Cette oeuvre contient des scènes à  caractère sexuel et s'adresse à  un public averti. Déconseillée au moins de 18 ans.

Noire de Plaisir – Tome 1 – Chapitre 2

Bannière de Noire de Plaisir ~ Entraînement aux Plaisirs d’une Princesse Vampire Déchue ~ (18+) †††

Chapitre 02 : Le Château Royal du Chaos

« Aaaahhhhh ... » (jeune fille)

En appliquant une certaine force, Eiji força son gland dans l’orifice offert devant lui. Ce trou était petit, parfaitement adapté au physique de la jeune fille, mais il avait quand même très bien accueilli le pénis en raison d’être extrêmement lubrifié par l’humidité.

Le plaisir de son pénis, poussant dans cette douce chair, augmenta brusquement. Cette sensation agréable de serrage, comme s’il était dans un puit, et surtout l’excitation d’avoir des relations sexuelles avec une fille dont la beauté était sans égale, tout en semblant si immature, était vraiment divin. Tout cela avait presque fait qu’Eiji éjacule instantanément en elle, juste après son entrée.

« Uuuhhh ... » (Eiji)

Cependant, tout cela serait du gâchis s’il devait le faire si rapidement. Il voulait éjaculer au cours du zénith de son plaisir, pour ainsi savourer au maximum de ce corps si pur. Avec de telles pensées en tête, Eiji serra ses dents, résistant à la pression présente au plus profond de lui, évitant ainsi d’éjaculer. Soudain, il sentit que son gland frappait contre quelque chose de solide. Cette sensation de douce élasticité lui prouva qu’elle n’avait jamais connu d’homme avant lui, à l’intérieur de son corps.

Eiji se sentit un peu coupable alors qu’il se rendit compte de ce fait, mais il déplaça quand même tout son poids pour franchir cette ultime barrière, car actuellement, il éprouvait une excitation surréaliste d’ainsi pouvoir goûter à une jeune vierge si belle.

« Hnn ... guh ... » (jeune fille)

C’était une voix qui ne devait jamais être entendue. Tout en ressentant la sensation de la porte qui s’ouvrait lentement devant le passage de sa verge, Eiji poussa pour entrer plus en profondeurs.

Peu importe combien de préparation avait été faite pour la rendre humide, il était inévitable qu’elle éprouve de la douleur alors que son hymen était en train de se déchirer, ce qui fit, bien entendu, gémir la jeune fille.

Quelques larmes s’échappèrent brusquement de ses yeux.

« Khh ! Tout est enfin rentré ! » (Eiji)

Eiji avait réussi à franchir la barrière finale, poussant sa chose d’extraordinairement grande taille, au plus profond de la jeune fille. C’était une merveilleuse situation en considérant sa petite silhouette. Tout cela avait été confirmé par cette splendide élasticité qu’il ressentait en ce lieu. Cependant, il semblerait que c’était vraiment trop grand pour elle, car un léger renflement provoqué par quelque chose à l’intérieur d’elle pouvait être observé sur son ventre.

Eiji caressa ce ventre soyeux, sondant ainsi, au moyen de sa paume, l’objet étranger à ce corps.

« Uh... Aaahh ... » (jeune fille)

La jeune fille laissa sortir une voix d’agonie, tandis que le pénis semblait caresser étroitement ses parois vaginales, se dirigeant vers l’orifice de son utérus.

Cependant, Eiji pouvait clairement ressentir à travers la liaison entre leurs chairs maintenant profondément liées, le moindre mouvement que le corps de la fille avait. Il sentit les parois vaginales se contracter et avoir quelques spasmes alors qu’elle atteignait son orgasme encore une fois, son pénis frappant enfin les profondeurs jamais explorer de la fille.

Dans un cas ordinaire, il aurait été difficile pour une fille de connaître l’expérience du plaisir, juste après avoir perdu sa virginité. Cependant, après être tombée dans un état extrême d’excitation sexuelle totalement anormale, où elle ressentait la jouissance juste avec une caresse sur sa peau, la douleur d’avoir été défloré ne représentait plus qu’une sensation triviale.

Naturellement, elle avait ressenti la douleur, mais son corps accueillait parfaitement Eiji en elle, contrairement à ses souhaits.

Ses murs vaginaux se tortillaient, serrant ainsi énergiquement l’appendice se trouvant en son sein, prouvant parfaitement ce fait indéniable. C’était aussi obscène que ce qu’aurait pu faire une prostituée très expérimentée.

« Merde !? » (Eiji)

Étant submergé par la sensation d’être autant serrée par cette chair tendre et mouillée, Eiji avait presque accidentellement éjaculé en elle. Tout en restant dans cette position, son pénis enfoncé profondément dans les parties les plus intimes qui l’avaient accueilli, il commença à titiller la partie haute du corps de la jeune fille.

« Aaaaahhhhhhh, stoooooo! » (jeune fille)

Sa peau enneigée était devenue teintée de rose en raison du plaisir et de l’excitation. Eiji commença par embrasser la nuque de la jeune fille, puis descendit en spirale jusqu’à arriver sur un des petits seins pour finalement achever son parcours en suçant le téton érigé au centre.

La fille gémissait coquettement chaque fois que son état d’hypersensibilité la propulsait à ressentir de nouveaux orgasmes en réponse à ces douces caresses.

Son vagin rempli à craquer par le pénis d’Eiji continuait à faire jaillir du nectar, tout en se contractant en parfaite harmonie avec ses orgasmes.

« Ugh, crap! » (jeune fille)

En conclusion, ce plan fut un échec. Le fait de caresse ainsi le haut du corps, conçu au départ comme une distraction, lui était retourné rétroactivement sous la forme d’un massage effectué par le vagin de la jeune fille sur sa verge. Son endurance commençait de plus en plus à se fissurer, provoquer par l’accueil sans égal et merveilleux qui lui était fait par le corps de la jeune fille et il semblerait que de tenir beaucoup plus longtemps lui serait bientôt impossible. Alors, Eiji abandonna son plan de tenir le plus longtemps possible et décida de s’amuser de manière satisfaisante jusqu’au moment où cette destination finale tant désirée est atteinte.

« Kuuuuaaaaahhhh ... » (Eiji)

En mettant ses mains sur la taille de la jeune fille, il sortit entièrement son pénis enterré dans la fille, avec toutes ses forces. Elle gémit inconsciemment due à la sensation de sentir que tout ce qui était dans son corps se retirait d’un coup.

Quelques centimètres avant la fin, il s’arrêta pour ainsi garder son gland à l’intérieur d’elle, puis, soudainement, Eiji pénétra de nouveau, profondément en elle.

« Aaagyagaaaaa !? » (jeune fille)

Elle eut un orgasme instantanément, poussant un court cri à la suite de l’intense poussée s’enfonçant entre ses murs vaginaux tandis que le pénis s’acheminait rapidement jusqu’à son utérus.

Il ignora ceci et sortit à nouveau son pénis avant de l’enfoncer lentement en elle, au lieu de ses précédentes poussées instantanées. Il répéta cela trois fois cette action lente et douce.

« Ugh, uwa, aaahh! » (jeune fille)

En sentant cette façon de lui faire l’amour plus lente, très différente des profondes poussées rapides effectuées jusqu’à présent, un plaisir inhabituel l’assaillit, la faisant remonter vers les sommets, tout en lui faisant expérimenter un léger orgasme. Pour la quatrième fois, Eiji poussa, encore une fois en utilisant une poussée lente, atteignant avec ce mouvement, les profondeurs du vagin de la fille.

« Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh !, » (jeune fille)

Trois poussées douces suivies d’une poussée profonde en quatrième, un tel rythme fut ainsi répété encore et encore.

Elle connut à chaque fois un léger orgasme en réponse à chacune des lentes poussées alors que ces profondes pénétrations l’obligèrent à rétablir la courbure de son dos, son corps accueillant un intense orgasme.

Depuis qu’Eiji s’était abstenu d’arrêter le mouvement de ses hanches, les parois vaginales de la jeune fille se relâchèrent, en raison du plaisir de ce frottement répété alors qu’elle était dans un état bien trop sensible immédiatement après avoir connu un orgasme. De plus, sa sensibilité augmentait après chaque orgasme, ce qui l’amenait à ressentir un nouvel orgasme simplement à cause de cela. C’était un cycle inévitable et vicieux.

« Je n’en peux plus... soyez plus gentil... » (jeune fille)

La jeune fille tenta de plaider pour un répit, se sentant complètement sans défense dans cet enfer de plaisir qui lui volait même son souffle.

Cependant, sa voix n’avait pas réussi à toucher les oreilles d’Eiji. Même Eiji n’avait pas eu le temps d’envisager quoi que ce soit d’autre.

Il commença à pousser son pénis d’autant plus intensément après avoir détecté l’arrivée de l’éjaculation qui remontait dans sa région du bas-ventre.

Peut-être de ces actions ou le fait de sentir la verge se gonfler en préluder à son éjaculation, la jeune fille prit conscience tout à coup de cette situation et se mit à supplier avec véhémence, tout en haletant.

« S’il-te plaît... pas en moi...! » (jeune fille)

Eiji inclina sa tête en sentant son cœur sadique se réveillant à cause de ces yeux tournés vers le haut.

Le plaisir de souiller l’utérus pur d’une jeune fille qui n’avait jamais accepté un homme avant lui était incroyablement excitant.

« S’il-tttte-plait, je vais mmm... » (jeune fille)

Pendant ce temps, la partie du cerveau d’Eiji qui était encore laissé intact au niveau de son sens de la raison l’avertit.

Peut-être que la raison pour laquelle elle avait supplié pourrait être due à la peur de tomber enceinte. Bien que son âge précis soit inconnu, il n’aurait pas été étrange qu’elle ait connu ses premières menstruations en tenant compte de son aspect externe. La pensée d’imprégner cette jolie fille devant lui était extrêmement excitante, mais Eiji n’avait pas la détermination de tomber si tôt dans la paternité.

« Tsk. » (Eiji)

Il fit claquer ses lèvres à contrecœur et abandonna son idée d’éjaculer en elle. Cependant, il évacua ses sentiments négatifs sur la saillie la plus sensible de la jeune fille comme une forme de vengeance.

En plongeant de nouveau sa verge surdimensionnée à l’intérieur d’elle, il écarta totalement les jambes de la jeune fille, exposant entièrement son mignon petit minou.

En étirant le pois de chair positionner sur la section supérieure, la petite perle qui se cachait à l’intérieur fit son apparition depuis cette petite ouverture.

Eiji sépara la chair qui la couvrait, en poussant complètement le pois et utilisa alors ses deux doigts pour le frotter tout en le serrant.

« ―――― !? Hyyyyaaaaaahhhhhhh !? » (jeune fille)

La fille jouit allégrement à cette stimulation excessive, tout en poussant un cri aigu, alors qu’elle était amenée dans un état proche de la mort par ce plaisir si extrême.

En bougeant sa taille alors qu’elle se tordait de plaisir, ses parois vaginales se serrèrent sur le pénis en elle, si intensément, comme si elle voulait l’écraser. Ce stimulus augmenta pour ainsi devenir le déclencheur final de cette scène. Après avoir pu retenir l’envie d’éjaculer jusqu’à ce point, le plaisir s’était accumulé au-delà de l’imaginable à la suite des serrages massifs que lui causait le vagin de la fille. L’endurance d’Eiji avait atteint sa limite.

« Mmn... Ooohhhh! » (Eiji)

En écartant son pénis de ces voraces parois vaginales qui agissaient contrairement aux pensées de la jeune fille, Eiji maintint sa posture tout en douchant le ventre, couleur de la neige, avec son sperme. Ayant dû ainsi se retenir depuis si longtemps, la quantité de sperme qu’il éjaculait était bien plus grande qu’il ne l’avait jamais fait auparavant.

Le liquide blanc qui fut ainsi libéré ne souilla pas seulement le ventre soyeux de la jeune ville, mais n’épargna nullement le nombril ainsi que les seins.

« Haah ... haah ... » (Eiji)

Pour terminer correctement son éjaculation, il caressa sa verge pour expulser la totalité du sperme restant à l’intérieur et arrosa encore plus le corps devant lui. Peu de temps après, il s’effondra sur le lit, épuisé par cette séance de sexe si intense. Bien que le lit ait été intégralement trempé avec divers fluides corporels et qu’il ne pouvait plus être considéré comme apte à être utilisé pour s’y reposer, l’envie de dormir qui s’était accumulée à cause de la fatigue l’obligea y rester..

Perdant progressivement la vision de ce qui l’entourait, il posa son regard vers la jeune fille se trouvant à ses côtés. Il semblait qu’elle s’était évanouie après son orgasme final et qu’elle était maintenant endormie tout en respirant doucement.

À la fin, qui est cette fille ? En se remémorant cette question à ce moment-là, Eiji regarda les yeux de la jeune fille et s’endormit tout en affichant un visage endormi et innocent.

† † †

« ... Un rêve. Non, ceci n’y ressemble pas. » (Eiji)

Le lendemain matin, après le réveil, la première chose qui entra dans la vision d’Eiji, tout en se sentant exceptionnellement heureuse, fut la silhouette d’une jeune fille nue. Les taches séchées du liquide blanc sur le ventre de cette fille nue, dormant devant lui, ainsi que le lit trempé par divers liquides corporels, réfutaient toutes les chances que l’incident de la nuit dernière ne soit qu’un rêve humide. Son corps nu tenta de nouveau Eiji, mais cette fois, avec un charme diffèrent due à la lumière du soleil, par rapport à son illumination qu’elle avait eue hier soir, sous le clair de lune. Eiji sentit alors son pénis devenir dur, bien qu’il soit allé jusqu’au bout, il y a quelques heures. Cependant, en se réveillant ainsi, après une nuit de sommeil, il ne put à nouveau, faire une telle action.

« Eh bien... Que faire maintenant ? » (Eiji)

La jeune fille ouvrit alors brusquement les yeux devant Eiji, le rendant abasourdi, incapable de penser à la bonne façon de faire face à elle.

Elle examina son corps ainsi que les environs après s’être soudainement assise sur le lit avec un regard montrant qu’elle était encore somnolente. En toucha avec ses doigts, la substance blanche et séchée qui s’était accrochée partout sur son corps, elle ne comprit pas immédiatement ce que c’était.

Cependant, ses yeux affichèrent rapidement la reprise de sa compréhension en retrouvant pleinement ses sens. Et puis, ils furent immédiatement remplacés par des yeux en colère. La jeune fille tourna alors sa tête vers Eiji tel un robot rigide. Son visage était bouffi de larmes sur le coin de ses yeux.

« Il — ... » (jeune fille)

« ―――――― ! » (Eiji)

La réponse à la salutation douteuse qu’Eiji était sur le point de faire, fut une claque féroce sur sa joue.

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