Masou Gakuen HxH – Tome 3 – Chapitre 4 – Partie 3

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Chapitre 4 : Il s’agit d’un Traitement Médical jusqu’à la Fin, Desu

Partie 3

Kizuna inclina largement son corps en arrière et s’étira. Par ce temps clair et dégagé, il pouvait voir les nuages ​​blancs flotter dans le ciel bleu. Sous ce ciel bleu, six pistes alignées avaient été placées là.

« Salut — je »

*DON*, avec de telles voix, les étudiants s’étaient précipités. Leurs corps débordaient de vivacité alors qu’ils parcouraient la piste.

C’était le deuxième groupe de première année de Kizuna qui était en classe d’éducation physique.

Aujourd’hui, ils avaient été mesurés dans les épreuves d’athlétisme, et les résultats devaient confirmer leurs performances de base en capacité physique. Néanmoins, Kizuna était le seul étudiant de sexe masculin. Cette classe d’éducation physique était bien plus dure que la classe d’études.

Parce que —,

Kizuna courait le long de la piste et il regardait ses camarades de classe.

Un instant, il avait confondu leurs silhouettes avec le fait qu’elles étaient toutes nues. Tout en correspondant au mouvement de leur corps pendant le cours, les seins avaient beaucoup plus rebondi qu’à l’accoutumée.

Et c’était sans même mentionner la dépression évidente qui constituait leurs fesses, car même la ligne subtile du corps était complètement exposée au soleil sans que rien puisse le cacher.

C’était tout simplement une évidence. Tous les étudiants suivaient le cours en combinaison de pilote.

Il observait chaque jour les silhouettes des pilotes d’Amaterasu, mais il ne voyait généralement que la silhouette de ses camarades de classe en uniforme. Maintenant, ces camarades de classe couraient avec les courbes de leur corps pleinement exposé, le rendant totalement stimulé par tout cela.

Non, non. C’est trop grossier de les regarder quand ce n’est même pas un devoir, pensa Kizuna.

Kizuna détourna son visage et leva les yeux au ciel.

« Hm ? C’est —, » balbutia Kizuna.

Des silhouettes humaines étaient visibles au-dessus du ciel dans la zone voisine. Une traînée de lumière était présente autour d’une silhouette. Et assez rapidement, deux silhouettes s’étaient affrontées dans le ciel.

Cœur hybride ? Non, c’est les Armures Techniques que Shikina-san a fabriquées. Est-ce qu’une formation pratique les utilise en ce moment ? Maintenant que je m’en souviens, Sylvia me l’a aussi dit, pensa Kizuna.

{Ah, mais depuis un moment, nous avons commencé à utiliser des Armures Techniques pour la formation, desu. Je travaille dur pour que je puisse aussi rapidement devenir utile au combat pour le capitaine.}

Kizuna avait sorti son smartphone et confirma le programme du collège. À l’heure actuelle, ceux qui suivaient un cours pratique étaient exactement la classe de Sylvia.

Eh bien ! Ça devrait aller pour moi de sauter un peu le cours, pensa Kizuna. J’ai promis à Sylvia que j’irais la voir. Même si je reste ici à regarder les silhouettes impudiques de mes camarades de classe, ce n’est qu’un supplice.

Kizuna avait alors fait mine d’aller aux toilettes et se dirigea vers la zone voisine. Après avoir passé la porte sans surveillance et franchi un couloir, il trouva l’entrée en direction de la piste d’entraînement.

La piste était presque aussi grande qu’un terrain de football. C’était trop étroit pour que des Heart Hybrid Gears puissent s’y battre sérieusement, mais il devina que cela ne posait pas de problème pour la pratique des Armures Techniques.

Les étudiants étaient rassemblés au milieu du terrain. Il avait deviné qu’il pourrait y avoir environ cinquante personnes. Le nombre de garçons était à peu près le même que celui des filles, alors peut-être que la classe d’aujourd’hui était une leçon combinée de deux classes.

Quatre Armures Techniques étaient déjà dans les airs, ils semblaient attendre le signal du début du match.

« Est-ce que… Sylvia !? » demanda Kizuna.

Il y avait deux filles et deux garçons. Parmi eux, il y avait une personne qui était terriblement petite, alors c’était sans doute Sylvia.

En la regardant ainsi, il pouvait bien comprendre que même parmi les étudiantes de la même année, elle était vraiment petite. Même s’ils portaient le même équipement, l’Armure Technique que portait Sylvia ressemblait à un peu trop grande.

L’Armure Technique n’avait pas un design aussi raffiné que la vraie affaire. Un cadre qui ressemblait à un exosquelette avait été mis à nu, dégageant une impression farouche. À l’intérieur, Sylvia, vêtue de son costume de pilote, était bien ajustée au centre.

Au même moment, avec la sonnerie de départ, les quatre Armures Techniques avaient commencé à bouger.

Afin de contrôler la situation, ils avaient pris de la distance et tourné. En regardant les mouvements désordonnés que chaque Armure Technique faisait, il semblait que ce n’était pas une bataille au hasard, mais une bataille royale.

Il n’y avait pas d’arme particulière pour chaque Armure Technique, ils portaient tous les quatre des fusils d’assaut classiques à la main. Une Armure Technique parmi eux tirait de loin. Le but était… Sylvia. Calme-toi, il n’y a aucune chance de frapper de si loin. Cependant, ça me rend déjà nerveux dès le début… hein ?

Sylvia volait au milieu des balles à venir sans la moindre hésitation. Et puis, alors qu’elle s’était approchée de son adversaire, elle avait préparé son fusil avec un mouvement calme et avait visé de façon précise.

Et puis elle avait appuyé sur la gâchette.

L’épaule de l’Armure Technique qui tirait sur Sylvia avait été peinte de liquide rose. Il semblait que les balles qu’ils utilisaient étaient des balles de peinture.

« Oui ! » Cria Kizuna par réflexe.

C’est super, elle est vraiment calme en ce moment. C’est génial, continu comme ça ! pensa Kizuna.

Les deux autres avaient pivoté et avaient visé Sylvia depuis deux directions en même temps avant de tirer. Pour une raison inconnue, ils coopéraient pour vaincre en premier ce puissant adversaire. Sylvia retourna son corps avec un mouvement réduit. Ses jambes s’ouvrirent largement, alors qu’elle contrôlait parfaitement son corps avec ses propulseurs. Ce léger mouvement empêchait les deux autres Armures Techniques de cibler correctement leur objectif.

Uooo, c’est génial Sylvia ! pensa Kizuna.

Kizuna était excité comme si c’était lui-même qui se battait. Non, son excitation était encore plus intense que ça. Sylvia avait facilement accédé au dos de son adversaire et elle y avait placé des balles de peinture.

Cependant, l’Armure Technique restant tirait sur Sylvia d’en haut.

Danger ! Comme prévu, il n’y a pas d’esquive possible là. Mais elle a vaincu deux Armures Techniques toute seule. C’est une trop belle performance. Je dois la louer plus tard, Pensa Kizuna.

Dès l’instant où il pensait que Sylvia avait été abattue, Sylvia avait démontré un changement de direction soudain sans aucun mouvement préalable. Elle tournoyait tout en visant son adversaire avec la bouche du canon de son arme.

Elle a évité ça !? Mais, elle ne peut pas frapper de cette façon impossible, pensa Kizuna.

La poitrine de l’adversaire avait été touchée par un liquide rose.

« Quoi… »

Les étudiants avaient fait entendre des voix joyeuses.

{Match fini. Tout le monde descend !}

La voix de l’instructeur s’était fait entendre par les haut-parleurs, et toutes les Armures Techniques étaient lentement descendues au sol. À la fin du match, Sylvia et les trois autres avaient discuté en riant sans se soucier de rien.

Les trois autres n’étaient pas mal non plus. Cependant, le talent de Sylvia était exceptionnel. L’excellente évaluation sur elle était sans exagération une vérité. Pour le dire honnêtement, on pourrait même l’appeler un prodige.

« Sylvia-chaaan ! Incroyable. »

« C’est génial — moi, Sylvia — ! »

Sa popularité parmi la même année était également grande. Mais c’était surtout la fougue des garçons qui le dérangea un peu.

Quand ils avaient finalement atterri sur le terrain, la jambe de l’Armure Technique qu’un garçon avait mise s’était empêtrée avec une autre armure.

« Ah ! Dangereux ! » cria Sylvia.

Sylvia qui se tenait sur le côté était rentrée en collision et elle s’était effondrée sur le sol. Des cris s’étaient fait entendre parmi les étudiants.

Kizuna se précipita et se dirigea vers la position de Sylvia.

« Sylvia ! Ça va !? » demanda Kizuna.

« Hein  ? Ca-Capitaine !? Pourquoi es-tu ici, desu ? » demanda Sylvia.

Tout en restant allongée sur le sol, Sylvia leva des yeux de surprise vers Kizuna.

Les étudiants environnants avaient l’air surpris du fait qu’un lycéen était apparu soudainement. « Hé, qui ? » « Qu’est-ce qui se passe avec lui, agissant si familier avec Sylvia-chan ? » On pouvait entendre des voix bavardes comme celles-là un peu partout.

Ah —, c’est bien que les mauvaises rumeurs ne se soient pas répandues dans la classe de Sylvia, mais… je suis peut-être trop téméraire, pensa Kizuna.

Puis, en repensant à tout cela comme si c’était quelque chose pour laquelle il ne pouvait pas faire autrement, Kizuna appuya sur le bouton de déverrouillage de l’Armure Technique et libéra Sylvia.

« Ouais. Après tout, j’ai promis d’aller voir ton cours pratique, » déclara Kizuna.

« Hehehehe, j’ai montré au capitaine mon côté négatif, désolée, » déclara Sylvia.

Elle se leva en se grattant maladroitement la tête.

« Qu’est-ce que tu dis ? C’était génial. Tu as un grand talent, » déclara Kizuna.

« V-Vraiment, desu ? — As –, » cria Sylvia.

Son genou se plia soudainement d’un coup sec et elle faillit tomber. Kizuna serra son corps dans ses bras pour l’empêcher de tomber.

« Oh, ça va !? » demanda Kizuna.

« Moi je vais bien, desu. J’ai montré encore une fois au Capitaine un acte inconvenant… même si, enfin, le Capitaine est venu me regarder…, » déclara Sylvia.

Sylvia avait les larmes aux yeux.

Kizuna souleva le corps de Sylvia sans rien demander.

Pour ainsi dire, c’était ce qu’on pouvait appeler le porté de la princesse, et les camarades de classe de Sylvia avaient applaudi.

« Ca-Capitaine !? » s’écria Sylvia.

« Ton pied s’est tordu quand tu es tombée, non ? Nous allons à l’infirmerie en ce moment, » déclara Kizuna.

Tout en ignorant les étudiants hébétés et l’instructeur, Kizuna commença à courir avec Sylvia dans ses bras.

Après avoir couru pendant cinq minutes, il était arrivé au bâtiment de l’école du département lycée. Sans même prendre la peine de changer de chaussures d’intérieur, il se précipita ainsi à l’infirmerie.

« Attends, l’institutrice n’est pas là ! » déclara Sylvia.

Dans ce cas, ne devrait-on pas aller au laboratoire ? Se demanda Kizuna.

« E, euh, capitaine… tu n’as pas besoin d’être aussi inquiet, ce n’est pas quelque chose de grave, desu. Je pense qu’il sera guéri si nous faisons une compression, » déclara Sylvia.

« Même moi, je peux m’en occuper si c’est juste ça, mais… de toute façon, regardons l’endroit blessé, » déclara Kizuna.

Kizuna reposa Sylvia et la fit asseoir au bord du lit.

« Oui. Ah ! Mais il est impossible que le capitaine fasse quelque chose comme…, » déclara Sylvia.

« C’est bon ! Alors assieds-toi docilement, » déclara Kizuna.

La combinaison de pilote de Sylvia était une pièce qui lui recouvrait le cou et la poitrine, mais c’était un habit avec la nuque ainsi qu’une partie de l’arrière grandement ouverte. La coupure dans les emmanchures et la région basse était largement ouverte, tandis que des gants jusqu’au-dessus de ses coudes et des collants jusqu’à sa cuisse protégeaient ses membres.

Kizuna avait enlevé ce collant. Une jambe blanche délicate avait révélé son apparence. La cheville de cette jambe était gonflée et rouge.

« Oh, ça a l’air douloureux. »

Il allait d’abord calmer la douleur. Il avait sorti une nouvelle serviette de l’étagère en verre, la trempa dans de l’eau et la tordit légèrement, puis il commença à l’essuyer sur la jambe de Sylvia.

C’était vraiment mince et petit. C’était comme si elle était une espèce complètement différente de lui.

« Ha… le froid est agréable, desu, » déclara Sylvia.

Sylvia soupira en raison d’une sensation agréable.

« Ah, c’est un peu tard pour le dire, mais merci beaucoup d’être venu me voir. Euh, ça…, qu’en a pensé le capitaine ? Les compétences pratiques de Sylvia sont…, » déclara Sylvia.

« Oui, ça m’a surpris. Sylvia, tu es vraiment excellente. Tu as un talent incroyable, » déclara Kizuna.

« V-Vraiment, desu !? » demanda Sylvia.

Sylvia se pencha vers l’avant et ses yeux brillèrent.

« Ouais, c’est vrai… attends, je t’ai dit, ne bouge pas ! » déclara Kizuna.

« Ou — iiii ♪, » s’écria Sylvia.

Elle souriait avec joie en étant de bonne humeur.

Il ne plaisantait pas. Le sens de l’équilibre de Sylvia et sa capacité à saisir l’espace étaient remarquables. Mais après avoir été qualifié d’excellente pilote, cela signifiait qu’elle arriverait rapidement sur le champ de bataille. Cela signifiait également que le danger serait son compagnon constant. Si elle avait aussi des affinités avec le Noyau et l’Hybridation des Coeurs, alors…

En regardant Sylvia qui souriait comme un ange, ses sentiments devinrent complexes.

« Hm ? Capitaine, est-ce que quelque chose ne va pas ? » demanda Sylvia.

« Ah ! Non rien. Euh, peut-être y a-t-il aussi des ecchymoses à d’autres endroits. Pourquoi ne pas vérifier si tout est correct ? » demanda Kizuna.

« Oui ! »

Elle avait répliqué avec une réponse énergique et elle avait commencé à enlever les autres collants et gants. Au moment où ses membres étaient devenus nus, le taux d’exposition de sa tenue était devenu soudainement très élevé.

Est-ce que la conception de la tenue était aussi érotique sans les gants et les collants… ? Attends, je me demande quoi en ce moment ! pensa Kizuna.

« … Ah, c’est tellement éraflé et meurtri ici et là…, » déclara Kizuna.

Les ecchymoses sur la peau blanche et lisse semblaient douloureuses, et il se sentait incapable de laisser cela ainsi. Il avait alors fouillé l’étagère à pharmacie et il avait trouvé un baume pour les bleus.

Voyons voir ! Comment l’utiliser… ? Alors, prenez la quantité appropriée sur votre doigt et étendez-la avec un massage au centre du point douloureux… hein, pensa Kizuna.

Kizuna avait pris le baume dans sa main et il commença à caresser la cheville de Sylvia avec un massage.

« Ah…, » s’exclama Sylvia.

« Est-ce que ça fait mal ? » demanda Kizuna.

« Non… ça fait du bien, desu, » déclara Sylvia.

Ses mots qui s’échappaient avec son soupir étaient étrangement érotiques.

Oh, celle qui est devant toi est Sylvia ! Il faut que je garde mon calme ! Kizuna secoua la tête et se persuada de ça.

Il avait également fait glisser sa main sur la cuisse avec le baume appliqué dessus. La peau de Sylvia était vraiment douce, lisse, et c’était vraiment comme la peau d’un bébé. Peu importe où il touchait, c’était doux. Il avait même l’impression qu’il était peut-être celui qui se sentait bien, même si c’était lui qui massait.

La main de Kizuna avait avancé à l’intérieur de la cuisse, jusqu’à la direction de l’articulation de sa cuisse.

 

 

Comme je le pensais, plus que cela… mais je dois traiter la blessure, pensa Kizuna.

Il avait fait attention à ne pas toucher plus haut que ça, alors que son doigt s’avançait très près de l’articulation de la cuisse.

« Fua… ahh, en quelque sorte, c’est la première fois, je me sens comme ça, desu, » déclara Sylvia.

Les joues de Sylvia étaient teintes en rose. À l’intérieur des yeux fascinés et rétrécis, ses yeux humides brillaient.

Cette expression était envoûtante et il ne pouvait pas penser que cela venait d’une enfant. La gorge de Kizuna avait englouti sa salive de manière audible.

« Y a-t-il d’autres endroits qui font mal ? » demanda Kizuna.

« Oui… si le capitaine peut, il faudrait faire aussi mon dos…, » déclara Sylvia.

Sylvia s’était tordu le corps pour lui montrer le dos. On aurait dit qu’elle prenait un air coquet. Le cœur de Kizuna s’était mis à bondir. Il était tombé dans une hallucination, comme si une femme adulte se tenait devant lui avec la silhouette d’une jeune fille.

Calme-toi ! Ce moi qui ait fait face à des femmes aux corps érotiques comme Aine et Yurishia, alors je ne perdrais pas contre une silhouette aussi enfantine ! Rassemble donc tes sentiments ! pensa Kizuna.

Kizuna répondit d’une voix aussi calme que possible. « Ton dos, c’est ça ? D’accord. »

Il se sentait mal à l’aise que ce soit pour grimper sur le lit ou faire se lever Sylvia. Il entoura sa main de l’avant.

– En y réfléchissant, cette posture est assez dangereuse, pensa Kizuna.

Son doigt lui toucha timidement le dos, puis son doigt descendit doucement le long de sa colonne vertébrale.

« HAaAAANn! » Une douce voix haletante se joua aux oreilles de Kizuna.

Son sentiment de calme avait été brisé instantanément.

Sylvia se tordit comme si elle avait été touchée par de l’électricité, alors qu’elle semblait convulsée.

« Oh, ça va ? Est-ce que ça fait mal… ? Cela ne semble pas si bien que ça, non ? » demanda Kizuna.

Sylvia répondit, haletante. « Oui, oui… quelque chose semble picoter, Sylvia se sent étrange d’une manière ou d’une autre. C’est… la première fois, desu. Sylvia est-elle malade ? »

« Non, je pense que tu vas bien… peut-être, » déclara Kizuna.

Sa clavicule était visible sur sa poitrine pliée. Et puis, même si elle était petite, se trouvait la poitrine mince, légèrement bombée. Au centre se trouvaient deux petites saillies qui ne se distinguaient pas jusqu’à présent. Elles commençaient à proclamer leur existence.

Même si cela n’était généralement pas visible jusqu’à présent, cela poussait très clairement la combinaison de pilote, lui apprenant sa forme.

« Sylvia, plus que ça —, » déclara Kizuna.

« Funyu ? Quelque chose ne va-t-il pas, capitaine… ? » demanda Sylvia.

Une lumière brillante était présente dans ses yeux violets.

– C’est ça ! Ne me dis pas !?

Non, il n’y a pas de doute. C’est le signe de l’Hybridation des Coeurs. Si je pense comme ça, alors cet état de luxure chez Sylvia est également compréhensible.

Mais, elle n’a toujours pas de Noyau installé en elle, n’est-ce pas  ?

L’explication à laquelle je peux penser est… la capacité d’Eros, n’est-ce pas ?

Par hasard, est-ce que c’est… un moyen d’enquêter sur la compatibilité pour l’Hybridation des Coeurs ?

« Ca, Captainnne… Sylvia, ça…, » s’exclama Sylvia.

Les larmes avaient commencé à couler depuis les yeux de Sylvia, alors elle se frottait les cuisses.

Maintenant qu’il en était arrivé là, il ne pouvait pas s’en empêcher.

« Sylvia, je vais te réconforter maintenant, » déclara Kizuna.

« Hayu? » demanda Sylvia.

La main de Kizuna caressa avec amour le dos de Sylvia.

Il caressa comme pour confirmer la forme de son omoplate dans son dos, puis sa main descendit jusqu’à sa taille.

« Fuu !? »

Incapable de le supporter, le corps de Sylvia avait bougé et sa poitrine avait été poussée plus loin. C’était comme si elle attendait avec impatience les caresses stimulantes de Kizuna, alors que sa poitrine tremblant était devant le visage de Kizuna..

Kizuna effleura doucement cette poitrine puis il le saisit légèrement.

« Haaau ... — ! »

Une sensation de douceur pouvait être ressentie venant de la très petite poitrine. Il enleva temporairement sa main, puis toucha doucement la poitrine avec sa paume. Il fit rouler l’un des bouts pointus que sa paume sentait comme dans un massage.

« Auu ! Ah ! Hauu ! »

Le corps de Sylvia avait bondi à intervalles réguliers comme si elle avait été électrocutée.

Les doigts de Kizuna pincèrent doucement les protubérances sur cette poitrine.

« KYAUUUuuuuuuuu — … nh… hhaaaaa- ! »

C’était juste un peu, mais un jet de lumière violette était sorti du corps de Sylvia. Cela brillait, s’entremêlant légèrement avec la lumière rose du corps de Kizuna avant de disparaître.

Après ça, Sylvia semblait être épuisée puis elle s’était effondrée sur le lit. Sa respiration était agitée comme si elle venait juste de terminer un entraînement intense. Elle transpirait légèrement, avec une expression de transe présente sur son visage.

Il n’y avait pas d’erreur. Sylvia avait une compatibilité importante avec les Noyaux.

Elle avait un talent exceptionnel doté de capacités de pilote importantes et cela était doublé de sa grande compatibilité avec un Noyau. Elle était sûrement la candidate la plus forte en tant que prochaine membre d’Amaterasu.

Kizuna caressa le visage de Sylvia. Ses cheveux blonds étaient moelleux comme des plumes. C’était vraiment agréable au toucher. Sylvia avait blotti sa tête contre la main, comme le ferait une enfant gâtée, tout comme si elle se sentait bien.

« Si tu savais tout cela, alors tu serais vraiment heureuse, n’est-ce pas…, » murmura Kizuna.

Mais, le cœur de Kizuna était sombre en ce moment.

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