Chapitre 3 : S’impliquer avec les affaires des Chevaliers Angéliques est une immense calamité !
Partie 3
« Raphaël Hyurandell... ! » En renversant sa chaise, Barbatos s’était levé. Et sans lui faire le moindre regard, le Chevalier Angélique au visage portant une cicatrice regarda Zagan droit dans les yeux.
Est-il venu me prendre la tête tout d’un coup ? La puissance de l’Épée Sacrée était gênante, mais il était vaniteux de penser qu’une seule épée pouvait à elle seule abattre un Archidémon. Si c’était un tel imbécile, il n’aurait pas vécu si longtemps.
Tandis que Zagan plissait ses sourcils, incapable de comprendre le but du Chevalier Angélique, Barbatos fit entendre une voix tremblante.
« E-Espèce de fils de pute, qu’est-ce que tu fais là !? »
Le Chevalier Angélique au visage cicatrisé s’était finalement tourné vers Barbatos. Et tandis qu’il le faisait, un sourire s’était formé sur son visage brusque qui ressemblait à une surface rocheuse. Face à cette expression diabolique, la fille malchanceuse du propriétaire du bar, qui était derrière Barbatos, avait poussé un cri avant de s’évanouir.
Même s’il ne l’avait pas directement regardée, son regard avait une telle puissance en lui. Et face à ce sourire, qui faisait déjà ressentir une pression physique, Barbatos s’était résolu en rugissant.
« U-UOOOOOOH, je vais le faire, putain ! » La lumière du mana avait jailli dans les deux mains de Barbatos, et le Chevalier Angélique au visage cicatrisé posa également sa main sur la poignée de l’Épée Sacrée à son dos.
« Arrête ça, Barbatos, » déclara Zagan en posant son verre sur la table avec un bruit. Et dès qu’il l’avait fait, le mana qui sortait des mains de Barbatos s’était volatilisé. Ce n’était pas comme s’il s’était arrêté. Non, Zagan l’avait « dévorée ».
Après cela, Zagan agita légèrement le doigt en l’air et la chaise que Barbatos avait renversée revint à sa position initiale.
« Eh bien, va t’asseoir. La saveur de l’eau-de-vie se dégrade, » déclara Zagan.
« Pourquoi le prends-tu si calmement !? Prévois-tu de te faire tuer sans te défendre ? » demanda Barbatos.
En réponse aux hurlements de Barbatos comme si sa peur s’était transformée en colère, Zagan secoua la tête comme si c’était tout simplement trop gênant.
« Ce type-là... ne semble pas vraiment vouloir se battre, tu sais ? » déclara Zagan.
« C’est quoi ce bordel ? Il a sa main sur son épée, n’est-ce pas !? » s’écria Barbatos.
« N’est-ce pas parce que tu voulais te battre ? » demanda Zagan.
Après que Barbatos eut commencé à invoquer la sorcellerie, le Chevalier Angélique au visage cicatrisé avait saisi son épée. Et Zagan n’avait pas négligé ce fait.
En plus, je ne ressentais aucune soif de sang ou hostilité venant de lui.
Néphy et Foll ne se spécialisaient pas vraiment dans l’expression des émotions. Non, dans le cas de Foll, plutôt que de ne pas exprimer ses émotions, elle ne parlait tout simplement pas assez. C’est pourquoi cette méthode de détection des intentions lui était connue. En tout cas, il y avait beaucoup de choses qu’on ne pouvait pas savoir qu’en regardant leurs visages.
C’est pourquoi, lorsqu’il s’agissait de ce qu’elles pensaient et de ce qu’elles voulaient qu’il fasse, Zagan avait fini par prendre l’habitude de détecter les subtilités des émotions en les observant et en assimilant ces choses.
Le Chevalier Angélique au visage cicatrisé avait alors fait un sourire qui ressemblait à une crevasse dans la Terre.
« L’Archidémon cette fois-ci... est tout à fait calme. Je vois, » déclara le chevalier.
« Un Archidémon ne fera pas de brouhaha sur chaque petite chose, » répliqua Zagan.
Bien que le fait de ne pas ressentir d’hostilité d’une telle horreur soit tout à fait étrange en soi, Zagan avait été incapable de cacher sa perplexité.
Finalement, Zagan regarda la chaise qu’il avait relevée avec la sorcellerie. Il semblait que dans une telle situation, Barbatos n’avait pas l’intention de se remettre à boire, et même après que le Chevalier Angélique eut lâché son épée, Barbatos ne voulait pas reprendre sa place.
« Il semble que nous ayons un siège vide. Veux-tu te joindre à nous ? » demanda Zagan.
« Hooo... Quel homme amusant ! » déclara Raphaël.
Le Chevalier Angélique s’était alors assis sur le siège en face de Zagan. Barbatos s’était déplacé plus loin comme pour l’éviter.
C’est plutôt toi qui devrais parler ici. Je n’ai rien à dire à cet homme au visage de pierre, tu sais ? Zagan avait fini par dire à l’homme de s’asseoir en suivant le rythme, mais il n’avait pas vraiment d’objectif en tête.
Ou plutôt, comme son temps avec Néphy était définitivement perdu, il voulait au moins profiter d’un peu d’alcool. Mais malgré cela, Barbatos avait reculé comme s’il disait qu’il voulait être excusé de s’impliquer dans quoi que ce soit. Au contraire...
« Merde, pourquoi un sorcier comme moi doit traverser ces conneries ? » murmura Barbatos.
« M. le s-sorcier, pourriez-vous sauver ma fille ? » demanda le barman.
« Comme si je pouvais le faire. La sorcellerie de soins est en dehors de mon domaine d’expertise, mais je ferai au moins ce que je peux, » déclara Barbatos.
« Oooh... J’aurais dû m’y attendre de la part de l’assistant de Maître Zagan, » déclara le barman.
« Je ne suis pas un putain d’assistant ! » Tout en maudissant l’homme qui semblait être le propriétaire du bar, il commença à prodiguer des soins à la fille qui s’était évanouie. Cependant, puisqu’elle avait seulement perdu connaissance, Zagan ne pensait pas qu’il était nécessaire d’aller jusqu’à utiliser la sorcellerie.
Je veux aussi y aller, mais..., la femme à qui Zagan avait donné son cœur n’était autre que Néphy, mais lorsqu’il s’était agi de choisir entre cet homme au visage de pierre et la fille du propriétaire, il n’était même pas nécessaire de dire avec qui il préférait être coincé.
Cela dit, rien ne serait accompli si l’on fixait constamment Barbatos du regard. Et ainsi, Zagan s’était finalement retourné pour faire face au Chevalier Angélique.
« Alors, qu’est-ce que tu me veux, tueur de dragons ? » demanda Zagan.
« C’est Raphaël, » répondit-il en versant de l’eau-de-vie dans un verre au moment où il l’avait fait. Sa main était énorme au point que la bouteille ressemblait pour lui à une miniature.
« J’ai entendu dire que mes camarades te sont redevables, alors je suis venu jeter un coup d’œil à ton visage, » déclara Raphaël.
Il parlait probablement de Chastille, ce qui avait fait hausser les épaules de Zagan comme si ce n’était pas grand-chose.
« Mon visage n’est rien comparé au tien, n’est-ce pas ? » déclara Zagan.
« Fuhahaha, même toi, tu as le visage maléfique, comme ces putains de rumeurs l’ont dit, n’est-ce pas ? » déclara Raphaël.
Zagan était conscient de ses traits méchants, alors il se sentait un peu déprimé. Pourtant, comme s’il l’avait balayé, il avait reposé son verre.
« J’ai entendu dire que c’est ton hobby de tuer les sorciers. Alors est-ce bien de reporter ça pour aujourd’hui ? Il y a deux sorciers sous tes yeux, » déclara Zagan.
La jeune fille semblait aller bien mieux maintenant, alors Zagan posa cette question à Raphaël pour éviter que son ami indésirable ne s’en aille rapidement. Barbatos, qui était sur le point de poser la main sur la porte, le regarda d’un air renfrogné.
Après que Raphaël eut terminé l’eau-de-vie dans son verre en une seule gorgée, il fit éclater un rire chaleureux.
« Sans valeur. Tout ce que j’ai fait, c’est de me débarrasser des flammèches qui tombaient devant moi, mais ceux qui m’entouraient ont jugé bon d’en faire un gros tapage, » déclara Raphaël.
Zagan avait alors incliné sa tête sur le côté avec curiosité.
D’une certaine façon, il est différent de ce que disait Barbatos. C’était un maniaque meurtrier qui avait tué près de 500 sorciers, du moins selon les rumeurs. À cause de cela, Zagan était prêt à l’écraser avec joie, mais de façon inattendue, ils partageaient une conversation ordinaire.
Peut-être était-il venu pour évaluer les capacités de Zagan ? Et alors que Zagan avait compris cette idée et qu’il avait bu une gorgée de son verre, c’était Raphaël qui avait ouvert la bouche pour parler.
« Il semble que tu aies eu une altercation avec Chastille, non ? Pourquoi ne l’as-tu pas tuée ? » demanda Raphaël.
Percevant une sorte d’inconfort dans les mots du Chevalier Angélique, Zagan avait plissé ses sourcils.
« Tu dis ça comme si elle n’avait aucune chance de gagner, Hmm ? » déclara Zagan.
Chastille n’était peut-être pas de taille face à lui, mais leur fierté en tant que porteurs d’Épées Sacrées n’aurait pas dû leur permettre de parler comme s’ils ne pouvaient pas gagner contre un sorcier. Zagan à l’époque n’était pas non plus encore un Archidémon.
Cependant, Raphaël se contenta d’émettre un « Hmph » en guise de réponse.
« Alors, laisse-moi te demander en retour si elle était assez forte pour rivaliser avec un bâtard comme toi, » demanda Raphaël.
« Qui sait... ? Cependant, elle était la plus forte parmi les humains que j’ai rencontrés jusqu’à présent. Je suis au moins sûr de ça, » déclara Zagan.
Bien sûr, même Barbatos avait réussi à la capturer, mais Zagan n’avait pas encore vu Chastille brandir sérieusement son épée. Zagan avait déjà affronté les deux individus auparavant, et il doutait donc que Barbatos puisse gagner s’ils se battaient tous les deux de front.
Après avoir reçu cette réponse, Raphaël avait plissé les yeux comme une lame.
« Je vois. Alors ça veut dire qu’elle est devenue une menace suffisante pour l’Église, n’est-ce pas ? » déclara Raphaël.
« Euh... ? Je ne vois pas où tu veux en venir avec ça... Qu’est-ce que tu racontes ? » demanda Zagan.
Zagan avait l’impression qu’il disait que Chastille était une ennemie de l’Église. En entendant la confusion de Zagan, le visage de Raphaël, qui ressemblait à celui d’un homme de pierre, s’était transformé une fois de plus en un sourire.
« Elle a soulevé une objection face à l’assujettissement d’un Archidémon. C’est plus qu’une raison suffisante pour que l’Église décide de son exécution. Ils sont même allés jusqu’à révoquer son Épée Sacrée avec un sort... Une décision stupide, je dois le dire. Tant que le porteur d’une Épée Sacrée restera en vie, le prochain Chevalier Angélique ne pourra pas leur succéder, » déclara Raphaël.
En entendant ça, Zagan avait écarquillé les yeux.
Cette fille est trop honnête ! Il aurait été acceptable qu’elle se contente de se mettre au pas vis-à-vis de ce que font ceux qui l’entourent, et pourtant, il semble qu’elle se soit révoltée d’une manière éhontée et insensée. En plus de ça, elle avait couvert Zagan.
Avec la tête dans les mains, Zagan poussa un profond soupir.
« ... Je ne pense pas qu’elle soit du genre à vivre longtemps, » déclara Raphaël.
« Ouais, c’est vrai. Je l’ai même avertie, mais elle ne m’a pas écoutée, » déclara Zagan.
Raphaël parlait comme s’il avait pitié d’elle. Et en réponse, Zagan ouvrit grand les yeux alors qu’une pensée inattendue lui traversait l’esprit.
Ce type a-t-il l’intention de tuer Chastille ? S’il était dit que son hobby était de tuer des sorciers, alors il allait de soi qu’il exécuterait aussi volontiers des Chevaliers Angéliques qui couvriraient des sorciers.
Zagan avait l’impression qu’il avait enfin compris la raison pour laquelle il ne ressentait aucune soif de sang de sa part.
Il est donc venu ici pour vérifier le lien entre moi et Chastille ? En d’autres termes, il cherchait une justification pour tuer Chastille.
Celui qui lui était lié n’était pas Zagan, mais Néphy. Cependant, il ne serait pas étrange de prendre la déclaration tout à l’heure comme s’il l’était.
Il m’a eu. Zagan a poussé un grognement quand il s’était rendu compte qu’il avait été joué. Et à ce moment précis, Raphaël se leva.
« Maintenant, je n’ai plus rien à faire avec toi. Je vais prendre congé, » déclara Raphaël.
« ... Attends, » murmura Zagan, bien conscient que sa voix était devenue froide.
« As-tu besoin de quelque chose ? » déclara Raphaël en se retournant, avec un regard qui montrait clairement qu’il couperait Zagan s’il faisait ne serait-ce qu’un seul mauvais choix dans ses mots.
« Chastille semble être assez bien aimée dans cette ville. Elle a beaucoup d’amis ici aussi. Beaucoup seront ceux qui pleureraient sa mort, je te l’assure, » déclara Zagan.
Néphy et Manuela seraient certainement jetées dans les profondeurs du désespoir. C’est pourquoi Zagan l’avait informé de ce fait d’une manière autoritaire.
« Cette ville est mon domaine. Si tu vas trop loin en faisant ce que tu veux, je t’écraserai et je te ferais bouffer le pissenlit par la racine, compris ? » déclara Zagan.
Peu importait qu’elle fasse partie de l’Église ou qu’elle soit un Chevalier Angélique. Tant que Chastille vivait à Kianoides, elle était la propriété de Zagan. Et si cet homme disait qu’il la tuerait délibérément, alors Zagan l’écraserait. C’est aussi simple que ça. C’était ce que cela signifiait d’être sous la protection de Zagan.
Les deux raisons pour lesquelles il ne l’avait pas fait tout de suite étaient qu’il y avait une montagne de « citoyens qui pouvaient servir de boucliers » autour d’eux, et aussi parce qu’il était encore en train de boire un verre. Si le bar était détruit, il pouvait le réparer avec de la sorcellerie, mais il savait qu’il était difficile de réparer les gens.
Cependant, c’était simplement une raison pour laquelle il ne voulait pas se battre, et ce n’était pas une raison pour laquelle il ne pouvait pas se battre.
C’est chiant d’éviter les boucliers tout en le frappant...
Ayant peut-être compris ce que Zagan voulait dire, Raphaël ouvrit les yeux comme s’il trouvait ses actions plutôt inattendues.
« Ça ne ressemble pas à ce que dirait un Archidémon, n’est-ce pas ? » déclara Raphaël.
« C’est précisément parce que je suis un Archidémon que je suis arrogant, » déclara Zagan.
Et alors qu’il répondait avec tant d’arrogance, Raphaël laissa sortir un éclat de rire chaleureux.
« Hahahaha, comme je le pensais, tu es exactement le genre d’homme que j’espérais que tu serais. C’est exactement ça. Le “mal” que l’Église doit exterminer, » déclara Raphaël.
Ce qu’il avait senti venant de Raphaël n’était pas la soif de sang, mais l’exaltation.
Ce qui veut dire qu’il ne pense pas que les sorciers sont même des personnes, hein ?
À ses yeux, c’était la même chose que de chasser. Après tout, quand on chassait les bêtes, on n’avait ni soif de sang ni hostilité. Ces personnes-là n’étaient excitées que par le meurtre en lui-même.
Et alors que Raphaël affichait un sourire qui semblait défier Zagan, il avait quitté le bar.
Libérés de la tension, les clients du bar poussèrent tous un soupir de soulagement. Finalement, tout en jetant un coup d’œil à Barbatos, qui s’était remis à sa place, Zagan murmura quelque chose.
« ... Je n’aime pas ça. »
« Un sorcier ne voudrait pas avoir affaire à un Chevalier Angélique, n’est-ce pas ? Ne serait-il pas mieux d’aller le tuer tout de suite ? » demanda Barbatos.
Zagan poussa un petit soupir en regardant Barbatos gémir.
« ... Je suppose que oui. Alors, vas-y, Barbatos, » déclara Zagan.
Barbatos avait ouvert la bouche sous le choc en entendant ces mots.
« Hé, tu viens de me dire d’aller mourir, n’est-ce pas ? » s’écria Barbatos.
« Pas vraiment. C’est vrai que j’aimerais que tu meures, mais ne te méprends pas, » déclara Zagan.
« Alors tu veux ma mort ? » demanda Barbatos.
Trouvant son ami indésirable gênant alors qu’il avait les larmes aux yeux, Zagan secoua la tête en le regardant.
« Je t’ai dit de ne pas te méprendre, n’est-ce pas ? Je veux que tu ailles vérifier l’état de Chastille, » déclara Zagan.
Le surnom de Barbatos était Purgatoire.
Le Purgatoire faisait référence au plan qui existait entre le ciel et l’enfer, mais dans la même veine, c’était aussi quelque chose qui ressemblait à une vallée entre des dimensions qui donnait un certain contrôle sur l’espace étrange né de la magie.
Et son surnom venait du fait qu’il pouvait aller et venir librement de cet espace.
Qu’il s’agisse de la capacité qu’il avait utilisée lorsqu’il avait enlevé Néphy et Chastille, ou du pouvoir qu’il avait utilisé pour détourner facilement le cercle de téléportation de Zagan, cet homme était un sorcier qui excellait en téléportation et en invocation. Ce serait une bagatelle pour lui de se cacher et de protéger Chastille.
C’est sûrement pour ça qu’il a réussi à invoquer un démon, hein ?
Ce n’était pas de loin de la vérité, mais même Zagan avec ses nouveaux pouvoirs, il serait difficile d’imiter Barbatos. Peut-être pourrait-il se débrouiller en empruntant le pouvoir de l’Emblème de l’Archidémon, mais cela ne serait pas suffisant.
Zagan avait donc formulé sa demande, mais Barbatos avait carrément fait une grimace comme s’il ne voulait pas en faire partie.
« Quoi ? Pourquoi devrais-je le faire ? » demanda Barbatos.
« J’en ajouterai un peu plus à ton pourboire. Peu importe, vas-y, » déclara Zagan.
Barbatos avait ensuite fait une grimace comme s’il avait trouvé cette tournure des événements plutôt inattendue.
« Prévois-tu sérieusement de sauver une foutue Chevalière Angélique ? » demanda Barbatos.
« L’ennemi de mon ennemi est mon ami... est quelque chose que l’on dit souvent. D’ailleurs, ne penses-tu pas que ce serait amusant de mettre un porteur d’Épée Sacrée avec une dette envers moi ? » demanda Zagan.
« Mec, je pense que tu vas vraiment le regretter, tu m’entends ? » Même s’il maudissait Zagan, Barbatos n’avait pas refusé son offre.
Et à ce moment-là, Barbatos s’enfonça dans sa propre ombre. Il avait probablement effectué un déplacement vers le purgatoire qui porte son surnom. Et à partir de là, il pourrait enquêter sur les circonstances de Chastille.
Cependant, Zagan avait été pris de court.
« ... Ce salopard est parti sans payer l’addition, » murmura Zagan.
C’était peut-être Zagan qui lui avait ordonné de partir, mais il avait l’impression d’avoir été piégé.
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