Chapitre 4 : Camp d’entraînement du printemps
Partie 3
Alors que Hisui était entré dans le sous-sol, Rushella était allée prendre un bain. Pendant ce temps, Mei avait profité de l’occasion pour aller à l’étage.
Dès le départ, elle n’avait aucun intérêt quant à la tâche d’Eruru.
Bien sûr, quand son aide serait nécessaire, elle allait remplir ses fonctions par respect pour son salaire, mais la raison pour laquelle elle était venue aujourd’hui dans la maison de Hisui était une affaire purement personnelle.
C’était bel et bien le cas. Tout cela était pour son plan de procréation.
« Chez lui alors que je suis en vacances... ce jour inévitable est enfin arrivé..., » Mei avait souri avec malveillance alors qu’elle disait ça puis elle avait commencé à explorer l’étage.
Elle avait déjà pu confirmer que cet étage était l’emplacement où se trouvait la chambre de Hisui.
Comme il s’agissait du champ de bataille principal où se déroulerait sa lutte extatique afin de fabriquer un bébé, il était tout à fait nécessaire de déterminer à l’avance son emplacement physique.
« Hmm... Serait-ce celle-là ? » se demanda-t-elle alors qu’elle ouvrait la première porte coulissante du couloir.
Le style de la poignée était plutôt luxueux et démodé. En entrant dans la pièce, ce qu’elle vit alors était encore plus étonnant, et elle ne put s’empêcher de s’exclamer. « Wôw... ! »
Cette pièce rivalisait avec ce que l’on trouverait dans des palais où la royauté et la noblesse résideraient.
Il y avait un très grand lit à baldaquin. De plus, il y avait des antiquités inestimables et œuvres d’art qui étaient placées un peu partout dans la pièce. Le lit était recouvert d’un beau drap de velours rouge qui avait l’air extrêmement doux. Aussi bien que le papier peint que les moindres détails et objets dans la pièce eussent été choisis avec un grand soin quant à l’esthétique.
La chambre était assez grande pour prendre la plus grosse part de l’étage. Mais peu importe la manière dont vous regardez cette pièce, elle ne semblait pas être la chambre de Hisui.
Au contraire, cette esthétique était plutôt celle d’une femme.
Cependant, l’endroit manquait de miroirs et d’une coiffeuse, éléments essentiels trouvables dans la chambre d’une fille, ce qui donnait un sentiment étrange avec tout le reste de la pièce. Mais dès qu’elle avait vu le cercueil de jet noir placé à côté du lit, Mei avait immédiatement compris la raison. « C’est... »
Elle venait de comprendre que la pièce servait de chambre d’une vampire.
Il s’agissait de la raison évidente quant au manque de miroirs dans la pièce. Comme les miroirs ne reflétaient pas le reflet du maître de la maison, ils étaient sans importance pour elle.
Il s’agissait de l’une des caractéristiques d’un vampire, il n’avait pas de reflet dans les miroirs. En outre, il y avait également la peur de la lumière du soleil d’où la présence de rideaux dans cette pièce qui étaient faits d’un tissu très épais afin de bloquer totalement la lumière.
« Est-ce une mauvaise supposition, hein ? » murmura-t-elle.
Mei se prépara à partir déçue, mais elle heurta malheureusement Rushella alors qu’elle retournait dans sa chambre après son bain. Naturellement, elle portait comme d’habitude uniquement une chemise en tant que vêtements décontractés.
« Que faites-vous dans ma chambre !? » demanda Rushella.
« Rien du tout. Mais votre chambre coûte sûrement une fortune. Les finances de Hi-kun pourraient-elles être assez importantes pour ça ? » demanda Hisui.
« Cette pièce était à l’origine comme ça ! Grâce à ça, j’ai été très satisfaite dès le départ, » démontrant qu’elle était clairement satisfaite de la chambre, Rushella croisa les bras alors qu’elle hochait la tête en lui répondant ça.
D’un autre côté, Mei leva les yeux au plafond en affichant une expression sérieuse.
« Qu’est-ce qu’il y a ? Y a-t-il un problème ? » demanda Rushella.
« Si c’est comme vous dites... alors cela, veux dire que Hi-kun a toujours gardé la pièce dans son état d’origine, n’est-ce pas ? Et cela même après la mort de cette vampire, » déclara Mei.
« ... ! » En entendant cela, Rushella avait été choquée et elle s’était retrouvée bloquée sur place.
Effectivement... C’était vrai.
En y repensant, tout le mobilier était exempt de poussière et la chambre était très propre quand elle avait emménagé ici.
Pendant tout ce temps, Hisui devait avoir... régulièrement nettoyé la pièce.
« Cela s’annonce mal..., » déclara Mei.
« Que voulez-vous dire par là... ? » demanda Rushella.
« Avez-vous entendu parler de Hikaru Genji [1] ? » demanda Mei.
« Je le connais en raison d’un cours sur lui à l’école, » répondit Rushella. « C’est ce gars-là qui a essayé de poursuivre en même temps sa belle-mère en plus de diverses femmes. Il est même allé jusqu’à kidnapper une jeune fille afin de l’élever selon ses préférences. Parlez-vous de cet homme vraiment méprisable ? »
« ... Eh bien, oui, même si certaines parties du contenu sont indéniables..., » déclara Mei. « Néanmoins, il s’agit encore d’un classique mondialement connu de la littérature japonaise. De plus, ce conte ne contient-il pas une vérité cachée applicable à ce qui se passe aujourd’hui ? »
« Que voulez-vous dire par là ? » demanda Rushella.
« Ce que je veux dire par là est que les hommes sont incapables de se libérer de l’ombre de leur mère, » répondit Mei. « Ne devriez-vous pas comprendre cela un peu mieux que moi ? »
Mei regarda Rushella comme si elle avait discerné quelque chose.
Rushella se contenta de détourner le visage et grogna avec impatience. « ... Je ne sais pas. »
« ... Vraiment ? Même si Hi-kun ne s’intéresse pas à vous en tant que Lady Fujitsubo, qu’en est-il de l’autre ? » demanda Mei. « Peut-être a-t-il l’intention d’élever sa propre Murasaki [2], qui sait ? Mais cela peut être le contraire. »
« Franchement, qu’essayez-vous de dire par là... ? » demanda Rushella.
« Une vampire élèverait-elle un enfant humain sans raison ? » demanda Mei. « Qu’auriez-vous fait si vous étiez à sa place ? »
« ..., » Rushella resta sans voix.
« Normalement, cette situation serait impossible. Cependant, pour une immortelle vampire ayant la jeunesse éternelle, le fait d’attendre une décennie ou deux n’est rien, non ? » demanda Mei. « Peut-être... qu’elle attendait simplement le bon moment. »
« Attendre pour quoi ? » demanda Rushella avec douceur. Elle ne voulait pas le demander, mais elle devait savoir... telles étaient les émotions qui étaient transportées dans sa voix.
« Elle devait attendre que Hi-kun soit élevé pour être un homme à son goût, » répondit Mei. « Puis elle aurait aspiré son sang et elle l’aurait facilement converti en un membre de sa race. De plus, Hi-kun ne peut probablement pas ignorer ses intentions... Mais même après l’avoir réalisé, il est toujours resté avec elle, donc cela signifie que Hi-kun est aussi... »
En disant ça, Mei jeta un coup d’œil suggestif sur Rushella.
Rushella se tenait simplement là avec ses poings serrés.
Mei ne l’avait pas provoquée plus que ça puis elle était retournée à son but original. « Puisque c’est votre chambre... La chambre de Hi-kun... est-ce que cela pourrait être celle là-bas ? »
« Ah, attendez un peu, vous..., » déclara Rushella.
Avant que Rushella ne puisse l’arrêter, Mei avait pénétré dans la chambre de Hisui.
Il s’agissait d’une chambre de style occidental très ordinaire. Son espace vital était également standard pour un lycéen, sans rien de spécial à ce sujet.
Il y avait un bureau ainsi qu’une bibliothèque en acier. Des mangas ainsi que des Cds étaient dispersés sur le sol au milieu de vêtements. Peu importe comment vous aviez regardé la pièce, il s’agissait de la chambre d’un lycéen tout à fait ordinaire.
« Hmm... Rien d’extraordinaire à première vue, » déclara Mei.
« Je vous demande..., à quoi pensez-vous !? Pourquoi êtes-vous venue dans la chambre de ce type ? » demanda Rushella.
« Je fais tout simplement de la reconnaissance, » répondit Mei. « Afin de pouvoir permettre la réussite de la fabrication d’un bébé, je dois avoir une compréhension complète quant à ses préférences. N’est-ce pas le bon sens de penser ainsi ? »
« Je-je ne sais pas vraiment ça ! » répondit Rushella.
Le terme « fabrication d’un bébé » avait clairement fait rougir le visage de Rushella.
Mei avait lâché un « Hmph », puis elle avait jeté un coup d’œil vers Rushella avant de reprendre l’exploration de la pièce.
« Je dois vraiment parvenir à une meilleure compréhension de Hi-kun..., » déclara Mei. « Je dois regarder par ici ! »
Mei plongea sous le lit comme si elle faisait une glissade de coureur de baseball. Rushella l’avait alors suivie.
« Hey, pourquoi me suivez-vous !? » demanda Mei.
« Taisez-vous ! Je suis libre de le faire ! Faites vite, mais que pensez-vous trouvé ici ? » demanda Rushella.
« Vous plaisantez, ne saviez-vous pas ça ? » demanda Mei. « Quand il s’agit de tout ce qui est sous le lit, c’est l’espace privé d’un homme... Les dispositions sexuelles et ce genre de choses seront entièrement révélées si vous pouvez regarder ce qui s’y trouve ! Eh bien, en bref, il s’agit d’un trésor qui contient le pire genre de publications. »
« Que voulez-vous dire par le “pire genre de publications” !? » demanda Rushella.
« ... Voulez-vous vraiment que je vous l’explique ? » demanda Mei.
« Parlez-vous de ces “dourinshi” dont j’ai entendu parler. Des livrets très minces, est-ce bien ça ? » demanda Rushella.
« Vous avez à moitié raison, » répondit Mei. « Après tout, ils peuvent être conçus afin de cibler tous les groupes d’âge, alors vous devriez arrêter avec cet étrange sentiment de préjudice. Quoi qu’il en soit, ce n’est pas le sujet, dépêchons-nous de vérifier les goûts de Hi-kun... ! »
Mei avait tendu la main vers les profondeurs que représentait la zone sous le lit.
Alors qu’elle était peut-être conduite par un sentiment d’opposition provocatrice, Rushella se joignit à la mêlée.
« Que faites-vous ? Cherchez-vous aussi avec moi ? » demanda Mei.
« Taisez-vous ! Le fait de mieux comprendre mon serviteur fait partit de mes devoirs ! » répliqua Rushella.
Sous le lit, leur escarmouche avait finalement atteint une impasse.
Ces filles frêles luttaient ensemble, se disputant le trésor connu comme le pire genre de publications.
Néanmoins, leurs efforts avaient fini sans que cela soit un succès.
Pour le dire plus précisément, rien n’était caché sous le lit de Hisui.
« ... N’y a-t-il vraiment rien ici ? » demanda Mei. « Ou est que c’est caché dans un endroit plus complexe !? »
« Hmph, après tout, c’est tout ce qu’une personne de votre niveau peut faire ! » s’exclama Rushella. « Moi, d’un autre côté, j’ai pu trouver quelque chose, comprenez-vous ? »
Rushella avait souri victorieusement puis elle rampa afin de sortir de sous le lit avant de finalement lever son butin en l’air.
« Qu’est-ce que c’est ? » demanda Rushella.
La main de Rushella ne contenait ni le pire genre de publications ni l’une de ces minces brochures, à la place, il s’agissait d’une bouteille qui pouvait tenir dans sa paume. La bouteille avait été scellée avec un liège pittoresque et le contenu était plutôt ordinaire, des cendres.
« Alors, qu’est-ce que ça pourrait être ? » demanda Mei.
« Je suis celle qui l’a d’abord demandé, alors ne demandez pas ça à votre tour ! » répliqua Rushella.
« Mais même si vous demandez ça..., » murmura Mei.
Les deux beautés avaient commencé à réfléchir ensemble à cela.
Puis, à ce moment-là, le maître de cette pièce se plaça à la porte, complètement étonné.
Ayant terminé sa tâche de servir de guide pour Eruru, il avait quitté le sous-sol avant de retourner dans sa chambre.
« ... Tous les deux, que faites-vous dans la chambre de quelqu’un d’autre ? » demanda Hisui.
« « ... » »
Les deux filles avaient alors baissé la tête en raison de la honte.
Après tout, qu’avaient-elles fait ?
L’atmosphère gênante qui pesait sur le trio avait persisté pendant un moment, jusqu’à ce que Hisui remarque la bouteille présente dans la main de Rushella et qu’il décide de briser le silence. « Donne-la-moi... »
Hisui se dirigea vers Rushella, essayant de reprendre la bouteille.
Face au comportement énergique de Hisui, même Rushella avait tranquillement obéi sans offrir la moindre résistance.
Hisui avait ignoré la vampire choquée et avait simplement placé la bouteille dans sa poche.
« Ne traînez pas dans une pièce qui n’est pas la vôtre, » déclara-t-il bruyamment. « Si vous n’avez pas d’autres choses à faire ici, alors dépêchez-vous et sortez. »
En réponse, Rushella avait repris ses airs habituels et s’était opposée à lui. « Comment oses-tu me parler d’une telle manière !? Et aussi, c’est quoi ce truc ? »
« Ah, c’est peut-être le sable d’une plage qu’ils ont déjà visitée ensemble ? » Mei avait essayé de calmer la situation et avait suggéré ça en plaisantant à moitié.
Cependant, Hisui avait réfuté à ça avec une expression glaciale. « ... Je suppose que cela peut compter comme étant les cendres d’un mort. En tout cas, en des termes humains. »
Cette déclaration avait fait que Rushella et Mei se regardèrent avec un certain malaise.
Elles connaissaient toutes deux son passé. Plus précisément, elles savaient à peu près ce qui s’était passé, même si Hisui lui-même parlait rarement de ses expériences.
Mais elles savaient toutes deux que la vampire qui avait élevé Hisui était déjà détruite. Quant à la disparition d’un vampire, les deux avaient parfaitement compris qu’il s’agissait d’une destruction complète et totale.
Un corps qui était autrefois béni avec une vigueur éternelle s’était transformé en poussière puis il s’était éparpillé dans l’oubli, ne laissant finalement rien derrière.
« J’ai seulement été capable de rassembler... tout cela, » déclara Hisui.
À la fin, tout ce qui restait dans la paume de sa main, c’était cette quantité.
En ce moment, le vent impitoyable l’avait dépouillé de ses restes, les entraînant dans l’oubli.
« Tout cela est complètement inepte, » déclara Rushella.
Ses paroles impitoyables avaient fait frémir le corps de Hisui. Mei aussi se tourna vers Rushella avec une expression choquée.
« Pour quelqu’un qui est déjà détruit, quel sens reste-t-il dans ses trucs ? Toi... Combien de temps vas-tu te laisser enchaîner comme ça ? » demanda Rushella.
« ... Ce n’est rien de tout cela. Cela compte simplement comme un attachement familial ou devrais-je dire, un rituel... Rien de plus, » déclara Hisui.
« Ma chambre... Tu l’as toujours gardée dans le même état que lorsque cette femme était en vie, n’est-ce pas ? » demanda Rushella. « Tu dois l’avoir nettoyée pendant tout ce temps. Tu es totalement inutile, le sais-tu ? »
Rushella avait continué à le gronder.
Mei avait fait un signe avec ses yeux afin de dire à Rushella de s’arrêter, mais elle était complètement inconsciente.
« Ces meubles et ce lit... Je vais tous les jeter et en acheter à neuf, » Rushella continua avec sa rhétorique arrogante. « Pourquoi dois-je utiliser des biens d’occasion de quelqu’un d’autre !? »
Mais le regard qu’elle faisait dans la direction de Hisui avait en lui de la pitié.
Après s’être retourné, Hisui ne remarqua pas son regard et répondit simplement avec indifférence. « Fais ce que tu veux avec ces objets. »
« ... !? »
« Si tu veux les changer, alors vas-y et achetons-en de nouveau. Pour être honnête, je suis aussi fatigué d’eux, » continua Hisui.
« ... »
« Mais tu devrais toi-même les payer, » continua-t-il. « En outre, tu devras t’occuper de te débarrasser des vieux meubles. Ah, pourquoi ne pas simplement les vendre pour récupérer une partie du coût ? Cela devrait nous faire économiser une partie de la somme. »
Puis il y avait eu un lourd silence.
Sans rien dire, le regard de Mei commença à errer.
Finalement, Rushella avait pris la parole. « Est-ce une blague ? Si l’argent est gaspillé imprudemment, il n’y a aucune chance de survivre dans le monde humain. »
« Vraiment..., » Hisui avait dit cela avec indifférence puis il avait quitté la pièce.
Les deux filles ne l’avaient pas suivi.
Hisui retourna dans le salon vide et s’assit sur le canapé, regardant la télévision pendant un moment. Puis il avait sorti la bouteille de sa poche.
Eruru avait mentionné auparavant qu’il transportait deux articles à son retour de l’étranger et le second était cet objet.
Les chérir à ses côtés à tout moment, se rappelant de tristes souvenirs de temps en temps... cela n’était pas quelque chose qu’il avait fait.
Hisui avait simplement recueilli les cendres, les avait versées dans une bouteille, les avait ramenées à la maison, et les avait gardées sous le lit... et rien de plus.
Peut-être ne les aurait-il jamais revues.
Tout comme Rushella l’avait dit, c’était totalement inutile.
C’était clairement seulement des cendres plutôt que Miraluka elle-même.
Hisui avait alors dissipé sa mélancolie puis il s’était levé.
Le fait d’agoniser en raison du passé n’allait rien changer. Par conséquent, Hisui avait décidé de d’abord prendre un bain, se laver les cheveux, et se rafraîchir. Il était aussi un peu préoccupé par Eruru qui était encore en bas.
Hisui se dirigea vers la salle de bain et enleva ses vêtements devant la porte.
Rushella et Mei étaient probablement encore au deuxième étage. Il ne pouvait rien entendre en provenance d’elles.
***
Eruru travaillait dur au sous-sol.
Alors le fait de rencontrer quelqu’un au moment où il enlevait ses vêtements... était une chose qui ne devrait jamais arriver.
La porte coulissante de la salle de bain était ouverte et les lumières étaient éteintes. Il avait appelé afin de confirmer qu’il n’y avait personne à l’intérieur.
Tout était bon... du moins en théorie.
Jusqu’au moment où il s’était assis sur le tabouret de bain, il n’y avait pas eu de problèmes.
Mais dès qu’il s’était assis sur le tabouret, il avait entendu un bruit venant de derrière lui et quelque chose lui était tombé dessus depuis le plafond.
« ... Hein !? » s’exclama-t-il.
Notes
- 1 Hikaru Genji : (光源 氏) : le protagoniste du roman japonais classique « le Conte de Genji ». Perdant sa mère dans la petite enfance, il a continué à développer des relations romantiques avec de nombreuses femmes, l’un d’eux étant sa belle-mère, Lady Fujitsubo, qui ressemblait beaucoup à sa mère et devint son idéal féminin. Plus tard, Hikaru rencontrait la nièce de sa belle-mère, Murasaki, qu’il ramena chez lui pour élever et éduquer afin de devenir la femme de ses rêves.
- 2 Murasaki : Comme décrit dans la note précédente, Lady Fujitsubo est la belle-mère tandis que Murasaki est la nièce de la belle-mère dans le Conte de Genji.