Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 1 – Chapitre 2 – Partie 3

+++

Chapitre 2 : Relique perdue

Partie 3

Une décharge électrique provenant de toutes sortes de pièces était visible en ce moment, révélant que le robot était dans un très mauvais état. Des vapeurs noires s’échappaient des brèches de l’armure.

Cependant, je pouvais entendre un son électronique — une voix robotique.

« ... Tu essaies de te servir de moi ? C’est impossible, » déclara la voix robotique.

Le robot ne bougeait plus, mais c’était le panneau de contrôle dans la pièce qui avait été démarré. Dans le jeu, il était possible de s’inscrire comme maître à travers cette chose.

« Comme c’est ennuyeux ! Je suis juste venu ici pour récupérer un objet de microtransaction. Tais-toi et respecte-moi, » déclarai-je.

Je ne sais pas si l’article de microtransaction que j’ai acheté est ici ou non. Cependant, il n’y a pas d’avenir pour moi ou ce monde si je ne l’obtiens pas.

« Je choisirai de m’autodétruire plutôt que de laisser la nouvelle race humaine s’emparer de tout ça, » déclara la voix robotique.

« Si tu veux t’autodétruire, je te prendrai avant ça sous mon contrôle. Une explosion serait aussi problématique pour moi. Car je ne suis pas ici pour mourir, » déclarai-je.

En effectuant les différentes opérations nécessaires, j’avais changé les lettres de l’alphabet à l’écran en japonais.

« Quelle belle commodité ! Cela rendra les choses plus faciles à utiliser. » Je parlais en japonais, la langue que je n’avais plus utilisée depuis longtemps.

Mon but était juste devant moi... la chose pour laquelle j’étais venu ici était devant moi, ce qui faisait monter ma tension à des niveaux inimaginables.

J’avais effectué les actions nécessaires sur l’ordinateur, puis ce qui s’était ouvert sur une partie du panneau de contrôle, c’était le système d’enregistrement du propriétaire du vaisseau spatial, le capitaine.

Des lignes directrices à l’écran m’indiquaient où mettre mes mains sur le panneau d’enregistrement.

« Japonais... ? Peux-tu le lire ? Tu ne devrais pas pouvoir utiliser le japonais, » déclara la voix robotique.

En écoutant attentivement ce qu’il disait, j’avais vu que le son venait du haut-parleur dans la pièce. Il semblerait que cela ne venait pas du robot.

Il semblerait que le système central du vaisseau s’intéressait à moi.

J’avais fait une blague pour plaisanter alors que je plaçais mes mains sur le panneau de contrôle.

« Mon âme est celle d’une véritable personne japonaise. La justice pour moi, c’est le riz et la soupe miso tous les matins. Je n’en ai jamais mangé ici. — En vérité, tu ne comprends peut-être pas ce que je viens de dire. »

Cette chose ne comprendra probablement pas même si je me présentais comme une personne réincarnée. Je pensais que si je disais une telle chose aux autres, ils ne feraient qu’un sourire amer en prenant de la distance par rapport à moi.

« Âme ? Est-ce le concept de transmigration ? » demanda le vaisseau.

« Donc tu comprends ce que je dis ? C’est vrai, c’est bien ça. Du moins, je le pense, » déclarai-je en japonais.

Je m’étais senti un peu heureux d’avoir une conversation en japonais après tant de temps.

Le panneau de contrôle avait vérifié mes informations génétiques à partir de mes paumes, et l’enregistrement en tant que maître avait ainsi été fini. Puis, cela avait commencé à numériser mon corps pendant que tout mon corps était enveloppé dans une lumière rouge.

Dès que l’analyse s’était terminée, le robot m’avait posé une autre question.

« Il est confirmé à partir de tes informations génétiques qu’il y a effectivement des traces d’un individu japonais. Cependant, tu fais partie des nouveaux humains. En même temps, tu as hérité des gènes des anciens humains. Quelle perplexité ! Ce n’est pas possible, » déclara-t-il.

« Vraiment ? Mais même ainsi, le vaisseau est à moi maintenant, non ? » demandai-je.

« En effet. À partir d’aujourd’hui, ce vaisseau spatial est ta propriété. Veux-tu lui donner un nom ? » demanda le robot.

J’avais donc réfléchi pendant un moment à quoi choisir.

Le nommer n’était pas quelque chose que je pouvais faire dans le jeu.

« Je n’arrive pas à trouver un bon nom. Dans le jeu, c’était “Luxon”, » déclarai-je.

« Luxon... ce nom a été inscrit, » déclara le robot.

« Donc tu ne vas pas t’autodétruire. C’est un soulagement ! » déclarai-je.

Comme j’étais vraiment épuisé, je m’étais assis sur place après que tout ait été terminé. J’avais pu voir vaguement la pièce à travers la fumée qui avait été produite pendant la bataille.

Je tenais le fusil dans mes mains, ainsi que sa crosse en bois — la crosse de l’arme s’était détachée.

Ainsi, je ne pouvais pas l’utiliser sans devoir la réparer avant ça.

« Le cadeau de mes parents est cassé, » déclarai-je.

J’avais soupiré en regardant le plafond.

« Si tu as l’âme d’un Japonais, cela veut-il dire que tu as des souvenirs de la guerre ? » demanda le robot.

« La guerre ? Je n’ai pas de souvenir de ça. Tout d’abord, je suis né pendant une période de paix et j’y étais employé de bureau. Je n’ai aucune expérience de la guerre... Maintenant que j’y pense, ma vie antérieure était une bénédiction, » déclarai-je.

Même aujourd’hui, mon monde précédent me manque... Je veux y retourner si je peux.

La fumée s’était progressivement dissipée, probablement grâce à la ventilation de la pièce.

Il semblerait que ce que je voulais, c’était quelqu’un à qui parler de mon histoire. J’avais raconté les détails de ma réincarnation à mon partenaire IA.

« Alors, tu comprends ? Ce monde de fous est le monde d’un jeu vidéo Otome, » déclarai-je.

« Un jeu vidéo Otome ? » demanda le robot.

« C’est comme un jeu de simulation d’amour, mais pour les filles, » répondis-je.

J’avais parlé de la façon dont cela avait commencé — la période de temps d’où je venais, et comment j’en étais venu à me réincarner. Puis, j’avais parlé de la façon dont ce monde était le monde d’un jeu vidéo Otome.

« Surpris ? » lui demandai-je.

« J’ai été impressionné par tes délires. Cependant, le Japonais n’est pas quelque chose qui peut être appris à la suite de rêves. Si je devais décrire mes pensées en un seul mot, ce mot serait... intéressant, » déclara le robot.

« Je suis aussi surpris. D’ailleurs, je pense que ton existence elle-même en est la preuve. Le fait que je sache à ton sujet et que j’ai pu te trouver ici est la preuve que ce monde est un jeu, non ? » demandai-je.

« J’entends des choses absurdes de ta bouche. Pour commencer, ne devrait-il pas y en avoir d’autres qui reconnaîtraient ce monde comme un jeu ? » demanda le robot.

« Laisse les petits détails en paix. Je n’aime pas gérer les choses gênantes. Quoi qu’il en soit, je ne peux pas vraiment penser à une réponse à cette question, alors c’est une perte de temps, » déclarai-je.

Alors que j’avais continué à parler tout en étant épuisé, j’avais commencé à tousser.

Au moment où j’avais couvert ma bouche avec ma main, j’avais remarqué qu’il y avait du sang sur mon gant.

« ... Suis-je blessé quelque part ? Ce n’est pas bon. Je dois y retourner, » déclarai-je.

Alors que mon corps s’effondrait lentement, j’avais entendu une voix.

« Léon Fou Baltfault — confirmation : la vie du capitaine est dans un état critique. Transfert immédiat au cabinet médical —, » déclara la voix.

 

♥♥♥

 

Trois mois s’étaient écoulés depuis le départ de Léon.

Zola était arrivé chez les Baltfault et avait parlé de choses désagréables.

Elle entra dans l’atelier de Barcus, et dès le matin, elle les fit s’asseoir, lui et même Luce, pendant qu’elle les critiquait.

« Cette demande en mariage que j’ai pris grand soin d’arranger est ruinée, cet enfant est vraiment un idiot. Il est sorti seul et s’est fait tuer égoïstement, » déclara Zola.

Elle serra la main de Barcus en raison de sa frustration.

Lorsque l’on avait dit à Luce que son fils était peut-être mort, son humeur s’était clairement assombrie. Pour cette raison, Zola n’avait pas cessé de la tourmenter.

Elle savait ce que cela faisait à Luce et continuait ainsi à le faire.

« À ce rythme, nous devrons nous contenter du prochain fils. Même à un tel âge, il devrait être capable de rentrer dans un ménage, » déclara Zola.

Barcus l’avait alors interrompu.

« Colin ? Cet enfant n’a même pas dix ans. En plus, il est possible que Léon revienne, » déclara Barcus.

Zola avait alors ri avec mépris.

« Es-tu sérieux quand tu dis ça ? Ça fait trois mois qu’il est parti, trois mois. Ce serait étrange qu’il soit encore en vie. Oh, c’est vrai. Il est possible qu’il se soit enfui tout seul. Bon sang, c’est pour ça que les enfants nobles des campagnes sont des nuisances. Ne sait-il pas que je suis la chef des chevaliers ici ? » demanda Zola.

Les chevaliers d’Holfault juraient fidélité à une figure de proue qui leur servait de leader.

Pour les chevaliers classiques, cela serait le chef du pays.

Pour les chevaliers de service, ils juraient de son allégeance à un seigneur féodal ou au chef de leur maison, et on leur apprenait à vivre noblement et avec droiture.

L’entraînement quotidien et une vie modeste et frugale étaient considérés comme des vertus.

Il s’agissait des chevaliers honorables qui risqueraient certainement leur vie au nom de leur loyauté.

Se battre pour le bien du pays était un honneur... pour le chevalier idéal.

En termes simples, les chevaliers étaient des groupes de subordonnés commodes pour les dirigeants.

Ces dernières années, il y avait eu aussi des ordres chevaleresques avec des chevaliers qui protégeaient les femmes et mettent leur vie en danger pour elles. À l’origine, les épées et les boucliers pour protéger les citoyens impuissants étaient les chevaliers, mais la situation avait changé au fil du temps.

En voyant le visage en pleurs de Luce, Barcus s’approcha d’elle et posa une main sur son épaule. Les deux ressemblaient à un couple marié.

Cela avait irrité Zola.

Quelle insolence ! C’est moi qui ai épousé ce seigneur féodal rural ! Je ne peux pas permettre qu’un tel spectacle d’intimité se produise sous mes yeux, pensa-t-elle.

La présence de Luce, la maîtresse, la contraria profondément.

En raison de cela, elle avait été frappée par l’idée de vendre les fils et les filles de Luce à des individus de la capitale royale qui n’avaient pas de partenaire.

En premier lieu, celui qui succédera à cette maison de baron est mon fils, Lutart. Les autres enfants sont inutiles. Tous les autres peuvent être vendus pour faire place à Lutart et Merce, pensa-t-elle.

Sur quoi, une voix frénétique s’était fait entendre dans la salle.

Colin, encore immature, avait ouvert la porte de toutes ses forces et essaya de dire quelque chose à bout de souffle.

« Colin, tu devrais rester dans ta chambre. Tu n’as même pas frappé à la —, » commença son père.

Pendant que Barcus lui donnait un avertissement, Colin n’arrêtait pas d’ouvrir et de fermer la bouche en montrant la fenêtre du doigt.

Tout le monde regarda alors par la fenêtre pour voir une ombre qui pouvait bloquer le soleil.

Quand Barcus avait ouvert la fenêtre pour regarder dehors avec inquiétude — .

« Quel genre de vaisseau est-ce ? » demanda Barcus.

Il y avait un dirigeable géant qui s’était arrêté au-dessus de la résidence.

Zola avait reculé.

« Pourquoi ? Quel genre de vaisseau !? » s’écria Zola.

Il y avait une panique quant à savoir si c’était un pirate des cieux, d’un fief, ou un dirigeable d’un autre royaume venant pour attaquer. Cependant, si c’était le cas, il y avait quelque chose de bizarre dans cette situation.

D’un grand dirigeable, un plus petit, d’une vingtaine de mètres, était descendu.

La silhouette de Léon y était visible.

Le dirigeable transportait une montagne de trésors d’or et d’argent, une quantité incroyable même à une certaine distance.

Léon s’était posé dans le jardin de la résidence et avait agité la main.

 

 

« Père ! Je suis revenu comme promis. Jette donc un coup d’œil à ce trésor ! » déclara Léon.

Léon éclata de rire devant la montagne contenant de l’or, de l’argent et des bijoux. La valeur exacte ne pourrait pas être calculée, mais si c’était la totalité de ce qu’il avait, alors ce serait certainement déjà une somme d’argent impensable.

Luce s’était effondrée en pleurant sur place.

« Mon enfant, qui revient soudainement après n’avoir eu aucun contact avec nous... quel soulagement ! » Elle souriait en étant heureuse ou triste.

Barcus se précipita hors de la pièce dans la confusion et se dirigea vers Léon.

Zola avait gardé un œil depuis la fenêtre sur le trésor que Léon avait.

Sur quoi Léon affichait un sourire triomphant. Il avait fait face à Zola et avait prononcé les mots. « J’ai gagné. »

Zola avait fait une expression de désagrément tout en s’agrippant fortement au rebord de la fenêtre.

« C-Ce stupide morveux... ! » déclara Zola.

Une fois que Barcus avait atteint Léon, il l’embrassa en pleurant. Il pleurait de joie en le traitant d’idiot.

Zola s’irrita et sortit de la pièce.

Eh bien, c’est très bien. Ce n’est pas mal si je pense que ce trésor deviendra le mien. Je vais le faire travailler pour moi à partir de maintenant. Je prendrai tous ces gains. C’est moi qui aurai le dernier mot, pensa Zola.

Quand Zola avait quitté le couloir, elle avait rencontré un serviteur elfe qui l’attendait et elle était partie avec lui

 

♥♥♥

 

J’avais fait apparaître un sourire devant Zola pendant qu’elle faisait une tête amère.

Non seulement j’avais apporté un trésor, mais un vaisseau spatial — euh, un dirigeable. Quand elle s’était rendu compte que c’était le mien, elle était vite venue pour essayer de me le prendre, mais avant cela, j’avais donné un argument solide pour la faire taire.

« Le contrat entre vous et mon père n’a aucun rapport avec moi. Depuis que j’ai quinze ans, et donc un adulte, j’ai complété mon inscription en tant qu’aventurier. Voyez-vous où je veux en venir ? Le trésor que je trouve est ma propriété, et non celle de mon père, » déclarai-je.

Mon père allait dire quelque chose, mais ma mère l’avait arrêté.

Zola avait néanmoins répondu. « C’est le trésor que tu as gagné avec l’argent de tes parents ! Qu’est-ce que tu fais à la montrer comme si c’était le tien !? »

J’avais répondu calmement.

La connaissant, j’avais eu l’intuition qu’elle dirait quelque chose comme ça.

Dans le Royaume de Holfault, il existait une loi très stricte sur la propriété des trésors obtenus par les aventuriers.

C’était dû au fait que ce pays avait été fondé par des aventuriers.

« Je suis d’accord pour être insulté par mes parents, mais pas par vous. Oh, vous pouvez prendre ça, » déclarai-je.

Je lui avais donné une valise de lingots d’or en souriant.

J’avais un énorme trésor derrière moi, mais ce que j’avais donné à Zola n’était en vérité qu’une infime partie de ce qui était visible. Dans tous les cas, obtenir ces lingots d’or, c’était déjà beaucoup d’argent en soi, mais elle n’en était pas du tout reconnaissante.

Sachant cela, j’avais consciemment mis les trésors à l’arrière.

Zola n’avait pas abandonné.

« C-Comment une telle logique bâclée comme ça va suffire !? Ce trésor sera sous le contrôle de Barcus de toute façon, non ? Dans ce cas, c’est la propriété de la famille Baltfault. J’ai le droit de le posséder ! » déclara Zola.

J’avais haussé les épaules.

Puis j’avais parlé d’une chose dont j’avais déjà parlé avec Luxon.

« Vous parlez de devenir la propriété de cette maison, n’est-ce pas ? Comme je suis déjà un adulte, je suis un aventurier indépendant. Vous ne savez peut-être pas que je peux gérer ma propre propriété maintenant ? Bien que, il est vrai, j’ai besoin de contribuer à ma maison, n’est-ce pas ? Donc, j’ai pensé à investir des actifs dans le territoire. Ne pensez-vous pas que ce serait une bonne cause pour l’entretien du port ou quelque chose du genre ? »

C’était agréable de voir Zola plisser ses sourcils et me regarder de travers.

Si je transférais simplement de l’argent ou un bien à ma famille, Zola aurait certainement le droit de la prendre. Cependant, si c’était moi qui contrôlais l’argent et que je l’investis — un investissement dans le développement du territoire, ce n’était pas quelque chose qu’elle pouvait prendre.

Elle ne pouvait pas arracher une partie d’une route ou d’un port construit et l’emporter avec elle.

Comprenant peut-être qu’elle était désavantagée, Zola se retira.

Elle avait pris son amant elfe et retourna dans sa chambre dans le manoir.

J’avais rugi de rire en la regardant de dos.

Mon père m’avait frappé dans le dos.

« Idiot. Tu es allé trop loin. Qu’essayes-tu de faire en la provoquant ? » demanda mon père.

« Cette femme essayait de me vendre à une vieille perverse. Je pense que je devrais être excusé pour tout ça. Bref, que pensez-vous de cette montagne de trésors ? Incroyable, n’est-ce pas ? » demandai-je.

Mes parents étaient certainement étonnés de voir tout le trésor que j’avais accumulé.

« Eh bien, c’est vraiment incroyable. Cependant, l’as-tu signalé à la guilde ? » demanda mon père.

J’avais hoché la tête et j’expliquais ce que j’avais fait.

La Guilde des Aventuriers était un établissement officiel du pays, donc bien qu’on l’appelle une guilde, ce n’était pas vraiment une organisation indépendante.

Il semblerait qu’ils avaient décidé d’appeler ça une guilde dans le passé. Ce terme classique était troublant dans un tel contexte.

« Bien sûr que oui. Mais à cause de cela, le pays en a pris une partie, » déclarai-je.

Sur les vingt pour cent de la fortune que je leur avais présentée, le pays en avait pris trente pour cent.

Cependant, le trésor restant était totalement à moi.

« Je te rachèterai un nouveau bateau à la place de celui que j’ai cassé. Je pourrais peut-être t’envoyer un dirigeable en cadeau, » déclarai-je.

Ma mère était un peu étonnée devant ma somptueuse attitude.

« Toi, ne songes-tu pas à en garder pour l’avenir ? Avec ça, tu peux être indépendant, » déclara ma mère.

Après qu’elle m’ait dit cela, je m’étais redressé et j’avais regardé mes deux parents.

« En fait, il y a quelque chose dont je dois vous parler, » déclarai-je.

J’avais après ça parlé avec mes parents de ce qui se passerait par la suite.

+++

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

3 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre! Super le retournement de situation, j’imagine bien la tête de Zola.

  2. Yay ! Merci pour le chap ^^

  3. Merci pour le chapitre !

Laisser un commentaire