Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 5 – Chapitre 9 – Partie 1

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Chapitre 9 : L’ancien prince héritier

Partie 1

« Marie, je suis à la maison. »

Lorsque Julian était revenu au manoir après un mois, il avait été soulagé du fond de cœur de revoir Marie après si longtemps.

En même temps, il avait vu les quatre hommes qui avaient préparé des cadeaux vraiment somptueux.

Je suis — vraiment pathétique.

Il avait réalisé à quel point il était inutile après avoir vu les cadeaux que les quatre autres avaient préparés pour Marie.

Il n’avait pas pu gagner beaucoup d’argent.

Marie s’était approchée de lui.

« Julian, pourquoi es-tu dans un tel accoutrement ? »

Marie s’inquiétait pour lui.

Il en était heureux.

« — Je travaillais dans un stand. »

« Un stand ? »

Outre Marie, il y avait aussi Kyle et Cara.

Pour une raison inconnue, Yumeria et Cordelia, qui travaillait chez Anjie, étaient également présentes.

Mais Julian ne leur avait pas prêté attention et avait parlé à Marie. « En fait, j’avais prévu de venir ici à la première heure, mais le patron devait réapprovisionner son stock ce matin, alors je l’aidais. »

Le patron l’avait recueilli, c’est pourquoi Julian travaillait sérieusement.

Mais ce n’était qu’un emploi à temps partiel dans un stand de nourriture.

Il ne pouvait pas gagner beaucoup d’argent là-bas.

« C’était un stand de brochettes de viande. »

« Julian, tu travaillais donc à temps partiel dans un stand ? »

Marie avait été surprise.

Ai-je échoué ?

Mais, c’était son état actuel.

De plus, Julian pensait que son expérience de travail n’était pas inutile.

Il s’était vraiment amusé.

C’était également douloureux.

Il avait fait de son mieux en travaillant dur, mais l’argent qu’il gagnait était peu important. Il avait appris comment la société fonctionnait.

Il avait écouté les plaintes des clients ivres, le patron l’avait grondé à cause de son ignorance du monde — Julian avait appris à quel point il avait tort.

« En fait, je voulais acheter un cadeau, mais je me suis dit que ce serait peut-être le meilleur cadeau. »

Julian avait montré son salaire qu’il avait gagné au cours de ce mois.

Marie l’avait accepté.

Il s’agissait là d’un montant qu’on ne pouvait pas qualifier comme important.

« Marie, c’est le mieux que j’ai pu faire. Et puis j’ai compris. J’étais — un idiot. Je savais que l’argent est quelque chose qui se gagne, mais je ne l’avais pas compris avant aujourd’hui. Il y avait ce sentiment en moi que l’argent était sûrement en train de jaillir de quelque part. J’ai pu comprendre cela pour la première fois après avoir essayé de gagner de l’argent par moi-même. »

« Julian. »

Marie avait embrassé l’enveloppe marron.

« Je n’ai pas de cadeau à te faire, mais c’est tout l’argent que j’ai pu gagner avec tout ce que j’ai. Je veux que tu l’acceptes. »

Mais quatre personnes avaient été déçues par les agissements de Julian.

« Votre Altesse — Je pensais que tu étais une personne plus capable que cela. C’est décevant. » Jilk qui avait une haute évaluation de Julian avait l’air vraiment déçu.

« Je considérais secrètement votre Altesse comme le plus dangereux des rivaux. C’est une déception totale. »

Mon rival n’est-il pas plus grand que cela ? Le regard un peu frustré de Brad l’avait clairement exprimé.

« Je ne veux pas voir Julian comme ça. »

Greg avait exprimé sa tristesse tout en prenant la pose. Il avait dû souhaiter que les cinq hommes se battent sérieusement. Il semblait ne pas vouloir voir Julian être le seul à abandonner.

« Il s’agit donc juste d’une bataille entre quatre personnes. »

Chris était également vexé.

Il semblait penser que Julian ne méritait pas d’être pris au sérieux.

Julian lui-même l’avait également compris ainsi.

« Je n’ai pas de mots à dire. Cette bataille est ma défaite. Mais, j’ai donné tout ce que j’avais à ma façon. Si tel est le résultat, alors je ne peux que l’accepter. »

C’était frustrant, mais Julian avait accepté que ce soit sa situation actuelle.

C’était frustrant de ne pas pouvoir être le numéro un de Marie.

Cependant, Julian, qui ne pouvait pas comprendre sa propre inutilité, pensait qu’il ne pouvait pas y remédier, même si Marie choisissait quelqu’un d’autre que lui.

Léon et les autres individus présents le regardaient avec étonnement.

Marie s’était lentement approchée de Julian. Elle avait saisi son poignet droit et l’avait soulevé.

« Julian, tu es le numéro un ! »

« — Eh ? »

Jilk et les autres garçons avaient été abasourdis parce que Julian, qui avait gagné le moins d’argent parmi eux, avait été appelé le numéro un.

« S’il te plaît, attends, Marie ! Ne s’agit-il pas de choisir celui qui gagne le plus d’argent ? »

Marie s’était alors éventée avec l’enveloppe marron tout en parlant aux quatre individus qui n’avaient rien compris.

« Oh ? Quand ai-je dit que je choisirais la personne qui gagnait le plus d’argent ? Mis à part ça, même si je vous ai dit d’aller gagner de l’argent, quel genre de cerveau vous avez là pour gaspiller de l’argent à acheter des choses inutiles et finir sans le sou, hein ! Le montant d’argent que vous avez gagné tous les quatre est de zéro ! C’est pourquoi votre score est également de zéro. »

Les épaules de Brad s’étaient affaissées.

La tête d’un pigeon était alors sortie à ce moment-là de sa poche.

« Comment cela peut-il être ainsi ? »

Greg était tombé à genoux.

« Nous sommes-nous donc trompés ? »

Les hommes derrière Greg l’avaient consolé. « Monsieur Greg, soyez fort ! » « Vos muscles sont les meilleurs ! » « Votre pose est vraiment saisissante ! »

Chris s’était excusé auprès de Julian.

« C’est donc Son Altesse qui a arraché le cœur de Marie. Voici donc notre défaite. »

Les quatre hommes avaient regardé Julian. Ils avaient perdu, mais leur visage s’était illuminé.

Julian avait regardé les quatre autres étudiants.

« Les gars, merci. »

Les quatre hommes avaient consolé le Julian en pleurs. À côté, Marie dansait avec l’enveloppe marron levée haut en chantant « Salaire ! Salaire ! »

Léon avait alors parlé en dernier. « Qu’est-ce que c’est que ça ? »

 

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Les cinq idiots étaient revenus.

C’était sympa, mais le choix du moment était incertain.

Ils n’étaient pas présents lorsque Noëlle avait été kidnappée, et maintenant ils étaient inutiles à ce stade alors qu’ils voulaient la ramener.

Quel est le sens de leur existence ? J’y réfléchissais sérieusement.

Mais je ne pouvais pas non plus les laisser dans l’ignorance.

Après tout, il s’agissait de la bande d’idiots qui était revenue en tant qu’antiquaire, magicien, culturiste et festivalier après avoir été chassée et s’être fait dire de gagner de l’argent.

Le serveur de stand Julian avait l’air le plus décent parmi eux.

Julian était assis sur une chaise et pliait les bras tout en portant un tablier.

Je leur avais expliqué ce qui s’était passé jusqu’à présent, mais — .

« Je comprends l’essentiel. En d’autres termes, Baltfault, tu veux vraiment aller sauver Noëlle, non ? »

« Je pense que oui. »

Je ne m’attendais pas à une réponse appropriée de la part de ces gars, mais je suppose que je devrais leur demander leur avis, juste au cas où.

S’ils disaient quelque chose de stupide et essayaient de l’exécuter, il faudrait les arrêter.

C’est ce que je pensais.

« Alors, tu dois aller la sauver. »

« Ha ? Vous, avez-vous écouté l’histoire ? Noëlle est la prêtresse, c’est pourquoi Alzer est venu désespérément la reprendre. Même si je la ramène au royaume et que je l’y abrite, ces types vont se douter que c’est nous. »

Comme je le pensais, ces gars étaient sans espoir.

Jilk avait incliné la tête juste au moment où je pensais à ça. « Pourquoi cela n’est-il pas bon ? »

« N-non, c’est parce que cela va devenir un problème international. »

Brad qui mélangeait les cartes d’atout avait ri en entendant le problème qui m’inquiétait. « Bien sûr que cela provoquera ça. Mais, est-ce vraiment si important ? »

« Les enfants à problèmes comme vous ne comprendront pas, mais ce sera un très gros problème. »

Greg, qui ne portait aucun vêtement à l’exception d’un simple maillot de corps (speedo), m’avait pointé du doigt.

Commence donc par porter des vêtements.

« Ce jeune arbre sacré, il sera capable dans le futur de faire la même chose que l’arbre sacré, n’est-ce pas ? Alors, n’est-il pas naturel d’en prendre possession même si cela entraîne quelques problèmes ? Même le palais te couvrira s’il peut résoudre à l’avenir le problème de l’énergie. »

— Hein ? Ce speedoman, est-il étonnamment brillant ?

Kyle avait offert des vêtements à Chris, mais il les avait fermement refusé « C’est mon uniforme » et il était resté dans son apparence actuelle de pagne et de manteau de joie.

« Je ne peux pas prétendre être supérieur aux quatre autres en politique, mais après avoir entendu l’histoire tout à l’heure, je ne comprends toujours pas ce qui est si inquiétant. »

Il me regardait avec une expression perplexe.

« C’est pourquoi. »

Même moi, j’avais été déconcerté par ces cinq personnes qui niaient mon inquiétude.

Julian avait parlé avec audace.

« Baltfault est préoccupé par le problème qui se posera avec la République, mais je pense que le mérite l’emportera sur ce genre de chose. Le jeune arbre sacré et la prêtresse ne formant qu’un seul ensemble seront également plus commodes pour le royaume, n’est-ce pas ? Dans ce cas, tu peux la voler avec une cause aussi juste qui te soutient. »

« Vous êtes vraiment radicaux. »

« Mais pas autant que toi, Baltfault. En premier lieu. Si tu connaissais le passé de Noëlle, pourquoi ne l’as-tu pas évacuée immédiatement ? Le royaume avait une relation amicale avec la maison Lespinasse. Ils l’accepteront et l’abriteront même sans compter la question du jeune arbre. »

Voilà les circonstances de ce jeu vidéo otome ! — Mais je ne pourrais pas le dire.

« Non, mais, l’enlever dans cette situation est un peu — le problème international que cela va causer est effrayant. »

« C’est déjà assez ! »

Alors que j’hésitais, Marie, qui tenait fermement l’enveloppe marron, m’avait donné un coup de pied au cul.

« Aïe ! Mais qu’est-ce que tu fais, femme ? »

« C’est irritant de te voir agir ainsi. Si tu veux la sauver, alors va la sauver ! Ce sera ennuyeux si tu continues à t’inquiéter timidement pour toujours et que tu laisses tout cela de côté jusqu’à ce que tu manques le moment opportun. »

Je ne suis pas timide !

« Il y a beaucoup de choses à considérer comme les conséquences de ces actes ! »

« Tu vas la sauver de toute façon, n’est-ce pas ? Si tu dois te contenter d’un coup d’éclat plus tard, il vaut mieux la sauver dès le départ. Ah ~, tu es vraiment irritant ! »

Yumeria était paniquée en me voyant me disputer avec Marie.

Et puis, Cordelia m’avait envoyé un regard froid.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

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