Chapitre 9 : Un piège méprisable
Partie 3
Pierre était retourné à Einhorn et avait bu de l’alcool en étant de bonne humeur.
Il était au hangar.
Pierre riait devant Arroganz qui avait été décorée pour avoir un look piquant.
« Ce type est vraiment idiot ! » déclara Pierre.
Les gens autour de Pierre étaient aussi d’accord avec lui.
Pierre avait porté la bouteille de vin à sa bouche et l’avait avalée d’un seul coup. Puis il avait jeté la bouteille vide par terre.
Personne n’y avait prêté attention, même quand la bouteille avait été brisée.
L’intérieur d’Einhorn était en très mauvais état.
Les robots ouvriers nettoyaient tous les dégâts en silence.
« Ce type veut obtenir une armure dans ce pays. C’est impossible qu’il le puisse, » déclara Pierre.
Un acolyte avait remis une nouvelle bouteille à Pierre.
« Monsieur Pierre est vraiment une personne horrible. Pousser quelqu’un dans un duel sans armure comme celle-là, » déclara l’acolyte.
« C’est sa faute pour s’être fait avoir, » déclara Pierre.
Pierre et ses acolytes s’échauffèrent et rirent. Ils parlaient avec enthousiasme comme s’ils avaient déjà gagné.
« Le vieil homme me nommera héritier quand j’aurai le jeune arbre. Alors je vais virer mon grand frère et ainsi, il pourra aller vivre dans la rue, » déclara Pierre.
Pierre pensait aussi à la suite de son arrivée à la tête de la Maison Faiviel.
« Si j’ai le jeune arbre sacré, la Maison Rault ne pourra pas continuer à agir comme un gros bonnet. Même cette insolente Louise devra faire que ce que je dis, » déclara Pierre.
L’un des acolytes s’était inquiété. « Est-ce que ça ira ? On dit qu’elle va se fiancer avec Monsieur Hughes. »
« Je n’en ai rien à foutre. D’ailleurs, tant que j’aurai le jeune arbre sacré, ce sera à eux de s’incliner devant moi pour me demander d’épouser leur fille. Comme je le pensais, Louise est la seule femme digne de moi, » déclara Pierre.
Pierre était excité à l’idée de l’avenir. Il avait ensuite eu une autre idée.
« C’est ça — juste pour être doublement sûr, » déclara Pierre.
Il parlait avec un large sourire. Il attendait avec impatience l’arrivée du duel.
***
Devant la maison de Léon.
Lelia y était allée.
Lelia était venue avec un mémo à la main. Elle avait sonné la cloche et avait attendu que quelqu’un sorte.
— Cependant, personne n’était sorti.
« Hé, pourquoi n’y a-t-il personne qui sort ? » demanda Lelia.
Elle avait sonné la cloche plusieurs fois, irritée.
Puis un passant lui avait parlé. « Vous, l’habitant de cette maison ne rentrera pas avant un moment. »
« Hein ? » s’exclama Lelia.
Cette personne semblait être quelqu’un qui vivait dans ce quartier. Lelia lui avait demandé des nouvelles de Léon.
« Il y a peu de temps, il est sorti en transportant beaucoup de bagages. C’était trop de bagages juste pour partir en voyage, mais il ne semblait pas non plus qu’il déménageait. Je m’en souvenais encore parce que cela me paraissait étrange, » déclara le passant.
« Où... Où est-il allé !? » demanda Lelia.
« Qui sait ? Il y avait aussi une fille du même âge avec lui, peut-être des amoureux qui s’enfuyaient la nuit ? »
Le passant était parti après avoir dit ça. La main de Lelia avait lâché le mémo avec un regard abasourdi sur son visage.
« Pas question. JE VAIS AVOIR DES ENNUIS COMME ÇA ! » s’écria Lelia.
Au bout d’un moment, elle avait crié en tenant sa tête.
***
« Et maintenant !?? Et maintenant grand frère !? » demanda Marie.
« Tu es bruyante Marie-san, » répliquai-je.
Je logeais dans le manoir de Marie alors que le jour du duel approchait.
La raison en était qu’il serait plus sûr pour tout le monde de rester au même endroit.
Marie était devenue en larmes après que je l’avais appelée avec « — san » ajouté à son nom.
« Parce que ! À ce rythme, le grand frère n’aura pas d’armure le jour du duel ! De toute façon, cela sera déjà difficile de gagner contre Arroganz même avec une autre armure. Grand frère deviendra de la viande hachée si tu y vas sans armure comme ça ! » déclara Marie.
Je n’avais pas pu obtenir une nouvelle armure.
« On n’y peut rien. Personne ne me vendra une armure. Les marchands d’Alzer sont vraiment radins, » déclarai-je.
« Ce n’est pas de la rigolade, » déclara Marie.
Il semblait que Marie pensait que j’étais toujours en colère contre elle. Elle était plus obéissante que d’habitude.
Même maintenant, elle me servait comme serveuse.
J’avais bu le thé que Marie avait infusé — c’était vraiment mauvais.
« C’est tiède. Refais-le, » déclarai-je.
« — Oui, » répondit Marie.
Marie avait quitté la pièce en portant la tasse et la théière alors qu’elle avait l’air de vouloir pleurer. Elle avait juré « Ce foutu maniaque du thé ! » après qu’elle ait quitté la pièce.
C’était vraiment bien comme agissait Marie en lâchant sa prudence à la toute fin comme ça.
À l’intérieur de la pièce, je m’étais penché sur la chaise et j’avais pensé à un moyen de passer le temps jusqu’au jour du duel.
« Maintenant, avec mon incapacité à acheter une nouvelle armure, je vais devoir combattre Arroganz avec mon corps de chair. H ~ m, comme c’est désespérant, » déclarai-je.
Mon partenaire fiable n’était pas là.
J’avais pris l’habitude d’envoyer des regards sur mon épaule droite.
« — Ce putain d’abruti, » m’exclamai-je.
Je l’avais maudit en attendant le retour de Marie. C’est alors que Noëlle entra dans la pièce.
« Hé, s’est-il passé quelque chose ? J’ai vu Marie mettre un thermomètre dans une théière et murmuré à elle-même en versant de l’eau. Fait-elle une sorte d’expérience ? » demanda Noëlle.
Que faisait cette fille ?
Peut-être qu’aux yeux de Noëlle, elle faisait une sorte d’expérience scientifique.
« Je me moque d’elle en ce moment. Après tout, cette fille n’est une travailleuse acharnée que lorsqu’elle est coincée, » déclarai-je.
Il y avait eu de nombreuses fois où j’avais voulu lui dire de prendre les choses au sérieux dès le début.
« C’est… c’est vrai ? Vous êtes très proches. Ah, j’oubliais, il y a un invité pour toi, Léon, » déclara Noëlle.
« Invité ? » demandai-je.
« — C’est Louise, » répondit Noëlle.
***
Louise était là quand j’étais allé à l’entrée.
Elle avait croisé ses bras sous ses gros seins quand elle avait vu Noëlle. Son visage avait l’air vraiment irrité.
« — Donc tu es vraiment là, » déclara Louise avec les yeux rétrécis. Noëlle avait évité son visage.
« Ne dis rien du tout, » murmura Noëlle.
« Je n’ai pas le temps de m’occuper de toi aujourd’hui. Léon, j’ai entendu une rumeur selon laquelle tu es incapable de te procurer une armure, est-ce vrai ? » demanda Louise.
Lorsque j’avais acquiescé de la tête, l’expression de Louise était devenue frustrée.
« Je ne peux pas t’aider pour l’instant, » déclara Louise.
« À cause de ce serment à l’arbre sacré ? » demandai-je.
« — C’est exact. Pierre n’y pense peut-être pas beaucoup, mais ce serment à l’arbre sacré est quelque chose d’important pour nous, » déclara Louise.
Noëlle était mécontente quand elle avait entendu ces mots.
« Cette chose n’est pas un arbre sacré, » déclara Noëlle.
En entendant cela, Louise avait jeté un regard furieux sur Noëlle.
J’avais frappé dans mes mains pour que la discussion reste sur la bonne voie.
« D’accord, ne vous battez pas. Et, Louise, est-ce que tu viens ici juste pour vérifier cette rumeur ? » demandai-je.
« Ce n’est pas ça. Je parlerai à mon père à ce sujet, alors Léon, s’il te plaît, rencontre-le avec le jeune arbre de l’arbre sacré. Le jeune arbre est très important pour nous. C’est pourquoi je vais demander à papa d’ouvrir une négociation avec la Maison Faiviel. Ça devrait être bien mieux que de faire ce genre de duel, » déclara Louise.
Avait-elle l’intention d’ouvrir une négociation pour échanger le jeune arbre avec Einhorn ?
Cela pourrait aussi être possible, mais je ne serais pas satisfait pour moi, alors j’avais refusé.
« Ce n’est pas bon, » déclarai-je.
« Pourquoi ça !?? Tu vas mourir si tu vas au duel comme ça ! » déclara Louise.
Une armure contre un humain en chair et en os ne serait même pas un combat.
Même moi, j’avais compris ça.
« Louise, je suis vraiment heureux que tu essaies de m’aider. Mais tu vois, je ne peux pas pardonner à Pierre pour ce qu’il a fait, » déclarai-je.
J’aurais dû l’écraser dès qu’il avait commencé à poser problème au lieu d’attendre.
Le moi qui était obsédé par des choses gênantes comme un événement ou autre était stupide.
Noëlle me regardait avec inquiétude.
« H-hey, tu ne devrais pas te forcer à faire des choses imprudentes. Tout d’abord, l’autre côté est celui qui a tort, alors il vaudrait mieux que tu te fies à Louise, » déclara Noëlle.
Noëlle et Louise s’inquiétaient pour moi. Je suppose que je me devais de leur dire quelque chose d’important.
« Savez-vous pourquoi je suis appelé en héros dans le royaume ? » demandai-je.
« Hein ? — Parce que tu es fort ? » Noëlle avait donné une réponse très simple, même si elle avait l’air perplexe.
En revanche, Louise avait donné une réponse légèrement différente. « C’est peut-être la chance ? Peu importe ta force, tu ne seras pas capable de devenir un héros sans la bonne chance de le faire. »
« Vous avez toutes les deux raison ! Cependant, ma réponse est différente. L’exigence pour devenir un héros est — de survivre. En outre, c’est de ne pas se lancer dans un combat que vous perdrez. Vous avez juste besoin de continuer à combattre des adversaires que vous êtes sûr de pouvoir battre. »
Noëlle avait immédiatement répondu quand je l’avais proclamé avec confiance.
« N’est-ce pas lâche ? » demanda Noëlle.
« — Être traité de lâche est le plus grand éloge sur le champ de bataille, » déclarai-je.
C’était ce que Luxon avait dit, donc cela devait être vrai.
Merci pour le chapitre.
Luxon s’il te plaît trahit moi cet idiot de Pierre et dit nous que tu avais prévu depuis le début de forcer Léon a vouloir botter le cul des nobles…
Merci pour le chapitre