Chapitre 01 : Un Corps Hypersensible
« ―――― qu’est-ce qui se passe... ? » (Eiji)
Eiji s’attendait à voir l’expression d’ivresse d’une fille en train de se déchaîner, ses crocs plantés dans sa nuque, mais au lieu de cela, il fut accueilli par la silhouette molle et impuissante d’une jeune fille se trouvant couchée sur lui. En même temps, il ressentit une sensation très chaleureuse qui se propageait dans son abdomen, justement là, où la jeune fille était en train de le chevaucher.
« ... Hein ? » (Eiji)
Eiji qui ne pouvait alors que marmonner ne pouvait pas croire à une si abrupte évolution de la situation
Cependant, il n’eut aucune réponse à son interrogation.
La jeune fille semblait être dans un état où elle était à peine consciente. Son corps se tordant et se convulsant, elle était totalement incapable de parler. Pour le moment, il décida donc de soulever cette frêle jeune fille et de délicatement, la placer à côté de lui.
En regardant la situation du point de vue d’Eiji, bien qu’elle fut sans aucun doute, une personne suspecte qui l’avait soudainement attaqué, il ne pouvait pas s’attaquer à une telle personne d’une manière si brutale.
Naturellement, le fait qu’elle était une beauté incomparable était l’une des raisons.
« Bien... » (Eiji)
Eiji put enfin se lever après avoir déplacé la fille. Il s’assit alors à côté d’elle, comme s’il était au chevet d’une malade. Une expression troublée était bien visible sur son visage alors qu’il se tournait vers elle. La fille était couchée, le dos contre le lit, et son corps sans défense était pleinement exposé. Ses membres semblaient être totalement dépourvus de force, incapables de pouvoir faire, par eux-mêmes, le moindre mouvement.
Le bas de la robe avait été relevé par mégarde, lors du déplacement, exposant ainsi la partie inférieure du corps de la jeune fille.
Eiji déglutit instinctivement quand son regard se posa sur ces cuisses d’une telle blancheur, apparaissant presque comme translucide.
Et puis, à leurs jonctions, se trouvait une culotte indécente de dentelles noires, complètement trempée et dégoulinante.
Eiji en eut des vertiges alors qu’il fut assailli par l’odeur intense de ces divers liquides corporels, involontairement mélangée avec de l’urine.
Au moment de leur rencontre, elle exsudait une atmosphère fascinante et emplie de charmes, mais actuellement...
Son apparence était si déraisonnable, qu’elle la transcendait totalement, agissant à un point inimaginable, directement sur l’excitation sexuelle des hommes, tel un aphrodisiaque tellement puissant que nul ne pouvait y résister. Eiji tendit sa main chancelante vers ce corps sans défense, comme s’il était devenu une marionnette sans âme contrôlée par un autre.
† † †
Le corps de toute beauté de la jeune fille, qui se tenait là, en parfait contraste avec l’obscurité régnant dans la pièce et la lumière du clair de lune qui brillait par la fenêtre, semblait vraiment irrésistible aux yeux d’Eiji. Eiji fut submergé par les superbes courbes nues qu’il pouvait admirer, alors qu’il était en train de retirer la robe gothique noire ainsi que les sous-vêtements, eux aussi noirs, se cachant juste en dessous.
Ses modestes seins formaient une douce courbe tandis que leurs protubérances centrales étaient dressées fièrement, haussant leurs pics, comme si elles voulaient souligner leurs présences.
Le léger duvet se trouvant dans la zone du mont de Vénus, au-delà de son svelte abdomen, ne pouvait pas dissimuler sa vulve.
Et maintenant, à l’emplacement le plus important, au cœur de ses fines jambes, dans sa région honteuse qu’était la fente de sa vulve, un flot continu de nectar jaillissait en permanence de là.
Eiji eut l’impression que son pénis se durcissait instantanément, alors qu’il regardait l’état tellement indécent dans lequel se trouvait cette vulve enfantine.
Si elle n’avait pas ainsi dévoilé son corps nu, peut-être n’aurait-il jamais osé mettre la main sur elle, mais à l’heure actuelle, il était totalement submergé par cette divine floraison.
Cependant, ces protubérances arrogantes ainsi que le suintement de ce nectar qui sortait en filet, poussèrent Eiji à franchir la ligne finale qui avant cela, agissait telle une barrière.
Ceci aurait été une honte pour un homme de ne pas manger ce fruit qui lui était ainsi offert. ― avec une telle pensée en tête, Eiji se pencha alors vers la fille. Bien qu’Eiji ne comprenait pas dans quel état était le corps de la fille, il lui était évident que ses sens étaient devenus hypersensibles.
En fait, ceci semblait si extrême, qu’elle ne pouvait même pas endurer la légère stimulation du bruissement de ses vêtements pendant qu’il la déshabillait. Ce qui l’avait forcée à de nombreuses reprises, à atteindre l’apogée de son plaisir. Peut-être qu’elle aurait même été éveillée à un tel plaisir par la moindre brise caressant son corps délicat. Face à une telle fille, dont les tétons orgueilleux et appétissants semblaient lui dire : "S’il te plaît, n’hésite pas à nous pincer ~", et ayant remarqué cela, Eiji utilisa ses doigts pour les pincer délicatement.
« Nhaaaaaaaaaaaaaa ――――!? » (jeune fille)
Elle eut immédiatement un orgasme à ce doux contact.
Un violent déluge jaillit alors d’un coup, provenant de son entrejambe.
Eiji regardait sans afficher d’expression la scène d’une jeune fille en pleine montée de plaisir alors qu’elle faisait arc-bouter sa taille vers des sommets jamais atteints jusque là. Cependant, en voyant cela, un sourire apparut alors sur le visage d’Eiji alors qu’il pressait plus fortement sur ces mignonnes protubérances coincées entre les doigts de ses deux mains.
Les pouces et les doigts du milieu pinçaient ces tétons presque comme s’ils se touchaient.
« Hn ?? Aahhhh, Ahyaaaa !? » (jeune fille)
La fille, qui n’avait toujours pas terminé son apogée précédent, avait encore une fois, perdu tout contrôle d’elle-même, puisqu’elle avait encore une fois eu un orgasme sous les assauts assidus des doigts du jeune homme. Le fait qu’il n’y avait aucune résistance face à ce plaisir était absolument ridicule.
« St-sto ... » (jeune fille)
La jeune fille supplia avec une voix bégayante pour un peu de miséricorde, mais cette demande eut un effet opposé. Eiji se sentait de plus en plus excité par cette frêle apparence enfantine.
Il déplaça alors seulement sa main droite pour empoigner entièrement le sein gauche et ainsi pouvoir jouer avec lui, tandis que sa main gauche resta pour continuer à persécuter la protubérance reposant fièrement sur le dessus du sein droit.
« Arrr... c’est déraisonnable... Aaaahhhh, ça recommence à nouveau ! » (jeune fille)
Bien que la jeune fille avait supplié pour un peu de répit, elle recommença intensément à jouir à mesure que le mamelon de son sein modeste fut pétri.
Inspiré par ses émotions malicieuses quand il vit cette belle apparence impudique, Eiji se rapprocha alors pour effectuer une douce tétée sur l’un des mamelons.
« ―――――――― ~~~~~ !? » (jeune fille)
L’effet fut formidable.
La jeune fille fut agressée par un plaisir si intense qu’elle ne pouvait même plus prononcer le moindre mot. Son corps convulsa, se courbant à un tel point qu’il ressemblait presque à la forme d’un pont.
Ce qui jaillit alors de sa région inférieure n’était plus un simple filet, mais plutôt toute l’urine restante de sa vessie qui sortit en un flot continu.
Le lit d’Eiji était déjà totalement trempé par les divers fluides corporels de la jeune fille. Et la personne elle-même n’était pas quelqu’un qui serait dérangé par une chose aussi triviale.
Peu de temps après, la jeune fille s’affala sur le dessus du lit détrempé, respirant bruyamment, tout en essayant de prendre de profondes respirations.
Cette succession d’orgasmes intensifs l’amena finalement à retomber sur ses hanches, la laissait totalement épuisée.
« ... Haahh, Haahh » (jeune fille)
Tout en observant l’effondrement de la jeune fille, Eiji déplaça son attention du haut du corps de la jeune fille, vers des régions bien plus basses.
Comme si ses doigts marchaient sur le dessus de ce corps, ils caressèrent doucement chacune des zones qu’ils rencontraient. Pour commencer, le long des seins, puis après lentement vers le ventre, le nombril, et pour finir, vers le mont de Vénus. Même le doux et léger contact d’une telle caresse raviva encore plus le plaisir de la fille, comme elle était tombée dans un tel état d’excitation sexuelle. Même maintenant, simplement toucher ses zones habituellement non érogènes faisait trembler de plaisir tout son corps.
Enfin, il était temps de tourmenter son emplacement le plus crucial. Alors qu’il semblait en premier abord, éviter les régions les plus sensibles du corps de la jeune fille, les doigts d’Eiji passèrent brusquement à côté de sa vulve, caressant alors doucement l’intérieur des cuisses.
« Hein ? Hhmmm ! » (jeune fille)
La fille laissa échapper, de sa bouche grande ouverte, une voix émerveillée en réponse au doux plaisir qu’elle ressentait de ce mouvement inattendu.
Et en même temps, son corps qui était devenu figé dans l’attente de la stimulation que sa vulve était sur le point de recevoir commença alors à lentement perdre ses forces.
― – Et à cet instant, Eiji caressa avec son doigt, la vulve de ce corps sans défense, de haut en bas et inversement.
« Hyaaaaaaaaa !? » (jeune fille)
La jeune fille avait baissé sa garde avant cela, alors, lorsque ce stimulus soudain frappa son entrejambes, ceci l’obligea à gémir sans limite et d’une manière vraiment extravagante. Eiji, qui regardait ses mignonnes réactions, sourit légèrement alors qu’il caressait la vulve de la jeune fille, faisant glisser sa main vers le haut puis vers le bas tout en maintenant avec ses doigts, un contact continue.
« Hnn, Nmn, Sssss. Aaaaahhhhhhhhhhhh! » (jeune fille)
Son corps excessivement sensible, ravagé par les orgasmes, continua encore à ressentir un orgasme à chaque fois que les doigts du garçon caressaient le tracé de sa vulve, l’obligeant ainsi à lâcher des gémissements de plaisirs.
La fente de sa vulve enfantine commença alors à s’épanouir sous ces caresses constantes, exposant finalement la chair rose de sa partie intérieure, dégoulinant d’une humidité constante. Cependant, il garda cette partie pour plus tard et tendit la main vers un autre endroit proche. C’était un petit pois de chair au sommet de la vulve. Avec ses doigts, Eiji écarta le prépuce, exposant ainsi le bijou qui s’y trouvait dissimulé.
« C-Ce n’est pas possible... Stooo ! Ce-cet endroit est... » (jeune fille)
La jeune fille avait ainsi joui une fois de plus à la seule sensation de ces doigts en contact avec cette zone extrêmement sensible. Elle trembla alors, dans l’attente de la suite, imaginant déjà ce que serait la prochaine attaque dont son corps allait souffrir.
Cette sensibilité était tel qu’elle avait donc bel et bien eu son apogée quelques instants après, lorsque la protubérance à l’entrée de sa vulve fut mise au contact avec l’air. Elle tremblait d’une certaine peur, mais elle avait aussi une grande attente au plus profond d’elle, en s’imaginant tous les intenses plaisirs qu’elle ressentirait si cet endroit était directement touché.
Encore une fois, elle essaya quand même de plaider pour être libéré, pour la nième fois, mais il n’y avait maintenant, même plus de son qui sortait de sa bouche. Elle reçut alors un cadeau sur sa personne, sous la forme d’un baiser appliqué directement sur sa partie la plus sensible de son être.
« ―――――――― ! » (jeune fille)
Avec son clitoris, presque aussi chatouilleux que ses mamelons, qui était ainsi simulé, cela continua à lui faire perdre sa voix, alors qu’elle atteignait son apogée encore et encore.
« ~~~~~~~~ っ! » (jeune fille)
C’était un orgasme directement causé par la sensation des lèvres d’Eiji touchant son clitoris. Puis un second suivit rapidement alors qu’il le toucha avec la langue. Un troisième orgasme arriva quelques secondes après, au moment où la langue du jeune homme piégea le clitoris dans ses remplis. Et pour achever le tout, une nouvelle montée fulgurante arriva alors qu’il suçait passionnément le petit pois au centre de la zone.
En subissant ces stimulus qui l’amenaient, à chaque fois, à avoir un nouvel orgasme, avant même que le précédent ne soit terminé, la jeune fille remonta dans les cieux, devenant ainsi incapable de descendre, ne serait-ce que d’un peu des montagnes de plaisirs qui l’assaillaient.
Et la plus stimulante de toutes ces actions était sans aucun doute l’aspiration que subissait son clitoris. Étant déjà à un niveau de stimulation qui l’empêchait de résister au moindre contact, cette nouvelle action l’empêchait encore plus de reprendre le contrôle d’elle-même. C’était devenu au-delà de l’inimaginable. Presque comme si son âme était en train de quitter son corps.
Par réflexe, essayant de lever sa taille comme pour fuir cet intense plaisir, elle réalisa qu’elle en était incapable de le faire à cause de la présence de deux mains posées sur ses fesses. Mais en plus, ceci eut un effet contraire à ses attentes, car l’action de lever sa taille elle-même servit de stimulant supplémentaire au suçage de son clitoris, ce qui lui provoqua un orgasme supplémentaire. Ceci l’avait donc ainsi rendue encore plus excitée. Alors même qu’elle avait acquis la compréhension de ce fait, elle ne pouvait pas arrêter les mouvements involontaires de sa taille, agissant par pur réflexe, la forçant ainsi à endurer les orgasmes successifs qu’Eiji lui infligeait. Et cela dura jusqu’à ce qu’il soit satisfait de cela et qu’il décida de passer à la suite.
Eiji sépara alors sa bouche de cette protubérance si captivante, se sentant rassasié de cette action. La jeune fille était déjà tombée dans un état de demi-conscience, sans doute quelque chose de proche de la mort. Ceci serait extrêmement pénible si cela arrivait.
Après tout, elle avait déjà eu, jusqu’à maintenant, un nombre incalculable d’orgasmes. Eiji n’avait même pas tenté de compter ce fait jusqu’à maintenant, et peut-être que même la personne devant ses yeux qui les avait eus aurait été incapable de répondre elle-même à cette question. Cependant, il était encore bien trop tôt pour annoncer la fin de ces plaisirs sexuels.
Si vous demandiez pourquoi. Et bien, c’était simplement parce qu’Eiji n’avait toujours pas éjaculé, ne serait-ce qu’une fois. Il n’y avait aucune chance que tout cela finisse ainsi. Eiji enleva donc son pyjama et son caleçon qu’il portait, révélant, à la lueur de la lune, son corps nu.
Une taille relativement grande ainsi qu’un corps forgé par l’exercice, c’était bien le genre de carrure dont les femmes raffolaient.
Cependant, l’objet le plus captivant qu’une femme n’aurait pas manqué de remarquer aurait sans aucun doute été son pénis monolithique jaillissant de son aine. Avec une taille dépassant largement la taille moyenne des Japonais, son érection révélait pleinement son étonnante dimension.
Du liquide pré-éjaculatoire coulait à sa pointe, trempant le gland qui attendait avec impatience de rentrer dans le corps d’une femme.
Eiji sépara alors les jambes de la jeune fille avec sa main gauche, soutenant son pénis avec l’autre. Elle n’offrit aucune résistance à tout cela, sûrement en raison d’être presque complètement paralysé à la suite de ses orgasmes successifs.
Au cœur de ses jambes écartées, sa vulve enfantine, encore totalement impudique et dégoulinant toujours, fut enfin visible.
Même dans son état de faiblesse, elle supplia avec ses yeux tournés vers le haut. Mais tout ceci n’agissait que comme du carburant aux flammes de son excitation.
« Je vais entrer. » (Eiji)
Ignorant la fille qui secouait légèrement la tête en signe de refus, il poussa la pointe de son sexe contre la vulve lubrique et mouillée. La jeune fille jouit au simple contact de ce gland, affichant en même temps, sur son visage, une expression de peur.
juste une question il a quel âge le mec ?
Merci pour le chapitre 🙂
Aucun idée pour le moment. J’ai pas encore lu la version japonaise et là, je sais même pas si il le dise.
Oui j’ai été gêné toute la lecture avec toute les allusions à son âge a la fille