Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 5 – Chapitre 9

+++

Chapitre 9 : L’ancien prince héritier

+++

Chapitre 9 : L’ancien prince héritier

Partie 1

« Marie, je suis à la maison. »

Lorsque Julian était revenu au manoir après un mois, il avait été soulagé du fond de cœur de revoir Marie après si longtemps.

En même temps, il avait vu les quatre hommes qui avaient préparé des cadeaux vraiment somptueux.

Je suis — vraiment pathétique.

Il avait réalisé à quel point il était inutile après avoir vu les cadeaux que les quatre autres avaient préparés pour Marie.

Il n’avait pas pu gagner beaucoup d’argent.

Marie s’était approchée de lui.

« Julian, pourquoi es-tu dans un tel accoutrement ? »

Marie s’inquiétait pour lui.

Il en était heureux.

« — Je travaillais dans un stand. »

« Un stand ? »

Outre Marie, il y avait aussi Kyle et Cara.

Pour une raison inconnue, Yumeria et Cordelia, qui travaillait chez Anjie, étaient également présentes.

Mais Julian ne leur avait pas prêté attention et avait parlé à Marie. « En fait, j’avais prévu de venir ici à la première heure, mais le patron devait réapprovisionner son stock ce matin, alors je l’aidais. »

Le patron l’avait recueilli, c’est pourquoi Julian travaillait sérieusement.

Mais ce n’était qu’un emploi à temps partiel dans un stand de nourriture.

Il ne pouvait pas gagner beaucoup d’argent là-bas.

« C’était un stand de brochettes de viande. »

« Julian, tu travaillais donc à temps partiel dans un stand ? »

Marie avait été surprise.

Ai-je échoué ?

Mais, c’était son état actuel.

De plus, Julian pensait que son expérience de travail n’était pas inutile.

Il s’était vraiment amusé.

C’était également douloureux.

Il avait fait de son mieux en travaillant dur, mais l’argent qu’il gagnait était peu important. Il avait appris comment la société fonctionnait.

Il avait écouté les plaintes des clients ivres, le patron l’avait grondé à cause de son ignorance du monde — Julian avait appris à quel point il avait tort.

« En fait, je voulais acheter un cadeau, mais je me suis dit que ce serait peut-être le meilleur cadeau. »

Julian avait montré son salaire qu’il avait gagné au cours de ce mois.

Marie l’avait accepté.

Il s’agissait là d’un montant qu’on ne pouvait pas qualifier comme important.

« Marie, c’est le mieux que j’ai pu faire. Et puis j’ai compris. J’étais — un idiot. Je savais que l’argent est quelque chose qui se gagne, mais je ne l’avais pas compris avant aujourd’hui. Il y avait ce sentiment en moi que l’argent était sûrement en train de jaillir de quelque part. J’ai pu comprendre cela pour la première fois après avoir essayé de gagner de l’argent par moi-même. »

« Julian. »

Marie avait embrassé l’enveloppe marron.

« Je n’ai pas de cadeau à te faire, mais c’est tout l’argent que j’ai pu gagner avec tout ce que j’ai. Je veux que tu l’acceptes. »

Mais quatre personnes avaient été déçues par les agissements de Julian.

« Votre Altesse — Je pensais que tu étais une personne plus capable que cela. C’est décevant. » Jilk qui avait une haute évaluation de Julian avait l’air vraiment déçu.

« Je considérais secrètement votre Altesse comme le plus dangereux des rivaux. C’est une déception totale. »

Mon rival n’est-il pas plus grand que cela ? Le regard un peu frustré de Brad l’avait clairement exprimé.

« Je ne veux pas voir Julian comme ça. »

Greg avait exprimé sa tristesse tout en prenant la pose. Il avait dû souhaiter que les cinq hommes se battent sérieusement. Il semblait ne pas vouloir voir Julian être le seul à abandonner.

« Il s’agit donc juste d’une bataille entre quatre personnes. »

Chris était également vexé.

Il semblait penser que Julian ne méritait pas d’être pris au sérieux.

Julian lui-même l’avait également compris ainsi.

« Je n’ai pas de mots à dire. Cette bataille est ma défaite. Mais, j’ai donné tout ce que j’avais à ma façon. Si tel est le résultat, alors je ne peux que l’accepter. »

C’était frustrant, mais Julian avait accepté que ce soit sa situation actuelle.

C’était frustrant de ne pas pouvoir être le numéro un de Marie.

Cependant, Julian, qui ne pouvait pas comprendre sa propre inutilité, pensait qu’il ne pouvait pas y remédier, même si Marie choisissait quelqu’un d’autre que lui.

Léon et les autres individus présents le regardaient avec étonnement.

Marie s’était lentement approchée de Julian. Elle avait saisi son poignet droit et l’avait soulevé.

« Julian, tu es le numéro un ! »

« — Eh ? »

Jilk et les autres garçons avaient été abasourdis parce que Julian, qui avait gagné le moins d’argent parmi eux, avait été appelé le numéro un.

« S’il te plaît, attends, Marie ! Ne s’agit-il pas de choisir celui qui gagne le plus d’argent ? »

Marie s’était alors éventée avec l’enveloppe marron tout en parlant aux quatre individus qui n’avaient rien compris.

« Oh ? Quand ai-je dit que je choisirais la personne qui gagnait le plus d’argent ? Mis à part ça, même si je vous ai dit d’aller gagner de l’argent, quel genre de cerveau vous avez là pour gaspiller de l’argent à acheter des choses inutiles et finir sans le sou, hein ! Le montant d’argent que vous avez gagné tous les quatre est de zéro ! C’est pourquoi votre score est également de zéro. »

Les épaules de Brad s’étaient affaissées.

La tête d’un pigeon était alors sortie à ce moment-là de sa poche.

« Comment cela peut-il être ainsi ? »

Greg était tombé à genoux.

« Nous sommes-nous donc trompés ? »

Les hommes derrière Greg l’avaient consolé. « Monsieur Greg, soyez fort ! » « Vos muscles sont les meilleurs ! » « Votre pose est vraiment saisissante ! »

Chris s’était excusé auprès de Julian.

« C’est donc Son Altesse qui a arraché le cœur de Marie. Voici donc notre défaite. »

Les quatre hommes avaient regardé Julian. Ils avaient perdu, mais leur visage s’était illuminé.

Julian avait regardé les quatre autres étudiants.

« Les gars, merci. »

Les quatre hommes avaient consolé le Julian en pleurs. À côté, Marie dansait avec l’enveloppe marron levée haut en chantant « Salaire ! Salaire ! »

Léon avait alors parlé en dernier. « Qu’est-ce que c’est que ça ? »

 

+++

Les cinq idiots étaient revenus.

C’était sympa, mais le choix du moment était incertain.

Ils n’étaient pas présents lorsque Noëlle avait été kidnappée, et maintenant ils étaient inutiles à ce stade alors qu’ils voulaient la ramener.

Quel est le sens de leur existence ? J’y réfléchissais sérieusement.

Mais je ne pouvais pas non plus les laisser dans l’ignorance.

Après tout, il s’agissait de la bande d’idiots qui était revenue en tant qu’antiquaire, magicien, culturiste et festivalier après avoir été chassée et s’être fait dire de gagner de l’argent.

Le serveur de stand Julian avait l’air le plus décent parmi eux.

Julian était assis sur une chaise et pliait les bras tout en portant un tablier.

Je leur avais expliqué ce qui s’était passé jusqu’à présent, mais — .

« Je comprends l’essentiel. En d’autres termes, Baltfault, tu veux vraiment aller sauver Noëlle, non ? »

« Je pense que oui. »

Je ne m’attendais pas à une réponse appropriée de la part de ces gars, mais je suppose que je devrais leur demander leur avis, juste au cas où.

S’ils disaient quelque chose de stupide et essayaient de l’exécuter, il faudrait les arrêter.

C’est ce que je pensais.

« Alors, tu dois aller la sauver. »

« Ha ? Vous, avez-vous écouté l’histoire ? Noëlle est la prêtresse, c’est pourquoi Alzer est venu désespérément la reprendre. Même si je la ramène au royaume et que je l’y abrite, ces types vont se douter que c’est nous. »

Comme je le pensais, ces gars étaient sans espoir.

Jilk avait incliné la tête juste au moment où je pensais à ça. « Pourquoi cela n’est-il pas bon ? »

« N-non, c’est parce que cela va devenir un problème international. »

Brad qui mélangeait les cartes d’atout avait ri en entendant le problème qui m’inquiétait. « Bien sûr que cela provoquera ça. Mais, est-ce vraiment si important ? »

« Les enfants à problèmes comme vous ne comprendront pas, mais ce sera un très gros problème. »

Greg, qui ne portait aucun vêtement à l’exception d’un simple maillot de corps (speedo), m’avait pointé du doigt.

Commence donc par porter des vêtements.

« Ce jeune arbre sacré, il sera capable dans le futur de faire la même chose que l’arbre sacré, n’est-ce pas ? Alors, n’est-il pas naturel d’en prendre possession même si cela entraîne quelques problèmes ? Même le palais te couvrira s’il peut résoudre à l’avenir le problème de l’énergie. »

— Hein ? Ce speedoman, est-il étonnamment brillant ?

Kyle avait offert des vêtements à Chris, mais il les avait fermement refusé « C’est mon uniforme » et il était resté dans son apparence actuelle de pagne et de manteau de joie.

« Je ne peux pas prétendre être supérieur aux quatre autres en politique, mais après avoir entendu l’histoire tout à l’heure, je ne comprends toujours pas ce qui est si inquiétant. »

Il me regardait avec une expression perplexe.

« C’est pourquoi. »

Même moi, j’avais été déconcerté par ces cinq personnes qui niaient mon inquiétude.

Julian avait parlé avec audace.

« Baltfault est préoccupé par le problème qui se posera avec la République, mais je pense que le mérite l’emportera sur ce genre de chose. Le jeune arbre sacré et la prêtresse ne formant qu’un seul ensemble seront également plus commodes pour le royaume, n’est-ce pas ? Dans ce cas, tu peux la voler avec une cause aussi juste qui te soutient. »

« Vous êtes vraiment radicaux. »

« Mais pas autant que toi, Baltfault. En premier lieu. Si tu connaissais le passé de Noëlle, pourquoi ne l’as-tu pas évacuée immédiatement ? Le royaume avait une relation amicale avec la maison Lespinasse. Ils l’accepteront et l’abriteront même sans compter la question du jeune arbre. »

Voilà les circonstances de ce jeu vidéo otome ! — Mais je ne pourrais pas le dire.

« Non, mais, l’enlever dans cette situation est un peu — le problème international que cela va causer est effrayant. »

« C’est déjà assez ! »

Alors que j’hésitais, Marie, qui tenait fermement l’enveloppe marron, m’avait donné un coup de pied au cul.

« Aïe ! Mais qu’est-ce que tu fais, femme ? »

« C’est irritant de te voir agir ainsi. Si tu veux la sauver, alors va la sauver ! Ce sera ennuyeux si tu continues à t’inquiéter timidement pour toujours et que tu laisses tout cela de côté jusqu’à ce que tu manques le moment opportun. »

Je ne suis pas timide !

« Il y a beaucoup de choses à considérer comme les conséquences de ces actes ! »

« Tu vas la sauver de toute façon, n’est-ce pas ? Si tu dois te contenter d’un coup d’éclat plus tard, il vaut mieux la sauver dès le départ. Ah ~, tu es vraiment irritant ! »

Yumeria était paniquée en me voyant me disputer avec Marie.

Et puis, Cordelia m’avait envoyé un regard froid.

+++

Partie 2

Les cinq idiots avaient formé un cercle et avaient parlé en chuchotant.

« Qu’en pensez-vous ? »

« C’est pire que je le pensais. »

« Comment dire — c’est horrible ? »

« Je suis du même avis. »

« Baltfault ne s’en aperçoit-il vraiment pas ? »

Julian et les autres idiotes se chuchotaient entre eux, alors je les avais poussés à me parler.

« Les gars ! Dites-le clairement si vous avez quelque chose à dire ! »

Puis les cinq idiots s’étaient regardés et Julian s’était mis devant moi en tant que représentant.

« Alors, laisse-moi te le dire, Baltfault — n’as-tu pas remarqué les sentiments de Noëlle ? Vraiment ? »

J’avais perdu ma vigueur à partir de maintenant.

« Oui. »

C’est le fait que je n’avais pas remarqué avant qu’on me le dise qui m’avait vidé de mes forces. Je n’avais rien pu dire en réponse.

« Je vois. Ce n’est pas grave. Peut-être que ce problème aurait pu être évité si tu l’avais remarqué, mais ce n’est pas grave. »

Ce type était vraiment persistant.

Il avait osé dire que le problème ne serait pas aussi grave si seulement je l’avais remarqué.

« Au fait, Baltfault, te souviens-tu de la première fois où tu nous as fait un duel ? »

« Évidemment. Cette fois-là, c’était vraiment rafraîchissant. »

Les cinq idiots avaient montré des expressions irritées quand j’avais dit cela honnêtement.

J’étais une personne honnête, donc je répondais honnêtement si on me posait une question.

« Je vois. Te souviens-tu de tes paroles à l’époque ? Si ma mémoire est bonne, c’était à propos du fait que même si nous avons de belles fiancées, nous avions continué à jouer et ainsi de suite, n’est-ce pas ? Tu me critiquais pour avoir triché. »

J’avais aussi dit quelque chose comme ça, hein.

« Qu’en est-il ? »

« Je pense simplement que ces mots peuvent être parfaitement appliqués sur toi en ce moment. »

« Je ne triche pas comme vous. »

« Mais de l’extérieur, c’est la même chose. — Mais, je pense que tu seras pardonné si c’est Anjelica. »

« Ha ? »

« Je dis que si tu dis que tu veux mettre Noëlle à tes côtés, Anjelica te le permettra. Anjelica est aussi la fille d’un noble. De plus, il était une candidate pour être une reine qui a reçu une bonne éducation. Elle acceptera de s’occuper de Noëlle si elle estime que l’intérêt national est pris en considération. »

« Je ne peux pas faire ça ! Les gars, vous me dites de tricher ? »

Jilk s’était moqué de mes paroles.

« — Tu n’as aucune force de persuasion même si tu dis ça vu que tu as déjà deux fiancées. »

Que faire — Je ne pouvais rien dire en réponse.

Julian avait conclu la discussion.

« Eh bien, mis à part tes sentiments, le royaume ne s’y opposera pas si tu sauves Noëlle. D’ailleurs, ma mère t’a donné un poste pour que tu puisses te déplacer librement en République, non ? »

Il est vrai que lorsque j’étais rentré temporairement chez moi, on m’avait confié la responsabilité de prendre des mesures au cas où quelque chose se produirait ici.

« Je pense qu’on m’a donné ce genre de poste. »

« Bon sang, alors il n’y a pas de problème. Va sauver Noëlle. »

« — Eh ? »

Chris, qui ne s’était pas joint à la discussion jusqu’à présent, m’avait donné un conseil.

« Ne t’inquiète pas. La République s’est enfermée dans son propre pays pendant ces douze dernières années. Si l’histoire de l’arbre sacré est vraie, ces types ne peuvent pas envahir un autre pays. En premier lieu, il semble que toutes leurs forces armées ne servent qu’à la défense. »

Les armes de la République qui se déplaçaient en utilisant l’énergie de l’arbre sacré étaient redoutables sur le plan défensif.

Mais, leurs armes étaient plus faibles que celles du royaume lorsqu’ils sortaient de leur territoire.

« Ils vont beaucoup se plaindre, mais ils ne pourront rien faire. »

J’avais réfléchi à ça — et j’avais soulevé un problème.

« Est-il possible qu’Alzer exerce un droit de pression diplomatique ? »

Brad avait répondu à cette question. « Ils peuvent le faire, mais tu oublies une chose. »

« Qu’est-ce que c’est ? »

« Si ton histoire est vraie, il s’agit d’une lutte de pouvoir au sein d’Alzer. La Maison Barriere se déplace uniquement pour obtenir le pouvoir. Dans ce cas, il y a une maison qui a des problèmes en ce moment, n’est-ce pas ? »

« Veux-tu parler de la Maison Rault ? »

« C’est exact. Nous pouvons simplement nous joindre à la Maison Rault pour nous opposer à la Maison Barriere. »

Les épaules de Marie avaient sursauté quand elle avait entendu cela.

« Ce-Cela dit ~, à ce sujet. La réputation de la Maison Rault est mauvaise, n’est-ce pas ? Je me demande si nous pouvons nous joindre à ce genre de groupe sans demander la permission au préalable ~. »

Eh bien, ils étaient le dernier boss de la suite de ce jeu vidéo otome.

Pour ainsi dire, ils étaient les méchants du jeu.

Greg s’était opposé à l’opinion de Marie.

« Tu ne comprends pas, hein, Marie. — C’est seulement du point de vue d’Alzer, n’est-ce pas ? Du point de vue du royaume, il sera plus pratique d’avoir la Maison Rault aux commandes d’Alzer. Si on leur dit qu’on va retirer Noëlle pour eux de leur situation, j’ai l’impression qu’ils vont nous accepter avec joie ! »

Certainement — du point de vue de la Maison de Rault qui considérait l’existence de Noëlle comme une épine dans le pied, cela ne leur ferait aucun mal même si le royaume l’enlevait.

Si cela se produisait, la Maison Barriere se verrait empêcher de prendre de l’importance.

Jilk avait souri en pensant à quelque chose de mauvais.

« Le royaume sera également reconnaissant si nous pouvions établir un lien avec la Maison Rault, qui en est le président par intérim. »

Julian avait mis sa main sur sa taille et m’avait regardé.

« Maintenant, Baltfault — les problèmes sont tous réglés. »

« Ils ne sont pas du tout réglés. Nous ne pourrons pas obtenir facilement la coopération de la Maison Rault. »

« Pour cela, il suffit de — . »

Ces gars, ils étaient plus capables que je ne le pensais.

En y repensant, c’était de jeunes gens nobles qui avaient reçu une éducation correcte.

Je l’avais oublié parce qu’ils étaient généralement trop stupides, mais c’était des étudiants d’honneur avec d’excellentes notes.

— Ne soyez pas sérieux seulement dans ce genre de situation !

Cordelia avait disparu de la pièce sans que je m’en aperçoive alors que je discutais avec Julian et les autres nobles.

Et puis elle était réapparue.

« Monsieur Léon, il y a un invité. Il se présente comme un messager de Lady Louise de la Maison Rault. »

« De Louise ? »

Julian m’avait regardé.

« Baltfault, c’est une chance ! Tu dois obtenir leur coopération quoiqu’il arrive. »

« Te moques-tu de moi ? »

« Mais non, je suis sérieux ? »

Ne fais pas comme si c’était si facile !

+++

J’étais entré avec Marie dans le lieu de la fête des six grands nobles.

Je portais un costume alors que Marie portait une robe.

Normalement, je ne serais pas invité ici, mais Louise avait préparé une lettre d’invitation pour moi.

Elle avait désigné ce lieu de fête comme le lieu de notre rencontre.

Il semblerait qu’elle ne pouvait pas quitter facilement le manoir de la Maison Druille. De plus, j’avais entendu dire qu’elle avait toujours quelqu’un qui la surveillait.

Elle nous avait convoqués dans ce lieu de fête pour pouvoir nous rencontrer, car les mouvements de la Maison Druille étaient suspects.

Les yeux de Marie avaient été captivés par la cuisine extravagante.

« Ah ~, ce porc rôti en entier a l’air délicieux. Je veux essayer de le manger toute seule. »

J’étais exaspéré par Marie qui avait dit une telle chose.

« Je te donnerai ça plus tard, alors attends maintenant. Nous devons d’abord rencontrer Louise. »

Lorsque nous étions entrés dans le lieu de la fête, les nobles d’Alzer qui me connaissaient avaient été surpris.

Ils s’étaient murmurés l’un à l’autre.

« Cet homme est le chevalier du royaume, non ? »

« J’ai entendu dire que son surnom est le Chevalier diabolique. Un marchand du royaume me l’a dit. »

« Comme c’est effrayant. »

Je cherchais Louise alors que mon cœur était blessé par les commérages des nobles épouses.

Marie avait tiré sur ma manche et m’avait parlé d’une petite voix.

« Grand frère, c’est Loïc. »

C’était la Maison Barriere qui gérait le lieu de la fête.

Peut-être que le réceptionniste avait signalé mon arrivée, car Loïc était arrivé avec le chef de la Maison Barrière.

Il s’appelait — Bellange, je crois.

« Regardez qui nous avons là, bienvenue à cette fête, monsieur le héros du royaume. »

L’homme étendit les bras, faisant tout un spectacle. Il avait une grande carrure et un air intimidant.

Loïc souriait sans crainte à ses côtés.

« Je ne me souviens pas de vous avoir invité, mais amusez-vous bien ici pour aujourd’hui. Après tout, il y aura une annonce importante pour Alzer après cela dans cet endroit. »

Il m’avait offert sa main, alors je l’avais serrée. L’autre côté avait saisi ma main avec force.

Je l’avais aussi saisi avec force.

« Je sais. Quelque chose de bien à propos de mariage ? Félicitations. »

L’expression de Loïc n’avait pas changé.

« Le héros a l’oreille fine. Eh bien, même si ce n’est qu’un compliment, je vais le prendre. »

Nous nous étions tous les deux libérés de la main de l’autre.

Bellange m’avait alors parlé.

« Au fait, j’ai une requête à vous adresser, Monsieur le héros. À propos du jeune arbre sacré, c’est quelque chose de très important pour Alzer. Non, c’est quelque chose de sacré. Pouvez-vous peut-être nous le concéder ? Bien entendu, nous préparerons une récompense appropriée pour montrer notre gratitude. »

Je souriais à Bellange qui se comportait modestement avec moi.

L’entourage s’était également penché vers nous lorsque le sujet de « arbriceaux » avait été abordé.

Grâce à cela, les environs s’étaient aussitôt calmés.

Cela avait montré très clairement l’importance de ce sujet pour la République.

« Je l’aime beaucoup, alors je refuse. Si vous le voulez, vous pouvez me l’enlever par la force. — Mais c’est seulement si vous le pouvez. »

Bellange avait ri.

« Quelle dureté ! Mais nous n’abandonnerons pas si facilement. Poursuivons les négociations à l’avenir. »

L’entourage nous regarda avec hostilité.

« Un chevalier du royaume barbare ose… »

« Ne jouez pas les gros bras après avoir gagné contre la seule Maison Faiviel. »

« Il devient arrogant parce qu’il est encore jeune. »

Ils disaient ce qu’ils voulaient.

Bellange et Loïc m’avaient quitté parce qu’il semblerait que le moment attendu était venu.

Loïc avait prononcé ses mots d’adieu en partant. « Alors, excuse-nous. S’il te plaît, amuse-toi. Ah, aussi — tu ferais mieux d’abandonner si tu as l’intention de reprendre Noëlle. Elle est à moi. »

Il soignait les apparences pour que personne d’autre ne puisse le voir, mais il dirigeait vers moi une sombre intention meurtrière.

Son expression m’avait donné envie de lui demander s’il essayait de faire des grimaces.

Voyant cela, Marie avait dit « Ce type » et avait lancé un regard furieux sur Loïc, mais je lui avais répondu avec un sourire rafraîchissant.

« Il y a déjà eu quelque chose de similaire avant. Un idiot s’est battu contre moi. »

« Hou — et ensuite ? » demanda Loïc.

« Veux-tu savoir ce que ce type fait en ce moment ? En ce moment, il fait griller de la viande dans un stand de restauration. L’ancien prince héritier gagne de l’argent dans un stand de brochettes de viande. C’est vraiment une histoire touchante, n’est-ce pas ? »

Je ne mentais pas.

C’était vrai.

Ce Julian, il se dirigeait vers ce stand s’il avait du temps libre et y travaillait.

« Mais la personne elle-même est très heureuse, c’est comme si elle a trouvé sa vocation ! »

Eh bien, quelque chose comme ça n’était qu’une menace.

Cela n’avait eu aucun effet sur Loïc.

« J’attends cela avec impatience. Vas-tu détruire Alzer comme tu as brûlé la Maison Faiviel ? Tu es certainement fort, mais ne penses pas que tu peux survivre avec cela. »

Loïc avait détourné son regard de nous, vers une autre destination. Là-bas, il y avait les diplomates d’autres pays.

Les diplomates du Saint-Royaume de Rachelle me regardaient.

« Tu comprends maintenant ? Le monde n’est pas si facile. Tu as beau être fort, mais ne penses pas que tout ira comme tu le veux avec ça. »

« Je n’ai jamais pensé à une telle chose. Mais n’oublie pas ceci. Je vais écraser ceux qui s’opposent à moi. Tu es aussi dans le même cas. Continue donc à t’inquiéter pour toujours en espérant que Noëlle ne te sera pas enlevée. »

Loïc m’avait regardé fixement avant d’effacer son expression et de me faire son plus beau visage.

« J’attends cela avec impatience, monsieur le héros du royaume. Non, n’est-ce pas le chevalier diabolique ? »

Ce surnom désagréable se répandait jusqu’à cet endroit.

+++

Partie 3

Marie avait eu l’air dégoûtée après le départ de Loïc.

« Il est vraiment l’incarnation du bâtard. Il agit de manière à ce que son entourage ne le remarque pas. Mais surtout, grand frère — peux-tu vraiment reprendre Noëlle ? »

Non seulement ce lieu de fête, mais la sécurité autour de Noëlle ne pouvait pas être comparée à celle d’avant.

Il serait difficile, même pour Luxon, d’accomplir cela sans tuer l’ennemi.

En premier lieu, ce type ne s’en souciait pas, même s’il y avait des pertes chez les ennemis.

C’était un type qui ne pouvait pas résoudre les choses pacifiquement.

« Je réfléchis encore à la manière de le faire. En soit, reprendre Noëlle est facile, mais — . »

« Léon, ça fait longtemps. » Albergue m’avait trouvé pendant que je réfléchissais et était venu me voir.

« Monsieur Albergue. »

Son expression semblait indiquer qu’il était fatigué.

« Pourquoi es-tu ici aujourd’hui ? Je ne peux pas imaginer que Bellange t’invite ici. »

Ne savait-il pas pour Louise ?

« Non, en fait — . »

Alors que j’allais parler des circonstances, l’éclairage de la salle avait été éteint et les lampes avaient été allumées sur la scène.

Loïc était apparu — avec Noëlle.

Noëlle portait une robe, mais elle n’exposait que très peu de peau. Son collier était également décoré.

Puis Loïc avait tenu la main de Noëlle et avait levé sa main droite.

« Plus de dix ans se sont écoulés depuis la destruction de la maison Lespinasse. Le poste de prêtresse est resté vacant depuis lors, mais ce n’est que jusqu’à aujourd’hui. L’écusson de la prêtresse se trouve sur la main droite de cette Noëlle Zel Lespinasse ! Elle est une survivante de la maison Lespinasse que l’on pensait détruite. »

Des applaudissements s’étaient fait entendre rapidement parce que beaucoup des personnes présentes dans cette salle étaient au courant à l’avance.

L’expression d’Albergue devint sinistre à l’intérieur de la salle obscure.

N’a-t-il pas pu oublier sa colère envers la maison Lespinasse comme nous le pensions ?

Noëlle se tenait à côté de Loïc et lui faisait un signe de la main en souriant.

Marie m’avait alors expliqué. « Grand frère, c’est vraiment mauvais. Je ne fais que supposer, mais il y a beaucoup de bleus sous ses vêtements. Son expression est raide, et son teint est également mauvais, même s’ils utilisent du maquillage pour le cacher. »

« Tu arrives à comprendre tout ça ? » lui demandai-je.

« C’est juste mon instinct. »

Peut-on se fier à l’instinct de cette fille ?

Je doutais d’elle, mais ensuite un rapport était arrivé de Luxon qui se camouflait.

« L’instinct de Marie est bon. La blessure sur son visage est couverte de maquillage, mais, il y a aussi des traces de coups sur tout son corps, » annonça Luxon.

Alors pourquoi faisait-elle signe de la main avec un sourire ?

C’est Marie qui avait répondu à ma question silencieuse.

« Elle se convainc que tout ira bien si elle tient bon. De plus, sa capacité de réflexion va s’amoindrir progressivement avec son accaparement. Elle perdra même sa volonté de s’échapper. Beaucoup de personnes pensent qu’une victime peut simplement s’échapper de ce genre de situation si elle le déteste vraiment. Mais, c’est impossible. »

Est-ce que c’était son expérience qui parlait ?

C’était exaspérant.

Loïc avait fait une déclaration. « Maintenant, avec le retour de la prêtresse, tout le monde attend sûrement ce qui va suivre. Comme chacun sait, le protecteur est également inexistant à l’heure actuelle. Mais, là aussi, la question sera bientôt résolue. Moi — Loïc Leta Barriere va épouser Noëlle et assumer cette fonction ! »

L’entourage avait applaudi avec force.

Ils devaient avoir fait des préparatifs au préalable.

Ma main avait été saisie dans l’obscurité pendant que je regardais cela.

Louise était là quand je m’étais retourné.

« Je t’ai trouvé. Viens par ici. »

Albergue avait également été surpris. « Louise, est-ce toi qui l’as appelé ici ? »

« Je te l’expliquerai plus tard. Mais pour l’instant, il s’agit de Noëlle. »

Nous avions quitté le lieu de la sombre fête et étions entrés dans une salle que Louise avait préparée.

 

+++

 

À l’intérieur du lieu sombre.

Une autre personne avait remarqué l’apparition de Léon et Marie.

Il s’agissait de Lelia qui participait à la fête avec Émile.

Ces gars, vont-ils encore faire ce qu’ils veulent !?

Lelia perdit son calme en les voyant quitter la salle avec Albergue et Louise. Elle parla à Émile.

« Émile, je vais me maquiller. »

« Hein ? Mais, à l’heure actuelle, tu as — . »

« Émile, n’en demande pas trop. »

Émile avait haleté quand elle lui avait dit cela. Il avait détourné le regard.

« D-D’accord. Désolé, oui, prends ton temps. »

Il semblait qu’il pensait qu’elle irait aux toilettes.

Cela l’avait offensée en tant que femme, mais pour l’instant, sa priorité était de connaître les actions de Léon et Marie.

Ces types, qui se déplacent à leur guise !

Lelia avait suivi Léon et son groupe.

 

+++

 

Nous avions écouté l’histoire de Louise. Le premier qui s’était mis en colère avait été Albergue.

« Alors, tu l’as fait, Fernand. »

Sa colère s’échappait lentement.

Louise avait l’air un peu mal à l’aise.

« J’en ai profité lorsque le lieu s’est assombri à l’instant afin de m’éclipser. C’est presque comme un emprisonnement pour moi dans ce manoir. Il y a un gardien même quand je sors, alors qu’au manoir, je n’avais presque aucune liberté. Il semblerait que même mes lettres soient vérifiées. »

Pourquoi Louise avait-elle été enfermée ?

C’était parce que la Maison Druille trahissait la Maison Rault.

Albergue s’était levé.

« — Louise, tu restes ici. Je vais parler avec Fernand. »

« Père ? »

« Je vais te ramener dans notre manoir aujourd’hui. Utilise mon nom si les gens de la Maison Druille viennent. »

Albergue était sorti de la pièce.

Puis Marie avait laissé échapper un soupir après avoir été libérée de la tension.

« Ah ~, c’était effrayant. Cette pression n’était pas une blague. »

Louise avait ri en voyant Marie agir comme ça.

« Il est généralement gentil, vous savez ? »

« Cela ne ressemble pas du tout à cela. »

J’écoutais les reports de Luxon qui n’arrêtaient pas d’arriver.

Ceux autour de moi ne pouvaient pas l’entendre.

« Maître, il semble que la Maison Druille prévoit d’utiliser Louise pour faire de Hughes la chef de la Maison Rault, » déclara Luxon.

Je n’entendais que des histoires désagréables.

J’aurais aimé qu’une histoire plus gaie me vienne à l’esprit.

Mais il y avait des choses qui ne se réaliseraient pas même si on les souhaitait.

« — Il y a une personne qui espionne devant la porte. C’est Lelia. Dois-je la tuer ? » me demanda Luxon.

Pourquoi as-tu toujours été aussi radical ?

« Je vais la laisser entrer. »

Marie et Louise m’avaient regardé parce que j’avais soudainement ouvert la bouche.

Je m’étais approché furtivement de la porte et je l’avais ouverte en grande. Lelia était là, accroupie, à l’instant même, l’oreille appuyée sur la porte.

« C’est inconvenant, tu sais, venant de la petite sœur de la prêtresse. »

Quand je m’étais moqué d’elle, Lelia avait regardé Louise à l’intérieur de la pièce.

Elle m’avait parlé d’une petite voix.

« Qu’est-ce que vous prévoyez de faire ? Ne me dites rien, vous allez être l’allié de la Maison Rault !? »

« Je l’envisage de manière positive, » répondis-je.

« N’esquive pas la question ! »

Entendant le vacarme, Louise avait regardé Lelia et avait plié les bras.

« — Lelia, donc tu es aussi impliquée. Eh bien, c’est bon. Je voulais aussi te parler. De toute façon, il n’est plus nécessaire de le cacher. »

Louise l’avait permis, alors j’avais laissé Lelia entrer et j’avais fermé la porte.

Lelia était nerveuse, mais elle affichait son hostilité devant Louise.

« — Ce sera fini pour la Maison Rault avec ça, » déclara Lelia.

« C’est peut-être le cas. » Louise n’avait pas l’air du tout ébranlée.

Marie m’avait parlé d’une petite voix. « Qu’est-ce qui va commencer maintenant ? »

« Penses-tu que je le sais ? Cela dépend de ces deux-là. »

Lelia semblait déjà convaincue de sa victoire. Elle se montrait confiante envers Louise.

Cependant, elle était troublée devant Louise qui ne montrait aucune agitation.

« Après cela, tu ne pourras plus faire ce que tu veux. Tu as beaucoup malmené ma grande sœur, mais tu ne pourras plus le faire. »

« Il semblerait bien. Je n’aurai plus besoin de faire cela même si nous retournons à l’académie. »

Elle n’en aurait pas besoin ?

Marie et moi, nous nous étions regardés.

Marie demanda à Louise avec hésitation. « Dis-moi, ne t’es-tu pas disputée avec Noëlle parce que tu la détestais ? »

Louise avait ri.

Elle avait ri, puis elle avait parlé avec un très beau sourire. « C’est vrai que je déteste cette femme. Je la déteste vraiment. Lelia, c’est la même chose avec toi ici présente. Vous vivez dans l’insouciance sans rien savoir, en plus vous vous êtes même glissées dans l’académie. Vous avez même gardé votre nom tel quel. Je me demande si vous pensez que nous sommes si stupides. »

Lelia s’y était opposée. « C’est… C’est parce que nos collaborateurs ont écrit le nom comme cela dans le formulaire de candidature. »

Ce n’était donc pas à cause de leur propre volonté. Louise nous parla directement.

« Quand je les ai trouvées à l’académie, je les ai vraiment détestées, je ne pouvais pas le supporter. Même moi, je ne sais pas tout. Mais, je sais que mon père a laissé partir les jumelles qui sont l’héritière de la maison Lespinasse. »

Il avait laissé les jumelles s’échapper ?

Marie et moi nous étions regardés avec perplexité.

Marie avait secoué sa tête d’un côté à l’autre. Elle insistait sur le fait qu’elle ne savait pas de quoi Louise parlait.

Cette fille est inutile.

Marie ne pouvait pas demander à Louise, alors je l’avais demandé à sa place.

« Je comprends que tu les détestes toutes les deux, mais pourquoi alors n’avoir choisi que de te quereller avec Noëlle ? »

Louise me regarda avec un regard très triste.

Elle avait serré ses mains.

« Père me l’a demandé. Il a dit que c’est parce que les jumelles ne sont pas en faute. Lelia a Émile à ses côtés. Mais, il n’y avait personne aux côtés de Noëlle. Pierre était encore là il y a peu de temps, et le pénible Loïc la suivait également. »

Lelia avait été désorientée.

« Quel est le rapport avec ta querelle avec ma grande sœur ? » demanda Lelia.

Il semblait que Marie l’avait remarqué.

« Ah, se pourrait-il que tu prétendes que c’est ta proie, afin d’indiquer aux autres de ne pas s’en mêler ? Est-ce bien cela ? »

Louise acquiesça faiblement.

« Même moi, je ne veux pas m’impliquer avec elles. Je vous détestais, vous deux qui viviez paisiblement sans rien savoir. Même si vous ne connaissez pas nos sentiments, qu’est-ce qui vous arrive à toutes les deux ? »

Louise devint peu à peu très tendue. Elle s’était approchée de Lelia et l’avait acculée au mur.

Elle avait attrapé son cou, alors Marie et moi les avions séparées.

J’avais alors dit à Marie. « Emmène-la dehors ! Je m’occupe de celle-ci ici ! »

« O-okay. Allez, sortons ! »

Après qu’elles soient sorties de la pièce, seuls Louise et moi étions restés à l’intérieur.

Luxon avait fait une remarque taquine. « Maintenant, le maître est seul avec une autre femme. Soyons prudents pour que le maître ne soit pas soupçonné de tricherie. »

— Tais-toi, tas de ferraille d’IA.

+++

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

Laisser un commentaire