Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 5 – Chapitre 12 – Partie 2

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Chapitre 12 : Des jours ordinaires

Partie 2

Le barbecue s’était terminé dans la soirée.

Une invitée était venue à ce moment-là. C’était Marie qui s’était occupée de l’invitée.

L’invitée était — Louise.

Après l’avoir accueillie, Louise avait dit qu’elle avait une affaire à voir avec Noëlle, alors Marie l’avait amenée là-bas.

Mais l’atmosphère était gênante.

Marie n’était pas proche de Louise, et Noëlle avait de mauvaises relations avec Louise.

En outre, Noëlle était déprimée en ce moment et n’était pas du tout animée.

Serait-ce voulu par le grand frère ? Est-il du genre à s’enfuir quand il pense que cela va devenir un bain de sang ? Il est toujours absent lorsqu’il y a une scène importante, est-ce parce qu’il a détecté le danger ? Je suppose que non. Grand frère n’a pas cette capacité.

Louise soupira alors que Marie s’échappait de la réalité comme ça. Elle s’était approchée de Noëlle.

Et puis elle l’avait giflée.

*Clac — !* Un tel son résonna dans la salle, puis Noëlle s’était fâchée après un certain délai.

« Qu’est-ce que tu fais !? » s’écria Noëlle.

Louise avait regardé Noëlle et avait fait un sourire méchant. « J’ai eu envie de te gifler parce que tu fais cette tête, je suis tellement malheureuse. Tu es vraiment une femme extravagante, hein. Je me demande si tu sais à quel point Léon courait dans tous les sens pour toi. »

« C’est parce que Léon est gentil. »

« Personne n’irait jusqu’à se disputer avec Alzer par simple gentillesse. Ta tête est vraiment remplie de fleurs. »

Marie connaissait la situation réelle.

La raison pour laquelle Léon avait sauvé Noëlle était d’éviter le danger pour le monde.

Mais, quant à ce que Léon lui-même pensait réellement, elle ne pouvait que l’imaginer.

C’est du grand frère dont nous parlons, alors il l’a sûrement sauvée en pensant qu’elle est pitoyable. Même dans ce cas, il ne peut pas répondre aux sentiments de la fille — il est vraiment le pire depuis toujours.

Dans leur vie antérieure, des choses similaires s’étaient également produites plusieurs fois, bien qu’à plus petite échelle.

La vie romantique de son grand frère était irritante, alors elle ne s’y était jamais impliquée, mais — bon, il avait été un grand frère idiot même quand elle y pensait comme ça.

Louise s’était approchée de Noëlle jusqu’à la distance où leurs nez se soient touchés.

« Je te déteste. Je te déteste, car tu vis ta vie sans souci sans rien savoir. Même maintenant, tu n’as pas encore remarqué à quel point tu es heureuse. »

« Sais-tu combien d’épreuves nous avons traversées ? Tout est de la faute de ta maison ! »

« Oh, vraiment ? Vous avez pu vous inscrire à l’académie sans problème, même si votre maison a été détruite, qui pensez-vous devoir remercier pour cela ? Pensez-vous sérieusement que vos antécédents à toi et à ta sœur pourraient être complètement dissimulés par le seul effort de vos serviteurs ? »

Noëlle détourna son regard de Louise.

« Je — ne sais rien à ce sujet. On est venu nous dire de nous inscrire à l’académie. »

Louise avait plié les bras.

« C’était vraiment une situation gênante. — Mais, la personne qui est la plus ennuyée est Léon qui t’a sauvée. Noëlle, que vas-tu faire après cela ? »

Noëlle avait baissé les yeux et avait secoué la tête.

« Je n’ai pas encore décidé. »

« — Tu peux retourner à l’académie pendant un certain temps. Il semble que Père le permette aussi. Il semble que ce sera aussi bien même si tu suis Léon quand il retournera dans son pays. Mais c’est aussi bien, même si tu restes ici. »

« Hein ? »

Lorsque Noëlle avait levé le visage, Louise avait haussé les épaules.

« Fais donc comme tu le veux, c’est ce que je dis. Décide de ton avenir avant que Léon et les autres du royaume ne rentrent chez eux. Je suis venue ici aujourd’hui pour te le dire. »

Quand Louise avait quitté la pièce, Noëlle était enracinée sur place.

Mais, c’est Marie qui avait été la plus troublée.

Pourquoi le dernier boss et la méchante aident-ils le personnage principal ! Aaaaaaa !! Je ne comprends pas du tout !!

Même si elle n’aurait pas besoin de s’inquiéter de quoi que ce soit si les choses étaient plus simples — Marie se tenait la tête entre ses mains parce qu’elle ne pouvait pas prédire l’évolution future.

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Creare était repartie — le calme était revenu dans la République vers le milieu du second semestre.

Le premier semestre et les vacances d’été avaient été très chaotiques en République.

À cause de cela, les événements de l’académie — les événements romantiques si vous le dites en termes de jeu vidéo otome, ils avaient tous été écrasés.

Cela s’était produit aussi parce que les six grands nobles avaient provoqué des scandales les uns après les autres.

Sur le toit de l’académie.

J’avais donné la moitié du pain de midi que j’avais acheté à Marie en parlant avec Lelia.

Nous parlions de ce qu’il fallait faire maintenant.

Mais ce dialogue était devenu un peu utile.

Lelia se plaignait aussi aujourd’hui.

« Et maintenant ! Tous les événements ont été écrasés même si de longues vacances vont bientôt arriver, c’est complètement inattendu ! »

J’étais d’accord avec ce que Lelia avait dit.

J’avais entendu dire que lorsqu’une fille était en colère, cela ne servait à rien, même si vous répondiez logiquement.

Il semblerait qu’il serait préférable que vous soyez d’accord avec elle « C’est gênant, n’est-ce pas ~. » par sympathie.

« C’est vrai, n’est-ce pas ? C’est gênant, n’est-ce pas ~. Aie Marie ! Ne les mange pas tous ! »

Le sac en papier brun rempli de plusieurs petits croissants était presque vide.

Marie s’était excusée. « Ha !? Désolée. J’avais la tête pleine de nourriture. »

Lelia avait crié de colère parce que le sujet avait été changé. « C’est de ta faute ! Pierre est parti, Loïc aussi, Hughes aussi a vu ses fiançailles annulées, et il n’a pas de drapeau avec ma grande sœur ! Narcisse-sensei a été rappelé pour aider sa famille et a quitté l’académie, qu’allons-nous faire maintenant ! »

En ce qui concerne Loïc, il n’était pas venu à l’académie en se servant de ses blessures comme excuse.

Quant à Hughes, il s’était enfui en laissant Louise seule lorsque l’incident s’était produit. C’est pourquoi leur engagement avait été annulé.

C’était la raison en apparence, mais la vraie raison était que Fernand avait trahi Albergue.

Et puis les six grands nobles qui étaient dans le chaos avaient rappelé Narcisse-sensei et ils avaient agi dans la confusion.

Ils étaient occupés à des choses comme traiter avec d’autres pays ou présenter des excuses au royaume.

Lelia s’était tenue devant nous, les mains sur la taille, pour souligner qu’elle était en colère.

Cette fille, pour qu’elle soit mignonne, hein…

« Est-ce que vous écoutez ce que je dis ? »

« Je t’écoute. En d’autres termes, tu n’as aucune idée de la façon d’agir avec le dernier boss, n’est-ce pas ? »

« C’est exact. Qu’allons-nous vraiment faire maintenant ? »

Alors que Lelia tenait sa tête entre ses mains, Luxon, qui s’était tu jusqu’à présent en observant la situation, s’était montré.

Lelia avait fait « Hyah ! » de surprise, mais Luxon l’avait ignorée.

« En fin de compte, il n’y a pas lieu de s’inquiéter du dernier boss. En premier lieu, ce qui préoccupe le maître et Marie, c’est la situation de la République après la défaite du dernier boss, » déclara Luxon.

« Hein ? Après sa défaite ? »

« J’accélère actuellement mon analyse de l’arbre sacré, mais j’ai jugé qu’il est possible de l’écraser en utilisant l’attaque de mon corps principal. Ce qui est important, c’est de savoir comment nous pourrons calmer la République après que cela se soit produit, » déclara Luxon.

Lelia avait ouvert en grand ses yeux. « Peux-tu faire quelque chose comme ça ? »

« Oui. Il est aussi possible que je coule cette terre tout de suite, » répondit Luxon.

Lelia avait attrapé mon cou quand elle avait entendu ce discours dangereux.

« Hé, qu’est-ce qu’il dit ? Que dit-il ? Les paroles de ce type sont vraiment effrayantes ! J’ai l’impression qu’il parle de choses comme l’anéantissement d’Alzer si les choses devenaient désespérées ! »

Il était incorrigible parce que c’était un fait.

Je ne savais pas comment lui répondre — alors j’avais fait abstraction de tout cela en riant.

« Fuhahaha ! »

« Pourquoi tu ne le prends pas au sérieux ? Attends un peu. Cela veut-il dire qu’il peut vraiment faire ça !? Hé, il peut vraiment faire ça !? Ou plutôt, ce type va faire quelque chose comme ça !? »

Luxon avait répondu sincèrement. « C’est seulement si la situation est vraiment désespérée. Cela ne me dérange pas de le faire tout de suite, mais le maître ne me donnera pas la permission. »

J’avais apaisé Lelia. « C’est comme ça. Si possible, je veux que les choses finissent dans l’état idéal, je vais aussi aider à régler les conséquences — de toute façon, ne t’inquiète pas pour le dernier boss. Nous nous en occuperons si les choses deviennent vraiment désespérées. »

Marie avait hoché la tête avec un croissant dans la bouche. « Oui. C’est pourquoi il ne faut pas s’inquiéter. »

C’était disgracieux, j’aurais souhaité que tu finisses de manger avant de parler.

Lelia m’avait lâché et avait déplacé son regard vers le bas.

« Cela signifie que ce pays va couler selon ton humeur. »

« Quelle malpolie ! Il n’est pas question de faire une chose pareille, » répondis-je.

Lelia n’écoutait plus vraiment après cela lorsque nous avions repris la conversation.

L’ai-je trop menacée ?

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

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