Magika No Kenshi To Shoukan Maou – Tome 2 – Chapitre 1 – Partie 7

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Chapitre 1 : Avant la Tempête

Partie 7

Le lendemain matin, une voix de fille avait retenti dans le jardin de la maison des sorcières.

« YAAAAAAAAAAAAAA ! »

Le numéro 2 en force de la Division Magie, Hoshikaze, portait un uniforme de gym et brandissait un katana alors qu’elle se déplaçait en ce moment vers Kazuki.

Kazuki l’esquiva avec agilité, puis la fille fit tourner le katana dans un mouvement fluide et frappa pour la deuxième et la troisième fois. Les formes qu’Hoshikaze avait apprises étaient encore peu nombreuses, mais elle avait parfaitement appris ces quelques positions d’épéiste.

Kazuki avait alors contre-attaqué et frappé dans l’écart se trouvant au milieu des attaques d’Hoshikaze.

Face à cela, Hoshikaze l’avait bloqué avec son katana en pleine panique.

À l’instant où les épées se bloquaient l’une contre l’autre — Hoshikaze avait repoussé l’épée de Kazuki droit devant elle, mais Kazuki avait repoussé cette force dans une trajectoire circulaire, et il avait pris le contrôle de la trajectoire du katana de sa senpai avec habileté et force.

Au moment où les épées s’étaient séparées, la posture de Kazuki était en position pour pouvoir occasionner une nouvelle frappe, alors que celle d’Hoshikaze était perturbée au point où il lui était impossible de contre-attaquer.

L’action de contrôler librement l’élan des épées au moment où les épées se bloquaient l’une contre l’autre était une technique de l’art de l’épée de la vieille école.

« Cette technique s’appelle la Position Instantanée, » déclara Kazuki.

Le katana de Kazuki avait frappé légèrement le front d’Hoshikaze avant de se faire repousser par le pouvoir magique défensif bleu de la jeune femme.

« Senpai, vous savez, quand on bloque une épée avec sa propre épée, cela ne sert à rien de pousser directement en face de vous, » déclara Kazuki.

Bien sûr, même si c’était devenu un concours de force, Kazuki gagnerait. Dans ce cas, ce n’était pas quelque chose à enseigner.

« ... Je vois ! Que ce soit avec la magie de renforcement physique ou la force physique, un vrai épéiste me surpassera absolument dans les deux domaines. C’est pourquoi je dois constamment parer l’attaque de mon adversaire et la dévier sur le côté. C’est une connaissance très importante, n’est-ce pas ? Ha ! C’est encore plus vrai si l’ennemi est une bête démoniaque qui se vante de sa force ! » déclara Hoshikaze.

Avec quelques mots de Kazuki, Hoshikaze avait pu comprendre dix choses par elle-même. Elle hochait en ce moment la tête à plusieurs reprises.

Il s’agissait d’une élève formidable et d’une grande qualité possédant un grand enthousiasme.

De plus, lorsque Hoshikaze avait appris au départ les formes, ceci avait été gravé dans son corps qu’en observant et en s’entraînant pendant quelques minutes à le faire. Quand Kazuki montrait un exemple, il semblait qu’elle effectuait ce mouvement en alignant sa conscience avec celle de Kazuki à l’aide de la télépathie avancée. Kazuki avait été stupéfait quand il avait réalisé qu’il existait ce genre de méthode.

« Gardez à l’esprit que la force n’est pas tout ce qu’il y a dans un match... Senpai, quand vous utilisez le Chevauchement de la Foudre, vous pouvez devenir plus forte, donc être vaincue en combat rapproché ne devrait jamais se produire, » déclara Kazuki.

Le Chevauchement de la Foudre était une magie caractéristique de Baal, la Diva avec laquelle Hoshikaze avait formé un contrat. Des signaux électriques spéciaux étaient ainsi envoyés aux muscles et au système nerveux présent sur tout son corps, permettant au corps de se déplacer à la vitesse de l’éclair.

C’est pourquoi, pour utiliser pleinement ces Magies d’Invocations, Hoshikaze avait supplié Kazuki de lui apprendre le combat rapproché.

Elle n’avait appris que les mouvements fondamentaux jusqu’à présent, mais même ces bases deviendraient terrifiantes si elles étaient utilisées à grande vitesse avec le Chevauchement de la Foudre.

« Je suis contente d’être devenue votre apprentie ! Franchement, jusqu’à ce que je vous rencontre, quelque part dans mon cœur, je regardais aussi de haut les épéistes. Mais chaque jour, j’ai l’impression avec vous qu’un nouveau monde s’ouvre devant moi ! » déclara Hoshikaze.

Le beau et harmonieux visage d’Hoshikaze s’était soudain transformé en un visage souriant. C’était une senpai qui ressemblait à un prince et qui était populaire auprès des étudiants du même sexe, mais il était également impossible pour Kazuki de ne pas être attiré par son caractère.

« De plus, votre façon d’enseigner est si douce. D’une façon ou d’une autre, être frappée sur la paume de la main était une chose heureuse. Vous n’êtes pas du tout sauvage, alors... Même si vous êtes un homme, je veux vous connaître davantage, à travers ces leçons d’épée, » déclara Hoshikaze.

Alors que Hoshikaze disait cela avec un ton extatique, une marque de cœur s’était mise à flotter vers le haut de sa poitrine.

« ... J’ai été comme vous pendant longtemps, et j’ai souhaité avoir un ami du “même sexe” ! » déclara Hoshikaze.

« Non, s’il vous plaît, attendez un peu, Senpai. Senpai et moi ne sommes pas du même sexe, » déclara Kazuki.

« C’est vrai..., cependant, j’ai, vous voyez, d’une certaine façon, euh, mon apparence ressemble à celle d’un garçon, n’est-ce pas ? Le comportement des filles autour de moi est... un peu étrange. Je suis heureuse d’être adorée par elles, mais c’est assez triste, car je me sens seule. Mais si c’est avec vous, alors je sens qu’on peut immédiatement se faire face comme des amis ! » déclara Hoshikaze.

« Oh, mais bien sûr ! Je n’ai pas d’autre idée que l’amitié ! » déclara Kazuki.

« Merci, je suis heureuse ! ... Oups, hein ? » s’exclama Hoshikaze.

Les pieds d’Hoshikaze titubaient alors qu’elle riait. Elle ne s’en rendait pas compte lorsqu’elle renforçait son corps avec du pouvoir magique, mais lorsqu’elle diminuait son attention, la fatigue s’accumulait de façon inattendue et cela se répercutait dans son corps.

« Est-ce que ça va, Senpai ? » Kazuki avait immédiatement soutenu son épaule.

Hoshikaze se mit instantanément à trembler. — Pour cette senpai, la vérité était qu’elle n’était pas douée avec les garçons.

Elle était surtout devenue habituée à dialoguer face à face, mais... il semblerait qu’elle était mauvaise quand on la touchait.

Elle avait lâché un cri de « Hyaa ! » qui semblait très nerveux avant de repousser Kazuki qui s’était rapproché d’elle pour la soutenir.

À la suite de cette « attaque-surprise », Kazuki avait titubé. Il était difficile de prédire une action produite par pur réflexe.

« Ah... désolée ! Allez-vous bien !? » demanda Hoshikaze.

Cette fois, c’était au tour de Hoshikaze, qui, par pur réflexe, avait soutenu Kazuki après s’être rapprochée de Kazuki en un bond.

Mais elle l’avait fait avec trop de force et ainsi, Hoshikaze avait titubé vers l’avant avant d’enlacer Kazuki au moment de sa chute.

Pendant un certain temps, cela ressemblait à un échange assez compliqué avec de très faibles lumières qui avaient surgi de leur corps, comme lorsqu’ils bloquaient leurs épées, mais à la fin, tous les deux étaient tombées sur la pelouse.

La lumière bleue du pouvoir magique défensif avait surgi lors du choc. Grâce à elle, il n’y avait pas eu de douleur.

En ce moment, Kazuki était enveloppé de chaleur et de douceur. Quand il avait ouvert les yeux, il remarqua que sa tête était enfouie dans la poitrine d’Hoshikaze qui portait ses vêtements de gym. C’était doux, et un léger parfum émis par la sueur d’une fille lui chatouillait le nez.

Les vêtements de gymnastique devant ses yeux étaient mouillés de sueur, et un soutien-gorge de sport tout aussi mouillé était visible à travers. Le corps de Kazuki était enchevêtré avec les jambes d’Hoshikaze couverte d’un collant de gym, une posture qui ressemblait à celle d’un homme complètement couché sur le corps d’une femme.

« Ha, Hayashizaki-kun..., » le visage d’Hoshikaze se remplissait d’un rouge vif.

En raison d’un événement fortuit, c’était devenu comme s’il avait plaqué une fille au sol !

... Kazuki s’était levé et avait séparé son corps. Mais avant que Kazuki ne puisse s’excuser...

« D-Désolée ! On dirait que j’ai encore piétiné votre gentillesse ! » déclara Hoshikaze.

Hoshikaze baissait la tête face à Kazuki parce qu’elle pensait avoir fait une chose très embarrassante.

« Senpai, ne vous excusez pas ! De toute façon, aucun mal n’a été fait !! » déclara Kazuki.

{Tu t’excuses après ça, même si un heureux événement pervers s’est produit ! Quel grand roi du harem que tu es, ô, mon roi !} Leme, qui avait vu la situation de Kazuki depuis Astrum, lui avait envoyé des paroles ridicules dans la tête.

C’est vrai, c’était plutôt une bonne sensation... arrête ! Le fait d’avoir de telles pensées méchantes envers Senpai n’est pas bon !

Les pupilles d’Hoshikaze étaient mouillées alors que des larmes d’autocondamnation s’accumulèrent

« Je suis vraiment désolée... Malgré mon intention de compter sur vous, mais quand un homme s’est approché de moi, j’ai été surprise... Suis-je disqualifiée en tant qu’amie... ? S’il vous plaît, ne me haïssez pas à cause de..., » déclara Hoshikaze.

Ces yeux n’étaient pas comme ceux d’un prince. Spontanément, c’était devenu les yeux d’une fille qu’il fallait protéger.

« C’est bon, Senpai ! L’amitié inébranlable entre Senpai et moi ne sera pas détruite par quelque chose comme ça ! » déclara Kazuki.

« Une amitié inébranlable ! ... Hayashizaki-kun, vous le dites vraiment ainsi ! J’aime beaucoup ça !! » déclara Hoshikaze.

Après ça, Hoshikaze avait saisi l’une des mains de Kazuki avec une profonde émotion.

Mais même si Hoshikaze avait saisi la main de Kazuki parce qu’elle était submergée d’émotion, elle avait peu à peu commencé à avoir peur du fait qu’elle tenait la main d’un homme. Cependant, elle tremblait tellement qu’elle ne pouvait même pas séparer sa main par elle-même.

« Senpai, ne vous forcez pas, » déclara Kazuki.

Kazuki relâcha sa main avec un sourire amer. Cette femme était vraiment une personne qui agissait sans réfléchir.

« Pa-Pardonnez-moi. Pourquoi suis-je devenue comme ça ? ... Ah. J’aimerais qu’un jour, vous et moi puissions faire, tout en restant calmes, un câlin d’amitié entre les hommes et établir notre amitié l’un envers l’autre, » déclara Hoshikaze.

« ... Vous savez, les hommes ne font pas de câlins d’amitié entre eux dans la réalité, » déclara Kazuki.

« Hein ? Mais dans mon manga préféré, ils se sont bien serrés dans les bras pendant que leurs visages se rapprochaient de l’autre, puis ils se sont chuchotés à l’oreille “je t’aime” et ont mordu le lobe d’oreille de leur partenaire, non ? Je n’ai pas vraiment compris pourquoi, mais voir ça a fait battre mon cœur bien plus vite, » déclara Hoshikaze.

... Ce n’est pas de l’amitié, mais l’amour entre garçons, non ? pensa Kazuki.

« Je veux cependant mieux m’entendre avec vous. Et ainsi, vous voyez..., » déclara Hoshikaze.

Le niveau de positivité de Hoshikaze qui avait déclaré des mots aussi honnêtes et dangereux était — à 39.

Elle n’était qu’à 39 avec lui. Les marques de cœur s’envolaient souvent de Hoshikaze, mais étrangement, l’augmentation produite sur le score total n’augmentait que très faiblement. De plus, parfois le score diminuait de lui-même même lorsque Kazuki ne faisait rien.

{C’est à cause de sa phobie de l’homme. Les points diminuant aussi arbitrairement, c’est parce que même si elle ne te déteste pas, elle se demande aussi si c’est bien de t’aimer. Son niveau de positivité est limité par son sentiment de culpabilité.}

Leme avait ainsi donné une explication dans l’esprit de Kazuki. Pour mieux s’entendre avec elle... et pas seulement en augmentant simplement son niveau de positivité, sa phobie des hommes devait aussi être conquise, n’est-ce pas ?

Mais plus Kazuki en savait sur cette personne, plus il voulait bien s’entendre avec elle.

Soudain, à ce moment-là, une voix qui semblait ridiculiser la situation était sortie d’un buisson.

« Fufufufu, ce n’est pas un jeu d’enfant de s’entendre avec Kazuki-dono, » déclara la voix féminine inconnue.

« ... Qui est-ce ? » demanda Kazuki.

Au moment où Kazuki avait fait demi-tour, le visage d’une étudiante était apparu de l’intérieur du buisson

— Elle n’est pas une personne normale. C’était ce que Kazuki avait ressenti. Quand elle marchait, la personne qui était apparue avait démontré quelque chose de bien spécifique. Sa tête ne bougeait pas du tout de haut en bas. C’était possible parce que son jeu de jambes agissait comme si elle glissait sur le sol, et cela démontrait l’une des caractéristiques propres aux anciennes écoles d’arts martiaux.

Même si la zone était un lieu pour la Division Magie, la jeune fille portait effrontément l’uniforme de la Division Épée.

Il était rare qu’une épéiste aux cheveux longs garde ses cheveux libres et ne les maintienne pas sous la forme de tresses. Un sourire audacieux flottait sur ses lèvres, et l’atmosphère majestueuse qui l’entourait présentait la coexistence du calme et de la sauvagerie.

En dirigeant ses yeux encore plus loin — on pouvait voir qu’il y avait trois épées différentes attachées de chaque côté de ses hanches, et sur son dos, elle portait une grande épée. Sept épées au total... Quel genre d’épéiste est-elle ?

« Si vous la guidez en jouant comme ça, votre précieux talent va s’émousser, Kazuki-dono, » déclara la fille.

Alors qu’elle se dirigeait vers le côté de Kazuki, l’épéiste lança un rire en direction de l’entraînement spécial d’Hoshikaze.

« Comme je le pensais, je ne fais que vous ennuyer, n’est-ce pas ? ... Désolée, Hayashizaki-kun, » déclara Hoshikaze.

« Ce n’est pas vrai, s’il vous plaît ne soyez pas découragée, Senpai ! ... Et vous êtes ? » demanda Kazuki.

« Mon nom est Hikita Kohaku... L’an prochain, je serais la présidente du Conseil des Étudiants de la Division Épée ! » déclara la femme.

... D’une certaine façon, cette façon de parler ressemblait à du déjà vu. Était-ce la version épéiste de Mio ?

« Le département est différent, mais êtes-vous aussi une première année comme moi ? » demanda Kazuki.

Kohaku se plaça devant Kazuki et lui fit un salut poli de la tête.

« Je suis Hikaru Hoshikaze. Deuxième année dans la Division Magie. »

Hoshikaze s’était aussi présentée... mais Kohaku n’avait pas semblé faire attention à Hoshikaze, l’ignorant et ne posant son regard que sur Kazuki.

Kazuki plissa ses sourcils. Il y avait des individus dans la Division Épée qui avaient encore de l’animosité contre la Division Magie, et cette fille pourrait être l’une d’entre elles.

Elle ignorait parfaitement Hoshikaze — mais plutôt que de se fâcher, Hoshikaze riait malicieusement à la place.

Puis elle avait tourné jusqu’à arriver dans le dos de Kohaku et avait soulevé son katana au-dessus de sa tête.

Kazuki avait été choqué. Kaguya l’avait déjà dit, mais Hoshikaze avait une étrange façon de s’amuser.

Et ainsi, Hoshikaze avait effectué une attaque-surprise en une frappe éclair.

À cet instant, Kohaku avait perçu l’intention meurtrière et se retourna tout en dégainant un katana.

« C’est stupide... ! » — En criant, elle avait déplacé son épée en se retournant.

Hoshikaze avait déjà fait pivoter son katana, et c’était quelque chose qu’une personne de niveau moyen ne pourrait pas la bloquer à temps. Cependant, avec la lumière bleue d’une amélioration magique du physique condensée dans le bras de Kohaku, elle avait effectué une accélération stupéfiante.

*GIIIIN !* une forte réverbération avait retenti, et l’attaque-surprise d’Hoshikaze fut repoussée d’un seul coup avec ce qui devrait s’appeler un mouvement effectué avec une vitesse divine. Après ça, Kohaku corrigea immédiatement sa prise sur le katana qu’elle avait déjà tenue à deux mains. Puis elle tourna la lame et la fit basculer vers le bas. — Un parfait exemple de frappe à l’épée en utilisant une technique Iai en deux étapes.

Hoshikaze avait arrêté très difficilement le katana de Kohaku qui se trouvait à ce moment-là au-dessus de sa tête.

« ... Si un enfant essaie de mesurer sa force contre un tigre, il mourra, » déclara Kohaku.

Hoshikaze regarda avec émerveillement la pointe de l’épée qu’elle avait à peine pu arrêter. « Je vous ai sous-estimé ! » puis elle avait rengainé son katana et avait applaudi. L’humeur de Kohaku s’était améliorée face à l’éloge honnête de Hoshikaze, puis elle s’était tournée vers Kazuki avec une expression fière.

« ... Bien qu’en tenant compte de la frappe Iai, cela ne puisse toujours pas se mesurer à celle de Kazuki-dono, » déclara Kohaku.

« Non, j’ai vu que votre talent n’était pas médiocre... Alors, pour quel genre d’affaires êtes-vous venu me voir ? » demanda Kazuki.

Elle ne serait pas capable d’atteindre ce genre de vitesse lors de la réalisation de cette technique de dégainage d’une épée, si elle n’avait pas affûté son corps avec discipline lors de l’apprentissage de la maîtrise à l’épée pendant la majeure partie de sa vie. Quel genre d’affaires ce genre de fille devait-elle avoir pour entrer expressément sur le site de la Division Magie ?

Ne me dites pas que c’est pour me défier en duel..., se demanda Kazuki.

« Kazuki-dono... Je vous demande de m’“épouser” ! » déclara-t-elle.

« Pardonnez-moi, mais actuellement, j’en ai déjà assez des “duels” [1] ! » répliqua-t-il.

« Vous en avez assez des mariages !? Kazuki-dono, avez-vous déjà des antécédents de divorce à cet âge !? Comme c’est licencieux... !! » s’écria Kohaku.

Kohaku fut stupéfait de voir Kazuki faire un « Hein ? » en inclinant son cou.

« Qu’est-ce que vous dites ? Qu’est-ce qu’il y a de licencieux dans ça ? » demanda Kazuki.

« Hayashizaki-kun, c’est un malentendu parce que vous avez mal entendu. Cette fille a dit que c’était pour un mariage, » Hoshikaze avait corrigé le malentendu qui remplissait Kazuki de confusion.

... Mariage ?

« Atten — attendez une minute ! C’est étrange, non ? Nous venons juste de nous rencontrer, alors comment cela pourrait-il se transformer en une demande en mariage si soudainement !? » s’écria Kazuki.

« Qu’il s’agisse du mariage ou de la première rencontre, il n’y a aucune relation entre les deux, » déclara Kohaku qui annonça ça sur un ton plat.

« FAITES-LE, c’est tout ! » déclara Kohaku avec faste.

« Bien sûr qu’il y en a ! Normalement, il y a des relations extrêmes entre ces deux-là. Qu’est-ce que vous dites avec tant d’audace !? » s’écria Kazuki.

Notes

  • 1 En japonais, les deux mots ont une forte ressemblance, d’où la confusion.

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Un commentaire :

  1. Merci pour le chapitre !

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