Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 2 – Chapitre 5 – Partie 2

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Chapitre 5 : La suppression des pirates des cieux

Partie 2

De retour à la maison, Noir — euh, Julian avait été grondé par Milaine.

Milaine, qui était dans son bureau à manipuler des documents, avait levé la main et avait parlé à Julian d’une manière indifférente.

« Tu veux devenir célèbre en réprimant les pirates des cieux ? Julian, tu ne comprends pas ta position. En ce moment, tu n’as pas les moyens de déployer un seul dirigeable — non, même pas une seule armure. Tu n’as pas l’autorité pour mobiliser les soldats du royaume. Prévois-tu de réprimer les pirates des cieux dans de telles conditions ? Ce n’est même pas une blague drôle. »

Julian s’était rétracté après cette argumentation et avait frénétiquement tenté de s’y opposer.

Il pensait que s’il parvenait à convaincre Milaine, elle pourrait peut-être lui prêter certains de ses biens.

Dans ce cas, il aurait aussi pu aider Greg et Brad.

« Mais, Mère ! La répression des pirates des cieux n’est-elle pas notre devoir de nobles ? » demanda Julian.

« Il s’agit de la tâche des gens qui sont faits pour ce travail. Julian, peux-tu faire mieux que les chevaliers ou les soldats qui combattent régulièrement les pirates des cieux ? Il y a des cas où des garçons de l’académie sont capables d’accomplir l’absurde, mais réalises-tu toute la résistance qu’il y a à s’y opposer ? »

Les garçons avaient fait de leur mieux pour plaire aux filles.

Sachant cela, leurs camarades de classe supérieure ne pouvaient pas arrêter fermement les chevaliers et soldats.

Dans certains cas, des chevaliers indulgents aidaient leurs camarades de classe à accomplir des actes méritoires.

Tout le monde voulait désespérément se marier.

Milaine était bien au courant de ces circonstances.

« Mais je comprends la situation des garçons. Tu devrais donner la possibilité de réprimer les pirates des cieux à d’autres garçons. Puisqu’il s’agit du territoire d’un ménage de semi-barons, nous enverrons les troupes classiques après en avoir obtenu la permission. Pendant ce temps, nous demanderons aussi à des personnes de l’académie qui sont intéressées par —, » déclara Milaine.

Il semblait qu’elle s’occupait des pirates des cieux en laissant les garçons accomplir ce qu’ils voulaient tout en n’interférant pas avec les troupes classiques.

En travaillant, Milaine cachait son impression habituelle de candeur.

Elle avait l’air d’une personne différente, même pour Julian.

Grr ! Je ne pourrai pas les aider à ce rythme ! pensa Julian.

À ce moment-là, la voix de quelqu’un avait retenti devant le bureau.

Une fois qu’un garde avait obtenu l’approbation de Milaine, Jilk était entré dans la pièce.

Sa respiration était un peu troublée.

Milaine avait plissé ses yeux. « Que s’est-il passé ? »

Milaine s’était placée pour écouter Jilk en se tournant vers ses documents et en bougeant les mains.

Jilk avait pris une grande respiration alors qu’il s’inquiétait pour Julian. « — Milaine, il semblerait que le baron Baltfault soit parti sur un dirigeable pour réprimer les pirates des cieux. Greg et Brad sont aussi avec lui. »

Lorsqu’il entendit le rapport de Jilk, Julian regarda rapidement Milaine.

Il était un peu en colère en pensant à la façon dont elle semblait avoir envoyé Jilk ici pour un petit rapport.

Cependant — .

« Hein, Léon ? » s’exclama Milaine.

— Contrairement à il y a quelques instants, Milaine n’était pas dans son mode de travail, mais dans son état maternel habituel.

En fait, elle était un peu différente de l’habitude.

Julian était gêné par le fait que les joues de Milaine étaient juste un peu rouges.

Mère ! Reviens à la raison. Quelle partie de Baltfault t’attire ? Non, attends. Je peux l’utiliser ! pensa Julian.

Julian avait essayé de persuader Milaine. « Mère ! On devrait envoyer des renforts tout de suite ! S’il te plaît, laisse-moi la flotte. Tu verras que ces pirates des cieux seront bientôt traités ! »

Milaine était revenue de son expression rougie et détendue à son expression sérieuse après avoir répondu à Julian. « Julian, tu n’as aucune expérience dans le commandement d’une flotte, n’est-ce pas ? Tu ne devrais pas interférer, car tu vas te mettre en travers de leur chemin. Aussi, comprends-tu que tu dois aussi prendre en considération les chevaliers et les soldats ? Jilk, cette information est-elle vraie ? »

Jilk avait parlé de la crédibilité de l’information auprès de Milaine, qui était retournée à son mode de travail. « En effet. Je l’ai déjà confirmé. Il semble qu’il se soit impliqué avec la famille du comte Olfery, quelque chose que j’attendais — . »

« S’il te plaît, ne communique que l’information, » déclara Milaine.

Après avoir été critiqué, Jilk s’était redressé et avait continué.

« Un dirigeable de la maison du duc Redgrave est également parti à la poursuite de Partenaire, le dirigeable se dirigeant vers la maison de semi-baron en question. Ces informations proviennent d’une source fiable, » déclara Jilk.

Lorsqu’il avait appris que la famille du duc Redgrave passait à l’action, Julian regarda Milaine.

Milaine avait réfléchi pendant un moment.

« Les renforts ne sont pas nécessaires. C’est une bonne occasion de connaître la force du Baron Baltfault. Est-il fort comme un chevalier et peut-il combattre des pirates des cieux ? Puisqu’un ménage ducal a envoyé un dirigeable, il est probable que c’est pour les renforts, mais cela semble un peu téméraire. Considérant la position actuelle d’un duc —, » déclara Milaine.

Julian avait protesté. « Mère ! S’il te plaît, laisse-moi aussi partir. Pourquoi Baltfault peut y aller, mais pas moi !? »

Milaine avait recommencé à travailler.

Elle avait poussé un soupir. « — Je ne peux pas te laisser partir précisément parce que tu ne comprends pas la raison. »

♥♥♥

Nous étions dans une des pièces de Partenaire.

Il s’agissait d’une salle de loisirs.

Les tables étaient alignées, dégageant une aura de casino.

Le billard, les fléchettes, etc. étaient là, ce qui en fait un endroit idéal pour tuer le temps.

Dans cette pièce, Brad, Greg et moi jouions aux cartes.

Bien sûr, nous jouions de l’argent.

Contrairement à mon sourire composé, les deux autres avaient des expressions de déplaisir tout en regardant leurs cartes.

« Qu’est-ce que ce sera ? Es-tu partant ou pas ? » demandai-je.

Greg avait gémi. « Attends ! Laisse-moi réfléchir encore un peu ! »

J’avais réussi à gagner un montant raisonnable d’argent provenant de ces deux-là. Peut-être que ces deux-là avaient gagné pas mal d’argent au festival de l’école.

L’argent qu’ils avaient laborieusement gagné tomberait ainsi entre mes mains.

« Prêt à abandonner ? Je vous laisserai tranquille si vous vous retirez dès maintenant, » déclarai-je.

Sachant qu’ils étaient irrités, j’avais parlé d’une manière qui les agitait davantage.

Il y avait de la sueur sur le front de Brad.

« Comme si j’allais me retirer ici ! Je gagnerai la prochaine fois. C’est impossible pour toi de continuer à gagner ce match. Je serai assurément le vainqueur ! » déclara Brad.

J’avais gagné contre les deux, mais je les arnaquais, sinon, il m’aurait été impossible de continuer à gagner.

Je ne faisais que percevoir leurs frais de transport. En plus, ces gars auraient dû étudier plus la société. Je leur enseignais la cruauté du monde avant qu’ils ne finissent par souffrir d’avoir été trompés par quelqu’un d’autre.

Les deux autres n’avaient pas remarqué à quel point j’étais gentil de faire ça pour eux.

« — Vas-y ! » s’exclama Greg.

« Je vais gagner ce round ! » déclara Brad.

Les deux autres avaient eu des visages déterminés lorsqu’ils avaient posé leurs cartes.

Greg avait un visage triomphant.

Combien de fois pensait-il gagner en utilisant la même stratégie prévisible ?

« Qu’est-ce que tu penses de ça !? » demanda Greg.

Brad était également confiant. Il semblerait certainement qu’il gagnerait s’il regardait sa main.

« C’est ma victoire ! » déclara Brad.

J’avais fait un bref soupir tout en montrant lentement mes cartes.

Ma main était la plus forte, ce qui faisait pâlir les deux autres tout en s’affalant sur la table.

« Désolé. J’ai encore gagné, » déclarai-je.

Greg était à bout de nerfs. « Incroyable ! Ce doit être une mascarade ! »

Il avait raison. Cependant, c’était leur faute de ne pas l’avoir réalisé.

Brad s’était gratté les cheveux et avait crié. « Dire que j’avais perdu tant de fois ! C’est impossible ! »

J’avais ramassé les cartes en parlant aux deux autres. « Vous êtes vraiment stupides. »

Les deux m’avaient regardé, mais n’avaient plus joué, peut-être parce que leurs portefeuilles étaient vides.

Une fois que j’avais rangé les cartes, un Greg épuisé avait parlé à Brad. « Quel genre de fille était ton ex-fiancée ? »

Brad répondit en jetant un coup d’œil à son portefeuille désolé. « C’était une fille inhabituelle. »

Brad parlait alors qu’il semblait mécontent pour une raison inconnue.

Elle était certainement inhabituelle.

Elle était déjà assez extrême pour une fille de l’académie.

Elle avait acheté une tonne d’esclaves et s’était pavanée avec eux d’une manière tape-à-l’œil.

Tandis que beaucoup de filles nobles des foyers de comte et au-dessus étaient calmes, certaines étaient voyantes et cavalières, il était donc inévitable qu’elle se démarque.

Maintenant que j’y pense, c’est elle qui m’a piétiné la tête au café, n’est-ce pas ?

« Je ne l’avais vue que quelques fois avant que nos fiançailles ne soient décidées. Même à l’académie, je peux compter le nombre de fois où je lui ai parlé. C’est bien qu’on ne se soit pas disputés comme avec Son Altesse ou Jilk. C’était un mariage de convenance typique. Je sais qu’elle est vraiment tape-à-l’œil et qu’elle aime faire des bêtises, mais je ne sais rien de sa personnalité ou de ses passe-temps, » déclara-t-il.

« J’ai entendu des rumeurs. N’appartient-elle pas à une famille tristement célèbre ? Pourquoi t’es-tu fiancé avec elle ? Je ne vois aucun avantage, » déclara Greg.

Il semblait que Greg ne connaissait pas très bien l’ex-fiancée de Brad puisqu’il n’était pas familier avec les discussions aristocratiques.

« J’étais fiancé à elle parce qu’il y avait effectivement des avantages, » déclara Brad.

J’avais préparé du thé en les écoutant parler.

Brad avait commencé à expliquer la situation. « La maison du comte Olfery semble avoir été usurpée, vois-tu. Il semblait que l’ancien chef de famille était un marchand. Ils se demandaient si, en épousant quelqu’un de la famille Field, ils pouvaient prendre une partie de leur lignée sanguine pour eux-mêmes. »

Greg avait fait une tête de déplaisir.

Dans le Royaume de Holfault où les aventuriers devenaient nobles, les nobles étaient naturellement les descendants d’aventuriers exceptionnels.

Il arrivait comme quelqu’un comme moi de s’élever dans la hiérarchie et d’avoir du succès en tant qu’aventurier.

D’une façon ou d’une autre, l’un d’entre eux avait été évalué en fonction des réalisations d’aventuriers.

Il y avait aussi des cas où l’on était promu par ses actions sur le champ de bataille, et il y avait beaucoup d’autres façons pour les individus de devenir des nobles.

Il y en avait aussi beaucoup qui s’étaient élevés très rapidement, mais néanmoins en raison de leur succès.

On peut dire qu’ils avaient été évalués de façon équitable.

Cependant, ce royaume avait aussi des exceptions.

L’un d’eux était la maison de l’ex-fiancée de Brad.

La maison était à l’origine celle des barons, mais après que les marchands l’eurent reprise de force, elle était devenue une maison de comte.

Cela leur avait fait gagner le ressentiment des nobles du royaume. Même si l’on accomplissait des actes méritoires, on s’attendait à ce qu’ils ne deviennent pas des nobles s’ils ne réussissaient pas comme aventuriers. Malgré cela, ils avaient réussi à passer à travers les failles de la loi et étaient devenus des nobles grâce à l’utilisation d’une zone grise légale.

Après cela, il semblait qu’ils se soient impliqués dans diverses actions méprisables.

Même s’ils étaient haïs, ils avaient des alliés. Il était censé y avoir une sorte de faction impliquée aussi dans l’histoire, mais je n’étais pas sûr des détails puisque j’avais peu d’intérêt pour des choses comme les affaires du royaume ou ses factions.

Cependant, le problème avec le foyer de comte était son héritier.

Le chef précédent était un marchand qui était devenu un noble.

C’était bien que le fils de l’ancien chef ait pu succéder à la famille, mais ni le chef actuel ni la fille du comte n’étaient descendants de nobles.

Les fiançailles de Brad avec elle avaient eu lieu en raison des circonstances exigeant la lignée de sang d’une famille de nobles. En ayant Brad, ils seraient capables d’introduire progressivement du sang noble.

Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi ils voulaient tellement être promus qu’ils allaient si loin.

Il semblait que Greg se souvenait de quelque chose. « Duché. Un ménage actif dans la diplomatie d’un duché ! »

Brad avait été étonné et avait dit : « Tu t’en es rendu compte tout à l’heure ? »

« Ma maison s’était vue confier un duché à la frontière nationale. Après la conclusion des discussions sur les relations diplomatiques, le comte nous a demandé d’envisager des négociations sur le mariage. À l’époque, mon père a accepté parce qu’il ne pensait pas que ça passerait, » déclara Brad.

« Tu as fait beaucoup de bruit quand ça a fini par arriver. Tu disais que tu n’aurais pas peur de ce “Chevalier Noir”, » déclara Greg.

« En fin de compte, mes fiançailles avaient été officiellement décidées, » déclara Brad.

La maison des Field Margrave était à l’avant-garde du duché de Fanoss.

Il y avait un chevalier maléfique appelé le « Chevalier Noir » qui était très fort et qui causait de sérieux dommages chaque fois qu’il apparaissait dans une guerre.

Ils ne pouvaient pas refuser la demande du comte, qui réglait les choses avec diplomatie, et il semblait que Brad avait fini par devoir se marier chez le comte qui posait problème.

« Sans tenir compte de ces circonstances, s’agit-il d’un bon ménage ? » demanda Greg.

« Comme je l’ai dit, ils sont gênants. En fait, Wein avait également montré des signes quant à coopérer dans une volonté de rupture des fiançailles. Comme c’est rusé. Je suppose que les grands esprits se ressemblent, » déclara Brad.

Greg acquiesça d’un signe de tête avec une expression calme.

« C’est la même chose pour moi. Je n’ai rencontré ma fiancée que quelques fois. Ce n’était pas vraiment une affaire de romantisme, » déclara Greg.

Ces types avaient aussi l’air d’avoir eu la vie dure. Si je me souviens bien, les fiancées de Greg et Chris n’étaient jamais apparues dans le jeu. Je me demandais quel genre de personne elles étaient.

Alors que j’écoutais leur conversation, Luxon m’avait fait un rapport.

Les deux autres individus n’entendaient pas la voix de Luxon.

« Maître, il semble que quelqu’un soit là pour tous vous accueillir, » déclara Luxon.

Il nous restait encore un peu de temps avant d’arriver à destination.

Pourtant, j’avais rendez-vous avec quelqu’un.

« Il y a des dirigeables pirates des cieux. Deux se dirigent par ici, » déclara Luxon.

J’avais bu d’un coup le thé que j’avais préparé et j’avais appelé les deux autres. « Les gars, c’est l’heure du spectacle. Assurez-vous de bien faire votre travail. »

Les deux m’avaient regardé avec surprise, la bouche ouverte. Leurs réactions étaient inappropriées, comme s’ils ne comprenaient pas ce que je disais.

« Je vous dis de vous préparer parce que les ennemis sont arrivés, » continuai-je.

Greg s’était levé.

« Je..., j’ai compris ! » déclara Greg.

Brad s’était aussi levé, mais les deux hommes étaient perplexes.

Ils regardaient tout autour d’eux et semblaient agités.

« D-De toute façon, qu’est-ce qu’on fait ? » demanda Brad.

— Ces types étaient incroyables.

Si on laissait Brad de côté, Greg n’avait-il pas beaucoup d’expérience au combat ?

« Je vois. Pour l’instant, vous devriez être en attente dans le vaisseau, » déclarai-je.

Greg s’était fâché. « Et pourquoi !? »

« Parce que tu ne sais pas quoi faire ! J’ai besoin de te l’épeler !? » demandai-je.

J’étais sorti de la pièce et j’avais donné des instructions à Luxon.

♥♥♥

Les dirigeables pirates des cieux avaient hissé des drapeaux noirs avec un crâne et des os en croix marqués sur eux.

Un capitaine de dirigeable du groupe de pirates des cieux, nommé « Requin Ailé », siffla en voyant Partenaire.

« Le patron sera content qu’on s’en empare, » déclara-t-il.

Ses subordonnés étaient d’accord.

« Quel objet de valeur ! Mais n’y a-t-il vraiment que quatre gamins sur le coup, pour quelque chose d’aussi gros ? » demanda le subordonné.

« Oui, trois gars et une femme. Je doute aussi que ce soit vrai ou non, puisqu’il s’agit d’un artefact perdu. On le saura bientôt quand on y sera et qu’on regardera ce qu’il contient, » déclara le capitaine.

« Comment allons-nous nous y prendre avec ces quatre individus ? » demanda son subordonné.

« Espèce d’imbécile. Les trois gars sont membres de familles de nobles riches. On peut gagner plus en les vendant à de riches mégères. On peut s’amuser avec la femme et la jeter plus tard. C’est une roturière, donc on ne peut même pas obtenir une rançon pour elle, » déclara le capitaine.

Quand les personnes autour de lui avaient entendu cela, ils avaient affiché de la motivation, et le dirigeable qui volait à côté d’eux avait commencé à descendre.

Ils approchaient de Partenaire d’en haut, et essayaient de le coincer.

Le capitaine du navire avait posé sa main sur son cou et s’était retourné.

« L’un d’eux est incroyablement fort, mais ce n’est qu’un gosse. On va lui faire apprendre ce qu’est un vrai combat, » déclara le capitaine.

« C’est vrai ! Il apprendra très vite ! »

Des pirates des cieux en armure avaient sauté du bateau les uns après les autres.

Plus de vingt silhouettes en armure avaient essayé de sauter depuis les deux dirigeables sur Partenaire.

Les armures de ce monde étaient comme des combinaisons de force qui pouvaient voler dans le ciel.

C’étaient des armes en forme d’humains.

C’était l’une des armes les plus répandues dans ce monde où le sol flottait.

« On va s’amuser aujourd’hui grâce à ces gosses idiots, » déclara l’un des pirates.

« Tu as raison. »

Ils avaient prévu de les bloquer plus tard à l’aide de leurs dirigeables, et de voler Partenaire tout en ne les laissant pas s’échapper.

Le capitaine pensait que ce n’était que du travail comme d’habitude, mais quelque chose s’était envolé de Partenaire et s’était approché des armures des pirates des cieux.

C’était une armure grise et lourde — plus grande qu’une armure ordinaire.

« Que peut faire une seule personne ? Même s’il est un peu fort, ce n’est qu’un morveux. Hé, entourez-le pour que —, » déclara le capitaine.

Avant que le capitaine ne puisse finir de donner un ordre, l’armure qui venait de Partenaire avait saisi et détruit la zone inférieure de chaque armure de tous les pirates des cieux qu’il croisait et cela avec ses mains.

Il avait jeté les plaques de blindages détruits vers leurs dirigeables, et continua à détruire à mains nues les plaques d’armures des pirates des cieux environnants.

Il avait ensuite donné un coup de pied dans l’armure d’un pirate des cieux qui était en train de préparer un fusil et l’avait fait voler sur une longue distance.

Se rendant peut-être vite compte du danger, le capitaine avait donné l’ordre de s’enfuir.

Sa perception du danger lui avait permis de survivre jusqu’à aujourd’hui.

« Qu’est-ce que c’est que ça ? Cela monte ! Montez —, » cria le capitaine.

— Cependant, c’était arrivé trop tard cette fois-ci. Le dirigeable trembla violemment avant qu’il ne puisse finir de parler.

Le commandant de bord s’était agrippé à une main courante voisine et avait examiné la situation.

« Que s’est-il passé !? » cria le capitaine.

« Un... un tir de barrage ! Notre proie nous tire dessus ! » cria l’un de ses hommes.

« Ne sois pas stupide ! On est juste au-dessus d’eux ! » répliqua le capitaine.

Dans ce monde, il était fondamentalement préférable d’avoir la position surélevée. L’artillerie n’était pas très précise, alors les combats impliquaient un grand nombre de canons qui devaient être alignés sur le côté des dirigeables, tirant d’énormes boulets de canon.

La raison de leur massivité était due à la magie.

La magie pouvait créer une barrière et protéger un dirigeable.

Pour percer une barrière et couler un dirigeable, il fallait que les boulets de canon soient massifs.

Les pirates des cieux se méfiaient des tirs de barrage, alors ils avaient attaqué directement depuis en dessus de leur cible.

« Comment ce gros dirigeable peut-il nous tirer dessus ? En premier lieu, il n’y a que quatre personnes qui —, » demanda le capitaine.

Quelque chose de la taille de Partenaire n’aurait pu fonctionner que si des milliers de personnes s’étaient rassemblées là.

À cause de cela, ils pensaient qu’avec seulement quatre personnes, ou cinq s’il y avait un intendant, ils ne seraient pas en mesure de l’exploiter pleinement.

C’était du bon sens dans ce monde.

Même s’ils savaient qu’il s’agissait d’un artefact perdu, ils pensaient toujours en termes de bon sens.

Le barrage de tir de Partenaire secouait encore violemment les dirigeables des pirates des cieux.

Le capitaine avait crié. « Nous nous rendons ! Nous allons nous rendre ! Dépêchez-vous de hisser le drapeau blanc — . »

Jugeant qu’ils ne pouvaient pas s’échapper, il avait dit à quelqu’un d’accrocher un drapeau blanc pour indiquer qu’ils se rendraient.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

5 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre et bonne continuation !

  2. Chef des pirates : »Ready win »
    *TATATTATTATTTATATAAA
    Chef des pirates : »PRENEZ TOUT MONSEIGNEUR , VOULEZ-VOUS UN BON MASSAGE ? »

    MRC du chapitre et de cette bonne rigolade.

  3. Expédiés en 2 minutes les pirates XD Merci pour le chap ^^

  4. Merci pour le chapitre!

  5. Merci pour le chapitre !

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