Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 5 – Prologue – Partie 2

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Prologue

Partie 2

La nuit.

Noëlle et moi étions en train de dîner sur la terrasse ouverte d’un restaurant après avoir terminé nos courses.

Il y avait trois grandes assiettes sur une table ronde sur laquelle était placée une bougie.

Près de nos mains, il y avait de petites assiettes sur lesquelles on posait un petit pain.

Nous avions placé sur la chaise vide le sac en papier brun rempli des objets que nous avions achetés.

Je me battais avec acharnement contre le plat de homard bouilli pendant que je mangeais.

« C’est difficile à manger! » déclarai-je.

Il y avait peu de temps, j’avais reçu beaucoup d’argent de la République en réparation pour le cas de Pierre, alors j’avais décidé de faire un peu d’extravagance et j’avais acheté un repas très cher. Mais c’était le résultat.

C’était pénible de manger quelque chose auquel je n’étais pas habitué.

« Je ne peux pas supporter de regarder ça. Laisse-moi essayer, » déclara-t-elle.

Noëlle qui regardait m’avait enlevé le crustacé qui ressemblait à un homard.

Puis elle l’avait démonté facilement, contrairement à moi.

Après que Noëlle ait sorti la viande, elle l’avait placée dans une petite assiette et me l’avait donnée.

Noëlle avait utilisé une serviette de table qu’elle avait posée sur la table et s’était essuyé les mains en me regardant fièrement en disant « Voilà comment on le fait. »

« C’est incroyable. Il peut donc être démantelé aussi proprement, » répondis-je.

« Démanteler — eh bien, ce n’est pas faux de l’appeler ainsi. Et alors ? Maintenant, il est plus facile de manger comme ça, n’est-ce pas ? » demanda Noëlle.

Quand j’avais essayé de le manger, la viande était tendre et délicieuse.

Je pouvais entendre les voix des autres clients qui s’amusaient à l’intérieur du restaurant.

J’entendais aussi les voix des serveurs qui lisaient la commande des clients.

Il y avait aussi la lumière de l’intérieur du restaurant et le lampadaire. Le dessus de la table était un peu sombre, mais nous pouvions toujours voir assez clairement.

Cela avait plutôt créé une atmosphère assez agréable qui était bonne à sa manière.

« C’est délicieux. Essaie-le aussi, Noëlle, » déclarai-je.

« Cela me met mal à l’aise de te voir tout me payer chaque fois. Léon, ne gaspilles-tu pas trop d’argent ces derniers temps ? » demanda Noëlle.

L’incident avec Pierre avait été réglé et maintenant j’appréciais beaucoup la vie dans la République.

Il restait encore beaucoup de problèmes, mais c’était pour plus tard.

« La plupart de ce que j’ai acheté étaient des souvenirs. Ma famille au pays est devenue ennuyante avec ce genre de choses, » déclarai-je.

Quand je parlais de ma famille — ma grande sœur Jena et ma petite sœur Finley — qui m’avaient ennuyé avec leur demande de souvenirs.

Elles m’avaient harcelé pour que je leur fasse de beaux cadeaux en guise de souvenirs.

Je devais aussi faire des cadeaux pour les gens à qui je devais de l’argent, alors j’avais fait des folies.

Mais, toutes ces dépenses étaient justifiées, donc il n’y avait pas de problème.

Le regard de Noëlle était devenu empli de doute quand j’avais affirmé que mes dépenses ne pouvaient pas être empêchées.

« Mais, ces nouveaux services à thé sont inutiles, n’est-ce pas ? Combien coûtent ces services à thé avec le sachet dédié ? » demanda Noëlle.

« Hahaha — Noëlle, veux-tu aussi essayer celle-là ? C’est délicieux, » lui demandai-je.

Il y avait de très beaux services à thé dans la République.

Avec autant d’argent en poche en ce moment, je ne pouvais pas m’empêcher de vouloir les obtenir.

Mais, les seules choses que je m’étais achetées étaient ce service à thé.

Les autres choses étaient pour la plupart des nécessités quotidiennes.

« Léon ? » demanda Noëlle.

Noëlle ne m’avait pas laissé changer de sujet, alors je l’avais avoué honnêtement.

« — Cela a monté jusqu’à un total de cent mille, » répondis-je.

Cent mille — bien sûr, ce n’était pas en yens.

Si elle était convertie en yen japonais, le coût total serait d’environ dix millions.

Noëlle avait l’air choquée. Il semble que le prix dépassait de loin son imagination.

« Avant cela, tu achetais aussi des choses comme des feuilles de thé ou des sucreries très chères, n’est-ce pas ? » demanda Noëlle.

« Je voulais faire un goûter avec les nouveaux services à thé ! C’est mon hobby ! Noëlle, toi-même, tu as aussi bu le thé et mangé les sucreries ! » répondis-je.

Pour commencer, c’était Noëlle que j’avais spécialement invitée à la fête du thé.

« N-Non, c’était, tu sais — ils étaient délicieux, » répondit Noëlle.

Dans cet autre monde, il y avait peu de divertissements.

Pour une personne moderne comme moi, il devrait être bon d’avoir au moins un passe-temps comme celui-ci.

« C’est l’un de mes rares passe-temps, » déclarai-je.

Quand j’avais agi de la sorte, Noëlle avait semblé se sentir coupable et s’était excusée. « Désolée J’en. ai trop dit. Malgré cela, je ne m’attendais pas à ce que ton hobby, Léon, soit quelque chose comme le thé. »

Eh bien, même moi, j’avais été ainsi « Thé ? Aa ~, oui, oui, le thé, hm, » jusqu’à il y a quelque temps.

Cependant, mon sens des valeurs avait changé après ma rencontre avec le mentor.

« Noëlle, toi aussi tu aurais sûrement pensé comme moi si tu avais participé à la fête du thé du Mentor, » déclarai-je.

Noëlle avait repris son repas lorsqu’elle m’avait vu louer mon Mentor avec joie.

« J’ai entendu cela à maintes reprises, » déclara Noëlle.

Je suppose que c’est le cas. Après tout, j’avais beaucoup parlé de cela.

J’avais également repris mon repas. Puis un serveur s’était approché de nous.

« Cher client, souhaitez-vous commander davantage ? » demanda le serveur.

Noëlle ne commandait plus, mais moi oui.

« Veuillez apporter le jus le plus cher ici, » répondis-je.

J’avais essayé de commander quelque chose de cher pour me comporter comme une personne riche.

Le serveur avait fait un sourire troublé.

« Je suis désolé, il n’y a pas de jus dont le prix est aussi élevé, » répondit le serveur.

Je le savais parce que j’avais déjà vu le menu.

« Je plaisante. Donnez-nous deux autres boissons. Les mêmes choses qu’avant, c’est très bien, » déclarai-je.

J’avais commandé les mêmes boissons que lors de notre première commande.

Noëlle était aussi très bien avec cela.

Quand le serveur était parti, Noëlle m’avait demandé.

« Hein ? Ne bois pas d’alcool, Léon, même si Marie-chan et les autres boivent. N’est-il pas rare, même au royaume, que quelqu’un ne boive pas ? » demanda Noëlle.

Dans ce monde, vous seriez autorisé à boire de l’alcool à l’âge de 17 ans.

Vous seriez traité comme un adulte à 15 ans, donc le fait de boire ou non de l’alcool serait de leur propre responsabilité après cela.

Mais je n’étais pas si intéressé par l’alcool.

« J’ai décidé de boire de l’alcool quand j’aurai vingt ans, » déclarai-je.

« Pourquoi ? » demanda Noëlle.

« C’est ma règle personnelle, » répondis-je.

Ce n’est pas comme si j’étais si obsédé par cette règle, mais — cela me rendait un peu mal à l’aise de boire en ce moment, alors j’avais décidé de ne pas boire avant mes vingt ans. Au départ, je ne voulais pas non plus boire d’alcool.

Noëlle sourit.

Et puis son sourire était devenu un peu triste.

« Qu’est-ce qui ne va pas ? » Quand je le lui avais demandé, Noëlle avait secoué la tête.

Sa queue de cheval latérale battait.

« C’était mon rêve d’avoir un repas comme celui-ci, » déclara Noëlle.

Ces mots m’avaient fait penser au visage de la petite sœur de Noëlle.

« Et Lelia ? » demandai-je.

L’expression de Noëlle était devenue un peu insatisfaisante.

L’expression de cette fille avait souvent changé rapidement.

« Léon, tu ne peux vraiment pas lire l’atmosphère, tu es stupide. Ce n’est pas comme si ce côté-là me dérangeait. — On dit que les sœurs se séparent un jour, mais Lelia ne veut pas faire ce genre de chose, » déclara Noëlle.

« Elle ~ eh! »

Quelque chose est-il arrivé entre ces sœurs ?

Si c’était cette Lelia, il ne serait pas étrange qu’il se passe quelque chose.

Après tout, la situation actuelle était en partie due à la faute de cette fille.

« C’est bien si tu t’amuses, » déclarai-je.

Noëlle avait regardé mon visage quand j’avais dit cela.

« Quoi ? » demandai-je.

Noëlle m’avait montré un sourire. Son visage était très beau.

« Je pense juste que tu as l’air d’apprécier la nourriture. Plus important encore, à propos d’après, » déclara Noëlle.

Noëlle voulait s’informer du plan après cela, mais des pas s’étaient approchés de notre table.

Ce n’était pas le serveur, mais quelqu’un qui était notre connaissance.

J’avais regardé le visage de cette personne. Elle faisait clairement une tête mécontente.

— Lelia plissa ses sourcils avec sa main sur la taille. Elle n’avait même pas essayé de cacher son mécontentement.

« Il n’est pas nécessaire d’avoir l’air si mécontent. »

Noëlle fronça les sourcils et détourna son visage de Lelia. « Lelia, as-tu besoin de quelque chose ? »

Une tension gênante avait dérivé entre les deux sœurs. Les clients des alentours regardaient également avec intérêt.

J’avais soupiré.

« Tu arrives juste au moment où nous parlions de toi. Eh bien, assieds-toi. Veux-tu boire quelque chose ? » demandai-je.

Lelia avait détourné son visage de moi lorsque je lui avais parlé.

« Pas besoin de se donner la peine ! —, Je viens aussi ici avec de la compagnie, » déclara Lelia.

Quand j’avais regardé derrière Lelia, il y avait Émile avec ses cheveux bleus soyeux qui se tenaient légèrement derrière elle.

Il portait un costume très cher.

J’avais souri quand je l’avais vu.

« Avez-vous tous les deux un rendez-vous galant ? » demandai-je.

« Tais-toi ! Oublie ça, aujourd’hui je vais venir chez toi, » déclara Lelia.

L’expression de Noëlle était devenue grave quand elle avait entendu cela.

« Lelia, je t’ai déjà dit de ne pas être une nuisance, » déclara Noëlle.

« C’est quelque chose d’important, alors tais-toi, grande sœur, » déclara Lelia.

Lelia n’avait dit que ce qu’elle voulait dire avant de quitter notre table.

Émile avait fait une grimace d’excuse et s’était légèrement incliné devant nous avant de courir après Lelia.

L’environnement était devenu un peu bruyant. C’est alors que le serveur qui observait la scène à l’instant était venu apporter le jus que nous avions commandé.

« Merci d’avoir attendu, » déclara le serveur.

J’avais mis de l’argent sur le plateau du serveur pour compenser le désagrément.

Le serveur était parti en voyant cela.

Noëlle regardait en bas.

Lelia — cette fille était une réincarnée tout comme Marie et moi.

Elle connaissait également la suite de ce jeu.

« — aujourd’hui, retournons après avoir fini de manger, » déclara Noëlle.

« OK, » déclarai-je.

Noëlle avait l’air déprimée, alors nous étions rentrés aujourd’hui. chez nous tout de suite après ça.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

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