Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 4 – Chapitre 9 – Partie 2

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Chapitre 9 : Un piège méprisable

Partie 2

J’avais été conduit dans une salle de réception quand j’étais arrivé à l’académie.

Je tenais d’une main l’étui qui était rempli du jeune arbre sacré tout en m’asseyant effrontément devant les professeurs.

J’avais mis mes jambes sur la table.

 

 

Les profs étaient devenus mal à l’aise en voyant mon comportement.

« Monsieur Baltfault, n’êtes-vous pas impoli ? »

« C’est pourquoi le peuple du royaume est sauvage. »

« Assez parlé de ça ! S’il vous plaît, posez le jeune arbre tout de suite. Que feriez-vous si vous le laissiez tomber !? »

Les enseignants avaient réagi de diverses manières.

Ils étaient complètement agités en présence du jeune arbre sacré.

De façon inattendue, c’était Monsieur Clément qui avait calmé la situation.

« Tout le monde se calme un peu. Mon petit Narcisse aussi, s’il te plaît, donne nous une bonne explication, » déclara Monsieur Clément.

« — Monsieur Clément, pourquoi m’enlacez-vous le bras ? » demanda Monsieur Narcisse.

« Oh mon Dieu. Ce moi maladroit, comment puis-je me comporter comme ça sans vergogne ? » demanda Monsieur Clément.

Juste au moment où je pensais qu’il prenait la situation au sérieux, il se blottissait contre Monsieur Narcisse. En plus, il y avait dit « Mon petit Narcisse » !? Il semblerait que le type de Monsieur Clément était quelqu’un comme Monsieur Narcisse. Il n’avait montré aucun signe de vouloir lâcher prise même après avoir dit ça.

Monsieur Narcisse semblait ignorer les sentiments de quelqu’un d’autre. Il n’avait pas l’air de remarquer les efforts de Monsieur Clément pour faire appel auprès de lui.

Cet homme insensible — bon sang, je m’en ficherais même si quelque chose d’irréversible arrivait parce que vous n’aviez pas remarqué le sentiment de l’autre personne, même après qu’elle ait fait appel à vous de façon aussi flagrante que ça.

Les autres professeurs avaient aussi détourné le regard en silence. Quand l’endroit était devenu calme, Louise qui se tenait près de moi m’avait donné un avertissement.

« Léon, tu es grossier, » déclara Louise.

« Oh, pardonne-moi pour ça. Après tout, selon vous tous, je ne suis qu’un arriviste qui est aussi un aventurier sauvage. Je n’y peux rien si je m’occupe mal de l’arbrisseau à cause de ça, » déclarai-je.

Les professeurs à l’intérieur de la salle avaient fait une expression amère quand j’avais parlé avec sarcasme.

J’avais posé mes jambes sur la table et j’avais posé sur la table l’étui qui était rempli du jeune arbre sacré — non, ma chance m’avait porté chance, monsieur l’arbrisseau.

Cependant, ma main ne l’avait pas lâché.

« Plus important encore, amenez immédiatement Pierre ici. Combien de temps allez-vous me faire attendre ? » demandai-je avec froideur.

L’un des professeurs m’avait mis en garde, paniqué, contre ma façon de parler. « Arrêtez de parler si grossièrement comme ça. Vous parlez de quelqu’un des six grands nobles. Lady Louise aussi, s’il vous plaît, arrêtez de prendre le parti de cette personne. »

J’avais tourné mon regard vers Louise, mais elle n’avait montré aucun signe de suivre les paroles des professeurs.

« Ce ne sont pas vos affaires quand au côté avec qui je suis. De plus, de quel droit pouvez-vous me dire ça ? » Les professeurs avaient cessé de parler quand la princesse de l’un des six grands nobles avait dit cela.

Malgré tout, pourquoi cette personne coopérerait-elle avec moi jusqu’à maintenant ?

Elle n’avait même pas montré le moindre signe d’essayer de me piéger.

Monsieur Narcisse soupira. « On dirait qu’il est venu. »

La porte s’ouvrit soudain brutalement et Pierre y apparut avec ses acolytes.

Il puait l’alcool même si le soleil était encore haut dans le ciel.

Il avait l’air irrité d’avoir été appelé ici, mais ses yeux s’étaient ouverts en grand quand il avait vu l’arbre que j’avais.

« C’est ça, le vrai ? » demanda Pierre.

Ses yeux ne me voyaient déjà plus. Sa main tendit la main pour arracher l’arbrisseau.

« Ne le touche pas, » déclarai-je.

Quand j’avais soulevé l’objet, il m’avait immédiatement regardé d’un air renfrogné.

« Fils de pute, à qui crois-tu parler ? » s’écria Pierre.

Quand le dos de la main droite de Pierre avait commencé à briller, Louise s’était tenue devant moi.

« Arrête. Pierre, cela sera un deux contre un si tu commences quelque chose ici, » déclara Louise.

« Pousse-toi, Louise ! Vas-tu t’opposer à moi ? Tu es du même peuple élu que moi ! » déclara Pierre.

Il devait être fier d’avoir été choisi par l’arbre sacré.

Mais Louise ne s’était pas écartée.

Monsieur Narcisse s’était également joint à l’exposé. « Pierre, assez d’actes inconvenants. »

« Même le prétendu érudit Narcisse est du côté de ce type ? Vous deux, n’êtes-vous pas mortifiés que l’arbre sacré soit tombé entre les mains de ce genre de gars ? » demanda Pierre.

Les autres professeurs se tenaient tranquilles devant le comportement de Pierre.

Ce serait gênant de garder ça, alors j’avais laissé sortir ma voix. « Arrête de crier comme une ordure. C’est irritant à entendre. — Maintenant, tu ferais mieux de tenir ta promesse d’avant. »

« Ahn ? »

Les sbires mal élevés de Pierre étaient aussi à l’intérieur de la pièce, mais ils n’avaient pas interrompu la conversation parce que Louise et Monsieur Narcisse étaient là.

Pierre avait rapproché son visage de moi avec une expression de voyou et ses mains dans les poches.

« Tu l’as déjà dit, non ? Je parle du fait que tu te battrais contre moi si je préparais quelque chose d’égale valeur. Ou peut-être que tu ne te souviens même plus de tes propres mots d’il n’y a pas si longtemps ? Excuse-moi, alors. Est-ce peut-être trop difficile pour toi ? » déclarai-je.

Son visage avait tout de suite rougi après que je l’avais provoqué pendant un moment.

« Ne fais pas l’imbécile. Je vais te tuer ici ! » cria Pierre.

« Essaie si tu le peux. Mais cette chose va aussi se flétrir à ce moment-là, » déclarai-je.

Même la bouche de Pierre s’était fermée quand je lui avais montré l’arbrisseau.

Cette chose n’était qu’un élément clé dans ce jeu, mais elle s’était avérée assez utile quand elle était dans le monde réel.

« Je me battrai si tu mets en jeu Einhorn que tu m’as volé. Pour ce qui est de la méthode, je me contenterai d’un simple duel où tu pourras aussi utiliser une armure. Cependant, ma restriction est que tu ne peux pas utiliser le pouvoir de l’arbre sacré, » déclarai-je.

Pierre avait montré une expression de surprise pendant juste un instant quand j’avais dit cela.

Il faisait preuve d’hésitation et refusait avec un regard agité.

« Pourquoi est-ce toi qui décides de la règle, enfoiré ? C’est injuste, » s’écria-t-il.

« Injuste ? Je suis étonné qu’un bâtard de tricheur comme toi puisse dire ça. Tu veux que je prépare un miroir ? » demandai-je.

« Kuh ! »

Il était furieux et avait immédiatement essayé de compter sur le pouvoir de l’arbre sacré, mais il s’était arrêté parce que Louise et Monsieur Narcisse étaient aussi là.

« On ne finira pas de parler comme ça, alors je vais continuer. Je ne suis pas comme toi, un lâche, je suggère simplement d’avoir un duel équitable en utilisant une armure. Je vais demander à Louise et à Monsieur Narcisse d’être nos témoins. — Ou quoi ? Pierre, tu ne veux pas d’un combat équitable parce que tu ne pourras pas gagner comme ça ? » demandai-je.

Peut-être que tu ne peux pas te battre sans handicap ~ ? Ce type amusant avait immédiatement réagi quand je l’avais provoqué comme ça.

« D’accord, allons-y, » déclara Pierre.

Pierre s’était finalement raidi tout seul. J’avais ensuite confirmé les conditions.

« Alors, jurons devant cet arbre sacré. Je parie cette pousse de l’arbre sacré. Je te donnerai ce truc si je perds, » déclarai-je.

« Alors je te rendrai ton vaisseau si je perds, » déclara Pierre.

J’avais poussé un soupir exagéré et j’avais dit à Pierre. « Tu ne comprends pas ~ ».

« Ce sera inutile si tu ne fais que rendre le dirigeable et vider tout ce qu’il contient. Je te demanderai de me rendre tout ce que tu m’as pris. Tu comprends ça, “TOUT”. Si tu perds contre moi, apporte devant moi tout ce que tu m’as volé sans oublier la moindre chose, » déclarai-je.

Je ne lui permettrais pas de dire quelque chose comme je lui ai rendu le vaisseau, mais je ne lui rendrai pas Arroganz !

Ce genre d’excuse ne marcherait pas !

Pierre avait corrigé sa formulation telle une personne lasse après que je lui ai dit cela.

« Ouais ~ ~, je vais les rendre. Si ce grand Seigneur Pierre perd, je te rendrai tout ce que j’ai pris. Es-tu satisfait ? » demanda Pierre.

Pierre ne s’occupait pas des détails. Il n’avait pas l’air d’envisager la moindre possibilité de perdre.

« Dis que tu les amèneras “devant moi” correctement. Tu comprends, tous, » déclarai-je.

« C’est seulement si tu gagnes contre moi, » déclara Pierre.

Monsieur Narcisse avait confirmé les conditions pour la dernière fois. « Ensuite, Louise et moi serons les témoins. Jurez-vous devant l’arbre sacré que vous suivrez les conditions mentionnées tout à l’heure ? La date et l’heure ne posent pas non plus de problème ? »

Je hochai la tête avec un large sourire. — Oui. C’était bien comme ça.

« Bien sûr que oui, » déclarai-je.

Mais Pierre avait l’air mécontent. « Attendez une seconde. Ce type a-t-il une armure ? »

C’est gentil à lui de s’inquiéter pour moi.

« Non, je n’en ai pas. J’ai l’intention d’en acheter une nouvelle à la République, » déclarai-je.

Puis Louise m’avait fait une suggestion. « Je vais t’en préparer un. C’est bien, n’est-ce pas ? »

Pierre s’était soudain fortement opposé à cette suggestion.

« Ce n’est pas permis ! Je ne permettrai pas aux témoins d’aider le participant. Je ne l’accepterai pas à moins que ce type ne prépare une armure tout seul, » déclara Pierre.

Louise avait l’air de vouloir se disputer, mais je l’avais arrêtée. « — C’est très bien. Et si je ne peux pas m’en procurer un ? »

« Alors, bats-toi sans. Ce sera un spectacle merveilleux. Une belle démonstration du héros du royaume incapable de faire quoi que ce soit contre ce grand Seigneur Pierre avant de pleurer et de s’excuser devant tout le monde ! »

Pierre avait l’air de bien s’amuser. J’avais souri avec lui.

« D’accord, d’accord. »

« Léon ! » s’écria Louise.

Louise avait été choquée, mais Pierre avait tourné son regard vers Monsieur Narcisse.

« La personne elle-même a dit qu’il était d’accord avec cela. As-tu un problème ? » demanda Pierre.

« Pierre, je ne permettrai aucun acte sournois, » déclara Monsieur Narcisse.

Monsieur Narcisse avait dit cela et avait levé la main droite. Un cercle magique s’était ensuite formé sur le sol de la pièce.

C’était la méthode du duel de la République qui utilisait le serment à l’arbre sacré. Cela semblait impliquer qu’à la fin du match, les participants seraient obligés de tenir leur promesse.

Monsieur Narcisse avait proclamé. « C’est un duel sacré sous le serment de l’arbre sacré. Vous ne devez pas oublier ce que cela signifie. »

Monsieur Narcisse devait dire cela pour laisser entendre que tout acte qui entacherait le duel sacré ne devait pas être commis.

J’avais porté le jeune arbre sous mon bras. « Bien sûr que oui. »

Après cela, Pierre conduisit ses sbires hors de la pièce.

« J’espère que tu pourras préparer une armure avant le jour du duel, » déclara Pierre.

Pierre lorgnait avec dégoût en disant cette remarque. Je lui avais répondu. « Oui, je vais en préparer un tout seul. »

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

2 commentaires :

  1. Ethan Nakamura

    Merci pour le chapitre.

  2. Une armure qui contre celle qu’il lui a été volé ou il va aller sans ? (même si c’est improbable car dangereux)
    Merci pour le chapitre

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