Magika No Kenshi To Shoukan Maou – Tome 3 – Chapitre 2 – Partie 7

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Chapitre 2 : La légende de l’épée

Partie 7

« Kazuha-senpai, donc l’entrée de ce souterrain suspect est-elle située à l’intérieur du site de la Division Magie ? » demanda Kazuki.

« C’est tout à fait ça. Vous êtes poursuivis par la Division Magie, n’est-ce pas ? Ne faites pas trop de bruit et avancez furtivement, » Kazuha l’avait dit en menant la danse. Toutes les personnes présentes étaient passées de la zone de la Division Épée jusqu’à celle de la Division Magie.

« Je ne suis pas douée pour être discrète, vous savez… d’une façon ou d’une autre, je laisse échapper une voix forte inutile avant de m’en rendre compte. »

Quand Mio chuchota une telle chose, Kohaku hocha la tête et dit. « Je comprends cela. »

« J’ai vécu ma vie continuellement dans le secret avant, desu. » Lotte gonfla fièrement sa poitrine.

Il était 9 heures du matin. Il s’agit de la période pendant laquelle le SHR était en cours. Même s’ils devaient faire attention, il n’y avait aucune présence humaine à l’extérieur de la Division Magie.

« Dans cette direction… c’est le chemin vers le manoir des sorcières, » déclara Mio.

Toutes les personnes présentes avaient mis les pieds dans la zone dense et verdoyante. Le fait que cela soit la même direction n’était qu’une coïncidence, mais le manoir des sorcières avait également été érigé enveloppé parmi ces arbres.

Néanmoins, les résidents du manoir des sorcières — les Senpais — étaient censées être déjà allées à l’école en ce moment même.

« … Qu’est-ce que vous faites tous dans ce genre d’endroit !? Pour commencer, c’est déjà l’heure de l’assemblée du matin, vous savez ! » Une voix aiguë et inattendue s’était fait entendre.

Ils avaient agi avec trop de légèreté quant à leur vigilance. Quand ils avaient fait demi-tour, une ombre de quelqu’un courait depuis la direction du manoir des sorcières.

Dès que les deux parties avaient pu se voir clairement, des voix s’étaient élevées en même temps.

« Hoshikaze-senpai ! »

« Hayashizaki-kun, les gars ! »

Kazuki et les autres avaient été pétrifiés sur place involontairement. Devraient-ils s’enfuir, que doivent-ils faire ?

Mais Hoshikaze pouvait chanter, même s’ils essayaient de s’échapper, et ce n’était pas un adversaire face à qui ils pouvaient s’échapper si facilement.

« Je connais ton vrai nom (Shem-ha Mephorash)… ton vrai nom est Baalzebul, tout le mal est né dans les temps anciens. Ô dieu corrompu de la bonne moisson, conformément à ma vie retrouve cet éclat ! »

Hoshikaze avait réalisé un Accès en faisant face à Kazuki et en réduisant la portée entre eux.

Son corps était enveloppé dans une robe magique vaillante comme un chevalier, elle avait pris la posture démontrant qu’elle se préparait pour l’action.

« Hayashizaki-kun, pourquoi es-tu dans ce genre d’endroit !? » demanda Hoshikaze.

« Senpai aussi… et tes cours ? » demanda Kazuki.

« Kuu… J’ai trop dormi ! » La joue d’Hoshikaze était légèrement rouge et elle répondit avec une certaine forme d’embarras.

Cette sérieuse Hoshikaze-senpai s’est réveillée trop tard !?

« On n’y peut rien, d’accord ? C’est déjà devenu une coutume de me réveiller tôt pour l’entraînement à l’épée avec toi, mais tu n’es pas là, alors même si je me suis réveillée tôt je n’avais rien à faire. Finalement, je me suis rendormie pour la deuxième fois ! C’est de ta faute si mon habitude de vie s’est effondrée comme ça ! » s’écria Hoshikaze.

« Ce genre de raison !? Je veux dire, ce n’est pas ma faute, n’est-ce pas !? » s’écria Kazuki.

« D-Dans tous les cas ! … Je dois t’arrêter ! » s’exclama Hoshikaze.

Hoshikaze se fraya un chemin à travers les arbres et les fourrés, elle se précipitait vers Kazuki et les autres personnes à ses côtés.

« Congeler et verrouiller, Murasame ! Battou Kaikon — Kirisame Ranbu !! » Kohaku avait immédiatement et sans hésitation interceptée la personne venant vers eux. Elle libéra le pouvoir du Trésor Sacré et dirigea la lame de vague de froid vers Hoshikaze.

« Hurle ! La civilisation a accordé la destruction à l’homme ! Le rugissement de la sagesse brûle ton corps, brise, enferme toute dignité sous les décombres !! Mitrailleuse ! »

À la suite de Kohaku, Lotte elle aussi chanta rapidement son sort, ce qui était le point fort des Invocations d’une personne sous le coup d’une Possession, elle répandit un barrage de balles pour essayer d’arrêter le mouvement de Hoshikaze.

« Ô, courant atmosphérique ! Converge dans ce corps, deviens la tempête du rejet contre les gens que je n’aime pas ! L’œil du typhon est mon trône ! Fort Tempétueux ! » Hoshikaze chanta une magie défensive du vent. Une tempête s’était violemment déchaînée avec elle au centre.

La tempête avait également servi de vent de protection. Même la lame de glace et les balles avaient été emportées par le vent et dispersées dans une autre direction. — Il y avait quelque chose appelé l’attribut dans la magie de l’attaque et de la défense. Le Battou Kaikon de Kohaku et les balles de Lotte avaient une mauvaise affinité contre la magie défensive du vent.

Hoshikaze avait failli devenir elle-même comme le typhon. Kazuki s’était placé devant pour couvrir tout le monde. Se rapprochant de ce genre de Kazuki, Hoshikaze avait convergé avec sa barrière du vent et avait effectué un Iai.

Ce qu’il y avait sur sa taille était le katana bien-aimé de Kazuki, Doufuu, qu’il avait laissé dans la Manoir des Sorcières !

Senpai ne souhaitait pas un affrontement de magie, mais croiser les épées !?

« … Tout le monde, ne l’interceptez pas. C’est bon ! » s’exclama Kazuki.

Kazuki avait également effectué son dégainage Iai et intercepté le katana d’Hoshikaze. Les deux lames s’affrontèrent et ils entrèrent dans un verrou d’épées.

Kazuki avait aussitôt fait une pirouette face au katana d’Hoshikaze.

La position d’Hoshikaze devint désordonnée et pleine d’ouverture. Mais à ce moment-là, elle avait invoqué son sort.

« Jetez la foudre sur mon corps et accordez-moi l’esprit rapide comme l’éclair et la vitesse divine… appelez le lion endormi et réveillez-vous ! Chevaucheur d’Éclairs ! »

Le mouvement d’Hoshikaze s’était accéléré ! Sa posture désordonnée avait fait surgir des étincelles et elle avait redressé son corps avec férocité.

Et puis elle était arrivée en volant à la vitesse de l’éclair avec les attaques consécutives que Kazuki lui avait enseigné.

BUN! BUN! BUN! L’épée allant à une vitesse divine était venue voler avec les bruits terribles du vent tranchant.

Kazuki avait prévu le timing et la trajectoire de l’attaque, « GIIN! » le bruit de l’épée s’était fait entendre et l’attaque avait été repoussée.

Un son impensable qui provenait d’un combat entre humains résonnait à l’intérieur de la forêt.

« Hey… c’est une blague, comment ce genre d’attaque et de défense peut-il se produire dans un combat entre camarades de la Division Magie… ? » Kazuha avait laissé échapper une voix étonnée.

Sans parler de l’épéiste de la Division Épée, même Kazuha regardait sans aucun doute avec émerveillement l’épée magique d’Hoshikaze.

Mais comme attendu de Kazuki, il pouvait lire le mouvement d’Hoshikaze. C’est ainsi parce que sa forme était exactement comme ce qu’il lui avait lui-même enseigné.

Sa lame rencontra l’épée avançant à la vitesse divine, et leurs deux épées s’étaient une fois de plus verrouillées l’un contre l’autre. Kazuki concentra son Enchantement d’Aura en un instant et repoussa de toute sa force le katana de Hoshikaze. C’était la fin avec ça.

Doufuu s’était envolé de la main d’Hoshikaze et il s’était planté directement dans la terre.

« Senpai, pourquoi n’as-tu pas utilisé la magie… ? » Kazuki avait demandé à Hoshikaze qui était devenue désarmée.

Après tout, Hoshikaze était le numéro 2 des Magica Stigmas dans la Division Magie. Si elle transformait le combat en un échange de Magie d’Invocation de longue portée, le résultat serait incertain même si elle se battait contre cinq personnes.

« Je… Je voulais en apprendre plus sur l’art du sabre avec toi, » répondit-elle.

Lentement, les larmes flottaient dans les yeux longs et fendus d’Hoshikaze.

« Tu es le premier ami masculin que j’ai pu me faire. L’entraînement tous les matins était amusant depuis le début. Malgré tout… pourquoi as-tu fait quelque chose qui t’a fait être poursuivi par le conseil des étudiants de la Division Magie ? Je… comme je le pensais, je ne veux pas me battre contre toi ! Je ne suis après tout pas aussi dure que Kaguya…, » déclara Hoshikaze.

L’esprit combatif avait disparu d’elle, et sa robe magique était aussi revenue à son uniforme.

Ses épaules s’étaient affaissées, ce qui la rendait si pitoyable.

« Senpai, on m’accuse à tort, » déclara Kazuki.

« Même si tu me dis ça, ma position ne me permet pas de te croire, » répondit Hoshikaze.

Hoshikaze l’avait regardé fixement avec des larmes aux yeux. C’était naturel. Cependant…

« C’est pourquoi, à partir d’ici, j’ai l’intention d’aller chercher des preuves. Après cela, je viendrai à la Division Magie, » déclara Kazuki.

« Une preuve ? … Trouveras-tu ce genre de chose ? » demanda Hoshikaze.

« Senpai, il y a quelque chose d’anormal dans le sous-sol de la Division Magie, en as-tu entendu parler ? » demanda Kazuki.

« Le sous-sol sous la Division Magie ? » demanda Hoshikaze.

Hoshikaze pencha la tête sous la surprise. En voyant cette réaction, Kazuki avait été soulagé.

Hoshikaze n’était pas liée à la « cérémonie souterraine qui avait libéré le pouvoir magique inquiétant ».

« Il y a quelque chose que même vous toutes, Senpai, ne savez pas en dessous de cette Division Magie. C’est quelque chose qui est sans aucun rapport avec les 72 Piliers de Salomon. C’est celui de quelqu’un… c’est rempli de la mauvaise volonté d’une mythologie différente. Si la situation continue ainsi, la relation entre la Division Magie et l’Ordre des Chevaliers avec les 72 Piliers de Salomon sera menacée. Dès maintenant, je vais aller enquêter sur cet endroit, » déclara Kazuki.

« … Es-tu donc vraiment accusé à la suite de fausses accusations ? Et pour le prouver, peux-tu le faire… ? » demanda Hoshikaze.

Hoshikaze cligna des yeux humides de larmes.

Même dans ce genre de situation, elle prêtait encore l’oreille à la voix de ce côté-ci, c’était vraiment un prince honnêtement gentil.

« Oui. Je reviendrai au manoir des sorcières, c’est sûr. D’ici là, occupe-toi de mon âme d’épéiste, » déclara Kazuki.

Kazuki ramassa Doufuu qui était tombé au sol et le remit à Hoshikaze.

Hoshikaze avait apporté ce katana parce qu’elle sentait qu’il était le symbole de son lien avec Kazuki.

Une fois de plus, Kazuki confia son katana bien-aimé à Hoshikaze.

« Compris, je t’oublie pour aujourd’hui, » répondit Hoshikaze.

Hoshikaze attrapa Doufuu, puis elle essuya ses yeux larmoyants à plusieurs reprises avec la manche de son uniforme.

« Je vais t’ignorer pour l’instant, mais je ne t’attendrai pas trop longtemps, d’accord ? Si tu ne reviens pas bientôt, il n’y aura pas de prochaines fois ! » Elle l’avait dit sur un ton dorloté.

« … Merci beaucoup, Senpai, » répondit Kazuki.

Hoshikaze s’était un peu forcée à sourire et à plaisanter. « Oui, j’en suis ravie. C’est fini sans avoir à douter de mon ami qui est aussi mon joli cadet. Tu as dit que je peux te faire confiance, je suis vraiment contente… Alors, travaille dur. »

Hoshikaze se retourna sur ses talons. Une petite marque de cœur s’était envolée depuis ce dos.

Ce sentiment aussi, je ne dois absolument pas le trahir, pensa Kazuki.

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