Chapitre 3 : Test d’allégeance
Une abondance des regards s’était dirigée vers moi. Le marchand de légumes, le chasseur, mon voisin, tout le monde me regardait.
De plus, ce n’était pas comme d’habitude des regards familiers, mais des regards qui me méprisaient. Ce n’étaient pas des regards qui étaient dirigés vers un être humain.
J’étais abasourdi et je regardais les villageois quand mes cheveux furent tirés vers l’arrière et qu’on me forçait à lever la tête. Ensuite, le gars debout à côté de moi. Je pensais bien l’avoir déjà vu, c’était le prêtre qui m’avait donné l’oracle.
« Je pense que tout le monde en a déjà entendu parler, mais ce type possède l’aptitude d’un démon ! Celui qu’on appelle “Sorcier des ténèbres”, le même pouvoir qu’une personne vexatoire qui avait déjà jeté ses crocs sur le Royaume Saint ! »
Les villageois commençaient à faire du bruit face aux paroles du prêtre. Il avait jeté ses crocs sur le Royaume Saint ? De qui parlait-il exactement ? Je n’avais jamais entendu parler d’un tel récit dans les livres d’histoires.
« Le grand prêtre de l’époque l’a d’une manière ou d’une autre vaincu, mais le Royaume Sacré a eu un grand nombre de victimes. Dans cette mesure, le sorcier des ténèbres avait un immense pouvoir. Contrôlant les esprits morts, contrôlant les cadavres, le Sorcier des Ténèbres avait frappé le royaume avec une armée de morts. Si une personne est vaincue, le vaincu devenait un subordonné du sorcier des ténèbres et nous assaillait, il assaillait avec une méthode si atroce. »
Le prêtre poursuivit son discours qui n’avait aucun sens. Mais, les villageois croyaient aux paroles du prêtre sans penser à sa véracité et tournaient leurs regards pleins d’animosité vers moi.
« Afin d’exterminer le démon aussi vite que possible, grâce à notre déesse Fistoria, nous sommes dotés du pouvoir de l’oracle. Le résultat de cela est comme vous le voyez, nous avons pu le débusquer. »
Le prêtre criait d’un ton exagéré. Il y avait un tel but dans l’oracle. Les villageois soulevaient des voix d’étonnement. Mais au-dessus de ça, la chose dont ils sont étonnés était la suivante.
« Bien sûr, ce démon ne peut pas être laissé vivant, mais ce village qui l’a caché est également coupable du même crime ! »
C’était ce que le prêtre avait dit. Les villageois qui l’avaient entendu commencèrent à crier que cela n’avait aucun rapport avec eux. Mais, les soldats qui étaient venus aux côtés du prêtre commencèrent à dégainer leurs épées dès que les villageois criaient.
« Veu, veuillez patienter ! Nous ne savions pas qu’il était un tel démon ! S’il vous plaît, croyez-nous ! »
Le chef du village qui était terrifié commença à mendier pour sa vie avec sa tête sur le sol. Les villageois autour commencèrent aussi à faire de même. Le prêtre voyant cela avait fait apparaître sur son visage un sourire dégoûtant.
« Alors, donnez-moi la preuve que vous n’êtes pas lié à ce type ! Chaque personne devra une fois le poignarder avec ce couteau, n’importe où sur lui. Si vous le faites, alors votre vie sera épargnée ! »
... Q, que dit cette personne ? Je ne pouvais pas le croire. Cependant, quelque chose d’encore plus incroyable était arrivé. Autrement dit, le chef du village avait ramassé le couteau qui était sur le sol.
Puis, il tituba vers moi alors qu’il murmurait quelque chose.
« ... V, vous plaisantez. Ch-Chef, hein, vous n’allez pas vraiment me poignarder, n’est-ce pas ? »
« Pas de chance, Hardt. Nous ne voulons pas mourir. C’est pourquoi tu seras notre sacrifice. C’est bon, n’est-ce pas ? Parce que tu es un démon, alors tout est dans les règles. »
... Je n’avais pas compris ce qui se disait. Non, j’avais bien entendu les mots, mais mon cœur, mon cerveau ne voulait pas comprendre.
« Ce n’est pas de ma faute. » « C’est un démon alors ça va, même s’il est poignardé », marmonnait le chef du village. De mon point de vue, les villageois semblaient être des démons.
Ensuite, le couteau avait été abaissé. Le couteau qui avait été basculé sans hésitation poignarda dans ma jambe gauche. Une douleur intense traversa mon cerveau en un instant, un cri d’une voix incompréhensible était sorti de ma bouche. C’était au point où je doutais que ce soit ma propre voix.
Choqué par ma voix hurlante, le chef du village tira le couteau à la hâte. Au moment où le couteau avait été retiré, une personne qui était venue avec le prêtre guérissait l’endroit qui avait été poignardé.
Encore une fois, j’étais assez guéri pour que je ne puisse pas mourir. Vu ce qu’ils faisaient, il valait mieux qu’ils me tuent instantanément.
Après que le chef du village m’ait poignardé, les villageois perdirent à leur tour leur hésitation. Peu importe que ce fût un adulte ou un enfant. Tous ceux qui vivaient dans ce village m’avaient enfoncé le couteau.
Je ne savais même pas combien de fois j’avais été poignardé. Je criais quand j’étais poignardé, comme quand j’étais enfermé, peu importe combien de fois je criais ou appelais à l’aide, personne ne s’arrêtait, personne ne me sauvait.
Mes doigts avaient été coupés, les oreilles avaient été coupées, j’étais poignardé plusieurs fois au même endroit, les seuls endroits qui n’avaient pas encore été coupés étaient mes yeux et ma langue.
La raison pour laquelle ils n’avaient pas écrasé mes yeux était de me faire prendre conscience de mon crime. J’avais juste reçu l’oracle qui donnait l’occupation et c’était tout, quel crime dites-vous exactement que j’avais fait.
Le sol était teint en rouge de mon sang, au point où il y en avait des flaques. Après avoir été poignardé par des centaines de personnes, je ne ressentais plus de douleur. J’avais même le sang-froid pour penser au fait que je n’étais toujours pas mort après tout ça.
De plus, les gars devant moi ne semblaient plus être des humains. Ils apparaissent comme des démons qui étaient encore pires qu’eux.
« Avec ceci, est-ce presque fini ? Ensuite, vous aussi. »
Après que le prêtre avait dit quelque chose, quelqu’un avait été amené. Naturellement, ils étaient des visages dont je me souvenais. C’étaient les visages de mes amis d’enfance. Les uns me montraient du doigt en criant quelque chose, mais comme j’avais mes deux oreilles coupées je ne pouvais rien entendre.
Le gars qui avait ramassé le couteau tombé pendant ce temps, Lig était debout devant moi. Puis, un sourire dégoûtant qui était inimaginable de Lig jusqu’à maintenant flotta jusqu’à son visage quand nos yeux s’étaient rencontrés. Comme s’il attendait avec impatience ce moment.
Lig balança le couteau avec le sourire sur mon visage. Le couteau qui avait été abaissé s’enfonça dans mon œil droit.
Une douleur incomparable à tout ce que j’avais ressenti traversa tout mon visage. Mais plus que cela, la colère et la haine envers Lig étaient encore plus fortes. Es-tu si heureux que je meure ? Donc, tellement content !
Je me demandais si ma colère et ma haine avaient été transmises, Lig frissonna et tira le couteau avec force. Mon œil droit débordait de sang, mais je regardais Lig sans y penser.
La colère avait été éclatée quand j’avais été poignardé par les villageois, mais, une colère et une haine incomparables s’étaient élevées contre Lig.
Comme prévu, parce qu’ils étaient des amis d’enfance, profondément ancré dans mon cœur, c’était la raison pour laquelle il y avait une partie de moi qui avait de l’espoir. Même maintenant, j’étais énervé contre moi-même, moi qui avais eu ce petit espoir.
Puis, Lig passa le couteau à celle qui devait être la suivante, Stella.
Merci pour le chapitre.
Là on se demande qui est le démon…
Merci pour le chapitre!
Ce novel est génial c’est tellement drama!!
mais c’est pas l »gal une fin comme ça comment tu veux que je tienne jusque la prochaine fois ?? XD
Merci pour le chapitre
Merci pour le chapitre et bonne continuation!
les villagoies vont tous prendre cher !
Merci pour le chapitre hâte de la suite
Merci pour le chapitre
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