’est pourquoi le gouverneur général, et non le maréchal, est le commandant le plus haut placé.

Tesfia et Alice avaient été sans voix lors de l’échange entre les deux étudiants. Cela ne dura qu’un instant, car Tesfia s’était rapidement souvenue de quelque chose et elle le chuchota à l’oreille d’Alice.

Une expression convaincue apparut sur le visage d’Alice alors qu’elle demandait. « Responsable du Doirtoir, êtes-vous familière... avec Al ? »

Ferinella se tourna vers Arus après un moment pour l’inclure dans sa réponse. « Vous pouvez dire que je le connais, mais c’est la première fois que j’ai le privilège de pouvoir lui parler. J’ai appris beaucoup de choses à propos de lui grâce aux histoires de mon père. Cela dit, Monsieur Arus, enseignez-vous à ces deux-là ? »

Le ton d’Arus avait dérivé par rapport à un ton respectant un camarade de classe supérieure alors qu’il lui répondait. « Exacte, la directrice les a poussées sur moi. »

Ferinella ne se préoccupa pas de son manque de respect, mais elle avait souri à la place pendant que son expression se détendait. Son manque de formalité était interprété comme le fait qu’il était honnête à propos de ses pensées. Elle avait alors pressé l’une de ses joues avec un doigt avant de dire « C’est une histoire si envieuse. »

Tesfia et Alice s’inquiètent-elles de l’inclusion d’une épine dans ses paroles ? Se demanda-t-il.

Arus déclara. « Responsable du Dortoir, ces deux-là pourraient être de retour en retard à partir de maintenant, alors s’il vous plaît, ne soyez pas trop regardante sur ça. »

Le front de Ferinella palpita, piku. Elle avait souri en disant. « Arus, s’il te plaît, appelle-moi Feri, » mais son ton et sa manière de parler ne lui permettrait pas de refuser.

« O... Bien sûr. Dans ce cas, tu peux m’appeler Al. Elles font déjà référence à moi de cette manière, » répondit Arus.

Ferinella avait souri avec plaisir en entendant sa réponse. Seul Arus le remarqua, mais les yeux de Tesfia et d’Alice se figèrent en voyant le comportement de leur camarade de classe supérieure. Ferinella avait alors déclaré. « Cela me rend vraiment heureuse, mais je dois aussi garder à l’esprit l’image de mon père. Je ne peux pas être aussi intime avec la façon dont je m’adresse à quelqu’un de ton rang, sans parler du fait que c’est aussi notre première réunion. C’est... vraiment... regrettable, mais cela te dérange si je t’appelle Arus ? »

« C’est très bien ainsi, » répondit Arus.

« Alice, toi aussi. Appelle-moi Feri... senpai. Nous avons déjà passé l’étape où tu as besoin de m’appeler responsable du dortoir, » déclara Ferinella.

Tesfia acquiesça avec Alice pour une raison inconnue, bien qu’elle l’ait déjà appelée Feri-senpai. Peut-être est-ce parce que même si Feri semble heureuse, son sourire n’est pas un sourire ?

Il n’était pas clair si sa différence de traitement entre elles et Arus était par respect pour son grade.

Arus, ayant terminé sa tâche, jugea qu’il n’avait plus besoin de rester. Il commença à prendre du recul en disant. « Eh bien, je vais prendre congé. »

Ferinella demanda alors. « Arus, ces deux-là sont encore de jeunes filles, alors ne les gardez pas trop tard dans le futur. »

« Je comprends, » répondit Arus.

« Et puis... ça te dérangerait de t’occuper de moi de temps en temps ? » demanda Ferinella.

Arus ainsi que Tesfia et Alice ne pouvaient pas cacher leur étonnement face à la demande. Il déclara. « Je veille déjà sur deux personnes, un tiers de temps en temps ne sera pas différent. »

Un sourire innocent, digne de l’âge de Ferinella, illumina son visage en disant. « Super ! »

« En toute honnêteté, je ne suis pas si vaniteux de supposer que je serais capable de faire beaucoup pour quelqu’un qui est à ce point proche des deux chiffres. N’en attends pas trop de moi, » déclara Arus.

La voix de Ferinella resonna un peu alors qu’elle déclara. « Je comprends. On m’enseignera sans avoir d’attentes. »

Arus rentra enfin chez lui. Il n’avait pas pu s’empêcher de regretter d’avoir cédé à sa demande pendant tout le voyage. L’ambiance était telle qu’il était incapable de refuser sa demande. Et maintenant, je sacrifie encore plus de mon précieux temps.

 

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– Tempête de Diamant –

La dernière leçon de la semaine avait lieu après l’école le lendemain. Comme toujours, Arus espérait passer la prochaine pause en paix. Malgré mes doutes, ce sera mon troisième week-end. Tesfia et Alice l’approchaient rarement pendant les pauses.

Mais on peut dire qu’obtenir le surnom d’Al semble avoir fonctionné en ma faveur. Arus et Tesfia ne s’entendaient pas à l’origine, mais maintenant qu’ils s’étaient apparemment ouverts l’un à l’autre, ses camarades de classe avaient cessé de se mettre aveuglément en colère contre lui.

... Ou c’est comme ça que ça aurait dû être, mais les garçons sont tombés captifs de ces deux-là. Ses camarades de classe masculins avaient passé d’un regard dédaigneux à un regard plein de jalousie.

Et leur attrait ne fera que croître au cours des prochaines années. Ils pourraient même finir par perturber la situation.

Arus avait l’intention de s’immerger dans ses recherches après l’école. Ainsi, il avait rétréci les yeux vers Tesfia et Alice qui se tenaient devant la porte de sa pièce. Il leur déclara. « ... Vous auriez dû dire quelque chose hier si vous aviez réussi. »

Tesfia déclara. « Tu ne peux pas faire ça. Tu ne peux pas réduire notre temps d’entraînement. »

Alice avait frappé ses deux mains ensemble et avait dit. « Al, s’il te plaît... même si ce n’est qu’un peu, je veux m’améliorer plus vite. »

Leur formation pouvait être complétée de façon indépendante, mais il est inévitable qu’elles veuillent poser des questions. Le fait de répondre était une réduction de son temps.

Arus hésita à rejeter Alice en la voyant directement le supplier de lui donner des instructions. De plus, d’innombrables taches rouges recouvraient leurs bras. Je ne veux pas voir ça sur le bras d’une fille... mais quand même.

Malgré l’avènement de la technologie magique, les blessures ne pouvaient être guéries en un instant. Tout au plus, les capacités de guérison naturelle possédées par les cellules de la personne pouvaient être augmentées. La situation changeait si les sorts de guérison se chevauchaient, mais peu de magiciens pouvaient exécuter de tels sorts. Alors que l’académie avait un magicien spécialisé en guérison d’urgence en attente, il n’y avait pas d’aide-magicien-soigneur pour pouvoir mener à bien l’opération au complet.

La magie de guérison exigeait que le magicien-soigneur se synchronise avec le mana de la personne blessée. Le mana était par nature rempli d’informations personnelles du propriétaire, donc quand deux personnes se plaçaient sur un tiers, il y aura trois longueurs d’ondes différentes de mana présentes. La méthode appropriée empêcherait un rebond du mana et permettrait à la cellule elle-même d’être influencée. Les blessures de Tesfia et d’Alice pourraient être guéries en quelques minutes.

La technique requise n’était pas au niveau de la simple possession d’une manipulation compétente du mana. La préformation de l’interaction cellulaire pourrait être assimilée à un maître artisan au travail. La technique était différente de ce que les deux filles et Arus pratiquaient et était aussi beaucoup plus exigeante.

Par conséquent, nous n’aurons qu’à attendre que ces marques rouges guérissent d’elles-mêmes, pensa-t-il.

Arus parla après cette légère pause. « Je comprends. Après tout, je suis en quelque sorte responsable des marques rouges sur vos bras. »

Les deux hochèrent de la tête quand la porte de sa chambre s’ouvrit.

Alice fut sans voix. « — !! »

Tesfia déclara. « Qu’est-ce que c’est ! » La pièce n’avait rien à voir avec ce qu’elle était hier : la montagne de documents s’était effondrée et les papiers recouvraient le sol. Le long bureau était aussi enterré sous des documents, il n’y avait même pas de place pour les boissons. « Pourquoi les hommes ne se soucient-ils jamais de ça ? »

Arus n’avait aucune idée de ce qu’elle essayait de dire.

Tandis que Tesfia et Alice continuaient à s’entraîner dans leur dortoir, Arus s’était plongé dans ses recherches. Et voici le résultat. Les deux filles échangèrent des regards et elles se retroussèrent les manches.

Arus déclara alors. « Je ne sais pas ce que vous prévoyez, mais ne faites rien d’inutile. Tout est trié efficacement comme ceci. »

Tesfia s’écria. « Argumenter est inutile !! »

Les mouvements vifs d’Alice et ses talents de femme de ménage faisaient honte aux professionnelles du domaine. Bien qu’elle ne comprenne pas les documents qu’elle manipulait, elle était capable de les garder dans l’ordre en fonction des endroits où elle les avait trouvés.

Tesfia... eh bien, c’est une pure aristocrate. Elle rangeait les documents avec enthousiasme, mais son exécution faisait défaut.

Tesfia déclara. « Alice, tu as tout fait. »

« Je n’ai pas fait tant que ça ! » s’écria Alice.

Arus, quelles que soient ses pensées, était choqué de voir comment sa pièce était passée d’une catastrophe à une salle bien ordonnée en quelques minutes seulement. Il avait parlé avant que Tesfia ne puisse exprimer son mécontentement. « ... Il... hé, toutes les deux, arrêtez ça. »

Tesfia déclara. « Je suppose qu’on ne peut rien y faire. On verra comment ça se passe à partir de là. »

Arus avait souri au commentaire. Aucune d’elles ne l’a fait pour une récompense.

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2 commentaires :

  1. Merci pour le chap ^^

  2. Merci pour le chapitre !

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