Rakudai Kishi no Cavalry – Tome 10 – Chapitre 1 – Partie 2

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Chapitre 1 : Le Festival est terminé

Partie 2

Et puis, lorsque les okonomiyakis et les teppanyakis cuits étaient parvenus sur la table depuis la cuisine, et une fois que leurs ventres étaient remplis…

En estimant que ce moment était parfait, et après que Kagami ait rangé une partie de la table, elle étala les photos qu’elle avait prises au Festival des Sept Étoiles de l’Art de l’Épée.

Du premier match à la finale, tous les grands efforts de tous ceux qui se trouvaient ici avaient été sélectionnés au cours de cette période, et ils s’étaient amusés à parler de leurs souvenirs.

« Oh oh, regarde s’il te plaît, Senpai. C’est une photo où le Senpai a utilisé le “Ittou Rasetsu” pour la deuxième fois ! J’ai été capable de le photographier proprement, n’est-ce pas ? Ce sera utilisé sur la première page du prochain journal de l’école ! »

« Uwaa…, bien que sur celle-ci, j’ai l’air surtout fatigué…, » s’exclama Ikki.

« Mais tu étais très viril et fantastique. Les gentlemen qui ont un tel côté coquin sont fascinants, » répliqua-t-elle.

« Ah ! Il y a aussi une photo où Shiro a eu son record de défaite instantanée , » s’exclama Momiji.

« C’est une coïncidence, Momiji. Je suis aussi tombé sur cette photo quand tu es tombé et que tu t’es évanoui, » répliqua-t-il.

« Je vois. Est-ce le père de la Sanglante Da Vinci ? J’ai été capable de me souvenir de son visage.

« … Ouais. C’est lui. »

« Si vous avez des photos que vous voulez, je ferai des copies supplémentaires, alors, n’hésitez pas à me le dire, d’accord ? D’ailleurs, ma meilleure photo est celle-là ! La culotte non censurée de Son Altesse Stella, la deuxième princesse d’Empire Vermillion — !? »

Mais au moment où Kagami avait sorti la photo de sa poitrine plate et avait essayé de la montrer à tout le monde…

Une frappe qui contenait à la fois une lumière et une chaleur émises par Stella fut libérée avec un bruit sec, coupant le vent. Elle pénétra la photo que Kagami tenait dans ses doigts et la transforma en cendres.

Et puis, elle attrapa la nuque de Kagami avec sa main droite,

« Donne-moi les données. »

La tirant vers elle de toutes ses forces, elle la rapprocha, les yeux injectés de sang, et le lui ordonna.

C’était l’image même de la mâchoire d’un dragon qui se rapprochait jusqu’aux yeux de Kagami. Elle pouvait clairement la voir — .

« D-D’accord ! Comme tu veux ! »

La plume avait finalement cédé devant l’épée.

« Ce n’est pas bon… parce que Stella-san n’a pas compris la blague… haha. »

En voyant ceux présents ici qui discutaient ainsi, Moroboshi parla à Koume depuis la cuisine.

« Koume. Les commandes se sont déjà faites, alors je vais les rejoindre. Ça ira, toute seule ? »

« Ne t’inquiète pas. Laisse-moi faire… Onii-chan, tu as aussi travaillé dur. »

« Merci. »

Alors qu’il appréciait ses paroles de gratitude, Moroboshi tapota et ébouriffa la tête de Koume alors qu’elle faisait un large sourire avec un « Ehehe. »

Puis, Moroboshi enleva son tablier et, avec un plat de porc à double tama qu’il avait préparé pour lui-même, il s’était assis à côté de Touka qui ne participait pas à la séance de photos.

« Haaaa. Puis-je m’asseoir à côté de toi ? » lui demanda-t-il.

Touka avait involontairement lâché un sourire, l’air amusé par cette question.

« N’étais-tu pas déjà assis là ? … mais oui, tu peux. Sers-toi, » lui répondit-elle.

« Merci… hmm. Comme je le pensais, notre okonomiyaki est le meilleur. Le numéro un à Osaka. »

« Je suis d’accord. Ils étaient vraiment délicieux. J’aimerais que ma famille les mange aussi. »

« *Ding* *Ding* c’est notre spécialité après tout ici dans ce commerce. Ils sont ici dans l’Ichibanboshi des okonomiyakis. »

Moroboshi avait dîné un peu plus tard que tout le monde après qu’il soit revenu à table.

Il avait entièrement mangé le double tama de porc en tirant la langue.

Et puis, quand le goût de la sauce dans sa bouche avait été unifié avec la bière alors versée dans l’estomac,

« Hé, Toudou… La frappe irrégulière utilisant la force électromagnétique que tu as montrée lors du match contre Kurogane, c’est ce que tu appelles “Inazuma”, non ? Si c’est le cas, alors tu avais un plan contre mon Houkiboshi. »

Il avait abordé la question juste avant le dernier match.

Touka, qui avait compris de quoi il parlait, avait fait un signe de tête.

« Ce n’est pas comme si mes Arts Nobles contiennent bien un anti-“Houkiboshi”, mais naturellement je les ai forgés pour pouvoir répondre à cet objectif. L’année dernière, je n’ai pas pu esquiver ton Houkiboshi, et tu as pris le pas à partir de là… Malheureusement, je n’ai pas eu l’opportunité de l’utiliser. »

« Je l’ai bien compris. Ce n’est pas ça, hein ? C’est ce que j’ai pensé quand j’y ai jeté un coup d’œil. Certainement, si tu avais une telle compétence, alors cela ne se serait pas passé comme l’année dernière. »

Inazuma était un art noble qui créait un champ magnétique spécial et en raison de son attraction et de sa répulsion, il faisait accélérer brusquement tous objets effectuant des virages serrés.

Les changements soudains d’angle et de vitesse conféraient une force inégalée dans les combats à vitesse moyenne.

Cette puissance était également devinable du fait qu’Ikki, qui était capable de maîtriser l’épée des Ailes Jumelles, avait surpassé la technique de son adversaire, chose pour laquelle il excellait.

C’est pourquoi Moroboshi l’avait dit avec regret.

« Je voulais l’essayer aussi, quel dommage. »

Le Festival des Sept Étoiles de l’Art de l’Épée était fait sous la forme d’un tournoi, mais on ne pouvait pas vraiment dire que le classement représentait le pire adversaire pour soit.

Du point de vue de Moroboshi, Touka était l’ennemie la plus difficile qui se dressait sur son chemin l’année dernière.

La compétence qu’un ennemi aussi redoutable avait affinée pour le vaincre.

C’était quelque chose qu’il voulait essayer sur la scène du Festival des Sept Étoiles de l’Art de l’Épée.

Mais quand même…

« Eh bien, j’aurais quand même été celui qui gagnerait, n’est-ce pas ? »

*Rictus*, Moroboshi avait tourné un regard en coin vers Touka avec un sourire qui semblait provocateur.

Face à cela, Touka avait également retourné un sourire à Moroboshi.

« Je ne pense pas. En neutralisant Houkiboshi, j’aurais gagné cette année. »

« Non, impossible. »

« Je pense le contraire. »

« Nonnn, tu te mens à toi-même. »

« Pas du tout. C’est un fait absolu . »

« « 〜〜〜〜〜〜〜〜〜〜〜! » »

Finalement, les deux individus froncèrent le front en souriant, se faisant face.

C’était l’image même d’une situation explosive.

C’était naturel parce que leurs personnalités ne pouvaient pas céder sur des sujets comme celui-ci.

Mais cela n’avait pas duré longtemps.

« Puh. »

« Ahaa. »

Après avoir échangé leur intention meurtrière pendant un moment, ils avaient eu un petit rire et avaient défroissé leurs fronts qui étaient devenus un peu rouges.

« Arrêtons. Ce n’est rien d’autre qu’une discussion sur un combat qui n’a jamais eu lieu. »

« Tu as raison. Laissons tomber nos deux ego, on ne fait que perdre du temps. En plus… les perdants découragés n’obtiendront rien en se mordant l’un et l’autre. Nous devons abattre Kurogane. Notre objectif commun est bien trop élevé. »

« … À en juger par cette façon de parler, Moroboshi-san, tu vas continuer à être un chevalier après ton diplôme. »

 

 

« Est-ce surprenant ? »

Touka avait hoché la tête.

« Oui, c’est vrai. Je pensais que tu ne serais que réserviste et que tu reprendrais sûrement l’entreprise familiale. »

« Eh bien, j’y ai aussi pensé, mais… »

Bien que les réservistes aient une licence de Chevalier-Mage, ils travaillent sur leurs lieux de travail respectifs de la même manière que les gens ordinaires, mais pour les urgences seulement, et quand la Ligue le demande, ils seraient des personnes chargées des enquêtes criminelles et de la défense nationale en tant que Chevalier-Mage.

Les gens qui géraient une entreprise familiale comme Moroboshi, la majorité d’entre eux allaient devenir réservistes.

Et puis Moroboshi avait aussi prévu de faire la même chose.

Cependant…

« Je sais, mais tu vois, j’ai finalement été capable d’entendre les encouragements que je voulais entendre. Et je peux encore devenir plus fort. Maintenant, je peux arrêter d’avoir cet air de supériorité. »

Touka avait hoché lentement et profondément la tête face aux mots de Moroboshi.

« … Je suis d’accord. Avoir des gens qui nous poussent dans le dos, c’est une chose vraiment heureuse. »

« Nous sommes en troisième année. Il nous sera impossible de participer aux Festival des Sept Étoiles de l’Art de l’Épée, mais… Toudou. Que vas-tu faire à partir de maintenant ? »

« Pour le moment, je pense que je vais m’entraîner à fond pendant les vacances d’été avec mon maître. Quand j’ai vu la bataille de Kurogane-kun et des autres participants, j’ai réalisé qu’un manque d’autonomie était présent, que j’avais encore du chemin à parcourir… Et en même temps que mon diplôme, je m’inscrirai à la Ligue nationale et je viserai un jour la Ligue de rang A. »

 

La ligue de rang A était le nom populaire de la Top Ligue du Roi des Chevaliers « KOK », qui était une compétition de combat rapproché faite par des Blazers et organisée par la Ligue Internationale des Chevaliers-Mages.

Les participants à la ligue de rang A étaient des joueurs représentant le pays qui avait remporté l’une des quelques recommandations limitées qui étaient attribuées à chaque nation affiliée à la ligue. Les combats de ces individus les plus éminents du monde étaient réalisés par des chevaliers qui s’étaient distingués entre tous, les combats étaient appréciés par les habitants du monde entier comme étant un plaisir suprême.

Touka y avait fixé son prochain objectif.

Moroboshi avait hoché la tête en disant « je vois. »

« C’est la voie la plus facile, non ? »

Sentant une certaine distance dans ces propos, Touka avait penché la tête en signe de perplexité.

« Moroboshi-san, n’es-tu pas d’accord avec ça ? »

« Eh bien. Je ne vais pas m’inscrire à la Ligue Nationale. La Ligue Nationale du Japon… non, les Ligues Nationales des membres participants des Ligues de Chevaliers-Mages ont beaucoup de chevaliers qui mettent l’accent sur la magie parce que c’est la politique des ligues. Bien que ma morsure de tigre ne soit pas une capacité du type qui a un pouvoir destructeur comme la magie elle-même, c’est parce que la manière donc le taijutsu et la façon dont il est appliqué sont essentielles. C’est une bouée de sauvetage pour moi… Cependant, je n’ai pas atteint Kurogane avec mon taijutsu. »

Son taijutsu actuel et son maniement de la lance ne correspondaient pas au sommet de ce monde.

Moroboshi l’avait pleinement réalisé quand il avait combattu Ikki.

Par conséquent,

« C’est pourquoi… je pense participer à des matchs axés sur le taijutsu. »

« Eh, est-ce que ça veut dire… ? »

Des batailles qui mettent l’accent sur le taijutsu tout en étant un Blazer.

Un seul tournoi au monde se déroulait avec une telle politique.

Un continent qui s’étendait au-delà de la mer du Japon.

Les matchs de championnat les plus difficiles du monde s’y déroulaient. Son nom était —,

 

« Je vais défier la Ligue du Dieu de la Guerre… ! »

« … »

 

Touka avait bloqué son souffle à cause du ton de voix de Moroboshi qui lui avait fait sentir une sorte de résolution venant de lui.

Tout ceci n’était pas surprenant.

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