Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 3 – Petite histoire – Partie 4

+++

Petite histoire – La Route de Marie

Partie 4

Maintenant, après ça, il n’y a pas de grand événement pour un Mob comme moi.

Normalement, je passais ma vie à l’académie et j’allais défié le donjon afin de gagner de l’argent pour les dépenses du goûter — ces journées se poursuivaient et avant que je remarque que le premier trimestre était sur le point de se terminer.

Quand j’avais remarqué, il n’y avait que Marie qui se montrait quand j’organisais un goûter.

À part elle, il n’y avait que ma deuxième sœur Jenna qui venait parfois se moquer de moi.

— Comme aujourd’hui.

« Petit frère idiot, vas-tu vraiment épouser Marie ? » demanda-t-elle.

« Haaa ? »

Jenna avait parlé sans aucun intérêt envers moi qui préparait une deuxième portion de thé.

« Tu invites cette fille à ton goûter chaque fois, n’est-ce pas ? Bien qu’il semble qu’elle ne soit pas là aujourd’hui, » déclara-t-elle.

« Aujourd’hui, elle va en ville pour aller chercher sa robe. Cette fille n’a pas de robe, alors elle s’inquiétait de ce qu’elle devait faire pour la fête avant les longues vacances, » répondis-je.

« Cette fille est vraiment pauvre, n’est-ce pas ? — Même s’il n’y a pas de problème avec cette fille elle-même, la maison de cette fille est un problème, » déclara ma sœur.

Je ne comprenais pas la véritable intention de Jenna qui disait ça en mangeant des bonbons.

C’était comme si elle me donnait un avertissement.

« Je n’ai pas de relation romantique avec cette fille. — Nous sommes amis, ou peut-être juste deux personnes avec le même genre de problèmes ? »

Nous étions tous les deux des réincarnés.

Nous pouvions nous comprendre mieux que quiconque au monde.

Ma sensibilité japonaise du monde précédent ne fonctionnait pas vraiment dans ce monde.

Jenna me regarda avec un regard dubitatif.

« C’est toi qui vas avoir du mal, alors je ne vais pas t’en empêcher, » déclara-t-elle.

« Qu’est-ce qui t’arrive aujourd’hui ? Plus important encore, grande sœur, toi-même, as-tu réussi à te marier avec quelqu’un ? » demandai-je.

« Contrairement à toi, j’ai beaucoup de choix. Même maintenant, je reçois des avances de plusieurs personnes, » déclara-t-elle.

La personnalité de Jenna s’était aggravée sous l’influence de la capitale, même si des garçons s’approchaient encore d’elle.

Son allure n’était pas si mal.

Notre maison n’avait plus de dettes et était en plein développement grâce à mon investissement.

Elle venait d’une maison de baron de la campagne, donc elle n’était pas non plus impliquée dans une mauvaise faction. De ceux-là, il semblerait qu’elle soit un excellent article.

Pour que ce genre de femme horrible soit un excellent article, ce monde était vraiment terrible.

Malgré tout, la maison de Marie est un problème, hein ?

Lorsqu’elle gagnait de l’argent, sa famille semblait en avoir vent et elle s’était endettée en utilisant le nom de Marie.

La coupable était la grande sœur de Marie, donc ce n’était pas du tout drôle.

***

La fête avant les longues vacances était séparée par l’année académique.

La fête qui se tenait dans une grande salle était vraiment extravagante.

C’est un buffet et les aliments qui étaient alignés ici avaient été cuisinés par des chefs de première classe.

La musique en direct remplissait l’intérieur de la salle. Je n’avais aucun souvenir d’avoir assisté à une fête de ce niveau, même dans ma vie antérieure.

« Un autre monde est vraiment incroyable. »

« C’est vraiiiiii ! »

J’avais regardé Marie qui se bourrait la bouche de nourriture.

Elle mangeait avec plaisir dans sa robe qu’elle venait d’acheter.

Quant à sa robe, c’était le genre mignon si je devais dire de quel genre de robe il s’agit.

Il y avait aussi l’atmosphère de Marie, mais elle avait l’air enfantine, peu importe comment vous la voyez.

Elle ressemblait à une petite fille vêtue d’une robe pour agir comme une adulte, ce qui la rendait très chaleureuse.

Mettons ça de côté,

« Pourquoi suis-je seul avec toi ? » demandai-je.

Daniel et Raymond étaient avec les filles que Marie leur avait présentées, alors ils n’étaient pas là.

À l’origine, je voulais me promener avec eux pour parler aux filles et pourtant — ils étaient des amis sans cœur.

Ils essaient de trouver rapidement une partenaire pour échapper par eux-mêmes à la dure course au mariage.

— C’est impardonnable.

Quand je pensais à me mettre en travers de leur chemin, Marie avait chargé une montagne de nourriture dans son assiette tout en déplaçant son regard.

Quand j’avais suivi son regard, Son Altesse Julian et Olivia se trouvaient là-bas.

Olivia qui portait l’uniforme était également entourée de garçons autres que Son Altesse Julian.

« As-tu encore des attaches persistantes ? » demandai-je.

Alors que je me demandais si elle n’avait pas encore abandonné, Marie secoua la tête.

« Stupide. Le monde dans lequel nous vivons est trop différent ~, c’est ce que je me dis. J’ai compris beaucoup de choses dans ce terme. Moi et ces cinq-là, on ne pourra pas être ensemble, » déclara Marie.

Même un luxe choquant pour Marie était normal ou modeste du point de vue de ces cinq personnes.

Il semblerait qu’elle soit aussi jalouse, mais elle acceptait aussi que ce soit bien comme ça.

« Ça aide que tu comprennes. Avec cela, personne ne se met en travers du chemin d’Olivia, » déclarai-je.

Si le personnage principal Olivia devenait en couple avec quelqu’un parmi ces cinq personnes — le monde sera aussi sauvé.

Un grand facteur d’incertitude disparaîtra avec cela.

Nous regardions tous les deux la fête des nobles près du mur de la salle de fête.

C’était vraiment un monde différent.

Il ne s’agit pas d’un autre monde ou quoi que ce soit du genre — le monde dans lequel nous vivions était différent d’eux.

« — Ah, » Marie avait fait entendre sa voix. Là-bas, Angelica parlait à Son Altesse Julian.

Elle fixa Olivia du regard et essaya de les séparer.

Son Altesse Julian s’était fâchée à cause de ça.

Voyant que Marie était — .

« Hé, réfléchis bien, n’est-ce pas mal d’être dans les bras d’une autre femme devant ta fiancée ? Même sans bien réfléchir, ce n’est pas bon de se rapprocher d’un homme qui a une fiancée. »

« Et si tu regardais le miroir ? Mais moi, je suis d’accord avec cette opinion. »

C’était le scénario de ce jeu, donc on ne peut rien y faire.

En y pensant comme ça, c’est ainsi, mais c’était certainement une histoire horrible.

« Aime-t-elle un homme qui a abandonné sa fiancée pour la choisir ? Je ne comprends pas les femmes, » déclarai-je.

On dirait que je ne comprenais pas ce que ressentaient les femmes.

Marie avait parlé de cette situation du point de vue de femme. « Mais, abandonner sa fiancée comme ça quand il rencontre quelqu’un qu’il aime — autrement dit, c’est comme s’il proclamait qu’il abandonnerait aussi cette fille s’il rencontre une femme plus charmante. Je serai repoussée si c’est moi. »

« C’est une situation à laquelle une femme devrait aspirer, n’est-ce pas ? » demandai-je.

« Le désir et la réalité sont différents. Ce n’est qu’un malentendu qui vient du feu de l’action. Mais quand vous vous calmerez, vous penserez “pas possible ~” à ce sujet, » répondit-elle.

Certes, ce genre de situation qui se produit dans la réalité vous fera pencher la tête.

Les gens eux-mêmes s’échaufferaient peut-être en disant « C’est l’amour interdit », mais l’environnement allait se rafraîchir en le regardant.

Mais, entendre ça de Marie m’avait donné l’impression que c’était une blague.

« Ce sont des mots que j’aimerais que quelqu’un qui planifiait un harem inversé puisse entendre, » déclarai-je.

Marie me frappa à plusieurs reprises alors que je me moquais d’elle.

« Qu’est-ce que c’est que ça ? Dis-le si tu veux te plaindre ! » déclara-t-elle.

« Pas vraiment. Je suis également d’accord avec ton opinion, » déclarai-je.

Puis, le lieu était devenu étrangement calme.

Quand j’avais regardé autour de moi, j’avais vu des regards se rassembler sur nous.

Luxon qui se cachait à proximité avait expliqué la situation. « Depuis quelque temps, tout le monde ici écoute attentivement la conversation ombrageuse de Julian et Angelica. Il y a le temps du changement de musique et l’endroit est devenu calme en même temps que la conversation entre vous deux s’échauffait. »

— Notre conversation avait donc été entendue par les gens de l’entourage.

Marie et moi avions eu des sueurs froides.

« Quoi encore ? » demanda Marie.

À la demande de Marie, j’avais pris la main de Marie et je m’étais échappé de la salle.

« Papa, pardonne-nous ! »

« Pardonnez-nous ! »

Nous nous étions échappés de la salle ensemble et après cela, la musique avait recommencé à jouer.

— Trop tard ! Lisez l’atmosphère plus rapidement les gars !

« Qu’est-ce que tu as fait, hein ? On vient de se faire remarquer ! » déclarai-je.

« Ne dis pas que c’est de ma faute ! Plus important encore, je ne peux plus manger tous ces types de nourriture maintenant ! » déclara Marie.

Alors tu donnes la priorité à ta faim plutôt qu’au sex-appeal, cette fille est vraiment un bon à rien de réincarné.

La zone était sombre quand nous étions sortis.

L’œil unique de Luxon brillait et illuminait l’environnement.

Marie s’était retournée vers le lieu de l’événement et — .

« Je voulais m’amuser davantage, » déclara Marie.

Elle jeta son regard déprimé.

Un peu de culpabilité s’était développée en moi.

Après tout, cette fille aimait la fête à sa façon.

« Il y aura beaucoup de chance d’aller faire la fête tant que tu seras à l’académie, alors ne t’inquiète pas, » déclarai-je.

« Les fêtes auxquels je peux participer sont seulement celles auxquels je peux me joindre pendant que je suis à l’académie, » déclara Marie.

Lorsque la fête avant la cérémonie de fin de mandat serait terminée, de longues vacances vous attendaient.

« Plus important encore, que sont tes plans pour les vacances d’été ? Tu vas rentrer chez toi ? »

Quand je lui avais demandé ça, la réponse qu’elle m’avait donnée avait été horrible.

« On m’a dit avec une lettre de rester à l’académie et de gagner de l’argent. La lettre me disait aussi d’envoyer de l’argent à la maison. La lettre venait de toute la famille, » déclara Marie.

C’est trop horrible, je ne peux rien dire.

Le silence avait duré un moment, puis je n’en pouvais plus et j’avais invité Marie. « Ce n’est pas la capitale, mais veux-tu venir chez moi ? »

« Chez toi ? » demanda Marie.

« J’ai l’intention de retourner dans mon propre territoire pendant les longues vacances. Là-bas, il y a une source d’eau chaude, » déclarai-je.

« Une source d’eau chaude ! » s’exclama Marie.

Marie était soudain devenue heureuse. Je me sentais un peu soulagé de voir ça.

« Il n’y a pas que ça ! — Il y a aussi du riz, » déclarai-je.

« RIIIIIIIIIIZZ ! » s’écria Marie.

Marie s’était réjouie et avait couru partout à cet endroit.

Pour nous, réincarner, c’était vraiment difficile de pouvoir manger l’aliment de base de notre monde précédent.

Elle était vraiment heureuse qu’il soit devenu possible de manger cette nourriture.

« Et le miso !? Shoyu!? » demanda Marie.

« Non, c’est toujours impossible, » répondis-je.

J’avais entendu Marie dire « Ee ~ » avec une certaine déception. Luxon s’était plaint à côté de moi en voyant Marie comme ça.

« Je pourrai les préparer immédiatement si seulement le maître n’est pas obsédé par les produits naturels, » déclara Luxon.

Ce genre de chose était identique selon les deux manières de faire, mais différent en termes de nutriments ou de goût.

Ce type peut préparer ça, mais je suis un membre de la faction naturelle.

« Je veux manger le produit naturel. »

« Je veux manger le produit naturel. »

Nous avions regardé le visage de l’autre en entendant que notre opinion qui se chevauchait.

C’était un peu gênant, alors nous avions tous deux détourné notre visage.

Luxon avait alors dit. « C’est vrai. Alors, attendez encore un an s’il vous plaît. »

Ce type est incroyable.

Il semble qu’il serait capable de préparer le miso et le shoyu en un an seulement.

— Ne peut-il pas aller plus vite ?

Marie était tout excitée, impatiente de prendre de longues vacances — et elle était tombée.

« Oh, vas-tu bien ? » demandai-je.

« Ça fait longtemps que je n’ai pas porté de talon haut, alors j’ai mal aux pieds, » déclara Marie.

C’était parce qu’elle s’était forcée et avait acheté quelque chose comme un talon haut.

Marie avait utilisé la magie de guérison jusqu’à sa propre cheville. Voir ça m’avait fait me souvenir du passé.

Une fois, ma petite sœur de la vie précédente m’avait dit que ses pieds lui faisaient mal et pleuraient. Elle ne voulait pas bouger.

Je l’avais quittée et j’étais rentré chez moi, mais je m’étais inquiété au bout d’un moment et j’étais revenu.

— Cette fille, elle s’était fatiguée et s’était endormie.

En me rappelant cela, j’avais tourné le dos à Marie qui avait terminé la guérison et je m’étais accroupi.

« Viens ! Je vais te porter, alors saute, » déclarai-je.

« Comme c’est prévenant. Emmène-moi jusqu’au dortoir des filles, s’il te plaît, » déclara-t-elle.

Jusqu’où vas-tu te comporter comme ma petite sœur ?

Dis merci d’abord.

+++

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

2 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre. Incroyable ce chapitre.

  2. Merci pour le chapitre.

Laisser un commentaire