Masou Gakuen HxH – Tome 2 – Chapitre 3

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Chapitre 3 : Capturée par la malédiction du passé

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Chapitre 3 : Capturée par la malédiction du passé

Partie 1

Sur le mur du Laboratoire Nayuta, la femme qui s’était présentée sous le nom d’Aldéa avait été projetée.

Il s’agissait de la vidéo qu’Eros avait automatiquement enregistrée lors de son fonctionnement. À l’intérieur du moniteur, la femme qui souriait avec douceur émettait une lumière verte, alors qu’elle équipait son Heart Hybrid Gear.

En regardant cette image, Reiri avait parlé. « C’est donc celle qui a repoussé l’Armement Corrompu d’Aine dans la bataille précédente. »

Sur l’écran, le mystérieux Heart Hybrid Gear qui s’était défendu contre Pulvérisateur avait été projeté.

Kei avait tapé des touches sur la console, et le contenu avait été projeté sur l’écran.

{Il n’y a pas d’erreur. Il s’agit du même équipement Heart Hybrid Gear. L’humain qui l’équipe est également identique.}

Aldéa, qui était affichée sur le moniteur mural, avait dévié les Lames avec son bouclier. Elle avait frappé dans le trou qui était ouvert sur le mur, ce qui l’avait fait s’effondrer.

{Les détails sont encore inconnus, mais cette lance et ce bouclier semblent posséder le pouvoir de déformer l’espace.}

« Distorsion... l’espace ? » Kizuna s’était tourné dans la direction de Kei et lui avait demandé ça.

{Au moment où cette lance a touché le bâtiment, l’espace qui l’entourait s’est déformé. Cette distorsion a déchiré le bâtiment, et elle a même déformé la Sauvegarde Vitale. Son bouclier utilise la même théorie. Dès que la Lame l’a touché, l’espace a été déformé, repoussant l’attaque.}

« Alors, qu’en est-il de ce tsunami de décombres ? » Kizuna avait pointé du doigt sur le moniteur mural alors qu’il demandait ça.

Quand Aldéa avait tracé une ligne sur le sol avec sa lance, le sol qui s’était légèrement plissé s’était progressivement élevé après ça, puis il était descendu vers l’avant comme une onde de choc.

{En déformant l’espace, elle a produit une certaine gravité. En utilisant ce pouvoir, elle a déplacé la masse et causé ce genre de tsunami de décombres, c’est ce que je suppose.}

« Qu’est-ce que c’est que ça ? » Kizuna n’avait pas l’impression que tout cela était réel. Il ne pouvait comprendre cela que comme une sorte de pouvoir surnaturel.

Aine avait fait la moue sur ses lèvres dans l’insatisfaction. « C’est un pouvoir absurde. Comme c’est insolent. »

Yurishia sépara sa bouche de la bouteille de cola qu’elle buvait. « Même l’armement de corruption d’Aine est déjà quelque chose du genre. »

Reiri fixait Aldéa dont l’image était fermée. « De plus, le nom de cette femme est Aldéa... et ensuite elle a désigné son Heart Hybrid Gear sous le nom de Zeel, exact ? »

« Oui. Mais elle ne l’appelait pas Heart Hybrid Gear, mais armure magique. » Himekawa avait ajouté.

« Alors, ceux qui sont entrés en contact avec elle étaient seulement Kizuna et Himekawa ? » demanda Reiri.

« C’est exact. Je ne faisais que des tirs de loin, donc je ne me suis même pas approchée... ah, mais Aine s’est approchée d’elle, n’est-ce pas ? » demanda Yurishia.

« ... Oui. Mais, elle parlait de choses incompréhensibles, on ne pouvait pas lui parler d’une manière intelligente, » déclara Aine.

« Et de l’autre côté de l’Entrée, à savoir l’Empire Vatlantis de l’Autre Univers…, » Reiri avait croisé les bras alors qu’elle disait ça.

« Hé... Nee-chan. Cette femme est-elle vraiment une personne de l’Autre Univers ? Et aussi, quelque chose comme l’Empire Vatlantis existe-t-il vraiment dans l’Autre Univers ? » demanda Kizuna.

« Qui sait ? Il n’y a aucune possibilité que je puisse le savoir, » répondit Reiri.

Eh bien, c’est... c’est vrai.

« Kei, montre l’image de l’Arme Magique, » demanda Reiri.

L’image du dragon à trois têtes avait été projetée sur une autre surface murale.

{Il s’agit d’une Arme Magique qui a été observée pour la première fois à cette occasion. Ce qui est terrifiant, c’est qu’il a repoussé toutes les attaques des Heart Hybrid Gears. L’attaque envoyée depuis sa bouche et de ses ailes a même détruit la Sauvegarde Vitale. Cette capacité surpasse de loin la catégorie A.}

« Au-dessus du rang A, hein…, » murmura Reiri.

{Il sera classé comme catégorie — provisoirement — Ultra. Pour son indicatif d’appel, il sera provisoirement nommé Dragon à Trois Têtes en raison de sa forme, ou Tri-Têtes pour faire court.}

« Commandant ! Nous devrions nous déployer une fois de plus dès maintenant, » Himekawa avait haussé sa voix.

« Rejetée, » Reiri avait répondu immédiatement.

« Quoi !? » s’écria Himekawa. « Pourquoi !? Une chose aussi dangereuse ne peut pas être laissée seule ! Nous devrions l’exterminer avec toute notre force à disposition ! »

Face à Himekawa qui, même maintenant, était là avec un regard extrêmement menaçant, il n’y avait aucune chance que Kizuna ne se sente pas mal à l’aise.

Qu’est-ce qui se passait avec Himekawa ?

Depuis le moment où elle a vu ce Dragon à Trois Têtes, son état était devenu étrange.

{La spécification de l’ennemi est inconnue. Au moins, nous avons compris qu’il s’agit d’un ennemi extrêmement puissant grâce à la dernière bataille. Il est imprudent de l’affronter pour une revanche si nous ne préparons pas une sorte de contre-mesure.} Kei avait exprimé calmement son jugement.

« Qu’allez-vous faire avec une attitude si faible ! Vous avez vu l’état tragique de Guam, n’est-ce pas ? C’est ce que j’ai fait ! Si nous laissons les choses en l’état, il y aura peut-être beaucoup plus de personnes qui rencontreront la même expérience. Détruisons-le avant que ça n’arrive ! » cria Himekawa.

Le visage de Reiri s’était durci. « Qu’est-ce qui ne va pas Himekawa ? N’en faites-vous pas un peu trop là ? S’est-il passé quelque chose ? »

« Je-Je ne voulais pas dire ça !! ... Mais…, » commença Himekawa.

Reiri poussa un profond soupir. « ... bien, très bien. Quoi qu’il en soit, tous les membres doivent se reposer aujourd’hui. La contre-mesure pour Zeel, et aussi le Dragon à Trois Têtes sera décidée après cela. Restez en attente jusqu’à ce que nous vous contactions en temps voulu. C’est tout ! »

« S’il vous plaît, attendez ! Commandante ! » Himekawa avait plaidé avec acharnement, mais Reiri était sortie de la pièce comme si elle l’ignorait.

Yurishia avait fait un grand bâillement. « Haaaaaa... comme prévu, je suis fatiguée. Je vais vite rentrer chez moi et dormir. »

« Je suppose... demain, il y aura une classe normale pour nous, comme c’est incroyable, » déclara Kizuna.

La pensée de son futon était extrêmement intéressante. Il aurait dû retourner au dortoir le plus rapidement possible et aller dormir.

« Si c’est depuis ici, alors rester à l’hôtel nous ferait gagner du temps, tu sais ? Hé, Kizuna. Ne veux-tu pas rester avec moi ? » demanda Yurishia.

« Quoi !? » s’écria Kizuna.

Ses yeux s’étaient ouvert tout d’un coup et il n’avait plus du tout sommeil.

Rester ensemble... est-ce qu’elle voulait dire ça dans ce sens ?

« Qu’est-ce que tu dis ? Il est interdit de rester à l’extérieur. » Aine avait répondu nonchalamment.

« Et à propos de ça, la localisation de ma chambre est plus proche de celle de la chambre de Kizuna. C’est mieux que tu te reposes dans ma chambre, tu sais ? » demanda Aine.

« Non, c’est dans le même dortoir, n’est-ce pas ? Et c’est même dans le même étage, » répondit Himekawa.

« Mais, la distance est plus proche de ma chambre de l’ascenseur, » répondit Aine.

« Aah, certainement... pour seulement cinq mètres ! » répliqua Himekawa.

Tout en ayant ce genre d’échange, la bouche d’Himekawa était contractée comme si elle pensait sérieusement à quelque chose.

... Comme prévu, il y a bien quelque chose. Demain, essayons de demander à nouveau. Kizuna avait pensé à une telle chose alors qu’il se dirigeait vers le dortoir.

 

☆☆☆

 

« Alors, pourquoi es-tu de passage devant ma chambre ? » Dans l’étage exclusif pour Amaterasu, Aine avait demandé à Kizuna.

« Non... même si tu me demandes pourquoi, je vais juste dormir, » répondit Kizuna.

Le visage d’Aine était tout rouge. « Tu me dis que tu vas dormir en face et de cette manière. Comment peux-tu dire une telle chose avec un visage aussi simple ? Je me demande si c’est ce que les gens appellent un “visage épais, mais sans honte [1]”. »

« Non... visage épais, mais sans honte, ne fais pas référence au visage ou à quoi que ce soit, » répliqua Kizuna.

Les doigts d’Aine jouaient avec les pointes de ses cheveux, affichant qu’elle manquait cruellement de sang-froid en ce moment.

« Si je te laisse errer tout seul, on dirait bien que tu violerais quelqu’un tous les trois pas... euh... eh bien, nous ne devons pas laisser agir un criminel d’Amaterasu en liberté, alors je pense que je dois faire quelque chose à ce sujet…, » déclara Aine.

« ... Si tu veux faire des bavardages nocturnes, fais-le après avoir dormi, » répliqua Kizuna.

La mission de nuit. La rencontre avec une ennemie mystérieuse. Une bataille avec une catégorie ultra. Et ensuite, le rapport lors la réunion.

Son corps et son cœur étaient déjà à la limite.

« Alors, bonne nuit. La gestion de ta santé fait également partie de la bataille. Alors, va vite te coucher, » déclara Kizuna.

« Ah... at-attends un peu. Je pensais à analyser les images de l’ennemi que nous avons rencontré aujourd’hui. N’est-il pas mieux pour toi, Kizuna, de les regarder avec moi ? » demanda Aine.

Il n’était absolument pas d’humeur pour ça.

« Fais-le demain et va vite dormir, » laissant ces mots derrière lui, Kizuna était retourné dans sa propre chambre.

Une fois dans sa chambre, il s’était mis à pousser un profond soupir. « Pfff... bon sang, je suis rentré à la maison... »

Peut-être que sa tension s’était trop relâchée, mais un salut de retour de son pays était naturellement sorti de sa bouche, même s’il n’y avait personne dans sa chambre. Il était alors rapidement entré dans le bain après son retour dans sa chambre, de sorte qu’il ne restait plus qu’à dormir pour achever sa journée.

Il s’était alors changé en pyjama et s’était rapidement glissé dans son lit.

Aaahh, cette chaleur... d’une manière ou d’une autre, il y avait une chaleur confortable et elle ressemblait mystérieusement à de la peau humaine.

De plus, la texture de ce futon était moelleuse et douce, il ne pouvait pas encore comprendre pourquoi, mais cette agréable sensation de toucher était...,

« Attends ! Qu’est-ce que c’est que ça !? » s’écria-t-il.

Quand il avait enlevé la couverture de dessus son futon, il vit qu’il y avait Sylvia qui dormait profondément dedans.

Avec ses cheveux blonds, doux et duveteux, en plus de ses longs cils qui étaient également blonds et le tout couplé avec sa peau lisse comme celle d’un bébé, elle ressemblait vraiment à un ange endormi.

« Sy-Sylvia ! Tu..., qu’est-ce que tu fais dans ce genre de... ! » commença-t-il à demander.

Comme il l’avait un peu bougé, Sylvia s’était frotté les yeux tout en soulevant le haut de son corps d’une manière incertaine.

« Funya ? Ah, Capitaine... bienvenue, à la maison, desu…, » répondit-elle d’un ton mignon.

« Tu... m’as-tu attendu pendant tout ce temps ? » demanda Kizuna.

« Exacte... Comme Sylvia ne peut rien faire, desu. C’est pourquoi j’ai pensé qu’au moins, quand le capitaine rentra chez lui, je devais l’accueillir... alors…, » alors qu’elle répondit, sa tête se balançait d’une manière instable entre la gauche et la droite, et ses yeux endormis semblaient vouloir se refermer à tout moment.

« Franchement…, » murmura Kizuna alors qu’il caressait avec douceur la tête de Sylvia.

« C’est bon que tu sois déjà endormie. Va, repose-toi bien, » lui murmura-t-il.

Peut-être qu’elle fut rassurée par ces paroles, car Sylvia bâilla et s’effondra contre Kizuna. Elle était maintenant appuyée contre Kizuna et elle avait dès lors commencé à avoir la respiration du dormeur.

Bon sang..., dois-je dormir sur le canapé... oh ? se demanda-t-il avant de constater quelque chose.

La main de Sylvia… s’était agrippée avec force aux vêtements de Kizuna.

« Oh, Sylvia…, » il avait commencé à lui parler pour la réveiller à nouveau, mais quand il avait vu à quel point Sylvia dormait paisiblement, il avait eu l’impression que ce serait trop horrible de sa part de la réveiller.

Ainsi, Kizuna s’était couché comme ça, et il avait couvert son corps et celui de Sylvia alors qu’elle le serrait avec force dans ses bras.

Avant qu’il ne s’en aperçoive, Kizuna avait aussi commencé à respirer paisiblement.

 

☆☆☆

Au même moment, Aine était dans sa propre chambre.

L’éclairage de la pièce n’était pas allumé, et le moniteur allumé était devenu le remplacement de l’éclairage.

Et là, dans ce moniteur, la vidéo regardée dans le laboratoire avant ça était également projetée.

Cela montrait la femme de l’Autre Univers appelé Aldéa.

Et il y avait aussi le Dragon à Trois Têtes.

Aine s’était assise sur le sol en s’étreignant les genoux.

Mais pourquoi ?

Son cœur battait en ce moment la chamade.

Et aussi, ce poème étrange, à propos de la déesse ou quelque chose comme ça.

L’enregistrement avait été revu jusqu’à la fin, puis l’écran s’était mis de lui-même en veille.

Après ça, elle avait appuyé sur le bouton « relecture ».

Puis l’enregistrement s’était terminé.

Le bouton de rediffusion avait été enfoncé une fois de plus.

Et encore une fois, l’enregistrement s’était terminé.

Cette fois-ci, il avait été réglé pour rediffuser en boucle.

À l’insu de tous, l’extérieur était devenu lumineux.

Malgré ça, Aine avait répété cette vidéo et avait continué à regarder pendant tout ce temps.

Notes

  • 1 Il s’agit d’une expression japonaise, mais une fois traduite, il n’a aucune signification alors qu’en japonais, cela a rapport à quelque chose sans vergogne.

***

Partie 2

Le lendemain, Kizuna avait été convoqué dans la chambre de la directrice.

« Ainsi, je vais te donner aujourd’hui une nouvelle mission, » déclara sa sœur.

Il avait alors demandé. « Une mission... qu’est-ce que c’est cette fois-ci ? »

« L’ennemi qui est apparu hier était si puissant que nous ne l’avions jamais rencontré jusqu’à présent, » répondit Reiri. « À partir de maintenant, pour pouvoir adopter une position véritablement agressive contre l’Autre Univers, nous devons reconnaître que notre puissance est encore insuffisante. »

Kizuna l’avait également ressenti.

Ce Zeel, puis le Trois-Têtes, il ne pouvait rien faire contre eux et cela même avec l’Heart Hybrid Gear

« Nous avons donc décidé de mettre en œuvre une méthode d’alimentation de l’Heart Hybrid Gear de manière plus efficace en nous basant sur les recherches précédentes qui ont progressé depuis, » expliqua Reiri.

« Eh !? Ne me dis pas qu’une telle méthode existe vraiment !? » s’écria Kizuna.

« Il y en a une. Après avoir analysé en détail les données obtenues jusqu’à présent, le résultat de certaines recherches a permis inventée une méthode révolutionnaire. La Hybridation des Coeurs ! »

Kizuna avait perdu ses forces en entendant la nouvelle et il était tombé à genoux tout en s’écriant. « En fin de compte, c’est ce que tu voulais dire par là !! »

« Suis-moi, » Reiri avait ordonné sur un ton qui ne permettait aucune protestation.

Lorsqu’on lui disait cela avec force, Kizuna avait toujours réagi en obéissant sous le coup d’un réflexe conditionné. C’était sûrement le résultat de l’empreinte gravé en lui depuis qu’il était enfant.

Il n’y avait personne dans le couloir.

Nous nous trouvions encore au milieu de la troisième heure de cours. Lorsqu’il avait jeté un coup d’œil dans la classe depuis la fenêtre présente dans le couloir, les élèves étaient assis à leur place et recevaient leur leçon.

Ils étaient sortis du bâtiment de l’école et s’étaient dirigés vers l’arrière-cour.

Là, il avait pu voir une énorme capsule sans fenêtre et avec une paroi extérieure lisse et totalement blanche.

« Nee-chan, qu’est-ce que c’est ? » demanda Kizuna.

« Il s’agit d’un simulateur obtenu lors de recherche précédente qui depuis a fait des progrès, » expliqua Reiri. « En envoyant un signal électrique au cerveau, il permet de manipuler la vue, le sens de l’ouïe et le sens du toucher. Il est donc possible de reproduire n’importe quel type de champ de bataille avec un tel objet. »

« Heee… !! » s’écrivit Kizuna.

« Il a été créé dans l’hypothèse d’être utilisé pour une bataille fictive contre une Arme Magique ou pour simuler une infiltration dans un territoire sous le contrôle de l’ennemi. Il était prévu de l’utiliser en classe pour des formations, mais…, » commença Reiri.

« N’est-ce pas incroyable ! Alors nous pouvons même avoir une bataille fictive contre cette Arme Magique de classe Ultra ainsi que cet Heart Hybrid Gear nommé Zeel ! C’est bien là une victoire de la technologie, » s’exclama Kizuna qui avait coupé la parole à sa sœur.

« Non, c’est impossible, » annonça froidement sa sœur.

« Pourquoi !? » demanda Kizuna à sa sœur.

« Une mise à jour majeure du logiciel a été effectuée depuis. Essaye maintenant d’entrer à l’intérieur de ce cylindre, » ordonna sa sœur.

Reiri avait touché la plaque équipée de capteurs qui se trouvait sur le côté de l’écoutille. L’écoutille s’était alors ouverte et Reiri était entrée. Kizuna l’avait alors suivie, puis l’écoutille s’était refermée derrière lui.

L’intérieur de la pièce était très sombre.

« Oh, Nee-chan. Je ne peux rien voir là ! », déclara Kizuna.

« Ne t’énerve donc pas. Je l’active bientôt, » déclara Reiri.

Activer ?

Une lumière clignotante avait commencé à s’allumer devant lui, et l’intérieur de la pièce était devenu ainsi lumineux. La lumière s’était alors stabilisée.

« Quoi... !? » s’exclama Kizuna.

Kizuna avait pris conscience de l’endroit où il se trouvait et il avait été pris de court. Après tout, cette pièce était...,

« C’est notre maison ! Celui de megaflotteur de Tokyo ! Euh ? Comment est-ce possible ? » demanda Kizuna.

« Ah, comme c’est nostalgique, » déclara Reiri.

C’est sûr. Depuis que Nee-chan s’est inscrite dans Ataraxia, elle vit dans un dortoir. Je vivais dans cette pièce jusqu’à très récemment, mais... Hm ?

Un bruit avait pu être entendu devant lui.

D’une certaine manière, c’était comme si sa vision à l’intérieur de ses globes oculaires était perturbée, c’était une sensation étrange qu’il ressentait.

Soudain, le paysage devant ses yeux changea d’un coup.

« Eh ? Le soir ? Non, attends, une plage !? », s’écria Kizuna.

Leurs deux ombres s’étendaient sur la longue plage qui était enveloppée d’une lumière orange. Le bruit des vagues qui s’échouaient sur le rivage et l’odeur de l’eau salée qui stimulait son nez lui murmuraient que la mer qui se répandait devant ses yeux lui indiquait que c’était vraiment ça et non pas un mirage. Kizuna et Reiri étaient baignés par le soleil du soir alors qu’ils faisaient tous deux faces à une plage.

« Ceci est le système de contrôle du simulateur qui permet de régler la situation, » déclara Reiri en utilisant une console transparente qui flottait devant elle.

En un instant, la plage s’était transformée en chambre d’hôtel avec une belle vue nocturne à l’extérieur.

« Non seulement le paysage, mais aussi les vêtements peuvent être changés, » expliqua Reiri.

« Eh... wôw !! » s’écria Kizuna.

L’uniforme de Kizuna s’était transformé pour prendre l’apparence de l’uniforme d’un commandant en période de guerre dans le Japon médiéval. Mais, ce n’était pas une vraie armure, car il semblait être une version allégée qui avait l’air de sortir tout droit d’un jeu vidéo et qui avait l’air étrangement moderne.

Est-ce le passe-temps de Nee-chan ?

Au moment où il avait saisi l’habit avec sa main, la sensation de toucher l’armure et le kimono était évidemment différente de son uniforme.

« Incroyable... même la sensation de toucher est identique au véritable objet, » déclara Kizuna.

« À l’origine, il s’agissait d’une fonction de simulation d’équipement de combat. La sensation de l’équipement et le poids sont également reproduits. En utilisant cela, même les humains sans Noyau devraient être capables de s’entraîner avec l’Heart Hybrid Gear comme si c’était vrai. Mais à l’heure actuelle, ce rôle a été remplacé par l’Armure Technique. »

« Non, c’est vraiment génial... mais pourquoi n’est-il pas utilisé ? Ça ne fonctionne-t-il pas correctement ? » demanda Kizuna.

« Dans cette version-là, les données de combat sont presque toutes effacées et un ensemble différent de données sont installées en échange, » répondit Reiri. « En outre, il est également nécessaire de changer l’équipement de cette salle. Peu importe à quel point il peut tromper les sens, ce sera troublant s’il n’y a pas de lit et de salle de douche. »

... Lit ?

« En ce moment, toutes sortes de lieux de rendez-vous et d’hôtels ont été placés en tenant compte de différents passe-temps, » expliqua sa sœur. « Ainsi, un total de 108 situations ont été préparées. Quant aux équipements, un total de trois mille types d’accessoires et d’outils, vêtements occidentaux, etc., tout a été inséré dans une base de données interne à l’équipement. »

« Je ne pense pas que ce soit possible... franchement, c’est effrayant de demander, mais j’oserai quand même demander. Ces données, à quoi servent-elles ? » demanda Kizuna.

Reiri avait alors répondu. « Ceci est bien sûr dans le but de facilité l’Hybridation des Coeurs et l’Hybridation Culminante entre toi et les filles de ton unité. Il s’agit donc d’un simulateur de données afin d’éveiller les sentiments et de pouvoir faire des choses érotiques. »

La conscience de Kizuna s’était éloignée en entendant ces mots.

« Cette technologie avancée... ce genre d’appareil, quel genre de remodelage démoniaque lui a-t-il été fait… ? » murmura Kizuna.

« Même si je le dis moi-même, ceci est un jugement approprié qui a été fait dans notre contexte bien particulier, » répondit Reiri.

« N’est-ce pas une idiotie !? » s’écria Kizuna.

« Kizuna, ce Zeel et ce Trois-Têtes sont des ennemis redoutables. Nous ne serons jamais victorieux avec des méthodes superficielles, » répondit sa sœur.

« Il n’y a aucun lien entre ces deux choses ! » répliqua Kizuna.

« Pour gagner contre ces adversaires, nous aussi, nous devons gagner encore plus de force, » répondit Reiri. « Pour cela, il est indispensable d’être plus efficace et rapide pour effectuer les Hybridations. Mais comment s’en rendre compte ? Kizuna, tu comprends ? »

« Non, je ne comprends pas... mais…, » balbutia Kizuna.

« L’Hybridation des Coeurs permet d’unir le cœur et le corps du mâle et de la femelle, devenant un, partageant leur affection et leur plaisir l’un avec l’autre. Afin de produire le plus grand résultat possible, il fait pouvoir rendre cette affection et ce plaisir encore plus important. Alors, comment arriver à un tel résultat ? » demanda Reiri.

Kizuna n’avait pas essayé de répondre.

« Pour ce faire, tu dois d’abord approfondir ta relation de confiance avec ta partenaire, » continua Reiri. « Et puis, en faisant des actes qui correspondent aux dispositions sexuelles de ta partenaire, cela va augmenter le plaisir mental et l’excitation. En stimulant efficacement les zones érogènes spécifiques de l’autre, tu vas provoquer un plaisir physique bien plus intense. »

... Qu’est-ce que cette personne dit avec un visage aussi sérieux ?

« Cette installation a été réalité dans ce but, » continua Reiri. « Sois donc conscient du souhait de ta partenaire et réalise-le avec ça. Et juste pour que tu le saches, ce n’est pas seulement au sujet de l’Hybridation des Coeurs que tout cela s’applique. Un homme qui peut faire cela est capable dans son travail, et est aussi populaire auprès des femmes. »

Maintenant qu’on lui avait dit cela, il ne pouvait pas simplement l’ignorer... cependant...

« Cette installation est un équipement qui surpasse le temps et l’espace. De plus, il peut mettre n’importe quel type de vêtements sur l’autre personne. Il est possible avec cela de rechercher le fétichisme de ta partenaire et d’augmenter ainsi son excitation avec efficacité, » déclara Reiri.

Lorsque Reiri avait agité la main, la console s’était déplacée et elle s’était placée directement devant Kizuna.

Le contrôle était simple, mais il y avait tellement d’options. De plus, il semblerait qu’une personnalisation extrêmement détaillée était possible sur ce système.

« Il y a une variété incroyable ici... attends, c’est quoi ces vêtements ? » demanda Kizuna.

Uniforme de marin, infirmière, reine de la course, etc., plutôt que de les appeler des vêtements, il serait plus approprié de les appeler des costumes. Non seulement il y avait une liste énorme de vêtements affichés sur l’écran, mais il y avait aussi beaucoup de sous-vêtements et d’accessoires.

« Cette catégorie de jouets est trop sinistre... ah, » déclara-t-il avant de s’écrier.

Il n’avait pas l’intention de choisir, mais son doigt avait tapoté accidentellement sur la console. Juste après ça, le paysage devant ses yeux avait soudainement changé.

« Cet endroit... ? » s’exclama-t-il.

Il s’agissait de la rue principale du centre-ville. Les passants étaient là à se déplacer normalement à l’endroit où il se tenait.

« Kizuna. Est-ce tes préférences ? » demanda sa sœur.

« Eh ? Uwaaaa !? », s’écria-t-il quand il se tourna afin de voir sa sœur.

***

Partie 3

Reiri Hida, présentant en apparence de lapine, se tenait là.

« Je ne sais pas du tout quoi penser quand tu me regardes avec ce genre d’yeux, » déclara Reiri.

GYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !

« Toi, tu es... !! » s’écria Kizuna.

Même lorsqu’il était agité, ce corps avait été gravé dans ses yeux.

Dépassant de sa tête se trouvaient de longues oreilles qui semblaient faire des *pyon* de lapin. Elle portait une cravate papillon et un col blanc. Ces longues et minces jambes étaient enveloppées de bas résille noir et d’un costume de lapin noir qui s’accrochait étroitement aux courbes de son corps.

Normalement, ce corps était caché par l’uniforme militaire, mais c’était des courbes magnifiques qui n’étaient pas derrière celle des autres filles, et cela même comparativement à Yurishia ou à Aine.

« C’est la première fois que je l’ai testé sur moi-même, mais c’est quelle chose intéressante que je vois là ? » s’exclama Reiri.

Reiri avait tournoyé sur place. Ses longs cheveux noirs dessinaient un cercle en produisant un petit son. Ses fesses qui étaient maintenant grandement exposées présentaient une jolie queue ronde blanche attachée sur le haut. Elle avait alors poussé avec force sur ses hanches et elle avait arrêté sa rotation. Ses seins qui étaient exposés sur plus de la moitié de leur surface avaient été secoués en raison de la souplesse de son buste.

Puis, elle avait mis ses mains dans ses cheveux pour les brosser tout en fixant Kizuna avec des yeux éblouissants.

« Fufufu, comment est-ce ? Je ne suis pas non plus quelqu’un que l’on peut ignorer, n’est-ce pas ? » demanda Reiri.

 

 

Quelle apparence inimaginable de la personne qui régnait au sommet d’Ataraxia ! Si les étudiants et les gros bonnets d’Ataraxia le voyaient ainsi, ils s’évanouiraient à coup sûr !

« Qu’est-ce que c’est que cette apparence ? Change-toi rapidement ! » s’écria Kizuna.

« Tu dis ça, mais n’est-ce pas toi qui m’as mis ça sur le dos… ? » déclara Reiri. « Eh bien ! Quelque chose du genre est trivial. Écoute-moi bien. Il s’agit de quelque chose pour réaliser la plus grande récupération du Compteur Hybride dans le temps le plus court possible. Pour ça, il faut créer une situation qui correspond au fétichisme de ta partenaire... eh, est-ce que tu m’écoutes bien là ? »

« O-Oui ! Je t’écoute ! » répondit Kizuna.

L’apparence de la fille lapin de Nee-chan est tout simplement trop inhabituelle, que je la regarde sans même m’en rendre compte. Nee-chan a une position élevée, et elle est toujours du côté qui donne des ordres, c’est quelqu’un contre qui je ne peux pas m’opposer. Mais en ce moment, cette douce personne est devenue un pur joyau.

C’était le pouvoir terrifiant du costume de lapin.

Elle avait alors expliqué. « Le résultat que nous avons obtenu lors de l’inspection des données de l’Hybridation des Coeurs jusqu’à présent est que nous comprenons de nouvelles choses. Plus grande est l’excitation lorsque l’Hybridation des Coeurs se produit, et meilleures seront la qualité et la quantité de l’énergie récupérée dans le Compteur Hybride du Noyau. Certes, il est possible de provoquer une Hybridation des Coeurs même avec un contact doux. Cependant, il y a une très grande différence dans l’énergie obtenue. »

« Bonne qualité ? ... Qu’est-ce que ça veut dire ? » demanda Kizuna.

Quand Reiri avait croisé ses bras, ce qui fit que ses seins avaient été soulevés par ses bras. Non seulement sa poitrine était devenue de plus en plus soulignée, mais c’était comme si les protubérances en leur centre étaient devenues visibles, et cela avait fait battre le cœur de Kizuna bien plus rapidement.

« Même les voitures peuvent être remplies avec de l’essence ordinaire et de l’essence à indice d’octane élevé, n’est-ce pas ? » demanda Reiri. « Même si tu remplis avec de l’essence ordinaire une voiture qui utilise exclusivement de l’essence à indice d’octane élevé, elle ne pourra pas montrer ses véritables performances. L’Heart Hybrid Gear fonctionne exactement de la même manière. Avec un Compteur Hybride de meilleures qualités, la puissance et les performances de l’HHG… pour le dire simplement, chacune de ses caractéristiques verras ses valeurs surélevées. »

« Est-ce... est-ce que c’est vraiment le cas ? » demanda Kizuna.

Merde, je me suis étrangement rendu compte de quelque chose. Par hasard, est-ce que j’aime vraiment les lapines ?

« Qu’est-ce qui ne va pas ? Est-ce que tu ne vas pas bien ? » demanda Reiri.

La lapine Reiri avait jeté un coup d’œil au visage de Kizuna et lui avait touché le front après s’être rapprochée de lui.

« Cela n’a pas l’air d’être de la fièvre, » déclara Reiri.

La vue de Kizuna était entièrement remplie par Reiri.

Wôw ! Proche ! De plus, la pression des seins est étrangement douce, ceux de Nee-chan, ses seins...

« Je-Je va bien ! » s’écria Kizuna alors qu’il s’éloignait de Reiri en panique.

« Est-ce que c’est vrai ? » demanda Reiri. « Quoi qu’il en soit, utilise dès que possible cette installation et essaye donc de faire une Hybridation des Coeurs ici. Tout d’abord, nous voulons confirmer l’efficacité de cette installation. Est-ce que c’est compris ? »

« M’dame, oui, M’dame ! » De manière totalement inconsciente, Kizuna avait donné une réponse affirmative.

Lorsque le système était revenu à son état par défaut, Kizuna était retourné à son ancien uniforme. De plus, le paysage du centre-ville était devenu une chambre blanche avec un seul lit à l’intérieur.

« Néanmoins, faire ce genre d’installation à l’intérieur de l’école entre tous les autres lieux possibles... n’est-ce pas moralement problématique ? » demanda Kizuna.

Après le départ de sa sœur, Kizuna s’était allongé seul sur le lit. Il avait alors regardé les Compteur Hybride des membres d’Amaterasu affichés sur son écran de son téléphone intelligent.

« D’abord, sur qui dois-je tester ça… ? » murmura Kizuna avant d’appuyer sur une icône pour déclencher un appel vers son choix.

 

☆☆☆

 

« ... Alors, je me demande bien pourquoi tu m’as fait venir ici. » déclara Yurishia.

Yurishia était arrivée auprès de lui avec une attitude étrangement vivante.

« Je me demande simplement si tu pouvais m’aider à tester les fonctions de ce nouveau simulateur, » répondit Kizuna.

« Quoi !? Est-ce donc pour un tel but ? Ça ne me dérange pas particulièrement, mais... cette pièce est-elle quelque chose comme ça ? » alors qu’elle répondait ça, affichant un visage montrant un certain regret, Yurishia regardait la pièce et ce qui s’y trouvait.

« Tout à fait, » répondit Kizuna. « Il semblerait que c’est une installation où nous nous trouvons, a été conçue pour réaliser des Hybridations des Cœurs avec une plus grande efficacité. »

Les yeux de Yurishia s’étaient ouvert et fermés à plusieurs reprises alors qu’elle réalisait ce que cela sous-entendait.

Elle avait alors demandé. « V-Veux-tu dire... faire ça, avec moi, ici ? »

« Nous, eh bien, voyons un peu ce que cela permet, » répondit Kizuna.

Kizuna avait alors fait fonctionner la console flottant dans les airs. Après ça, la salle blanche s’était transformée en un décor extérieur. Des prairies vertes et des lacs, puis des sommets montagneux recouverts de neige au loin s’étiraient sous leurs yeux.

« Eh ? Qu’est-ce que c’est !? » s’exclama Yurishia. Elle réagissait d’une réaction semblable à Kizuna lorsqu’il avait découvert cette pièce.

Le problème était de savoir quel genre de situation ferait que Yurishia soit la plus excitée.

Il avait alors changé de décor à plusieurs reprises. Il était passé de cette étendue à une plage, en passant par une chambre d’hôtel.

« Heee, c’est époustouflant ! C’est comme si tu te téléportais instantanément plusieurs fois de suite ! Quel genre d’endroits se trouvent à part ceux-là ? » demanda-t-elle.

« Eh bien... voyons ça à tour de rôle. C’est quelque chose…, » commença-t-il.

Si tu as une situation qui peut t’exciter, dis-le-moi.

Il n’y avait aucune chance qu’il ose lui demander ça... alors que devrait-il faire maintenant ?

Une chambre d’hôtel de grande classe avait ensuite été projetée. Depuis la fenêtre de la chambre, ils pouvaient voir le paysage nocturne avec des étoiles dispersées dans le ciel.

Les yeux de Yurishia s’étaient plissés, indiquant une joie intense face à cette vision.

« N’est-ce pas charmant... hein ? » murmura-t-elle.

Cependant, une pièce suspecte était alors apparue devant ses yeux.

Il y avait des lumières rouges et des barres de fer. Des chaînes attachées avec des fixations pour les bras et les jambes avaient été posées au mur, puis un support en forme de X pour la crucifixion était également visible. De plus, des choses comme une chaise avec des sangles, des meubles qui ne pouvaient normalement pas être vus, étaient alignées dans cette pièce.

Qu’est-ce que c’est que ces choses-là ? Est-ce une salle de sadomaso ?

Comme prévu, il s’agissait de quelque chose de rébarbatif.

« Hahahaha, on dirait une série télévisée. Je ne pense pas qu’il y aura quelque chose comme…, » déclara Kizuna.

La bouche de Yurishia avait été entrouverte alors qu’elle regardait l’intérieur de la pièce, c’était comme si son cœur avait été volé.

... Yurishia ?

Sa joue était colorée d’un rouge profond, son haleine semblait être devenue difficile.

« Quelque chose ne va pas ? Yurishia, » demanda Kizuna.

« Hiee— !?? Non, rien n’est faux…, » répondit-elle.

Yurishia avait répondu bizarrement en s’excitant étrangement.

« Bo-Bon sang —, qu’est-ce qu’il y a dans cette pièce. C’est vulgaire et pervers. Veux-tu bien remettre l’hôtel précédent avec la vue nocturne ? » s’exclama Yurishia.

« Désolé. Je vais tout de suite le changer, » tout en disant cela, Kizuna avait actionné la console en pleine panique.

Cependant, l’état de Yurishia allait alors attirer son attention.

« Uwaa, on dirait vraiment un hôtel ! Hé, Kizuna, je me demande où est ce paysage nocturne ? » demanda Yurishia.

D’une manière ou d’une autre, le comportement de Yurishia en ce moment semblait indiquer qu’elle était très maladroite dans ses propos...

Ne me dis pas que Yurishia est... ? Non, comme prévu, il n’y a aucune chance que cela soit vrai...

Mais, s’ils ne faisaient qu’une Hybridation des Cœurs comme ça, alors il avait l’impression qu’à la fin il n’y aurait rien de différent avec tout ce qu’il avait fait jusqu’à présent. Il s’agissait d’une installation préparée avec beaucoup de difficulté par sa sœur, allant jusqu’à écraser un simulateur de combat pour pouvoir faire ça. Il devait donc l’utiliser efficacement.

Puis, avec audace...,

« Hé Kizu... naaa — !? » La voix de Yurishia s’était brisée sur une fausse note.

C’était compréhensible.

En un instant, l’uniforme de Yurishia avait été changé en une tenue noire de bondage.

« Quo... quoi… !? » s’écria Yurishia.

Il s’agissait d’une tenue qui était composé d’un corset et d’une ceinture avec un taux d’exposition élevé. La matière noire de l’émail reflétait l’éclairage, ce qui la rendait encore plus séduisante. La tenue ne semblait pas s’insérer dans sa peau, c’était comme si la tenue avait été réalisée sur mesure pour s’adapter parfaitement au corps voluptueux de Yurishia.

« Qu —, attends Kizuna ! Qu’est-ce que ça veut dire ? » demanda Yurishia.

Yurishia s’était elle-même serrée dans ses bras afin de cacher son corps. Cependant, cela n’avait nullement permis de le faire. Sa poitrine ainsi pressée avait semblé surgir entre ses bras.

« Désolé. On dirait qu’une erreur dans le système te l’a mis sur toi, » s’excusa Kizuna.

« Quoi… !? » Yurishia avait montré un visage comme si le monde avait pris fin. « Pas question de ça ! Fais quelque chose ! »

« Ce n’est pas grave. Si nous attendons un peu, je pense que cela va être réparé, » déclara Kizuna.

« Vr... vraiment ? Cela va donc bien se passer ? » demanda Yurishia.

« Oui. C’est pour cela que d’ici là, sois patiente, » déclara Kizuna.

« Est-ce que c’est si... je comprends. Mais…, » balbutia Yurishia.

Yurishia s’était tordu le corps en raison de l’embarras. Et puis, après avoir jeté un coup d’œil à sa propre silhouette qui se reflétait dans le miroir, son visage était devenu encore plus rouge.

Ses cheveux blonds et sa peau blanche étaient vraiment attrayants avec l’émail noir qui brillait.

« Yurishia, détestes-tu ce genre de vêtements ? » demanda Kizuna.

« Eh ! Oui, oui... évidemment, » répondit-elle.

Les yeux de Yurishia qui répondait comme ça se déplaçaient dans tous les sens. Elle était différente de l’habituelle Yurishia si confiante. Elle avait l’air d’être saisie par la peur. Et puis, gênée comme ça sans aucun endroit pour s’échapper, avec son corps frissonnant et incapable de se calmer, elle se tourna vers Kizuna avec un regard impuissant.

... Quoi, qu’est-ce que c’est que ça ? Elle est étrangement mignonne !?

« Ne… me regards… pas. C’est embarrassant, » balbutia Yurishia.

« Désolé. Mais... cela te va vraiment bien, » répondit Kizuna.

« ... !! Euh, même si tu me l’as dit, je ne suis pas heureuse ou quoi que ce soit…, » répondit Yurishia.

Yurishia avait senti le regard de Kizuna.

J’ai l’impression d’être encore plus consciente du regard de Kizuna et qu’il est bien plus d’intenses que d’habitude... comme s’il léchait tout mon corps, pensa-t-elle. Il regarde mon apparence... Je me demande si Kizuna est aussi très excité par ça.

« Aah... » Alors qu’elle avait imaginé cela, un profond soupir s’était naturellement échappé de sa bouche. Son cœur battait vite.

« Hé, Kizuna... est-ce que le fait de me regarder porter ce genre de vêtements... te rend heureux ? » demanda Yurishia alors que ses yeux semblaient moites.

« C’-C’est... je pense que c’est un peu anormal, mais quand c’est toi qui le portes, je trouve que c’est extrêmement…, » Kizuna avait détourné les yeux avec le visage rouge alors qu’il commença à répondre.

***

Partie 4

En regardant la réaction timide de Kizuna, un peu de sang-froid était né dans le cœur de Yurishia.

J’ai aussi des palpitations, mais même Kizuna est dans cet état, n’est-ce pas ?

C’est exact. Même la fois précédente, Kizuna s’est aussi excité en me regardant porter un maillot de bain.

... Franchement, depuis quand mon cœur pourrait-il devenir si douloureux à cause de Kizuna, je me le demande.

D’une certaine façon, c’est un peu irritant.

C’est moi qui domine ici. Reprends-toi, Yurishia Farandole.

Sa personnalité de base qui détestait perdre avait poussé Yurishia dans une direction étrange.

« Et puis, Kizuna, qu’est-ce que tu prévois de me faire en me faisant porter quelque chose comme ça ? » demanda Yurishia.

Elle s’était approchée de Kizuna en déplaçant langoureusement ses hanches.

Et puis un doigt qui était enveloppé dans un long gant qui s’étendait jusqu’au-dessus de son coude était en train de tapoter sur la poitrine de Kizuna.

« Quoi, ce que tu demandes... c’est... ! » s’écria Kizuna.

Yurishia avait alors tournoyé sur elle et elle lui avait tourné le dos. Puis elle avait marché vers la fenêtre. En regardant sa silhouette depuis derrière elle, Kizuna avait avalé sa salive. Le taux d’exposition de dos était également très étonnant. Son dos était largement ouvert, et un tissu qui était semblable à une ficelle creusait dans la fissure entre ses fesses comme si presque tout était dévoilé.

Sa silhouette dans le maillot de bain qu’il avait vu à la mer était étonnante, mais vraiment incomparable de ce qu’il voyait là.

Ses larges fesses blanches tremblaient de haut en bas chaque fois qu’elle marchait. Elles étaient immaculées et semblaient briller sans présenter la moindre imperfection. Cela donnait l’impression que de délicieux fruits tombaient lourdement après être arrivés à maturité.

... Kizuna regarde mes fesses.

Yurishia avait senti avec une certaine sensibilité le regard de Kizuna. Celle qui portait en ce moment ce costume pervers avait été pleinement vue par Kizuna.

Alors qu’elle pensait à toutes ces choses, l’intérieur du corps de Yurishia était devenu progressivement chaud. À ce moment-là, une lumière dorée avait commencé à virevolter tout autour du corps de Yurishia comme s’il s’agissait d’étincelles.

En regardant cet éclat apparaître, Kizuna avait été choqué.

N’est-ce pas les signes avant-coureurs de l’Hybridation des Coeurs ? Comment cela peut-il être possible alors même que je ne l’ai même pas touchée !? Se demanda-t-il.

Après que Yurishia ait marché jusqu’à la grande fenêtre qui s’étendait du sol jusqu’au plafond, elle s’était retournée à Kizuna. En accord avec ce mouvement, sa poitrine s’était mise à trembler sous l’effet de l’élan comme si elle se sentait obligée de quitter le costume.

La lumière qui avait alors pénétré par la fenêtre dans cette pièce sombre accentuait l’ombre projetée par le corps de Yurishia.

Yurishia qui tournait le dos au paysage nocturne avait alors ressemblé à une sorcière envoûtante flottant sur une mer de pierres précieuses.

C’était comme si Kizuna était pris au piège par de la magie, alors qu’il avait commencé à marcher d’une manière instable vers Yurishia.

Peut-être, que Yurishia avait elle aussi été excitée par cette scène, car sa peau s’était teintée d’un rose pâle, et elle s’était mise a légèrement transpiré.

Yurishia avait alors caressé avec ses mains de ses fesses jusqu’à sa taille, puis elle était montée jusqu’à sa poitrine, comme si elle essayait de déterminer les courbes de son propre corps.

... Veux-tu toucher ? C’était comme si elle invitait Kizuna pour qu’il fasse ce qu’elle pensait en ce moment.

Au moment où Kizuna avait lentement tendu sa main, cette main avait été légèrement frappée vers le bas.

« Hein ? » s’exclama Kizuna.

« Ce n’est pas encore bon. Ne peux-tu pas encore attendre ★ ? » Comme à son habitude, Yurishia lui avait fait un clin d’œil tout en lui demandant ça, mais elle parlait d’une manière différente, plus familière.

Mais après ça, la main de Yurishia s’était mise à ramper sur le corps de Kizuna. Elle avait enlevé le premier bouton de l’uniforme de Kizuna.

« Yu-Yurishia ? » demanda Kizuna dans un murmure.

Les doigts minces de Yurishia avaient glissé à travers l’espace de la chemise après qu’elle eut défait quelques boutons de plus.

« Eh ? Atte —, qu’est-ce que... !? » demanda Kizuna.

Alors qu’il demandait ça, Yurishia avait commencé à tâtonner la poitrine de Kizuna comme si elle explorait.

« Fufu, avant de pouvoir toucher ma poitrine, c’est le paiement pour ça ♡, » lui murmura-t-elle à l’oreille.

« Qu’est-ce que... ? » demanda Kizuna avant de s’interrompre sous le stimulus que lui procurait Yurishia.

Yurishia s’était mise à chatouiller les pointes présentes sur la poitrine de Kizuna.

« Comment est-ce ? Je me demande si le garçon le ressent aussi, non ? » demanda Yurishia.

Le bout des doigts de Yurishia bougeait actuellement de haut en bas comme si elle se voulait stimulée la poitrine de Kizuna.

« At-Attends, quelque chose comme ça…, » murmura Kizuna.

La conscience de Kizuna était concentrée sur sa poitrine. Une sensation de frisson avait traversé sa poitrine avant de se propager dans tout son corps.

... Kuh ! Ainsi, notre position est inversée.

« Fufufufu, comme je le pensais, tu le ressens aussi. Alors, montre-moi un visage encore plus beau, d’accord ? » demanda-t-elle.

Les boutons de la chemise de Kizuna avaient alors tous été déboutonnés jusqu’en bas, puis sa chemise lui avait été retirée.

En regardant la poitrine de Kizuna, Yurishia avait plissé ses yeux avec bonheur.

Il s’agissait d’une poitrine solide avec des muscles faiblement marqués. Cette poitrine ressentait le bout des doigts de Yurishia de façon sensible.

Dans tous les cas, c’est mignon d’une façon ou d’une autre...

Yurishia avait étiré un peu sa langue rose et elle avait léché l’une des protubérances présentes sur la poitrine de Kizuna.

« Uwaaaa !? » s’écria Kizuna. Il avait ressenti une sensation qu’il n’avait jamais eue auparavant.

C’était un contact doux qu’il ressentait sur sa poitrine.

« As-tu déjà fait quelque chose comme ça ? » demanda Yurishia.

« Je n’ai jamais fait ça ! » répondit Kizuna.

Yurishia avait souri tout en savourant sa victoire. Puis elle avait déclaré. « Je vois ♪. Donc, Kizuna, je prendrai ta première fois, non ? »

« Arrête de dire ça d’une façon étrange ! » déclara Kizuna.

« Même si tu as sucé avant, tu n’as jamais été sucé jusqu’à présent, n’est-ce pas ? » demanda Yurishia.

Soudain, il s’était souvenu de l’Hybridation des Coeurs qu’il avait faite avec Aine.

« ... » Il avait alors dégluti de façon audible et il s’était raidi.

« Kizuna ? » demanda-t-elle.

« Eh — ? N-Non ! Quelque chose comme sucer, comment est-ce que…, » balbutia-t-il.

Yurishia avait alors affiché une expression de doute. « N’aurais-tu pas dû le faire avec la poitrine de ta mère… ? »

En lui parlant, les yeux de Yurishia étaient devenus dangereux. « Kizuna... avec qui l’as-tu fait ? »

Wôw ! Son regard est effrayant ! pensa-t-il.

« Hayuru ? Ou peut-être Aine ? » demanda Yurishia.

« E-Euh... euh... » alors qu’il était pris au dépourvu, sa main avait accidentellement touché la console virtuelle flottant dans les airs.

« Att-Attends ? Qu’est-ce que c’est ? » s’écria Yurishia.

Les deux mains de Yurishia s’étaient retrouvées enchaînées, et ses yeux étaient également recouverts d’un bandeau. Les deux méthodes de contentions étaient faites de cuir souple, de sorte que son corps était retenu sans qu’elle ressente de douleur.

« Ki-Kizuna ? Tu es injuste ! O-Où es-tu... ? » s’écria Yurishia.

« Mon Dieu, c’est de ma faute ! Ce n’est qu’une coïncidence. Ma main a effleuré la console et…, » répondit Kizuna.

« C’est bon, relâche-moi vite ! » Yurishia était en colère, non, elle avait plutôt l’air d’avoir peur.

Son impression était complètement opposée à celle de la Yurishia qui était tout à l’heure comme une reine.

« Yurishia…, » Kizuna s’était approché de Yurishia en lui murmurant son prénom.

Alors qu’elle ressentait sa présence, les épaules de Yurishia s’étaient tortillées de surprise.

Elle ne savait pas ce qu’on lui ferait, ni même quand on le lui ferait, et elle savait encore moins comme faire pour lui résister. Il semblait qu’elle en avait peur. Yurishia qui était la pilote As la plus forte du monde qui ne craignait rien frissonnait à chaque petit bruit qu’elle entendait.

Cependant, en même temps, le visage de Yurishia était rougissant, et sa respiration devenait désordonnée.

De tout ce qui s’était passé jusqu’à présent, Kizuna avait ressenti quelque chose de proche de la conviction.

... Par hasard, Yurishia aimerait-elle le SM ? pensa-t-il.

Dès qu’elle avait porté ce costume, des signes d’une Hybridation des Coeurs étaient immédiatement apparus. De plus, alors qu’elle se comportait en tout temps, comme une reine, maintenant qu’elle se comportait comme un petit animal effrayé, cela avait l’air de l’exciter.

Il n’y avait aucun doute. Alors tout ce qui reste à faire… pensa-t-il.

En faisant des actes qui correspondent à la disposition sexuelle de sa partenaire, cela augmenterait le plaisir mental et l’excitation. En stimulant efficacement la zone érogène la plus appropriée, cela provoquerait un plaisir encore plus important.

Voilà ce qu’on lui avait indiqué avant ça, mais où était cette zone érogène spécifique ?

... Hm ?

La poitrine et les fesses... je n’ai pas d’autre idée de l’endroit qu’elle préférerait.

Qu’est-ce que je dois faire ?

Attends, il n’y a aucune raison d’hésiter. Alors, je dois d’abord commencer par l’un d’eux...

« Ahhhh — ! »

Et ainsi... !? C’est doux  !

Kizuna avait fait ramper sa main sur les fesses de Yurishia.

Qu’est-ce que c’est que cette sensation !? Est-ce vraiment un corps humain ? Cela a comme la douceur de la neige fraîche, et c’est vraiment spongieux.

« Att, Ki-Kizuna — ? Où est-ce que tu me touches là ? » demanda Yurishia.

Quand il avait saisi le cul, ses doigts lui donnaient l’impression qu’ils coulaient sans fin dans cette douceur. Et aussi, entre ses doigts, la chair des fesses semblait se répandre.

Incroyable. Ce contact fait vraiment du bien. Peu importe, à quel point je la frotte, je pense que je ne m’en lasserai jamais.

« Ah — , ah, aaa, aaa, fuAaaAAnn —, » Yurishia avait essayé désespérément de s’échapper à la caresse amoureuse de Kizuna en tordant le corps.

Cependant, avec ses deux mains attachées, elle ne pouvait pas bouger son corps de manière satisfaisante, elle ne pouvait pas comprendre la position de Kizuna à cause du bandeau. Au contraire, c’était comme si elle avait secoué ses grosses fesses devant les yeux de Kizuna.

Et puis, une lumière dorée avait commencé à se disperser avec plus de force à partir du corps de Yurishia, remplaçant les simples étincelles présentes avant.

L’Hybridation des Coeurs commence-t-elle déjà ? Ou peut-être, cela signifie-t-il que la zone érogène spécifique de Yurishia est ses fesses ?

Non, si je pense à l’attribut numéro un de Yurishia, alors je penserais sûrement que c’est...,

Kizuna avait déplacé son regard...

... c’était sûrement sa colossale poitrine.

« Yurishia, à propos des vêtements qui sont présents au niveau de ta poitrine, » commença Kizuna.

Alors qu’elle respirait difficilement, Yurishia avait tourné son visage vers la direction où était venue la voix de Kizuna.

« Ils sont presque tombés, » continua Kizuna.

« Hein… !? » s’exclama Yurishia.

« Est-ce bon si je les enlève tout simplement ? » demanda-t-il.

En d’autres termes, il lui disait qu’il allait exposer sa poitrine sans que rien soit caché de sa vue.

Les lèvres de Yurishia avaient alors tremblé pendant un certain temps, puis, quelques secondes plus tard, elle avait acquiescé d’un signe de tête.

Kizuna avait alors tendu la main jusqu’à la poitrine de Yurishia, puis il avait enlevé les boutons un par un, les déboutonnant en douceur. Chaque fois qu’il faisait cela, le corps de Yurishia avait bondi en réponse.

« Je l’enlève complètement, » déclara-t-il.

La main de Kizuna avait alors enlevé le tissu couvrant la poitrine de Yurishia.

Les seins qui avaient été libérés des habits serrés s’étaient déversés du costume de bondage comme s’ils sautaient d’un coup.

« ... – !? »

Ils semblaient bondir, et la vibration des secousses répétées vers le haut et vers le bas avait comme absorbé son regard. Sans que rien obstrue son regard, le sein de Yurishia avait ainsi été exposé devant Kizuna.

... Wôw, énorme.

Il avait compris qu’ils étaient grands, et cela même quand ils étaient en dessous des vêtements. Mais, en regardant la poitrine de Yurishia nue alors qu’elle était contact de l’air, il s’était rendu compte que ce qu’il avait vu jusqu’à présent n’était rien du tout.

Même sans sous-vêtements, les seins allaient en contre-courant de la gravité. Leur magnifique forme était maintenant légèrement pointée vers le haut, et elle était beaucoup plus grande que celle d’Aine. La couleur et la forme manifestaient une beauté et une obscénité qui ne pouvaient être comparées à rien d’autre.

Les deux protubérances qui surgissaient de la peau blanche dessinaient une gradation de couleur rose.

Et depuis le sein qui avait été exposé à son regard, un parfum sucré avait doucement dérivé dans l’air, chatouillant au nez de Kizuna.

« Aaaa…, » Yurishia avait senti le regard empli de passion de Kizuna sur ses seins.

Et principalement parce que sa vision était bloquée, ce genre de sensations devenait encore plus sensible, et son pouvoir d’imagination avait aussi enflé à un point inimaginable.

C’est ce qui avait provoqué l’excitation de Yurishia, et depuis les profondeurs de son corps, un liquide chaud s’était infiltré. Et alors, une lumière dorée s’était élevé de la surface de son corps avec encore plus d’intensité.

La main de Kizuna avait alors touché la poitrine nue de Yurishia.

« HyaAAun ! »

Lorsque le bout des doigts de Kizuna avait légèrement effleuré la colline que représentait la poitrine de Yurishia, le corps de Yurishia avait convulsé tout en se tortillant vigoureusement.

C’était semblable à ses fesses, et ses seins étaient également très doux. Quand il avait mis un peu de force dans ses doigts, ils avaient provoqué une grande déformation sur la poitrine de Yurishia.

Kizuna avait étendu au maximum ses deux mains et il avait frotté la poitrine de Yurishia comme s’il les soulevait.

« Non, AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! » cria Yurishia.

... Quoi, quoi ? Est-ce ça !?

Les informations qui recevaient lorsqu’elle subissait la sensation de ses seins frottés par une autre personne, qui plus est par un homme, étaient au-delà de son imagination. Face à cette sensation qui était évidemment différente de quand elle se touchait elle-même, les capacités de traitement du cerveau de Yurishia avaient dépassé ses limites en un clin d’œil.

Yurishia était incapable de résister face au plaisir et elle avait alors secoué la tête sans pouvoir se contrôler. Chaque fois qu’elle le faisait, ses cheveux s’étalaient élégamment tout en dispersant des particules d’or.

« Yurishia, te sens-tu bien ? » demanda Kizuna.

« Je me sens si bien... ouiiii —, Aaah ! » gémit Yurishia.

Alors qu’elle plissait les sourcils, elle avait fait une expression angoissée sous le bandeau. Sa respiration était devenue frénétique, ses lèvres s’ouvriraient comme si elle cherchait de l’oxygène, et la langue était tendue alors qu’elle haletait.

 

 

La paume de Kizuna avait alors senti quelque chose de dur qui se raidissait rapidement. Cette chose qui se durcissait peu à peu était également devenue de plus en plus grande.

« ... Yurishia, » murmura Kizuna alors qu’il enlevait le bandeau présent sur les yeux de Yurishia.

« ... ? »

Le visage de Yurishia était alors apparu dans ce qui semblait indiquer qu’elle était en pleine extase. Des larmes s’étaient déjà rassemblées dans le coin de ses yeux.

Haa..., haa..., elle était actuellement en train de se tordre alors que le son de sa respiration étouffé ne lui laissait pas échapper la moindre voix.

Son expression semblait indiquée qu’elle lui demandait avec une certaine appréhension. « Qu’est-ce que tu vas faire maintenant ? »

Kizuna avait alors détaché l’une des mains de Yurishia. Sa poitrine avait tremblé en rebondissant lorsque la force qui la retenait avait disparu.

« Eh, Kizu... na ? » demanda-t-elle.

Pourquoi t’arrêtes-tu ? Les yeux qui le regardaient avaient l’air de le blâmer et ils étaient fixés sur Kizuna.

« Ne t’inquiète pas, Yurishia, » murmura Kizuna.

« Hein !? »

À cet instant, les doigts de Kizuna avaient pincé les deux pointes roses qui bâillaient sur la poitrine de Yurishia.

« ... Hii !? » Yurishia avait alors affiché un visage qui donnait l’impression qu’elle allait crier.

Kizuna avait alors mis plus de force, comme s’il essayait de ne plus être séparé d’eux.

« ~~ !! »

Et puis il avait appuyé dessus sur le côté comme s’il voulait tordre les seins.

« Aah, A-A-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA — ! »

En même temps que le cri avait jailli de la bouche de Yurishia, une lumière dorée avait explosé de son corps. Et puis, un éclat rose avait également surgi avec force en provenance du corps de Kizuna.

Ces radiances étaient devenues un vortex composé de deux lumières colorées qui enveloppaient leurs deux corps.

... C’est à ce moment que l’Hybridation des Coeurs est un succès.

Après ça, il avait confirmé les signes vitaux de Yurishia sur son téléphone intelligent alors que Yurishia semblait sans force.

Le Compteur Hybride de Yurishia avait été magnifiquement chargé jusqu’à son maximum.

Pour l’instant, il avait considéré que les préférences de Yurishia pour le jeu érotique étaient quelque chose comme du sadomaso et ses seins étaient sa zone érogène primaire.

Cette fois, le simple fait d’avoir mis ce costume sur Yurishia avait été vraiment efficace, mais il devrait rendre Yurishia encore plus excitée lorsqu’il effectuerait la prochaine Hybridation des Coeurs s’il voulait lui faire acquérir encore plus de force.

... Voilà, je l’ai fait avec l’un des membres de l’équipe.

Il y avait deux autres filles avant la fin de cette mission bien spéciale.

***

Partie 5

Après l’école, Kizuna s’était dirigé vers la salle d’orientation des étudiants.

Grâce à l’Hybridation des Coeurs qu’il avait faite avec Yurishia, il avait pu confirmer par lui-même l’efficacité du simulateur que lui avait montré sa sœur.

Cependant, lorsqu’il pensait aux préférences d’Himekawa, il n’arrêtait pas de ce que cela pourrait être ?

Il avait le sentiment que la distance qui le séparait d’elle avait été grandement réduite lorsqu’il l’avait aidé dans son travail dans le comité de moralité publique. S’il pouvait mieux comprendre les préférences d’Himekawa, alors leur Hybridation des Coeurs pourrait se dérouler à merveille.

Après avoir ouvert la porte, il était entré dans la pièce, et c’est alors qu’il avait vu que Himekawa se tenait près de la fenêtre avec à la lumière du soleil du soir qui se répandait depuis derrière elle.

« Désolé, je suis en retard. J’ai été appelé par le professeur qui m’a retenu pendant un bon moment. Aujourd’hui, où allons-nous faire notre surveillance…, » Kizuna avait commencé à lui parler après s’être approché près d’elle.

« Hida-kun ! » s’écria Himekawa.

Elle s’était appuyée contre lui lorsqu’elle avait bougé par réflexe.

« Qu-Que, quoi ! Qu’est-ce qui ne va pas ? » demanda Kizuna.

« Alors, qu’en pensez-vous  ? » demanda Himekawa.

Hein !? Quoi, quoi !? Que se passe-t-il avec Himekawa ?

« Eh bien ! À propos de ça, je pense que vous êtes belle et que vous avez également une personnalité sérieuse…, » répondit Kizuna.

« ... De quoi parlez-vous ? » demanda Himekawa.

« Hein ? Ne m’avez-vous pas demandé ce que je pensais à propos de vous, Himekawa ? » demanda Kizuna.

Le visage d’Himekawa était devenu rouge vif.

« S’il vous plaît, ne dites pas de bêtises ! Je-Je ne suis nullement belle ou quelque chose comme... attendez, ce n’est pas ce genre de conversation que je voulais avoir avec vous ! Il s’agit de cette arme de catégorie ultra ! Combien de temps allons-nous attendre jusqu’à ce que la décision soit prise d’attaquer Guam ? » demanda Himekawa.

« Ah ! C’est donc de ça que vous vouliez parler. Eh bien, je ne sais rien de plus à ce sujet, » répondit Kizuna.

Ce n’est pas bon, j’ai fait une erreur embarrassante. Je me demande si Himekawa pense maintenant que je suis étrange.

Himekawa n’arrêtait pas de lui parler alors que son visage était encore rouge.

« Depuis l’incident, nous sommes restés en attente. J’ai déjà atteint la limite de ma patience. Allons voir tout de suite la commandante pour exprimer notre opinion ! » déclara Himekawa.

... C’est...,

Franchement, tant que Nee-chan ne donne pas l’ordre, je ne pense pas qu’une autorisation de sortie apparaisse.

D’ailleurs, il n’avait pas ressenti la nécessité d’attaquer Guam à nouveau avec une telle hâte.

Dans un certain sens, il pourrait même dire que les informations qu’ils avaient recueillies sur l’Autre Univers après leur infiltration en territoire ennemi avaient produit des résultats inattendus.

Au contraire, il ne comprenait pas pourquoi Himekawa était si impatiente.

Himekawa avait finalement surpassé la résistance du jeune homme, et ainsi, elle avait réussi à faire que Kizuna se dirige avec elle vers la pièce du directeur. Cependant...,

« Rejeté ! » Reiri avait tout réglé en un seul mot.

« Mais pourquoi !? Même s’il y a un ennemi sous nos yeux, pourquoi… ? » demanda Himekawa.

« En ce moment, il n’y a aucune perspective de victoire, » répondit Reiri.

« ... Kuh ! » La réponse de Reiri était simple. Face à cela, Himekawa avait lâché un son qui indiquait clairement qu’elle avait du mal à l’approuver. « Mai-Mais, on ne peut pas les laisser tranquilles simplement à cause de ça ! »

« Que pouvons-nous faire d’autre que de les laisser tranquilles ? Prévoyez-vous d’y aller sans obtenir une contre-mesure efficace ? » demanda Reiri.

« Bien sûr, car nous devons aller vaincre l’ennemi ! N’est-ce pas, Hida-kun ? » Himekawa avait cherché l’appui de Kizuna.

Naturellement, vous êtes mon allié... elle faisait un visage qui indiquait qu’elle pensait ça.

« C-C’est…, » balbutia Kizuna.

« Hida-kun ? Qu’est-ce qui ne va pas ? Battons-nous ensemble ! » s’écria Himekawa.

C’est impossible.

« C’est impossible, Himekawa, » déclara Kizuna.

« ... Hein ? » Le sourire d’Himekawa s’était figé.

« Même si nous partons maintenant, tout ce que nous ferions, c’est de perdre une nouvelle fois, » déclara Kizuna.

« C-C’est…, » le teint d’Himekawa avait rapidement pâli.

« La différence de force offensive avec l’ennemi est évidente. Jusqu’à ce que nous trouvions une méthode pour renverser la situation, il vaut mieux ne pas nous forcer à les affronter. Même si nous partons maintenant, tout le monde sera simplement en danger, » déclara Kizuna.

« Avez-vous... peur… !? », s’écria Himekawa.

Himekawa s’était éloignée de Kizuna.

« Non ! Je…, » commença Kizuna.

« ... J’étais convaincue que vous me comprendriez... quel malentendu ai-je fait ! » s’exclama Himekawa.

« S’il vous plaît, attendez ! On ne peut pas partir maintenant, on devrait…, » déclara Kizuna.

« Je vous ai vraiment mal jugé !! » Himekawa s’était précipitée hors de la pièce.

« Himekawa !! » cria Kizuna.

Kizuna avait également poursuivi Himekawa et n’avait pas perdu de temps pour sortir dans le couloir. Cependant, il ne pouvait voir que les silhouettes du personnel enseignant aller et venir, il ne pouvait trouver nulle part la silhouette d’Himekawa.

***

Partie 6

... Ah ! Comme c’est exaspérant !

Himekawa qui avait quitté furtivement Ataraxia était en train de voler seule au-dessus de la mer.

Que ce soit lui ou n’importe qui..., personne n’est fiable. Comme je le pensais, je ne peux le faire que par moi-même.

Je vais vaincre cette Arme Magique de catégorie ultra.

Mais..., si l’armure magique ennemie apparaissait ici ?

À ce moment-là, je me battrai en premier contre Aldéa. C’est tout, oui, c’est tout.

Himekawa n’avait pas tardé à arriver au niveau du ciel se situant au-dessus de Guam.

... Je me demande où ils sont.

Himekawa avait fait apparaître des fenêtres informatives tout autour de son corps.

S’il y avait une Arme Magique présente, le capteur devrait la détecter.

On dirait qu’ils ne sont pas là.

A-t-il été ramené de l’autre côté de l’Entrée ?

À ce moment-là, un certain capteur s’était illuminé en rouge.

Ce n’était pas une Arme Magique. Cette réaction était… un Heart Hybrid Gear !?

« Mon Dieu, es-tu venue seule ? Il s’agit là d’une surprise, » déclara Aldéa.

« ... Alors vous vous montrez enfin ! » déclara Himekawa.

Portant l’armure magique de couleur verte Zeel, Aldéa flottait dans les airs. Elle affichait un large sourire empli de douceur.

La réaction affichée sur le capteur d’Himekawa était indubitablement due à un Heart Hybrid Gear. Mais cela devrait alors signifier que l’armure magique et l’Heart Hybrid Gear étaient équivalents.

« Je suis heureuse que tu viennes me rencontrer. Passons du bon temps ? Je me demande s’il vaut mieux parler ou s’entretuer, » lui demanda Aldéa.

Himekawa avait immédiatement dégainé son épée.

« Mon Dieu, alors tu souhaites qu’on s’entretue, » déclara Aldéa.

Après qu’elle ait annoncé cela, ses boucliers s’étaient détachés et s’étaient alignés dans les airs. L’un d’eux s’était mis à briller de mille feux, changeant sa forme en une lance. La main d’Aldéa avait alors saisi cette arme.

« Moi aussi, je viens ici de mon propre chef... donc si je ne ramène pas au moins un Noyau à la maison, je vais me faire gronder. J’aurai ton noyau ainsi que ceux de tes camarades que je ramènerais après ça, » déclara Aldéa.

« Lames ! » cria Himekawa.

Depuis le dos d’Himekawa, de grandes lames s’étaient envolées. Elles avaient parcouru le trajet dans l’air et elles avaient visé Aldéa.

« Je sais que ces boucliers se vantaient d’une protection absolue. Mais... ! » cria Himekawa.

... Je dois tout simplement éviter les boucliers, et attaquer directement son corps !

Himekawa avait alors imaginé les trajectoires pour ses Lames.

Les Lames avaient alors changé de trajectoire comme si elles lisaient le cœur d’Himekawa, elles avaient tournoyé autour d’Aldéa avec des mouvements acrobatiques comme si elles jouaient avec elle.

Et puis, elles avaient attaqué d’un seul coup depuis quatre directions différentes.

Avec un flash brillant, quatre boucliers avaient bloqué les attaques des Lames. Même maintenant, les Lames essayaient de les repousser en augmentant leurs puissances, mais les boucliers avaient continué à les bloquer. Pendant ce temps, des étincelles s’étaient dispersées avec force.

Le propulseur de Neros s’était alors enflammé et le corps d’Himekawa avait avancé en une ligne droite.

... Même si ces boucliers bloquaient les lames, cette épée vous coupera en deux !

« Haaaaa... ! »

L’épée avait été utilisée pour frapper Aldéa.

Une lumière importante avait alors surgi en un éclair.

Devant les yeux d’Aldéa, le seul bouclier qui lui restait avait bloqué l’attaque de l’épée.

« Kuhh... comme prévu par le bouclier qui a bloqué l’attaque du Pulvérisateur. Cependant... ! » Himekawa avait continué à forcer avec son Épée.

Le visage d’Aldéa de l’autre côté du bouclier semblait lumineux et il avait été complètement changé à l’instant même. Comme elle utilisait son armure magique comme boucliers, à l’heure actuelle, son corps était amplement visible vu qu’une grosse partie de cette armure s’était détachée d’elle.

... maintenant, si je peux lui donner un coup de poing... Je vais gagner !

« Préparez-vous ! Après vous avoir vaincue, le prochain sera ce Trois-Têtes !! » s’écria Himekawa.

« Comme attendu de Neros. Je ne peux pas te sous-estimer... mais…, » déclara Aldéa.

« Qu’est-ce que c’est que ça !? » s’écria Himekawa.

Soudain, l’épée avait semblé se plier.

L’épée qui était bloquée par le bouclier avait été fortement déformée. Dans le vide ainsi créé, on pouvait voir le visage souriant d’Aldéa.

« ... !! »

La lance qu’elle tenait dans cette main s’était plantée dans son propre bouclier, déformant la zone du bouclier ainsi que l’épée. La lance s’avançait tout droit, repoussant le bouclier et l’épée.

« Non… ! » cria Himekawa.

La pointe s’était alors enfoncée dans la poitrine d’Himekawa.

Et semblable à la bataille précédente, ce qu’elle avait ressenti avait été comme si l’intérieur de sa poitrine subissait une sensation étrange tout au fond d’elle. Et puis, à l’instant d’après, son corps avait été emporté vers l’arrière comme si on l’avait tirée dans cette direction.

« Gah, GAHAAaAAAAA- ! »

Après avoir été soufflée sur une distance d’environ deux cents mètres, elle avait finalement pu s’arrêter. Elle avait alors appuyé sur sa poitrine et elle avait ressenti un soulagement en constatant que sa chair était encore présente.

... Et si elle avait été poignardée un peu plus profondément ?

Elle s’était alors souvenue du bâtiment détruit avant cela. Et si elle rencontrait le même sort, que subirait-elle ?

Un frisson avait traversé tout le corps d’Himekawa.

« C’est acceptable pour moi de te tuer, mais il s’agit là d’une chance rare qui se présente à moi. Je vais donc en profiter de façon dramatique. Je ramasserai les autres Noyaux du même coup, » quand à Aldéa, éclatant de joie, elle avait tendu les mains alors que sa lance avait repris sa forme originale de bouclier.

Et puis toutes les directions, six boucliers s’étaient déplacés et ils avaient entouré Himekawa.

« Quoi... ? » s’écria Himekawa.

Vue d’aussi près, la structure du bouclier ressemblait à quatre couches qui auraient été empilées ensemble. Ces couches s’étaient déployées une par une avec la forme d’un cercle attaché sur le dessus du bouclier comme axe, se transformant finalement en une forme de X. L’instant d’après, chaque sommet était relié l’un à l’autre des boucliers avec une lumière, puis l’ensemble avait commencé à rayonner d’une lumière verte.

« ... C’est... »

Himekawa s’était ainsi retrouvée enfermée dans un cube de lumière. Chaque surface possédait un cadre en forme de X. Pour le dire simplement, il s’agissait d’une cage de lumière. La nervosité avait parcouru à travers le corps d’Himekawa.

Soudain, l’espace à l’intérieur du cube s’était déformé.

« KYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA — !! »

La distorsion avait tordu Himekawa d’un coup, provoquant en elle une pression très douloureuse.

Kuh ! C-C’est... suis-je emprisonnée !?

Quelque chose de la sorte, je devrais la détruire de l’intérieur avec mes Lames... !

Cependant, les lames qui devraient se déplacer en obéissant à sa volonté ne pourraient pas être contrôlées.

« Qu’est-ce que c’est ? » se demanda Himekawa.

Himekawa avait l’intention de les lancer en ligne droite, mais les Lames ne faisaient que rester sur place, elles ne pouvaient pas sortir de ce cube. C’était comme si elles étaient emprisonnées par un pouvoir invisible.

... Alors, avec l’épée !!

Himekawa avait mis toute la force de son corps pour frapper avec son épée, mais elle n’avait pas pu bouger comme elle le voulait.

... Quoi !? Pourquoi ?

La production d’énergie de Neros était clairement en baisse. Himekawa avait confirmé le statut de Neros en pleine panique.

Mon Compteur Hybride... ne devrais-je pas encore en avoir  ?

La jauge était déjà dans la zone rouge, le montant restant n’était plus qu’à 5 %.

Pas possible ! Ça-ça, ce genre de choses.

La conscience d’Himekawa était devenue de plus en plus floue.

Non, ce n’est pas bon, c’est douloureux... ma conscience ne peut pas rester...

Sa vue floue pouvait voir la silhouette d’Aldéa qui se tenait juste à côté d’elle.

« Fufufufufufu, tu es maintenant dans le rôle de l’héroïne captive, n’est-ce pas drôle ? Il te faut bien jouer ton rôle à partir de maintenant, d’accord ? » déclara Aldéa.

Pas bon... Je ne peux rien bouger, pas même un seul doigt.

Je veux...

Compteur Hybride.

... Hida-kun.

La conscience d’Himekawa s’était profondément enfoncée dans l’obscurité.

***

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