Le garçon qui voulait se venger du monde – Tome 1 – Chapitre 18

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Chapitre 18 : L’histoire d’un certain aventurier (1)

« Une enquête sur les monstres de type morts-vivants, n’est-ce pas ? »

« Ee. Il semblerait qu’ils augmentent dans ce territoire récemment, la demande du seigneur féodal consisterait en une investigation sur la cause ainsi que l’élimination de la cause si possible. »

« Je vois, c’est pourquoi nous avons été appelés. Cette équipe est aussi de la partie. »

Lynk déclara ça en me regardant. Tout le monde regardait aussi. C’était un peu embarrassant.

« Avec la sœur d’une église de Fistoria qui peut utiliser la magie de lumière, je pensais que ça irait si ce sont les gars qui sont maintenant l’espoir de cette guilde. Alors, accepteras-tu ? »

« Bien sûr ! Laissez-le-nous ! »

Lynk avait dit cela et, « Don ! », il frappa sa propre poitrine. À cette image, Gand, qui était le guerrier lourd de l’équipe avait dit « Encore », et soupira. Marie, qui était la magicienne, attrapa Lynk.

La raison était qu’il décidait seul, sans nous consulter, comme tout à l’heure. À cause de cela, nous avions vécu de nombreuses situations dangereuses.

« Quoi ? Ça va ! Ça va aller Marie ! C’est juste une enquête donc ce n’est pas si dangereux ! »

« Toi ! Te souviens-tu de ce qui s’est passé la dernière fois que tu avais dit ça ? Nous avons presque été mangés par une plante carnivore, tu sais !? »

Marie tremblait et secouait la tête de Lynk. Les environs disaient « Encore huh » en rigolant. Nous devions bientôt y mettre un terme.

« Marie, laissons cela de côté. De plus, Lynk y a également réfléchi. D’ailleurs, cette demande n’est-elle pas la plus convenable pour nous ? Je peux réprimer les mouvements des morts-vivants avec ma magie sacrée, Gand me protégera. Si Marie les attaque avec de la magie quand leurs mouvements sont lents. »

« ... C’est vrai. Si tu y penses de cette façon, cela pourrait être moins dangereux que ce que nous avons vécu jusqu’à maintenant. J’ai compris. Nous l’accepterons. »

Puis, pendant que nous faisons la procédure, Lynk qui se rendait compte qu’il avait été laissé de côté fut triste. J’y avais mis un terme, mais je ne l’avais pas pardonné. Bien, bien que je sois reconnaissant à Lynk qui chargeait toujours en premier et se battait.

« ... D’accord, rassemblons-nous et partons, les gars ! »

... Avec son humeur actuelle, ce serait génial si ce n’était pas cependant un effort infructueux.

◇ ◇ ◇

(NdT : C’est Mylène qui parle à partir de là)

« ... Voici, le dernier endroit, hein. »

« C’est vrai. C’est l’une des nombreuses villes portuaires du Royaume de Mestoa, Flink. Il semblerait que cet endroit ait été attaqué par des monstres de type morts-vivants deux semaines auparavant. Les soldats les avaient vaincus d’une manière ou d’une autre, mais un certain nombre de personnes ont été impliquées dedans. »

Marie montra ses papiers d’identité, c’était sa carte de guilde, tout en parlant au garde de la porte. En effet, les gardes de la porte qui s’en occupaient avaient aussi ce regard quelque peu épuisé.

C’était deux semaines après le début de cette enquête, le jour même où nous avions commencé à enquêter, il semblerait que cette ville avait été attaquée par des morts-vivants. Parce que nous nous étions dirigés vers des villages différents pendant cette période, nous étions en retard.

Après que nous soyons rentrés dans la ville, nous avions à peine aperçu quelqu’un. De plus, les traces des batailles étaient présentes ici et là.

« C’est terrible, hein. Nous devons nous dépêcher et faire quelque chose. »

« C’est vrai. Eh bien, il n’y a pas de quoi s’inquiéter, car je suis là. »

Encore une fois, en train de dire des trucs bizarres. Marie t’ignorait déjà. J’avais décidé d’emboîter le pas de Marie tout en allant de l’avant. Commençons par la guilde de cette ville et recueillons des informations. En y réfléchissant, au moment où j’avais franchi la porte.

« Uu !? »

... Q-Qu’est-ce que c’est ? Ma poitrine me faisait mal. Avec moi qui étais soudainement tombée sur mes genoux en me serrant la poitrine, tout le monde criait, mais peu à peu ma conscience était...

◇ ◇ ◇

« ... Un problème ? »

« Ah, tu t’es réveillé, Mylène »

Quand je bougeais mon visage, je vis Marie assise sur le côté. Ici... cela semblait être une auberge d’un village. Je soulevais lentement mon corps et Marie me remit un récipient contenant de l’eau.

« Je t’en remercie. Eh bien, je... »

« Mylène, tu as soudainement souffert après avoir franchi la porte de cette ville. Nous ne pouvons rien faire alors nous t’avons amenée dans la loge pour le moment. Un médecin t’a examinée, mais le médecin te dit que tout irait bien si tu te reposais. Te sens-tu vraiment bien ? »

Marie regardait mon visage avec un regard inquiet. Est-ce que je lui avais causé autant d’inquiétude ? Quand j’avais hoché la tête, peut-être que Marie s’était aussi détendue, car elle avait bu de sa boisson.

Mais, je me demandais quel était ce resserrement dans ma poitrine. C’était vraiment arrivé soudainement et sans raison. Ce serait génial si ce n’était rien...

« Cela me fait penser, où est le groupe de Lynk ? »

« Nn? Le groupe de Lynk est allé se renseigner à propos de l’affaire concernant les morts-vivants qui attaquent. Cet idiot, je l’ai frappé parce qu’il a essayé d’entrer dans la chambre d’une dame sans aucune retenue. »

« ... Haha ! S’il te plaît, fait en sorte qu’il soit modéré. »

« Ça va dépendre de lui »

Je riais quand Marie avait dit ça. Nous discutions toutes les deux après cela et un coup avait retenti à la porte. Quand Marie l’ouvrit, des voix pouvaient être entendues. Il semblerait que les deux autres soient rentrés.

« Mylène, le groupe de Lynk est revenu, ils veulent parler des fruits de leur travail, mais est-ce que ça va ? »

« Eh, c’est bon »

Je hochais la tête, alors Marie amena le groupe de Lynk, et ils entrèrent dans la pièce.

« Oh, tu n’as pas l’air énergique. »

« Je suis content que tu sois réveillée. »

« Toutes mes excuses pour vous avoir fait du souci. »

Alors que je baissais la tête, les deux avaient ri tout en me pardonnant. Fufu, c’était une bonne équipe, comme je le pensais.

« Maintenant, puisque tout le monde est rassemblé, parlons. Selon notre discussion, les mouvements à partir de maintenant peuvent changer. »

Dans tous les cas, ce serait génial s’ils avaient trouvé des informations qui seraient des indices pour résoudre ce problème.

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Un commentaire :

  1. Merci pour le chapitre

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