Mushoku Tensei (LN) – Tome 1 – Bonus anime

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Bonus anime : Sylphiette et l’étiquette

«  Dis, Lilia-san, j’aimerais apprendre l’étiquette. »

Sylphiette demanda cela à Lilia à cause d’une conversation qu’elle avait eue avec ses parents.

Si Rudeus revenait, nous pourrions toujours être ensemble, n’est-ce pas ?

Elle discutait de ces sujets avec eux. Ceux-ci hochèrent la tête en souriant, mais dès qu’ils réalisèrent que Sylphiette était sérieuse, ils commencèrent à dire : « Ça risque d’être un peu difficile. »

Selon eux, Rudeus était désormais le fils d’un aristocrate, bien qu’étant un chevalier de bas rang.

« Si Rudeus devait devenir le successeur de la famille Greyrat, il devra jouer un rôle approprié en tant qu’aristocrate. Naturellement, sa femme doit également se comporter comme une aristocrate. »

Si Sylphiette, qui ne connaissait pas un mot de l’étiquette, devenait la femme de Rudeus, il pourrait être traîné dans la boue.

C’était une histoire plutôt terre à terre pour les enfants.

Même le père de Sylphiette, Rawls, ne voyait pas Rudeus, jeune et brillant précepteur de la petite-fille d’un seigneur dans la ville fortifiée de Loa, choisir la fille d’un chasseur comme épouse dans le futur. En premier lieu, Paul avait séparé Rudeus et Sylphy parce qu’ils étaient trop dépendants l’un de l’autre. Si Sylphiette était donc toujours dépendante de Rudeus, il devait penser que c’était la responsabilité des parents de l’alléger.

« Si tu as besoin d’apprendre l’étiquette pour être avec Rudeus, alors ce n’est pas une mauvaise idée. »

Ainsi, en pensant à une personne qui pourrait lui apprendre l’étiquette appropriée, la figure d’une servante qui enseignait déjà ces manières à sa jeune fille lui apparu à l’esprit : Lilia-san.

«  L’étiquette ? »

Lilia était un peu embarrassée.

Elle pensait qu’elle devait éventuellement l’enseigner sérieusement à Norn et Aisha. Mais elle n’aurait jamais pensé qu’elle serait suppliée par Sylphiette pour cela aussi.

Pour Lilia, l’étiquette était essentielle si l’on voulait obtenir un emploi lié à l’aristocratie, mais elle était très lourde et compliquée à apprendre.

Qu’une enfant de l’âge de Sylphiette lui dise qu’elle voulait l’apprendre lui semblait irréaliste.

«  Puis-je demander pourquoi ? »

«  Père a dit que si je voulais être avec Rudy, je devais l’apprendre. »

«  Oh, je vois. »

Lilia avait réfléchi un moment.

Rudy finira par réussir en tant que magicien.

Pour l’instant, il travaillait comme précepteur dans la ville fortifiée de Loa, mais d’ici son retour, il devrait être occupé à nouer des relations avec les aristocrates d’Asura.

S’il persévérait, il ira à l’Académie de magie comme prévu et obtiendra son diplôme sans encombre, il était fort probable qu’il devienne un mage de cour du Royaume d’Asura ou un gardien de la famille royale dans le futur.

Qu’il devienne un mage de la cour ou un gardien, il sera avant tout une possession du royaume. Et même s’il était roturier, il sera traité de la même manière qu’un aristocrate. Pour lui, l’étiquette était nécessaire.

En prévision de cela, Rudeus lui-même pensait peut-être à étudier l’étiquette chez les Boreas, ou même à l’Académie de magie.

De plus, s’il devenait effectivement un mage de cour, il deviendrait un personnage public. Son apparence et ses manières seront constamment scrutées. Il devra aussi parfois escorter sa femme dans des festivités. Cela signifiait donc que l’étiquette était aussi requise pour sa femme.

Rawls n’avait pas pensé à ce point, mais, quand on pensait à la future épouse de Rudeus, il était vrai que l’étiquette devait être obligatoire.

Lilia pouvait l’enseigner. Cependant, on ne pouvait pas lui demander de l’enseigner sans payer. Le père de Lilia avait dû lui aussi dépenser beaucoup d’argent pour engager un précepteur. Elle fut ainsi éduquée au niveau d’une servante du palais royal.

«  Je vois… »

Cependant, Lilia avait décidé de se consacrer à Rudeus. Elle essayait de faire en sorte que sa propre fille Aisha serve Rudeus. Mais il était évident que non seulement sa fille, mais elle-même aussi servirait cette maison du mieux qu’elle pouvait.

Si Sylphiette devenait dans le futur la femme de Rudeus, cela ferait d’elle une dame de cette maison.

Lilia ne savait pas encore si elle acceptait ou non la demande de Sylphiette, mais…

« Compris. Alors à partir de demain, je t’enseignerai sur mon temps libre. »

Tant que ce futur n’était qu’une probabilité, Lilia n’était pas prête à coopérer pleinement.

Pour une raison inconnue, Lilia ne détestait pas Sylphiette. Bien qu’elle soit elle-même une étrangère rousse, elle la connaissait bien, car elle avait été aidée par Rudeus.

« Vraiment ! ? Merci, Lilia-san ! »

Ainsi, il avait été décidé que Sylphiette recevrait désormais des leçons d’étiquette de la part de Lilia.

*****

« C’est ça, garde ton dos droit et plie tes hanches. Avec grâce, n’aie jamais l’air soumise… »

« Comme ça ? »

« Ton dos n’est pas droit, tes genoux sont aussi pliés. Fais plus attention à tes pieds… oui, c’est bien. »

« M-Mais, cette posture, c’est douloureux… »

« Il faut souffrir pour avoir un beau comportement. Bien, garde cette posture pendant 30 secondes. »

« Euhh… »

Quand on parle d’étiquette, une personne comme Rudeus pourrait imaginer l’art de la formulation et les manières de table. Cependant, en réalité, il ne s’agissait pas seulement de cela, mais aussi de la façon de saluer, de marcher et de se tenir debout. Tout était une question de détails. Cela dépendait aussi de la position sociale ou de la situation. Naturellement, il y a aussi des différences selon que vous êtes un garçon ou une fille.

Il y avait beaucoup de choses à retenir, même pour l’enfant d’un aristocrate qui pouvait être instruit par un précepteur, cela pouvait prendre plusieurs années pour bien se comporter en public.

Lilia avait appris l’étiquette requise pour une aristocrate, mais elle n’était pas issue de la noblesse. Ainsi, lorsqu’elle fut choisie comme femme garde, on aurait pu sans aucun mal détecter son statut dans le cas improbable où quelqu’un tenterait de se faire passer pour un membre de la famille royale ou un aristocrate.

Actuellement, l’étiquette que Sylphiette apprenait de Lilia était celle réservée à l’aristocratie.

Les aristocrates étaient inférieurs à la famille royale, mais supérieurs aux roturiers.

Par conséquent, si les salutations étaient données dans la même situation, par rapport aux roturiers qui devaient plier les genoux plus bas, les aristocrates pouvaient avoir la tête plus haute, mais pas plus haute que la famille royale qui était autorisée à se tenir debout. En bref, ce genre d’étiquette devait se focaliser énormément sur le milieu de la taille. Il y avait beaucoup de choses qui étaient difficiles à maintenir dans la posture, et cela demandait naturellement une grande force du buste. Étonnamment, l’étiquette pour une fille aristocrate nécessitait de bons muscles.

« Aisha, regarde bien, un jour tu devras aussi l’apprendre. »

« Entendu ! »

Aisha, qui était encore une petite enfant, répondit ainsi, mais elle montra alors une expression perplexe, comme si elle ne savait pas ce que Sylphiette faisait. Non cela lui paraissait étrange, car elle ne savait pas pourquoi elle ne pouvait pas le faire.

En tout cas, pendant qu’elle regardait, Sylphiette enfila les sabots à talons hauts préparés pour l’occasion et s’entraînait à saluer en frémissant. De toute façon, il y avait maintenant deux autres yeux qui surveillaient une telle scène.

« Hmm… »

Depuis l’entrée de la chambre de Lilia, des yeux bleus observaient. C’était Zenith.

Si c’était Rudeus, il regarderait dans la chambre en marmonnant « tu agis comme une bonne ».

« Madame, n’étiez-vous pas censée être à la clinique aujourd’hui ? »

La véritable servante de la maison, Lilia-san, inclina la tête, tandis que Zenith ouvrit la porte et entra dans la pièce.

« Ça s’est terminé tôt, alors je suis revenue. Puis, comme je ne t’ai pas vue, je me suis demandé où tu avais bien pu aller. Qu’est-ce que tu fais ? »

« J’enseigne l’étiquette à Mlle Sylphiette. Quand elle sera la femme de Rudeus, elle en aura besoin. »

« Ah, Sylphiette-chan, tu veux devenir la femme de notre Rudeus ? »

Et alors que Zenith avait dit cela en souriant, le visage de Sylphy devint subitement rouge. Zenith vit son expression et sourit encore plus. Elle avait l’air vraiment heureuse.

« Sylphiette-chan, tu es vraiment mignonne ! Très bien, si ça se passe comme ça, je vais t’aider aussi. En fait, avant de devenir une aventurière, j’étais une dame dans un endroit agréable. »

« Certes, c’était une fille du Pays Saint de Milis. »

« Comme tu le dis, j’ai fui parce que le cadre était trop rigide, mais j’avais de bonnes notes à l’école et on disait que j’étais un modèle pour toutes les dames. »

« Je n’arrive pas à y croire. »

« Hé, qu’est-ce que tu dis ? »

Tout en écoutant l’interaction entre les deux, Sylphiette pensait « Ça ne fait pas encore 30 secondes ? » tout en ayant une sueur grasse sur le front.

« Bon, je vais donner l’exemple, alors copie-le et retiens-le. »

« O-Oui ! »

Satisfaite de la réponse de Sylphiette, Zenith s’assit légèrement, plia les coudes, forma ses doigts dans l’intention de soulever sa robe, abaissa sa jambe droite légèrement en arrière, et baissa la tête pour tirer le menton.

C’était si naturel qu’on aurait dit qu’elle avait continué à le faire pendant des dizaines d’années, c’était une posture élégante.

« Wow… »

Sylphy éleva sa voix, admirative.

À ses yeux, le comportement de Zenith était plus sophistiqué que celui de Lilia. Elle avait même l’illusion qu’une véritable princesse était apparue devant elle. Sylphy pensait qu’il n’y avait pas de meilleur modèle pour s’entraîner.

« Hé, comment trouves-tu ça Lilia ? Ça fait un moment, mais je suis toujours aussi douée, non ? »

« C’est… Madame, c’est difficile à dire. »

Cependant, le visage de Lilia était celui d’une personne qui n’était pas impressionnée.

« Les pieds, ne sont-ils pas inversés ? »

« Ah ? »

Zenith regarda ses pieds avec un visage effrayé. Ses jambes étaient croisées de telle sorte que le pied gauche était à l’avant et le pied droit à l’arrière.

« Hein ? Ce n’est pas inversé. »

« Non, le pied droit est à l’avant. »

« Ce n’est pas le cas. On m’a dit que le pied gauche était devant. »

« Le bon sens veut que dans toutes les étiquettes, le pied droit soit devant. »

« Ah ? C’était comme ça ? Hmm, cela fait longtemps que je ne l’ai pas fait alors peut-être que j’ai oublié. »

« Mais les mouvements étaient très beaux. Même lorsque je travaillais au palais royal, je n’ai jamais vu personne bouger aussi bien que Madame. »

« N’est-ce pas, ma mère était une personne qui me félicitait rarement, mais elle m’a félicitée sur ce point en me laissant libre de faire ce que je veux. »

Zenith était un peu choquée, mais hocha la tête avec satisfaction.

« J’avais un peu tort, mais je peux être ton modèle, n’est-ce pas ? Eh bien Sylphiette-chan, à ton tour maintenant ! »

« Ah, oui ! »

Poussée par Zenith, Sylphiette commença à imiter ses mouvements.

Il ne fallut pas longtemps pour que les problèmes apparaissent.

« Madame, vous faites encore une erreur. Votre main doit être placée plus haut. »

« Je te l’ai dit, elle doit être sous le nombril ! »

« Non, elle devrait être autour de l’épigastre. »

« Ce n’est pas possible ! »

Les mouvements de Zénith étaient beaux, mais après cela, les « erreurs » étaient éparpillées partout. Ce n’était qu’une différence insignifiante. Si elle était en public, personne n’y prêterait vraiment attention. Mais là, on était dans un endroit où une dame apprenait l’étiquette formelle. Elle ne pouvait pas lui apprendre ce qui était mal. Pour Zenith et Lilia, l’étiquette dont elles se souvenaient était la bonne. Cela devint finalement une querelle.

« Je ne suis plus un aristocrate, et je ne voulais pas te le dire, mais Lilia, ton étiquette est un peu mauvaise en tant que femme de chambre. »

« … Pourriez-vous me donner un exemple ? »

« Quand tu sers le repas, tu as raison de servir Paul en premier, mais après tu me sers en second, ça ne devrait pas être Rudeus ? Normalement, ça devrait être le premier fils avant moi. »

« Non, d’abord le maître, puis Madame, les invités, et enfin les enfants, c’est le bon ordre ! »

Sylphiette était juste reconnaissante envers les deux qui se disputaient bruyamment à ce sujet. Aisha avait également un air inquiet, ne sachant pas quoi faire, car elle ne s’attendait pas à ce que Zenith et Lilia se disputent à ce sujet.

« Hmm, désolée… cette dispute… »

Sylphiette voulait leur dire d’arrêter, mais, en voyant ces deux adultes qui se disputaient à voix haute, ses mots ne sortirent pas.

« Uuh… »

Immédiatement après, les yeux de Sylphiette se mirent à pleurer.

« Hé, pourquoi vous vous battez toutes les deux ? »

À ces mots, un homme seul était apparu.

Si Rudeus était là, il dirait « Ça se complique, alors retirons-nous » comme s’il était un grand gaillard.

C’était Paul.

Ces derniers temps, il était en position de faiblesse à la maison. Si je m’immisce dans la querelle entre ses deux femmes, je ne ferai que devenir un fardeau, pensa-t-il. Il regarda donc secrètement par l’entrebâillement de la porte. Mais quand il vit Sylphiette pleurer, il se décida finalement à entrer.

Du point de vue de Sylphiette, il avait l’air d’un sauveur.

Si Rudeus l’avait vu, il se serait mis à genoux et aurait dit : « C’est ça le secret pour être populaire ? »

« Paul-sama, vous êtes de retour. Excusez-moi de ne pas avoir été là pour vous accueillir. »

« Chérie… ! »

Dès que Zenith vit Paul, elle se mit à agir comme si tout cela était une comédie.

« C’est vrai. Chérie, à partir de maintenant, Lilia et moi allons nous excuser de manière polie, alors regarde. »

« C’est vrai. Monsieur, s’il vous plaît permettez-moi. »

« Qu’est-ce qui vous prend si subitement ? »

« Ne soyez pas pointilleux ! Parce que vous étiez aussi un aristocrate, vous devriez connaître la manière de s’excuser, n’est-ce pas ? »

« Eh bien, si c’est seulement ça. »

« Alors tout est bon. Maintenant, regardez. »

Malgré l’embarras de Paul, Zenith et Lilia s’étaient alignées devant lui. Puis, tour à tour, elles avaient montré l’étiquette qui avait déclenché la querelle. Elles avaient toutes deux montré la manière dont une dame aristocratique devait s’excuser auprès de son supérieur.

Zenith aurait eu l’air gracieuse aux yeux de tous, et tous auraient pu dire qu’elle n’était pas une dame d’un chevalier reclus à la campagne, mais plutôt une dame vivant dans un palais royal, et issue d’un aristocrate connu.

Les mouvements de Lilia étaient un peu plus étranges, c’était un mouvement que Paul ne pouvait généralement pas comprendre, mais le mouvement lui-même était parfait, et il pouvait voir en un coup d’œil qu’elle travaillait dans un palais royal.

« Alors, comment est-ce ? »

« Eh bien… c’était magnifique. Vous l’étiez toutes les deux. Je pouvais voir que Zenith était une dame avant. Lilia ne semblait pas habituée à la manière aristocratique de s’excuser, mais en tant que servante gardienne, elle peut même s’excuser auprès des aristocrates. C’est incroyable. »

Paul donna sa réponse avec une rotation complète de sa poitrine. Cette méthode pour les complimenter le plus justement possible était parfaite pour un ancien papa gâteau. Mais ce n’était pas la réponse qui correspondait à cette situation. La réponse que ses femmes attendaient n’était pas celle-là.

« Ce n’est pas ça ! Nous vous avons demandé de savoir laquelle était l’étiquette correcte ? »

« Les deux… Les deux sont correctes, n’est-ce pas ? »

« Qu’est-ce que tu dis ? Il n’existe qu’une seule forme correcte d’excuse pour une femme ! »

« C’est vrai. Monsieur, vous avez beau négliger d’étudier l’étiquette, ne dites pas quelque chose qui nous conviendrait à tous les deux. »

En effet, Paul n’avait que peu étudié l’étiquette lorsqu’il était enfant. Cependant, il connaissait parfaitement la manière de s’excuser. Sûrement parce qu’il le faisait souvent lui-même et qu’il avait vu beaucoup d’aristocrates s’excuser auprès de son père.

« Cela ne te convient pas. »

« Alors vous pouvez dire lequel est incorrect, non ? »

De plus, les connaissances de Paul s’étendaient même à des endroits éloignés, on pourrait presque dire qu’il connaît toutes les façons de s’excuser.

« Je vous le dis, vous avez tous les deux raison, Zenith agit suivant l’étiquette de Milis, tandis que Lilia celle d’Asura. N’est-il pas normal que des pays différents aient des façons différentes de s’excuser ? »

À ces mots, Zenith et Lilia arrêtèrent de bouger et regardèrent le visage de l’autre pendant quelques secondes. Elles corrigèrent leur posture comme si elles étaient d’accord, et inclinèrent la tête avec des mouvements gracieux.

« Désolé, à cause de mon malentendu, j’ai fini par dire des choses terribles. Veux-tu me pardonner ? »

« Pas besoin de s’excuser. Même si madame a dit qu’elle était de Milis, je ne l’ai pas écoutée. Je mérite une punition. »

Quelques secondes après, elles avaient relevé la tête tandis que leurs épaules commençaient à trembler.

« Huhuhu »

« Hahaha »

Et elles se mirent toutes deux à rire.

« Qu’est-ce que c’était que ça… »

Paul commença à se gratter la tête, et remarqua soudainement la fille à côté de lui.

« En tout cas, ça doit être dur pour toi d’apprendre de ces deux-là. Fais de ton mieux Sylphiette ! »

« Oui ! »

Et ainsi, à partir de ce jour, Sylphiette commença à apprendre les étiquettes de Milis et d’Asura.

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Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

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